Marie - Episode 5 - Achat Et Gravure D'Un Collier

-- Alors que tu viens tout juste de raccrocher avec ton mari, je te dis : « Oui ! Marie, continue à me nettoyer la queue et les couilles après nous irons faire quelques achats, car je veux que tu sois la secrétaire soumise la plus bandante et sexy de la ville ».

**** « Oui, Maître, tout ce que vous voudrez » Et je continue à vous sucer et à vous soutirer les dernières gouttes.

-- « Merci ! Tu es vraiment très habile avec ta langue ! ».

**** « Merci, Maître, je fais tout mon possible pour vous montrer que je suis une bonne suceuse »

-- Puis, je me réajuste et t’aide à descendre de mon bureau. « Mets ta jupe et ton gilet sans trop le serrer pour qu’on voit bien ton décolleté ».

**** « Je…Heu…Vous êtes sûr ? Bon…Heu…dans ce cas… Bien Maître ! »

-- Je te regarde faire, puis : « Tu es prête ? Alors allons y ! ». Dis-je, en te prenant le bras pour sortir et te conduire jusqu’à la voiture.

-- Une fois dans la voiture, je te demande : « Alors Marie, cela t’a excitée de te faire baiser et de me lécher la bite pendant que tu étais au téléphone avec ton cocu de mari »

**** « Ho ! Oui Monsieur le Directeur, j’étais terriblement gênée, honteuse, mais en même temps, le fait d’avoir une conversation avec lui, tout en vous suçant la queue et me faisant malaxer les outres, j’étais prête à tout. Vous me transformez, Monsieur le Directeur, je ne me reconnais plus »

-- « Tu sais que moi cela m’excite terriblement de cocufier ton mari en direct au téléphone ». Puis j’ajoute : « C’est comme de te savoir nue sous tes vêtements, je trouve cela très bandant »

**** « Merci, vous savez moi aussi, j’ai honte, mais cela m’excite d’être nue dessous »

-- Nous faisons encore quelques kilomètres en ville, et je m’arrête sur le parking d’une animalerie. Je sors de la voiture et viens t’ouvrir la portière pour te donner le bras et t’accompagnez dans le magasin.

« Tu sais ce que nous sommes venus chercher ici ? » dis je.

**** « Non, Monsieur le Directeur ».

-- « Un collier et une laisse – cela fait partie du nécessaire de toute bonne chienne ».

****« Je…Heu…Pour moi ? Mais… Heu…Bien Monsieur ».

-- Toujours accrochée à mon bras, je te conduis au rayon désiré, avant de te dire : « Je te laisse choisir sachant que tu dois prendre un collier très large avec une plaque métallique pour y faire graver une inscription. ».

**** Je me sens un peu perdue dans ce rayon toute seule…Je prends différents modèles en cuir larges avec des anneaux pour accrocher une laisse et deux autres anneaux devant dont je me demande à quoi ils servent…Pour comparer, je me mets accroupie, ma jupe remonte dévoilant mes cuisses.

-- Je te regarde te mettre accroupie pour choisir parmi tous ces colliers, dévoilant ainsi tes cuisses très largement jusqu’au dessus de la lisière de tes dim up. Une fois le collier choisi, tu me le proposes, afin d’avoir mon accord. « Oui celui-ci est parfait, maintenant prend une laisse qui va avec ! »

**** « Bien, Monsieur le Directeur, ». Je choisis une laisse en cuir plus fine qu’une ceinture, assez longue.

-- Puis j’ajoute : « Une fois à la caisse, pendant que je règlerais, tu devras demander à la caissière de retirer les étiquettes, et lui dire que c’est pour porter maintenant. Et ensuite, tu le passeras à ton cou devant la caissière, car tu dois assumer ton nouveau rôle de soumise ».

**** « Je… Heu…Mais…Ho…Mon Dieu, qu’elle honte. Je…Je…Ferai comme vous voudrez, Monsieur le Directeur ».

-- Une fois la laisse choisie, nous nous dirigeons vers les caisses, il y a juste un petit vieux devant nous, nous attendons patiemment, déposant les 2 articles sur le tapis roulant.

-- Une fois notre tour, la caissière passe les 2 objets et me donne le montant des achats, je lui tends ma carte bleue et je te fais signe d’intervenir.


**** « Mademoiselle, pourriez vous enlevez les étiquettes ? C’est pour porter tout de suite… ». Je baisse les yeux juste après.

-- Je règle les deux objets, pendant que tu places le collier autour de ton cou. La caissière me donne le ticket de ma carte tout en te regardant comme subjuguée par ce qu’elle voit.

