Vacances À La Campagne : Le Foot (Suite De La Ballade À Vélo)

Bonsoir,
je m'appelle Sandrine, j'ai trente ans, je suis marié depuis trois ans avec Pierre qui a 38 ans et que que je connais depuis cinq ans. Je mesure un mètre soixante dix, j'ai les yeux bleus je suis brune, une jolie poitrine 95 B., et un petit cul bien rond, et depuis que j'ai quinze ans, j'adore le sexe sous toutes ses formes.
Cet été là, comme je l'ai dit dans les histoires précédentes, je venais d'avoir mes 18 ans, mais pas mon indépendance financière pour pouvoir partir en vacances sans mes parents. Aussi, je tachais de me désennuyer en me promenant à vélo.
Depuis longtemps, j'avais l'habitude de suivre l'équipe de foot du village voisin de la maison de campagne de mes parents car mon grand frère y jouait avant qu'il ne quitte la maison après ses études. Souvent, j'assistais aux entraînements, et je connaissais bien les joueurs qui avaient tous entre 18 et vingt-cinq ans à l'exception de l'entraîneur qui en avait plus de 40.
En cette fin d'après midi, ma ballade me conduisit vers ce fameux terrain de foot et les joueurs étaient à l'entrainement ; ça faisait déjà un bout de temps que je n'étais pas venue les voir, et il y avait quelques nouveaux, mais je reconnus facilement les anciens copains de mon frère. Eux aussi me reconnurent et j'entendis sur le terrain, "tiens, c'est la petite Sandrine, tu sais, la soeur de Jean Jacques ; c'est une chouette nana maintenant, dis donc".
Ravie d'être reconnue, je déposai mon vélo et m'assis sur le banc de touche pour les regarder jouer comme je l'avais fait tant de fois quand mon frère était là.
L'entraînement se déroulait comme d'habitude, quand soudain, Marc, sans aucune raison, s'effondra par terre. Victime d'une crampe au mollet, il était tombé lourdement sur le sol. Jean-Luc, l'entraîneur, lui prodiguait quelques soins, puis l'aidait à marcher jusqu'au banc où j'étais assise pour qu'il puisse se reposer.
Nous bavardons quelques instants, quand je lui fis remarquer qu'il saignait du coude ; il avait dû s'écorcher en tombant.

Je l'aidais à retourner au vestiaire pour nettoyer la blessure, j'avais l'impression que ça lui plaisait d'être appuyé ainsi sur moi.
Dans les vestiaires, j'allais chercher une serviette que je trempais au robinet, et je m'assis à côté de lui pour nettoyer son coude ensanglanté.
Dans le courant de la conversation, nous revenions sur sa crampe, et je lui dis qu'il devrait se faire faire un bon massage ; il me demanda aussitôt si je pouvais m'en charger, ce que j'acceptais volontiers. Je m'accroupis devant lui, lui enlevai sa chaussure et sa chaussette de foot, et commençais à lui masser le mollet de bas en haut. Rapidement, je m'aperçus qu'il louchait sérieusement dans mon décolleté qui, penchée en avant comme je l'étais, devait lui laisser voir pas mal de choses intéressantes. Loin de m'en offusquer, que je lui demandais avec effronterie s'il les trouvait à son goût ce à quoi il me répondit, que si je voulais me faire masser les seins, il était à ma disposition. Provocante, je lui répondis que j'espérais qu'il était aussi bon masseur qu'il était beau parleur et il tendit sa main pour emprisonner mon sein.
Je le laissais faire, exitée par la situation et le risque de se faire surprendre, et sa main s'introduisit par le décolleté. Tout en continuant mon massage, mes mains remontaient de plus en plus haut. Il avait maintenant les deux mains dans mon décolleté et me pinçait les bouts des seins qui pointaient fièrement. Mes mains remontaient de plus en plus haut, commençant à s'introduire sous son short pour saisir sa queue déjà toute dure. Mes bretelles tombaient sur mes bras, il sortit mes seins pour les admirer et les pétrir à pleine main. Je baissai son short, et pris sa bite dans ma bouche pour lui offrir une fellation en grande pompe. Au bout de quelques minutes, se sentant sur le point d'exploser, il me releva, releva également ma jupe et fit glisser ma culotte jusqu'à mes chevilles. Il introduisit un doigt puis deux dans ma chatte et commença à me limer avec ses doigts, tout en suçant mes tétons.

