Tupperware

Réunion tupperware chez moi cet après-midi.
Ca veut dire qu’une douzaine de nanas au moins vont passer l’après-midi dans le salon, manger des petits-fours bavarder des heures et accessoirement dépenser quelques dizaines d’euros (au moment de l’histoire c’était des francs mais bon…). En général, des amies, voisines ou amies d’amies…de mon épouse.
Et ça veut dire que je me débrouille pour filer à l’anglaise pendant un moment… ! Sauf que là, ma voiture n’est pas disponible. Bon, je m’occuperai !!
Et c’est parti. Arrivées dans le désordre des habituées, de l’Animatrice à qui je voue une haine tenace, quelques nouvelles têtes et, tiens ! une jolie brune, minijupe rouge flottante, jolies jambes ma foi !
Et un regard pas si innocent lorsque nos yeux se croisent. Celle là, je ne la place pas dans la catégorie mère–de-famille-bien-rangée. Elle ne se mélange d’ailleurs pas vraiment à la conversation générale, va voir par la fenêtre, regarde les tableaux…bref elle s’ennuie la jupe rouge. Je me demande si ...sous la jupe le temps semble long , là aussi ?
Toujours est-il que je réussis à croiser deux ou trois fois un regard qui finit par me sembler intéressé.
La réunion commence et toutes ces dames ne peuvent tenir assise dans le cercle aménagé pour suivre la palpitante démonstration. Certaines se trouvent derrière les fauteuils, debout. Et ma jupe rouge est là, accoudée sur le fauteuil, la jupe me montrant beaucoup plus qu’elle ne me cache les ravissantes gambettes. Et c’est merveilleux de voir ces fines cuisses gainées de soie et le tissu qui s’arrête, et quelques centimètres de peau nue au dessus qui me narguent. Je suis déjà dans un état indécent. Et je me connais, il faut que j’aille tenter ma chance.
Je suis debout à ses côtés l’instant d’après. Aucun mouvement, pas un regard, elle semble suivre la démo !! Allez, vas-y, lance toi ! je me motive… Et ma main se pose sur sa taille…j’attends le regard qui tue, si ce n’est la remarque qui me clouerait au pilori…Rien de tout ça si ce n’est un cul qui se trémousse d’un pied sur l’autre.

Mon émoi est à son maximum. Je tremble presque à l’idée de partir explorer ces trésors à portée de main. Elles sont quinze, en rond, nous sommes en retrait, certes, mais tout de même… Tant pis, ma main a quitté la taille et caresse le globe d’une fesse. C’est fabuleux. Le contexte décuple le plaisir et l’émotion.
Lentement, glisser le long de cette fesse ferme, descendre le long de la minjupe, tout ça en regardant fixement une boite en plastique… atteindre la limite du tissu et de la soie. Remonter sous la jupe, sentir cette chair qui frémit sous ma caresse. Avoir le plaisir de constater que les deux jambes se sont très légèrement écartées, parvenir à la petite culotte et glisser le doigt sous le tissu, s’émerveiller de la moiteur qui règne là, montrant que mes caresses y sont attendues et espérées.
Mon majeur a carrément investit la place et le sursaut mal maitrisé de ma jolie voisine a failli tout interrompre. Voilà, je peux aller et venir, doucement, délicatement, remonter maintenant jusqu’à un anus heureux d’être de la fête. Mes doigts viennent se vautrer dans ce minou qui coule littéralement. La croupe est saillie, vient au devant de ma caresse intime. Je descends la petite culotte, ma belle se crispe un peu mais…ne peux guère intervenir. Et voila la culotte au sol. Elle doit l’enjamber et se baisser une fraction de seconde pour la ramasser et la faire disparaître. Mes caresses sont plus libres, toujours avec doigté ( oh ! j’ai osé le jeu de mot !) et tellement de raffinement ! A côté de moi on s’affole un peu, on sent venir le plaisir, on se contorsionne un peu, on s’ouvre davantage, on se met un poing dans la bouche et on jouuuuuuiiiiiiit…. !
Je récupère la culotte dans la main qui l’enserre et essuie ce jus que je peux empêcher de couler le long des jambes. Oh ma belle, ce que j’ai envie de te sauter…
Je tapote la fesse pour signifier de me suivre et m’éloigne dans le couloir. Dans la minute qui suit, la jupe rouge se pointe, je la happe, l’embrasse avec fougue et presque rage.
Sa jambe est relevée contre moi, j’ai tôt fait de m’extraire d’un pantalon qui m’emprisonnait, de lui mettre la main sur la bouche et de l’enfiler brutalement à fond ! Je la pistonne comme un dingue et je jouis en quelques dizaines de coups de bite dans une chatte si brulante et dégoulinante qu’elle arrive aussi à grimper aux rideaux en une minute ! Mes mains pressent ses seins, ses fesses, je lèche son cou, ses oreilles …
-j’ai joui comme une folle ! merci grand fou !
-on se voit chez toi, écris moi ton numéro
-oui…murmure-t-elle…
La belle est déjà dans la salle de bain et se rajuste, je bas en retraite espérant que ce moment de folie n’aura pas été trop entendu de l’autre côté de la maison !!
JE l'ai revue. Ca vous intéresse? Faut me le dire alors....

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