**** Elle n’en revient pas et remarque par la même occasion qu’il lui semble que je ne porte rien, mon cache cœur à peine noué.

-- Je regarde et te dis : « Cela te va très bien. Maintenant, tu ressembles vraiment à ce que tu es ! »

**** Vous ajoutez à la caissière : « N’est ce pas mademoiselle, elle ressemble à quoi comme ça ? ».

-- La caissière rougit et baisse la tête, sans oser répondre. Puis j’ajoute : « Je ne te mets pas la laisse, si tu me promets que tu seras très obéissante » Nous regagnons la voiture, toujours bras dessus, bras dessous. Une fois dans la voiture je te dis :
« Je suis fier de toi, je ne pensais pas que tu oserais faire ta demande à la caissière »
Puis j’ajoute : « Tu as vue sa tête lorsque tu lui as dit que tu voulais le porter et lorsque tu te l’as mis autour du cou ? ».

**** « Elle aussi, trouve que tu es une chienne en chaleur »

-- Nous repartons en voiture, toujours vêtue de ton jupe, de ton gilet léger, de tes bas dim up et maintenant de ton collier, et je te dis : « Maintenant, nous allons faire graver la plaque du collier – Que veux tu qu’on fasse graver dessus ».

**** « Je…Heu…Je ne sais pas… peut être appartient à, et l’adresse ».

-- « Je préfèrerais quelques choses de plus choquant. ».

**** Tu réfléchis quelques minutes et me dis : « Marie, bourgeoise mariée, soumise à son patron, Maître Cello, ».

-- J’arrête à une vingtaine de mètres d’un artisan fabriquant des clés et gravant des plaques de toutes sortes. Comme à l’accoutumer, je t’aide à sortir de la voiture et nous nous rendons vers le magasin.
A chaque pas, tes seins tressautent dans ton gilet écartant légèrement les pans de celui dévoilant largement ta poitrine. Et je remarque que les passants, que nous croisons, lorgnent tes mamelles. Tu t’en aperçois et rougis immédiatement, gênée.

**** Oui mon gilet cache coeur s'ouvre malgré moi à chaque tressautement de mes mamelles libres de tout mouvement, les passant, non seulement peuvent deviner mes outres bouger librement sous le tissus mais peuvent en voir une bonne partie, car le gilet est désormais ouvert presque jusqu'au nombril

-- Nous pénétrons dans le magasin, me dirige vers le patron, tout en te tenant toujours par la main « Bonjour Monsieur, serait-il possible de faire graver une plaque maintenant »
« Bonjour Monsieur dame, oui, bien sur, quel plaque voulez vous graver ? »
Je montre alors ton collier que tu portes autour du cou et dis :
« Cette plaque-ci »
« Bien, je vois et que voulez vous faire gravez dessus ? »
« Marie, bourgeoise mariée, soumise à son patron, Maître Cello, ».

-- Je me tournant vers toi, te demande: « C’est bien cela que tu veux porter comme inscription ? »

-- Tu rougis, bredouille et enfin tu dis d’un seul souffle sans reprendre ta respiration :

**** « Je… Heu… Et bien (l'artisan me regarde d'un air curieux, mais déjà bien vicieux !) Oui, c'est bien cela, c'est…Je… Heu… C'est ce que je suis monsieur le directeur »

-- L’homme écarquille les yeux et répond : « C’est une demande un peu particulière que vous me demandez là » Et il ajoute, « J’accepte de vous le faire, mais pour paiement, je désire que madame se caresse devant moi pendant que je fais la gravure et qu’après je puisse lui donner une bonne fessée »
Immédiatement et sans réfléchir j’accepte la proposition de l’homme tout en te regardant pour voir ta réaction

**** J'en ai les larmes aux yeux et j'accepte à l'avance de me toucher devant cet homme, et qu'ensuite il me touche, il me fesse .
.. mon dieu que j'ai honte, je suis si excitée de tout cela

-- Le gérant va aussitôt fermer la boutique et nous propose de passer dans son petit atelier situé derrière le magasin.
-- Arrivée dans la pièce, je te dis : « retire ta jupe, ton gilet et tiens toi bien droite les jambes écartées »
-- Le patron prépare ses outils, puis s’avance vers toi pour t’enlever le collier, il en profite bien sûr pour effleurer tes ouvres, puis le place sur son atelier et te regardant, il te dis : « Allez madame, branlez vous, je veux entendre le clapotis de vos doigts dans votre chatte trempée »

