Ah, Ces Rugbymen

Bonjour à tous, voilà, je m'appelle Tom, j'ai 18 ans, et je vis dans un village Girondin, limitrophe Landais. Cela fait plusieurs années que je me pose des questions sur mon orientation sexuelle, étant catho, je devrai être hétéro, mais il est vrai que le sexe féminin m'a toujours dégouté. À vrai dire, je ne trouve rien de plus beau qu'un pénis. Bref, famille catho oblige, famille homophobe. Je suis aussi le cadet d'une famille de trois s. Ma sœur, Emma, 21 ans, étudiante à la faculté de médecine Bordeaux II, en troisième année de médecine générale. Mes parents, Lynette et Pierre, couple amoureux, un idéal pour tous ceux qui les croisent, ils sont autant amoureux que le premier jour. Ayant un bonne situation tous les deux, c'est souvent qu'ils partent en week-end ou plus l'été et pendant mes vacances_voilà le point de départ de mon histoire_.
Lorsque mes parents partent, je reste seul, avec mon frère, Jules, car ma sœur reste chez elle à Bordeaux. Comment décrire mon frère, 23 ans, grand, dans les 1m85, ses cheveux sont d'un noir magnifique. Il possède des yeux bleus Caraïbe, il est musclé, parfait, et fait du rugby. Un dieu quoi. Il m'aime bien, on est souvent tous les deux, il est d'une gentillesse. Le week-end, lorsqu'on est que tous les deux, il invite ses potes à la maison, je reste donc avec eux, et on passe de super soirée, c'est souvent qu'on finit torché, mais bon, jeunesse est aussi synonyme d'insouciance. Passons.
Je pensais que mon frère était hétéro _il est vrai qu'on a vu défiler un paquet de filles, j'en ai arrêté de compter, et ils ne regardaient pas dans les yeux une fois dans la chambre_, je l'entendais car nous avions nos chambres collées et une salle de bain commune quoique cela faisait deux mois que je n'en voyais plus. Il m'avait aussi appris à draguer, et se moquait souvent des homos. Mais cette semaine là...
Une fois de plus, nous étions tous les deux, le samedi midi, à table, en discutant, je lui avait dit que je ne dormirai pas à la maison ce soir, que j'étais chez ma meilleure pote.

