Soumise Par Ma Bonne

Patronne soumise par sa bonne
Cet après midi il pleuvait, j'avais relue un récit d’ autobondage qui m’avait beaucoup excitée et j'avais tout préparé pour effec une séance. J'ouvris une petite mallette où j'avais certains objets secrets, menottes, chainettes, cadenas, pinces à seins, godes, martinet, foulard , masques...
Je décidais de m’ installer sur un fauteuil, nue bien sur, les cuisses écartées, passées sur les accoudoir, cela par une fine chainette, mais suffisamment forte, reliant mes chevilles aux menottes de mes poignets étirés derrière ma tête.
La clé, grâce a une minuterie préréglée à 30 minutes, descendrait doucement d’ un lustre à portée d'une de mes mains et j'étais entrainée à pouvoir ouvrir les menottes.
Pour augmenter la jouissance, je m'étais placé un plug dans mon petit trou et j avais un gode enfoncé dans la chatte, un gros gode noir, et je me suis placée une pince à linge sur chaque tétons. Je pensais pouvoir tenir comme ca une demi heure. Il était impossible d’accéder à la clé avant le temps programmé.
Je prenais mon pieds d’être ainsi ligotée et pour ajouter du piment à cette situation, le fauteuil était placé face à la porte d entrée qui était fermée, mais pas verrouillée…
C'était excitant d'être comme cela, cuisses ouvertes, ma chatte velue offerte, les pinces à linges étaient délicieuses, ni trop ni pas assez, je mouillais abondamment.
Seulement voila, il y eu une panne d’électricité et la minuterie s arrêta détenant la clé des menottes dans le vide, loin de mes mains…
J'étais vraiment angoissée, l’ heure où allait arriver ma jeune boniche Valériane, qui faisait le ménage devait être proche et j'étais paniquée à l'idée qu'elle se rende compte de mes perversions secrètes.
En effet, la porte s’ouvrit et ma bonne fut stupéfaite de me voir comme ca, liée, nue avec mes gadgets.
He bien vous, vous cachez bien votre jeu, dit elle en refermant la porte .


Libère moi lui dis je rouge de honte. Au lieu de répondre, elle verrouilla la porte à doublé tour.
Elle saisie une chaise , s'assoie dessus à califourchon en face de moi et parait être ravie de la situation. Elle me toise du haut de ses 19 ans, amusée. Hé bien la patronne, qui l’eue crue… elle me toisait, réfléchissant. Hé comment allais tu te libérer ?
“Ne me tutoie pas”
Je vais me gêner, vicieuse, cette clé ca devait être pour te libérer, mais voila pas de chance, panne d'électricité, la lumière revint, mais elle décrocha la clé et la posa loin de moi… Elle se leva et tourna autour de moi pour bien apprécier la situation.
Ca m'excite de te voir comme cela, attachée, à ma merci…
Elle me caressait la joue, les lèvres, le galbe d'un seins.
- Ne me touche pas salope, libère moi.
- La salope c'est toi, et elle me colla deux gifles. Tu vas apprendre à m’ obéir, à partir d’aujourd'hui c'est moi la Patronne, la Maitresse. Je vais t’'apprendre la politesse et le respect, pétasse.
Ma petite culotte était sur la mallette des gadgets, elle s'en empare , relève sa jupe, baisse sa culotte et passe et repasse la culotte dans sa chatte, s'essuyant.
- Tu vois je me suis faite baisée à midi et il en reste encore du sperme, puis elle me la met en totalité dans la bouche… comme ca je ne t’ entendrai plus salope. Régale toi et savoure ce jus.
Elle enleva les pinces à seins, elles ne pinces pas assez forts… elle sortie deux petites pinces crocodile de la cuisine qui servent normalement à tenir les torchons et sans pitié me les appliqua sur les t"tons, la morsure me tenait sans souffle…
Je pleurais et m’étouffais, elle continuait à me peloter, t'as une sacre chatte poilue, ca fait vulgaire, tu ressembles à une pute avec ce gros gode fiché dans ta conasse, Si tu es décidée à me traiter poliment, avec respect, fait oui de la tête.
Je le fit, vaincue, elle quitta la petite culotte de ma bouche :
- Libère moi vite ou il va t'en couter m'écriais-je.