**** Oui j'avale ma salive pendant que le commerçant ferme sa boutique. Tandis que je vous obéis en enlevant ma jupe et mon gilet, l’homme revient et me découvre nue, en bas dim-up. « Humm ! Si vous permettez un commentaire (vous lui faire un signe que oui de la tête), vous avez là une belle secrétaire monsieur le patron, une belle putain avec un gros cul et des mamelles de vache laitière même !" et en disant cela, sans rien demander, il me palpe un nichon et se touche la bite au travers de son pantalon

-- « Oui, tout à fait et c’est pour cela qu’elle mérite de porter ce collier avec l’inscription que je vous ai demandé »
-- Tu poses un pied sur un tabouret et portes une de tes mains à ton sexe et commence à te caresser, très rapidement ta main s’active dans ton sexe et très vite on perçoit le bruit de tes doigts fouillant ton intimité.
L’homme travaille tout en te regardant de temps en temps.

**** Ce plaisir que je me donne m'aide à surmonter ma honte de me retrouver ainsi nue dans cet atelier et devant un inconnu qui vient de me toucher les seins en disant : « Quand j'aurai fini je vais te les malaxer un peu plus fort, ça te calmera ... »

-- Une fois la gravure terminée, il se lève, s’approche de toi et pose le collier autour de ton cou. Et en profite pour te caresser et soupeser tes outres.

**** « Humm ! Dites donc, elle a les pis bien moelleux et fermes à la fois, je peux tester l'élasticité des outres de votre secrétaire monsieur ? »

-- « Bien sur ! Elle est là pour cela. »

**** Je suis toujours debout honteuse avec mon tout nouveau collier de chienne soumise et le serrurier malaxe mes pis, les presses en tirant dessus vers le haut, pince mes mamelons et moi une main toujours entre les cuisses je voudrais ne pas gémir, mais c'est plus fort que moi, je commence à jouir
-- « Mais, elle mouille grave cette salope ! » Aussi, il te lâche les mamelles, prend une chaise et s’assoies au milieu de la pièce. Puis te regardant, il te dit « Approchez vous que je vous administre votre fessée ».
**** Oui et moi j’ai toujours un pied sur le tabouret en train de gémir de jouissance, pliée en deux … sur instruction et sous votre regard, je m’approche de lui encore haletante, je vous regarde … « Je… Heu… Vous voulez que je me mette à genoux, à 4 pattes ou bien que je m’allonge sur vos genoux ? »
-- « Viens sur mes genoux Salope ! Que je te corrige »
-- Tu me regardes sans bouger attendant que je vienne à ton secours
« Allez ! Obéis, c’est le tarif qui es convenu »

-- Tu te hasardes à faire un petit pas vers lui, il te saisit par le poignet et t’attire près de lui, puis il t’agrippe et te couche sur ses genoux, il t’écarte légèrement les cuisses et passe ses doigts sur tes lèvres avant de les lécher.

**** Je m'approche me penche en avant puis une fois allongée, je sens sa main entre mes cuisses s'enfoncer dans mon sexe détrempé
« Humm… Je… Oui c’est bon »
-- « Hum mm !!! J’adore votre miel et après la fessée, vous serez trempée » dit il en riant.

-- Aussitôt, les premiers coups s’abattent sur tes fesses, ceux-ci sont de plus en plus fort – 5 coups sur chaque fesse, puis il s’arrête et caresse ton postérieur puis les coups reprennent encore plus fort, puis il s’arrête pour laisser place à de nouvelles caresses.

****« Je… Heu… Oui monsieur mais heu… Pas trop fort quand même ... »
**** Il vous regarde et vous lui faites signe qu'il peut y aller et ça commence "Haa… Hooaaauu… Houuu… Haiie…"
-- L’homme alterne ainsi coups et caresses. L’homme dit : « Plus votre cul rougit et plus il est désirable » et il ajoute : « Encore quelques claques et il sera violacé comme j’aime ».

-- Lorsque ton cul est de la couleur désiré, il passe sa main entre tes cuisses et s’aperçois que tu es trempée. « Mais elle aime cela, cette chienne ! »

**** Je perds mes repères, suis partagée entre douleur et plaisir, il me fesse, me masturbe malaxe mes seins, et moi je sens sa queue qui gonfle contre ma taille.
-- Et sans attendre, il te retourne comme une crêpe et tu te retrouves sur le dos les cuisses ouvertes. Il te maintient solidement en posant une main sur un de tes nibards, tandis qu’il passe sa main sur ton pubis.

-- Puis, il commence à te donner des coups sur tes lèvres intimes et ton pubis, des coups de plus en plus fort, et comme précédemment, il alterne les coups et les caresses. De l’autre main, il malaxe violemment tes pis.