En allant faire un rugby avec Alex, son meilleur ami (blond, bouclé, environ 1m70, un créature de rêve, style Aurélien Rougery), ils me posèrent chez ma pote qui ayant des problèmes familiaux, fit que je rentra finalement dormir à la maison.
La soirée se déroula, j'étais tout seul, je me fis quelques épisodes de Grey's Anatomy, et conclus d'aller me coucher. Vers minuit, je fus réveiller par un bruit dans l'allée. C'était Jules, qui garait sa mini. Et là, surprise, ALEX ( ! YES!). Il n'était pas rare qu'Alex vienne à la maison, de plus une veille de la coupe du monde, car les deux étaient tout le temps fourrés ensemble, comme un vieux couple. Il est vrai que des fois je me laissais fantasmer à une relation entre eux-deux. J'entendis l'escalier grincer, ils montaient tous deux dans la chambre de Jules, puis ils fermèrent la porte. Je tenta d'écouter leur discussion, mais j'étais trop loin. La douche s'alluma, et alors là, je ne pu m'empêcher de coller mes yeux à la serrure. Je crois que cette conversation, je ne l'oublierai jamais, encrée pour toujours dans ma mémoire :
« -Ah, enfin on est tous les deux. Tu m'a gavé manqué tu sais.
-Oui, toi aussi, repris mon frère, rien que le fait de voir que tu étais à côté de moi, sans pouvoir te toucher, te sentir... ».
Mais c'est énorme ! Jamais je n'avais vu quelque chose comme ça. Même le rugbymans du calendriers des Dieux Du Stade collé les uns aux autres ne me faisaient pas autant bander !
Je zyeuta, je rêvais. Ils étaient en pleine séance de roullage de pelles. Leurs corps musclés, avec l'eau qui ruisselait, leurs bites s'enlacées. Ils commençaient tous deux à bander, ça valait tout l'or du monde. Finalement je ne regrettais plus de ne pas être parti à Punta Cana avec mes parents.
Les choses devinrent plus sérieuse, Alex commença à se baisser, léchant Jules dans le coup, remonta jusqu'à son oreille, qu'il lécha et mordilla, puis descendit sur les tétons. C'était mon frère qui contrôlait le rythme, tenant Alex par les cheveux.
Alex continua donc sa descente, il allait arriver sur le chemin du bonheur (zone de poils allant du nombril au pubis). Il saisit donc le pieux de Jules entre ses mains, débutant une caresse en attendant l'arrivée de la bouche, je fixa le visage de mon frère, il était au ciel, je baissa donc mon regard et vit son pénis dans sa plus grande forme. C'est la que je m'aperçut qu'ils en étaient pas à leur première fois, Alex avait l'air de bien connaître le pénis de Jules, ainsi que ses parties sensibles...
Il entreprit une pipe phénoménale, whoa, c'était splendide. Il lui titillait le frein avec sa langue, puis tétait le gland, alternant avec les boules.
Jules attrapa son visage pour le faire remonter, j'en déduis que si Alex continuait à se rythme, il allait s'en venir le fifrelin. C'était reparti pour un long « french kiss » , je vous jure, même les superproduction américaine ne valait pas ça. C'était un peu comme Bradley Cooper et Éric Dane qui s'embrassait dans « Valentine's Day », mais en mieux.
Jules entreprit de satisfaire son ami, Alex aussi était bien garni, le coquin ! Je remarqua que pendant la fellation, il commença à chatouiller la rondelle d'Alex, qui avait l'air de prendre son pied, le mouvement de la fellation s’accéléra et les doigts de Jules s'enfonçaient de plus en plus. Il les retira, et entreprit un anulingus avec fougue.
Puis remonta, le pénétra, sans préservatif. J'en conclus qu'entre les deux, ça faisait plusieurs mois qu'ils jouaient ensembles...
Il commença par un mouvement doux, puis intensifia le rythme. Je les entendais hurler de plaisirs. Je ne sais pas ce qui me retenait de rester derrière cette foutue porte !
Jules sorti sa bite, puis Alex se retourna, Jules le souleva, puis le pénétra. La position était tellement belle, mêlant romantisme et fougue, ils étaient là, enlacé, s'embrassant, baisant.
Puis Jules posa Alex qui entama une fellation rythmée, qui entraîna une éjaculation de mon très cher frère sur le torse de son bien-aimé.

Puis celui-ci se mit genoux au sol face au pénis bandant d'Alex, puis débuta par lécher l’intérieur du prépuce, puis, mit la bite entière en bouche, malaxant les boules de la main gauche, il s'aida la droite pour pincer les tétons de son ami.
C'est alors que j'entendis un râle puis un cri de joie.
Alex venait d'éjaculer, Jules avait gardé la semence dans se bouche, ils se roulèrent une dernière pelle pendant une étreinte. Mélangeant bave, sperme, amour et fougue.
Ils continuèrent leur douche le sourire aux lèvres avec un regard complice. Aucun mot n'était prononcé, mais rien que de les voir suffisait à comprendre ce qu'il se dirait. L'eau se coupa, puis ils partirent main dans la main, serviettes sur les épaules dans la chambre. Moi aussi il fallait que j'aille me coucher. Il était déjà 01h00, et il fallait se lever à 07h45 pour soutenir nos bleus. Je m'allongea donc, ma bite était toujours raide, me repassant en boucle cette scène magnifique. Je me branla, et passa la plus belle nuit de ma vie.

