J'Ai Fait Connaissance Avec Mon Voisin...

Ça faisait déjà une semaine que j’avais emménagé. Une semaine que j’étais brestoise. Mon appartement était dans un petit immeuble de 4 étages, et j’avais trois voisins de paliers : un jeune couple de mon âge environs (25 ans), un homme d’une quarantaine d’années, qui promène son chien qui aboi régulièrement quand je passe devant la porte, et une vieille dame tout au bout du couloir.

Après une semaine dans mon nouveau travail, j’appréciais de me retrouver chez moi, même si tous mes cartons n’étaient vidés. J’allumai la télé et la regarda distraitement, en sirotant un martini. Parfois j’étendais les bruits des pas des habitants du dessus, quelques sons, un verre qui tombe… quand vers 21h, j’entendis un crissement répété… puis des gémissements. Waouh ! L’isolation n’est pas le point fort de l’immeuble ! Oui quelqu’un prenait du bon temps ! Les gémissements devinrent des cris, la fille devait prendre cher. Assez troublée, même si ce n’était pas la première fois que j’entendais un couple faire l’amour, je me suis mise à tendre l’oreille un peu plus.
Parfois entre les « han » les « haaaaaa », les « oui », je distinguais des « baise-moi », mais aussi, une voix d’homme « salope », « t’aime ça ».
Machinalement, je glissais une main entre mes cuisses, j’en avais envie.
Tout à coup, « Noooon, pas par là !!! » sorti de la bouche de la fille, suivi d’un « Aaaaah » encore plus fort. Il l’enculait.
Je me fis plaisir à entendre les mots crus de l’homme, les cris de la fille, quand tout fut terminé, il était minuit passé. 3 heures ! La baise a duré 3 heures ! Mon dieu !

Epuisée par mes caresses, j’allais me coucher en me demandant qui pouvait être ce couple. Mon voisin ? Non, il vit seul, et le jeune couple est trop loin. Ça devait être en haut, ou peut être en bas, je n’avais pas encore prêté attention à tous les habitants de l’immeuble.

Le week-end passa, ainsi qu’une nouvelle semaine. Je rentrais du travail, quand mon voisin me salua au pied de sa porte, de retour de la promenade de son chien.


Un bonjour de politesse, quand son chien tira sur la laisse et me sauta dessus, déchirant mes collants.
- Isidore au pied ! dit mon voisin en tirant de nouveau sur la laisse. Pardon mademoiselle, je suis confus.
Je regardai les dégâts, une paire de collant hs, et des griffures sur ma jambe gauche. Ça y est j’ai gagné ma journée.
- C’est rien dis-je nerveusement.
- Vous avez de quoi désinfecter ?
- Oui… enfin non, ça doit être encore dans mes cartons.
- Attendez, j’enferme mon chien dans la cuisine, et je vous passe ce qu’il faut.
Je posai mes affaires chez moi, et vint chez mon voisin. Son chien aboya encore.
- Je m’appelle Bernard, veuillez m’excuser pour votre collant. Dit-il en me donnant de l’antiseptique et un coton.
- Je vous propose un verre, pour me faire pardonner ?
- euh… oui… enfin…
- Gin, martini…j’ai un fond de vodka aussi …
- Je prendrai un martini, c’est ce que je prends après une semaine de travail.
On parla un peu de tout et de rien, en buvant un autre verre, en évoquant nos voisins qui se plaignaient parfois d’Isidore qui aboyait parfois en journée etc...Puis quelque chose tomba dans l’appartement du dessus.
- C’est vrai que c’est bruyant. J’en même entendu un couple faire l’amour la semaine dernière. Dis-je.
- Ah oui ? me répondit-il ? ça doit être bien excitant.
- Oui. je senti mes joues rougir un peu plus que sous l’effet de l’alcool. La fille hurlait son plaisir.
- Ça t’a excité ?
Il m’avait tutoyé. Je fus un peu surprise, mais ça faisait un moment qu’on parlait, alors bon…
- Oui…
- T’avais envie d’être à sa place ?
- J’avoue … oui, mais vous êtes curieux, dis-je en rigolant.
Il se leva et s’approcha de moi, posa ses mains sur mes cuisses
- Mais… que faites vous ?
- Je sais que t’es excitée, sinon, tu ne serais pas comme ça, à en parler.
Il avait raison, mais, je n’avais pas envie d’un mec de 15 ans de plus que moi… mais en même temps, ça faisait un moment que je n’avais pas fait l’amour…
- Oui, t’en as envie, laisse-toi faire.