- Salope, c'est moi qui donne les ordres je te le rappelle et tu vas aimer ca, elle me fila deux baffes.
- Tu dois me dire VOUS, maintenant la patronne c'est moi salope, tu as compris, sur ce, elle se déchaussa un pied et dit :
- Lèche salope. Comme je ne le faisais pas, elle s'amusa à tourner les pinces.
Je poussais un cri de bête blessée.
- Si, je vais vous les lécher, elle remis son pied et j'entrepris de lécher, elle prenait des photos avec son téléphone .
Je dois faire le ménage de l'appartement du dessus, je te laisse comme ca vicieuse.
- S'il vous plait, retirez moi les pinces, ca fait trop mal…et détachez moi…
- Non salope, pas question de te détacher puisqu'on a quelques comptes à régler… et puis j'ai décidé de te dresser…
Elle me laissa seule, les pinces rentraient fortement dans ma chair .
Je ne sais combien de temps passa et la revoilà.
- Alors salope ca va ?
- Je vous en prie, je n'en peux plus.
-“hé bien voila, te voila polie”
Pas de chichi, je dois te punir pour tout ce que tu m'as fait supporter comme patronne. Elle retira les pinces à seins, puis entrepris de tendre plus les chainettes qui liaient mes mains par derrière la tête à mes chevilles, j'étais vraiment étirée, les cuisses bien écartées et les seins bien en valeur avec mes mains étirées derrière la tête.
Elles pris une grosses bougie, l'alluma et s'approcha de moi, je vais te faire crier, c'est pour cela que je mets de la musique… cette grosse bougie était dans un verre, ce qui permettait de la laisser fondre, elle en fit couler d'abord sur mes seins, goutte à goutte d'abord, la brulure était forte sur mes chairs sensibles, je criais et suppliais, elle en faisait couler encore plus, mes seins étaient couverts de cire rouge et ca coulait sur mon ventre jusqu' au sexe dont elle ouvrit les lèvres… lorsque des gouttes atteignirent mon clitoris, j'hurlais comme une folle. Elle arrêta contente d elle.
Elle se muni d'un martinet :
- je vais te fouetter tes gros nichons de vache à traire et tu vas compter les coups en disant à chaque fois MERCI.

Le premier coups me cingla les seins en travers, quelle douleur, je dis 1 et MERCI, j'en reçu 10 sur les seins qui étaient tout zébrés de traces rouges.
Puis elle passa au ventre et à mon sexe. Je criais mais elle était sans pitié.
- Tu vas être gentille avec moi maintenant ? Patronne ?
- OUI, je vous le promets, je ne donnerai plus d'ordre, c'est vous qui commanderez.
- Bien, tu vas me relècher les pieds, mieux que la fois d'avant, comme une petite chèvre… lèche pas seulement les orteils, mais aussi la plante des pieds, salive bien…
Puis elle téléphona à son ami : vient, j' ai une surprise pour toi.
Quelques minutes plus tard, entrait son ami, un grand gars, costaud, barbu avec blouson de moto, il fut aussi ravi de me trouver comme cela et de me voir lécher les pieds de sa copine.
On va changer cette salope de position, ils me détachèrent et me mirent à 4 pattes avec les mains menottées à nouveau au pied d'une table.
Tu comprends maintenant, truie, on va pouvoir profiter de ton gros cul de salope et de ta chatte.
Mais d'abords, tu vas sucer mon ami, tu aimes ca sucer des bites, répète :
- Oui, j'aime sucer des bites !
Des grosses queues, répète salope :
- Oui j'aime sucer des grosses queues.
Allez Remy, fait toi sucer , largue lui tout dans la bouche et assure toi quelle ne recrache rien, gave la de foutre…
Alors que Remy me mis sa bite dans la bouche, Valériane prenait des photos. La queue de Remy m’étouffait mais je la trouvais grosse et bonne.
Elle me caressait les fesses gentiment en m'encourageant : allez grosses pute, suce, suce le bien, pompe...
Montre nous ton art, tu sais maintenant tu vas être notre esclave, notre pute personnelle, imagine si ton mari, ta famille, tes relations de travail recevaient des photos où l'on te voit à l'œuvre comme la dernière des putes…
- Cette nuit, nous avons tout le temps de nous occuper de tout tes trous et comme tu aimes ca, nous allons inviter des amis pour faire une soirée dont tu seras la vedette, demain matin tu ne seras plus qu'une chose, une serpillère, tu auras perdue toute ta fierté, tu seras ma chienne et tu mangeras par terre et je te pisserai dessus.


En écoutant ce discours, je suçais, ou plutôt Remy me violait la bouche et il déchargea longuement , il se retira en me fermant la bouche de ses gros doigts, avale PUTE, les PUTES ca avale.
Ma déchéance avait commence, j’ avalais tout...

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