Leslie Hd15

Leslie HD15 – Voisin, suite

C’est dans ma boite aux lettres, en fin d’après-midi, que j’ai découvert une enveloppe contenant le message suivant :
« Ma petite voyeuse d’en face.
J’espère que le spectacle d’hier était à la hauteur de tes espérances.
Comme tu l’as constatée je suis libre et sans tabou. Je sais que tu bandes pour moi.
Car je connais ton statut, nous avons une connaissance commune.
Il est maintenant venu le temps de venir te visiter, si tu es d’accord, ce soir prépares-toi, fait le noir chez toi et laisses ta porte ouverte. Tu seras près de la fenêtre du salon et à minuit je viendrais.
Yves »

- Waouh !
Pour une nouvelle, c’est une nouvelle, direct le monsieur, mais n’en avais-je pas désirée l’instant, les choses se précipitaient et je ne savais plus quoi penser.
Je suis remontée à l’appartement et j’ai bue deux whiskies, j’ai flânée longuement en regardant les heures passées, puis à neuf heures j’ai pris un bain.
J’ai passé une journée fébrile, choisissant avec soin ma tenue.
J’ai optée de l’attendre en tenue sexy.
J’ai tout d’abord mis mon nouveau rosebud, le spécial réservé aux habitués, c'est le modèle de référence dont le poids et les dimensions intensifient l'orgasme, c’est le plus gros mais pas pour les novices.
Je me dis qu’il me faut bien ça si je veux me faire sodomiser ce soir.
En plus il offre des sensations uniques, en le portant, en marchant il agace mon petit trou et s’enfonce au fond de moi lorsque je suis assise, vraiment jouissif.
Celui-là a une longueur de neuf centimètres et un diamètre de quatre, sa longueur pénétrante est d’un peu plus de huit, son poids de quatre-cent-trente gramme ne laisse pas indifférent celui ou celle qui le porte
Se le mettre dans le rectum n'est pas du tout douloureux, il suffit pour cela de ne jamais forcer le sphincter anal, détendue et légèrement je le fait pénétrer sur trois centimètres environ, pour me lubrifier l'entrée de mon trou et me détendre l'anus.

Puis j’ai appuyée la pointe lubrifiée du Rosebud sur ma pastille anale et j’ai poussée doucement. Mon anus l’a avalé sans problème et sans douleur. Il ne reste visible que la partie décorative, ornée d’une jolie pierre couleur saphir et qui sert aussi de butée.
Me voilà le cul paré, maintenant passons à mon sexe, que je veux désirable, j’opte pour une alliance de verge en argent, elle pare la base de mon sexe avec confort et puissance.
En me regardant dans la glace je me trouve trop désirable ainsi parée.
Pour être un peu habillée mais sexy, j’opte de l’attendre en sous-vêtements, un ensemble constitué d’un soutien-gorge demi-sein, coquin et affriolant, avec le string ouvert et le porte-jarretelle assortis, les trois pièces de cet ensemble en dentelle chantilly noire sont ornées de petit ruban en organza. Une paire de bas couture de voile noir et mes escarpins noirs à hauts talons et me voici prête.
Ainsi parée je me sens très attirante, je vais et va dans le salon et je sens en moi le rosebud faire sont effet, alors je me pose dans le canapé et je sursaute par surprise, le rosebud vient de s’enfoncer en moi profondément par le poids de mon corps.
C’est bon et je me laisse aller.

La curiosité l’emporte et je me dirige vers la cuisine et plantée derrière la fenêtre je ne trouve qu’une fenêtre sombre en face, Yves n’est pas chez lui, enfin pas dans la cuisine.
Déçue je retourne dans le salon il est minuit moins le quart et je trépigne d’impatience, je vérifie que la porte d’entrée n’est pas fermée, j’éteins toutes les lumières de l’appartement et me plante debout près de la fenêtre du salon.


Minuit, la porte de l’appartement s’ouvre et la lumière du palier éclaire un bref instant le couloir d’entrée, puis plus rien, le silence lourd et étouffant.
Je regarde par la fenêtre en essayant de ne pas penser, mais l’impatience me gagne, je reste immobile et les secondes qui passent me paraissent des heures.