Ses mains écartèrent mes cuisses et une main remonta sous ma jupe jusqu’à mon string.
- Hum, une coquine en string.
Je ne sais pas si c’est l’alcool, ou l’excitation, mais je me laissais caresser ma chatte par mon voisin que je ne connaissais pas vraiment.
Il enfonça un doigt, tout en frottant mon clitoris.
- Tu mouilles déjà, coquine…
Je ne pu retenir un gémissement quand il enfonça son doigt, il alla plus vite, plus loin, plus fort … Puis enfonça 2 doigts « Hannnnnnnnnnnn !!»
- Mais ça te plait ma cochonne !
- Ouiiii, continuez …mmmm
Il me doigta avec force. Je sentis ses doigts me fouiller, des vas et viens forts et puissants… Je gémissais de plus en plus, jusqu’à jouir une première fois, puis encore…
- Tu veux voir ce qui faisait hurler la salope que t’entendais la semaine dernière ?
En un éclair, je compris, c’est lui qui baisait et défonçait le cul de la fille la semaine dernière.
- Je sais que t’en as envie, tu l’as avoué tout à l’heure.
- MMMM, Oui…..mmmmm
- T’es une salope, ajouta t’il avant de se lever, et de m’ordonner, « fous-toi à poil ».
Il retira sa chemise,
- Allez fous toi à poil !
Je m’exécutai, enlevant mon chemiser, et dégrafant mon soutif.
- Putain, t’as une grosse paire de nichons. Les mecs doivent apprécier ! Tu veux voir le morceau ?
Je fis signe de tête, il m’avait excité, ce cochon.
Il retira son pantalon, laissant apparaître une bosse énorme dans son slip. Il l’enleva et pris une bite énorme dans sa main.
Je fis une tête plus que surprise en voyant son engin. Oui, je peux parler d’engin, Elle n’était pas grande, en tout cas pas plus de 14 15 cm, mais vraiment très large, épaisse… Il remarqua avec satisfaction l’effet que sa bite faisait sur moi.
- Héhé, t’as jamais vu ça, je suis sur. Hein, salope. Je suis sur que tes petits copains n’avaient pas ça.
Il avait bien entendu raison, certains de mes ex étaient bien membrés, plus grandes, mais pas aussi larges ! Il me prit tira les cheveux, posa sa bite sur mon visage ses couilles près de ma bouche, le gland au niveau de mes cheveux.
Elle était énorme.
- Suce-moi, tu vas l’aimer…
Je pris ce sexe monstrueux dans mes mains, je n’arrivais pas à en faire le tour. Elle n’était pas encore dure, toujours un peu molle.
- Suce-moi, Salope ! dit il en me tirant une nouvelle fois par les cheveux