07h45 : le réveil sonne. Je me réveille de TRÈS bonne humeur. Je revêts un maillot du XV de France, ainsi que mon super Pull-in Léopard du Stade Français. Je m'équipe de mon Macbook, puis descend les escalier pour gagner le salon. Personne, les deux grands dadets dormaient surement encore, après la soirée qu'ils venaient de passer.
J'allume donc le plasma, puis l'ordi, fait chauffer la machine à café, puis je mets TF1. Durant le temps de chauffe de la cafetière, je songea à la réactions qu'aurait Jules en me voyant, là, sur le canapé, et de son petit ami, bref...
L'heure tournait, la finale approchait, la pression montait, j'en était à mon troisième café. Puis vins la pub, je consulta facebook, puis j'alla me faire quelques tartines, quand j'entendis des pas sur l'escalier, ça y est, ils descendaient. J'avais déjà une énorme boule au ventre à cause du match, mais alors là, c'était pire. Jules était seul, je pu lire l'appréhension dans son sublime visage, lorsqu'il vu que j'étais là.
Ils avançaient difficilement, avec hésitation vers moi, puis vint quand même me faire la bise. Je n'osais aborder le sujet, à près tout, ce n'était pas tant à moi de le faire, mais il se lança :
« -Ah, euh, ça, ça fait longtemps que tu es là ?
-Oui, repris-je, je suis rentré hier vers 19h, ça allait mal entre Cloé et ses parents, elle était gênée, j'ai donc préféré évité de rester plus.
Je sentis à ce moment là, un grand moment de stress, puis il se lança :
-ah, donc, tu, tu as tout entendu ?
Je décida de répondre avec le sourire pour le déstresser
-comment dire, oui ! En même temps, je pense que même un sourd aurait pu tout entendre.
-je suis désolé, rétorqua-t-il, je suis désolé de t'infliger ça...
-mais ne t'inquiète pas ! Y'a rien d'anormal ! D'ailleurs je m'étais déjà posé des questions sur vous deux.
-mais, ça va à l'encontre de tout, si les parents savaient, si la famille savaient.
-pour le moment, personne ne sait sauf moi. Et puis y'a aucun moyen pour que je le dise. Tu es mon frère et je t'aime trop pour te faire souffrir. Mais, depuis quand cela dure entre vous deux ?
-beh, ça va faire quatre mois. Quand vous étiez à Los Angeles en Juillet, j'étais tout seul, et il est venu. Et puis voilà. Je ressentais des trucs pour lui, assez fort, je me disais que ça ne pouvais pas être des sentiments amoureux, que j'avais pas le droit, que c'était impossible. Et il s'est trouvé que lui aussi éprouvé les même choses que moi, et voilà...
-je me disais aussi, ça fait longtemps que j'avais pas vu de filles passer à la maison ces temps-ci !
On rigola tout les deux, puis il me pris dans ses bras. J'aimais ces câlins avec lui, je me sentais fort, aimé, mais aussi protégé. Je lui avoua donc que moi aussi, je me sentais plus attiré par les hommes, puis Alex descendit l'escalier. Il portait un mini-short moulant, il resta bouche-bée quand il me vit. Jules lui annonça que je savais tout, j'eu donc le droit de voir un jolie bisous des deux, tellement sexy (presque autant que la douche). Je ne sais d'ailleurs pas si je dois leur dire que je les ai vu ou pas. Bref, le match allait commencer. Ils étaient allongés sur le canapé, Alex dans les bras de mon frère, position magnifique. Mais ils ne sont pas longtemps resté comme ça, ne pouvant s’empêcher de crier et de bouger à chaque actions, et à toutes ces pénalités injustifiées des Blacks sur nous. Les français ont fait un match magnifique, mon frère était heureux, la seule chose, les blacks nous ont volé notre trophée.
La journée se déroula parfaitement, on a finit la soirée à faire un rugby sous la douche, c'était magique, mythique, énorme, oui, approché des dieux comme ça je sais pas si ça va m'arriver souvent... je leur ai ensuite dit que faire moins de bruit que la vieille, puis on éclata de rire. Mon frère me fit un câlin, puis je m'exila dans ma chambre.
Curieux que je suis, je n'ai tout de même pas pu m'empêcher de coller mon oreille au mûr, entendant quelques râles sexy, et le bruit du lit claquand contre le mûr.
Maintenant, j'ai décidé que mon frère serait encore plus mon idole.

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