Mon Premier Stage À L'Hopital - Un Après-Midi À La Plage (2)

Pendant ce temps deux femmes de taille moyenne (1m70) s'installèrent près de nous.

Elles se déshabillèrent et portaient chacune un soutien-gorge et un string, elles s'enduirent mutuellement de crème solaire.
La première la quarantaine était blonde décolorée avec de fines lunettes rondes, la seconde plus jeune et brune .

Je discutais avec Céline et en tournant la tête je n'entendais plus les mots qu'elle prononçait . En effet, j'étais accaparé par le spectacle de nos voisines de plage qui venaient d' ôter leurs soutiens gorge libérant deux paires de seins blancs lourds.
j'étais fascine par ces deux femmes exposant leurs opulentes poitrines au soleil. Céline remarquant mon trouble me donna un coup de coude et me dit "Ça te dirait de voir les miens ou tu préfères attendre mercredi ?" Je ne répondis pas ce qui l'offusqua terriblement .

Marie-Josée revenait de son bain de mer et a ma grande surprise elle se dirigea vers les deux superbes inconnues se mît a discuter avec elles tout en me désignant du doigt.

Je fus terriblement excité lorsque je vis que Marie-Josée leur proposa de se joindre a nous. Elles prirent leurs affaires et arrivèrent topless face a nous. Inutile de vous dire que cette situation eu pour effet de réveiller immédiatement des ardeurs dans mon caleçon , ardeurs que je tentais de masquer avec peine sous un magazine.

J'étais subjugue par la beauté de ses poitrines aux larges aréoles rosées et aux tétons durs a portée de mes mains. Marie-Josée fit les présentations et j'appris que ces deux femmes étaient des femmes de ménage de la clinique qui prenaient leur pause a la plage avant de reprendre en fin de journée.
La blonde s'appelait Nelly et la brune était Eva. Elles étaient âgées respectivement de 42 ans et de 27 ans comme me le dit plus tard Marie-Josée.

J'avais tout loisir d'admirer le balancement a chaque mouvement des seins de Nelly (un tour de poitrine d'environ 100C) qui s'installa face a moi.

Eva s'installa près d' elle, sa poitrine était bien ferme et était proche d' un bon 105D, elle était fine (55 kgs tout au plus) malgré cette imposante poitrine .
Nelly indiqua avec ironie que la poitrine de Eva était un héritage familial puisque Nelly n'était autre que la tante d' Eva. La mère et la grand-mère d' Eva étant elles-mêmes bien pourvues d' atouts mammaires indéniables et connus dans la ville.

J'observais Nelly et Eva retirant les grains de sable sur leur peau puis massant leurs seins volumineux au passage, j'avais du mal a me contenir, mon sexe était dur comme une barre d'acier, ce que ne manqua pas de remarquer Céline .
Elle fit remarquer a voix haute "Dis moi donc Florian , elles te font de l'effet les collègues, tu aimes les gros lolos, avec elles tu es servi. Regardez les filles, il bande comme un âne, prêt a dégainer son fusil a trois coups"

J'étais mal a l'aise quant Céline jeta le magazine et découvris mon caleçon gonfle par la bosse énorme de mon sexe en érection.
Nelly et Eva se mirent a émettre des hypothèses sur la taille de mon sexe. Marie-Josée leur apporta une réponse rapide en glissant sa main dans mon caleçon .

"Notre Florian est plutôt bien monté, je dirais 20 centimètres et il bande dur pas de faiblesse" indiqua Marie-Josée tout en m'astiquant la verge avec vigueur d' une main experte.
"Vas-y Céline prends le relais" demanda Marie-Josée "De toute façon essaye la marchandise parce que je pense qu'un jour ou l'autre tu passeras a la casserole avec Florian. Commence par gouter a la sauce ma douce Céline" dit elle en ricanant.

Céline glissa donc sa main le long de ma hampe en érection et me décalotta proprement le gland. Elle alternait les accélérations et les phases plus lentes de ses doigts experts d' infirmière tout en me caressant les testicules. Nelly et Eva se rapprochèrent de moi et m'offrirent leurs miches en guise d' encouragement tandis que Marie-Josée lâchait des mots crus aux uns et aux autres pour nous motiver.
Dans l'excitation, je commençais a m'emparer des grosses doudounes de Nelly et d' Eva . Je les massais de plus en plus fort tout en tirant sur leurs tétons durcis de plaisir . Elles fermaient les yeux de bonheur.

Marie-Josée avait sorti un sein de son soutien-gorge et le massait lentement en appuyant sur son aréole large et brune.

Nelly et Eva paraissaient très chaudes, elles descendaient leurs mains dans leurs entrecuisses a la recherche d' un supplément de plaisir.

C'est a ce moment que Céline lança l'assaut final et pris d' un spasme incontrôlé je déchargeais a gros bouillons entre les mains de Céline qui sorti sa main maculée de mon jus qu'elle s'empressa d' étaler sur les poitrines des autres participantes.

Les filles étaient au paradis avec moi leur nouveau jouet. Marie-Josée en grande prêtresse voulu vérifier si l'effet que Nelly et Eva m'avait procure était réciproque. Elle glissa donc sa main dans le string de l'une et l'autre et confirma "C'est l'inondation il va falloir convoquer le plombier. J'ai ma petite idée ".

J'étais plus que réjouis de cet après-midi torride et de mon pouvoir de séduction sur ces dames de tous âges .
Marie-Josée qu'elle devait rentrer chez elle pour retrouver son mari et Céline devait se rendre a son cours de gym.

Mais je comptais bien profiter de mon avantage obtenu avec Nelly et Eva pour finir la journée en apothéose avec mes deux nouvelles conquêtes .Je leur proposais donc de les accompagner jusqu'à la clinique pour se distraire un peu après leur dernier tour de ménage .

Elles étaient si disponibles que nous sommes partis tous les trois comme des amoureux vers la clinique non sans avoir embrassé mes collègues Céline et Marie-Josée de manière bien différente pour leur contribution a cet après-midi bien coquin et pour les découvertes a venir grâce a leurs esprits très curieux d'expériences sexuelles inédites.

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