J’ouvris les lèvres, comme hypnotisée. Cette énorme queue me déforma la bouche, je crus m’ par ce volume dans ma petite bouche.
- T’imaginais pas que ton voisin avait une telle bite, hein ma cochonne ?
- mmmmfffmmmm
- Moi, j’avais déjà remarqué ton petit cul et tes gros nichons.
Et il les malaxait, les prenait à pleine main tout en me disant cela.
- Putain, ils sont bien lourds, … t’arrêtes pas de sucer, ça te plait, j’en suis sur.
Je levais les yeux, il devait voir ma bouche déformée, et mes yeux bien humides par les assauts de sa queue.
La fellation dura de longues minutes, tantôt il m’enfonçait son membre dans ma bouche, tantôt il frappa mon visage avec en prononçant quelques insanités. Puis il se retira.
- Parfait, passons aux choses sérieuses. Viens par ici.
Il me prit la main et m’entraina dans sa chambre.
- Mets-toi à 4 pattes. Toi aussi tu vas crier, comme la petite pute que j’ai baisée la semaine dernière.
Sans que je puisse protester, j’avais déjà la tête dans son oreiller, et je lui présentais mes fesses.
- Mmm pour ton cul, je le casserai plus tard.
Je tressaillis. Le « Noooon, pas par là !!! » et le cri poussé par celle qui était à ma place il y a 8 jours, résonnait dans ma tête, quand je senti l’énorme queue de mon voisin me pénétrer sans délicatesse mon minou.
- Aaaaaaaaaaaah !!! criais-je
- Héhé, et ce n’est que le début, tu me demanderas de te baiser tout à l’heure…
Cette bite énorme me remplissait totalement, je ne pouvais me retenir de crier mon plaisir. Ce salop maitrisait parfaitement sa queue. Je reçu de bonnes fessées, des insultes, et surtout de puissants coups de queue dans ma petite chatte.

- Dis que t’aimes ça !
- Ouiii j’aime …ça, mmmmmm
- Plus fort, salope !
- OUI ! J’AIME VOTE BITE !!
- Parfait ! T’es vraiment une grosse cochonne ! Je vais te faire couiner comme une truie !
- Oui, baisez-moi ! BAISEZ-MOI !!
C’est sorti tout seul, j’étais haletante, la sueur coulant sur mon dos, mon visage, tandis que mon voisin me pilonnais la chatte.
- Tu vois… je te l’avais dit…
Il ralentissait un peu le rythme, avant de titiller mon petit trou. J’eus un mouvement de surprise et d’inquiétude. Non, ça ne passera pas… Il mit un doigt, tout en gardant sa queue dans ma chatte. Il allait et venait dans mon petit trou qui se laissa faire et se détendre.
- Je suis tombée sur une grosse cochonne qui aime être prise par le cul.
Oui, j’avoue que j’aime le faire mais là … la voix de la fille résonnait encore une fois. Alors qu’il plaqua ses mains sur mes fesses, sorti sa queue et la présenta à l’entrée de mon petit orifice.
- Non, pas par là !! Criais-je moi aussi, avant de pousser un cri. Sa bite était dans mon cul !
- Ta gueule salope ! T’en meures d’envie ! T’aimes te faire enculer ! Et pour rien au monde tu ne voudras pas rater l’occasion de te faire enculer par une si grosse queue !
- Hannn !!
J’ai cru m’évanouir, sous la douleur, mais non, il s’attaqua à mon cul. Je ne savais plus quelle heure il était, ni combien de temps il me pilonnait, je me souviens juste que la semaine dernière, ça avait duré 3 heures !
Comment fait-il pour tenir si longtemps ? Il va bien jouir un moment… Mais non, sans mollir, sa bite entrait et sortait de mon petit trou qui devait être bien agrandi maintenant …

Les voisins devaient nous entendre, surtout moi, moi leur nouvelle voisine de 25 ans qui se faisait tringler par leur voisin de 40 ans…

Enfin, il me tira par les cheveux, retira sa bite de mon cul, me fit m’agenouiller devant lui, et finis par décharger de gros flots de sperme sur mon visage ruisselant.
- Prends ça ma salope !!!
Je tombais d’épuisement, il fit un tour dans sa salle de bain, et m’apporta mes vêtements ainsi qu’un verre de martini.
- Allez, bois ça et dégage grosse cochonne, Si tu veux encore prendre ton pied la semaine prochaine, glisse un mot dans ma boite aux lettres. Je me ferai un plaisir de défoncer ton petit cul !
J’avalai le verre d’un coup, j’enfilai rapidement ma jupe, je me dirigeai en titubant vers sa porte d’entrée. Quand j’ouvris la porte, je tombai nez à nez avec le jeune couple qui rentrait de soirée…

Rouge de honte et à demi nue, je m’engouffrai dans mon appartement le visage collant de foutre et de sueur. Il était minuit et demi.

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