Soudain, le silence est brisé par une voix d’homme, celle d’Yves, grave et sensuelle.
- Bonsoir, Leslie !
Un frisson parcours mon échine, j’ai envie de me retourner mais la voix dit :
- Ne te retournes pas, reste ainsi, ne t’inquiètes pas, c’est bien moi, Yves, ton voisin.
Rassurée, je reste immobile, ma silhouette éclairée par la lumière de la cour de l’immeuble, il doit me voir et est certainement en train de me détaillée.
Tu es très belle, désirable même.
Il me rassure un peu plus, je le sens près de moi, j’entends son souffle dans le silence de l’appartement baigné par la pénombre de la nuit, il pose ses mains sur mes hanches et je frémis.
Ses mains parcours mon corps en montant lentement des hanches vers ma poitrine en caressant mes côtes dénudées, lentement il se colle à moi et la surprise est totale.
C’est un corps nu qui se plaque dans mon dos et sans me laisser le temps de réfléchir les mains d’Yves prennent possession de mes seins.
- Humm !
Il aime mes seins tendus soutenus par le soutien-gorge demi-sein qui laisse libre les pointes aux caresses de mon futur amant. Il joue avec les pointes et les fait durcir du bout de ses doigts, j’ai envie de passer ma main derrière moi pour attr l’objet de ma convoitise, mais Yves me dit :
- Surtout pas ma chérie, laisses-toi aller dans l’impatience qui te tenaille, tu n’en auras que plus de plaisir.
Ses mains parcours mon corps et par moment je sens son membre sur mes fesses, ça me rends folle, il le sait et en use, il en même.
Pendant de longue minute je subis cette attente, le corps parcouru des mains de mon amant, qui restent au-dessus de la ceinture de mon porte-jarretelles.
Je sens mon sexe petit à petit se dresser, je sens le sexe d’Yves battre par moment sur mes fesses, cet instant est du pur érotisme.
Il me prend la tête et la renverse en arrière et me prend la bouche qu’il viole de sa langue, je me laisse faire et répond à son baiser, nos langues se mêlent, maintenant je bande car je sens l’alliance de verge me comprimer la base de mon sexe.


Une des mains me maintient la tête en arrière, comme pour m’empêcher de m’échapper à ce baiser, l’autre je la sens descendre le long de mon ventre, caresser mon nombril, s’attarder sur le haut de mon pubis complètement lisse, puis le bout des doigts effleurer mon sexe bandé.
Puis la main entière entoure mon sexe, glisse délicatement sur toute la longueur avant de rencontrer l’alliance qui m’orne la base, Yves joue avec en la faisant tourner autour de mon sexe, la sensation est divine, je feule de plaisir.
Yves, collée à moi me pousse vers ma chambre, lentement pas à pas nous marchons collés ainsi l’un à l’autre, le rosebud fait son effet dans mon fondement et la main d’Yves n’a pas quittée mon sexe, il me maintient fermement le membre et je sens son sexe s’insinuer dans ma raie.
Comme c’est bon, jamais un homme ne m’avais fait vivre un moment aussi jouissif.

La chambre est plongée dans le noir, seul un peu de lumière de la cour entre par la fenêtre entrouverte, Yves se couche sur le dos et m’emporte avec lui en me mettant en 69. Je suis dessus et j’ai son membre là, devant les yeux. Malgré la pénombre je distingue ce pieu de chair dressé et un frisson me parcours en découvrant qu’il est encore plus imposant que je ne me l’imaginais.
Je suis le cul tourné vers la porte, chevauchant Yves qui absorbe mon sexe entre ses lèvres et commence une douce fellation. Je prends son sexe en main et constate que je ne peux en faire le tour, mais l’envie est si forte que je baisse la tête et enfourne ce membre dans ma bouche.
Ma bouche est distendue par le pieu et je ne peux qu’en absorber une partie, mais qu’importe je continue comme je peux faisant gémir mon amant qui tout en me suçant me caresse les fesses.
Tandis que je suis accaparée à sucer mon amant je sens des doigts se poser sur le rosebud et jouer avec, mon cul réagit et je me cambre sous l’effet du plaisir qui me gagne.
Soudain je ne comprends plus, les mains d’Yves me caressent les fesses et une main joue avec mon rosebud et mon cul.