N'y tenant plus, je me retournais dos à lui, et m'assis sur sa bite dressée en m'empalant d'un seul coup. Dos à lui, je l'ai chevauché fougueusement pendant qu'il me pétrissait les seins jusqu'à ce qu'il lache sa purée en longs jets au fond de mon vagin.

Le surlendemain, à l'entraînement suivant (les entrainements avaient toujours lieu le mardi et le jeudi), Marc n'était pas là, mais François, prétextant une douleur à la cuisse, me rejoignit sur le banc de touche. Marc avait dû lui raconter l'histoire, car François, plutôt beau mec par ailleurs, me demanda avec un sourire coquin si je pouvais lui faire un massage. En lui rendant son sourire pour lui faire comprendre que je n'étais pas dupe, nous sommes donc allés au vestiaire ou François, sitôt la porte refermée, me plaqua contre celle-ci et se collant a moi, me glissant dans l'oreille : alors, il parait que tu aimes la queue ; tu vas être servie !
Il commença alors à glisser ses mains sous ma jupe et sans me déshabiller, il écarta la ficelle de mon string pour avoir accès à mon puits d'amour dans lequel il introduisit immédiatement deux doigts. De l'autre main, il fit descendre les bretelles de mon haut pour libérer mes seins et les prendre à pleines mains. Au bout d'un petit moment, il baissa son short, placa ses mains sous mes fesses pour me soulever et me laisser retomber en m'empalant d'un seul coup sur sa bite toute raide. Il me prit violemment contre la porte et me fit l'amour comme une bête.
Je décidais de bien profiter des vcances et je devins assidue aux entrainements, d'autant plus que je pouvais dire sans crainte à mes parents où j'allais, puisqu'ils connaissaient le club de foot et ne se méfiaient de rien. Ainsi, au fil des entraînements, c'était tantôt Marc, tantôt François, tantôt Éric qui avait été mis dans la confidence qui me faisait l'amour.
Un jour ou Marc et François n'étant pas la, c'est Éric qui m'entraînait dans le vestiaire, et tandis que j'étais à quatre pattes en train de le sucer, j'ai senti des mains qui remontaient le long de mes cuisses par derrière ; je me retournais : Marc et François s'étaient cachés dans le vestiaire en nous attendant.
Je continuais à sucer Éric, tandis que François profitait de ma croupe tendue pour m'enfiler en levrette. Marc s'assit à côté d'Éric et pendant que je suçais Éric, je branlais Marc et vice versa. Quand François éjacula dans ma chatte, Marc pris sa place derrière moi, mais visant plus haut, il s'enfonça dans mon petit trou. Il déchargea dans mon cul au moment ou Éric se lâchait dans ma bouche.
Mais avec trois gars en même temps, nous avions pris trop de temps, et nous étions au milieu de de nos ébats, quand les autres joueurs sont arrivés : la première surprise passée, ils ont vite compris qu'ils pouvaient en profiter eux aussi, et se sont empressés de prendre possession de mon corps, me caressant, me lèchant, pénètrant en mêle temps tous mes orifices avec leurs doigts bientot remplacés par des bites bien raides. Je suçais et je branlais tout ce qui passais à ma portée, je reçus une pluie de foutre sur toutes les parties de mon corps. J'ai passé là une des soirées les plus mémorables de ma vie sexuelle, car tous les joueurs de l'équipe (les 11 plus trois remplaçants) et même l'entraîneur se sont partagés ma chatte, mon cul ou ma bouche ; j'étais couverte de sperme de la tête aux pieds, et quand je suis allée sous la douche, ils m'ont tous suivie comme un seul homme pour continuer à me baiser, me peloter, me sodomiser et j'ai joui des dizaines de fois à la file.
La fin des vacances arriva, et je ne suis jamais revenue dans ce patelin, mais quand je repense à cette expérience, je sens mon corps se remettre à bouillir, et je vais aller arracher Pierre, mon mari, à son travail, afin qu'il éteigne le feu qui brule en moi ....

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