**** Oui je commence à crier, à pleurer, mais sans pouvoir m'empêcher de gémir et d'écarter les cuisses pour avoir droit à la poursuite de cette stimulation sexuelle.

-- Tandis qu’une main pétrie durement tes nibards, l homme doigte ta chatte trempée de cyprine avec deux puis trois doigts.
**** Il trouve le bon rythme et le bon équilibre tandis que vous vous mettez à genoux derrière ma tête, m'appuyez dessus pour que je la laisse pendre en arrière et je me retrouve avec votre bite sous le nez, je vous lèche le gland en me faisant branler la chatte et les pis.
-- J’enfonce mon sexe le plus profondément que je peux dans ta gorge, et te maintient ainsi plusieurs secondes avant de te laisser reprendre ta respiration et de recommencer, tandis que l’homme tire sur tes tétons et les tords d’une main et te pilonne la chatte de 3 doigts avec son autre main

-- Au bout d’une dizaine de minutes, il s’arrête et se lève brusquement, te faisant tomber à terre.
Il te prends alors par les cheveux et te fais mettre à genoux devant lui et s’approchant de ton visage, il frotte celui-ci contre son pantalon, afin de te faire sentir son sexe au travers de son pantalon.

**** Je suis nue, je me mets à genoux, le type me pince le nez et j'ouvre la bouche en grand, il me gifle le visage avec sa grosse bite poisseuse : « allez lape grosse chienne » et j'essaie tant bien que mal de lécher son gland lorsqu'il passe près de ma bouche, il rigole en se moquant de moi sous vos yeux ... Vous me filmez avec votre téléphone. Le graveur doit être excité comme rarement car il n'arrête pas de me dire de regarder sa grosse bite, qu'elle n'a jamais été aussi grosse, et c'est vrai que je me demande comment je vais emboucher le morceau ! Une saucisse de cheval ! A un moment il frotte son gland contre mes lèvres mouillées, ça glisse bien et, me tenant par la nuque, il me l'enfile direct dans la gorge, j'ai un haut le coeur qui me mets au bord du vomissement ! il se retire à moitié toujours bien dans ma bouche puis il retourne me ramoner le gosier ! il me baise ainsi la gorge pendant au moins 10 minutes pendant qu'il me pince les mamelons entre son pouce et son index et m'insultant vraiment méchamment en disant : « Dis donc ta secrétaire c'est vraiment un aspirateur à bite, si tu me la laissais je louerait à un vingtaine de copain dans la journée, tous les commerçant du quartier, et on en ferait une éponge à foutre, son seul repas ce serait notre sperme bien gras à tous ! En attendant tiens prends ça putain, humm ! Hoo ! Bouge pas je vais t'arroser le gosier sac à foutre. Hoooo ! » Et pendant que je reprenais ma respiration après avoir avaler et dégluti la totalité de son foutre, il se frottait le gland sur mes cheveux en vous disant "si vous voulez bien revenir de temps en temps je vous filerai un bon billet à chaque fois monsieur "
-- Il te fais te lever et me demande : « Je peux caresser une nouvelle fois les nibards de votre salope une ou deux minutes avant qu’elle ne se rhabille »

-- « Oui bien sur » dis je

-- Le patron saisit tes pis de vache, les malaxes, les pétris, tire dessus, les soupèse, avant de me remercier pour le plaisir qu’il a pris et prenant ton manteau il te le tend « voila madame, et revenez quand vous voulez, c’est un plaisir de traiter avec vous »

-- Nous sortons de la boutique et regagnons l’auto

-- Une fois assis dans l’automobile je te demande : « Alors tu es fière de ton collier avec cette inscription ? » et j’ajoute moi je suis fier de toi, tu t’es comportée en véritable soumise »

**** « Ho ! Monsieur le directeur , je… Heu… j'ai à la fois si honte et je suis si heureuse ... même si cet inconnu m'a fait mal en pinçant fort mes mamelons, en malaxant mes gros seins comme de la pâte à tarte et me les étirant, j'ai pris du plaisir et je dois l'avouer j'ai jouie pendant que vous me ramoniez le gosier, je respirais à peine votre gland fiché dans ma gorge mais j'ai jouie en imaginant que ce serrurier me malmenait les pis distendus et me baisait la chatte. Vous savez j'aime mon mari mais je crois que je ne pourrai plus me passer de vous, ni des perversités que vous m'imposez. "

**** Pendant ce temps je caresse votre grosse queue qui bande à nouveau : « Vous voulez me prendre dans la voiture monsieur le directeur ? »

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