Je suis troublée, surtout lorsqu’une autre main m’appuie sur la tête pour me faire descendre sur le pieu de chair et l’engloutir encore plus, je suffoque et veux me redresser mais je ne peux maintenue fermement par la main sur ma tête.
La main sur mon cul me sort le rosebud de l’anus, deux mains me prennent les hanches et sans que je comprenne ce qu’il m’arrive ou que j’ai le temps de me redresser, je me fais enculer par un membre de bonne taille.
- Ohhh !
Il est sorti de ma gorge sans que je le veuille, je contracte les fesses par réaction à cette soudaine pénétration, comme par refus, Mis il est trop tard je suis embroché de toute la longueur de ce membre. Je me retourne et découvre la petite androgyne d’hier qui m’encule avec satisfaction.
Son sexe me remplit bien et les sensations se font sentir, je me laisse aller et m’ouvre pour me faire sodomisée par ma nouvelle compagne.
Dans mon dos j’entends une voix frêle dire :
- Chérie, je te prépare pour notre amant !
Yves se dégage de dessous de moi, tandis que l’androgyne me fait le cul comme une salope que je suis, elle sait y faire malgré son jeune âge et as tôt fait de me faire jouir.

Ils se sont mis d’accord pour me faire vivre une expérience unique, je sens que je vais me faire démonter le cul comme jamais, résultat de ma curiosité.
Je suis à leur merci et je sais que je ne pourrais échapper à la pénétration du membre d’Yves, il va m’enculer d’ici peu, et peu et je redoute secrètement ce moment.
- Laurie, te fais jouir ? Me demande Yves.
En prenant le prénom de mon enculeuse androgyne je ne peux que répondre par un :
- Humm.
La douce voix dans mon dos dit :
- Elle est prête, tu peux venir.
Laurie laisse la place à Yves qui pose aussitôt son gland sur ma rondelle, et j’entends :
- En effet, elle est déjà bien ouverte, ça va le faire.
Je frémis à nouveau, par peur ou par désir je ne saurais le dire, Yves me tient fermement par les hanches pendant que Laurie ayant passé sa main sous moi me branle.
- Ohhh !
Yves pousse en moi pour rentrer son gland, ma rondelle ne cède pas.
- Ahhh !
Un coup de reins pour forcer la passage et ma rondelle s’écarte, le gland est passé, je suis distendue et j’ai mal, je tente de m’échapper pour faire cesser la douleur, mais Yves entre en moi jusqu’à la garde, ses couilles viennent buter contre mon scrotum, je suis remplis de cette virilité qui m’a fait tant rêver, la douleur vrille mes reins et se propage dans tout mon corps. L’air me manque et je vais m’évanouir, la tête me tourne puis plus rien le vide…
Quand je reprends mes esprits mon cul est toujours occupé ma ce pieu de chair qui me remplit et me dilate le cul, Yves attends que je sois bien consciente, la douleur à disparue mais la sensation d’être possédée de façon indécente est bien présente.
Le limage de mon rectum commence et je gémis, Laurie me branle activement faisant monter le plaisir dans mon sexe, cette salope va me faire jouir.
Au bout de longues minutes interminables je sens le membre en moi se contracter et un liquide chaud remplir mes entrailles, Yves vient de jouir en moi tandis que j’arrose les draps de ma semence.
Je m’affale à plat sur le lit le cul embroché du membre de mon amant.

Plus tard nous avons recommencés, Yves voulu que je sodomise Laurie pour jouir de l’étroitesse de sa rondelle, puis il l’a enculée devant moi. Nous avons fait le train Laurie devant, moi derrière et Yves fermant la marche, puis ce fut le tour de Laurie d’être entre nous deux, Yves toujours en dernier.

Yves est parti, remettant son imper pour cacher sa nudité le temps de traverser le hall de l’immeuble, me laissant seule avec Laurie, en disant :
- Bonne nuit les filles, nous nous reverrons.
Nous nous sommes endormies enlacées.

La suite est une autre histoire…

A suivre…

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