Un Sejour Dans Les Caraïbes Partie 2 Fin

« Reviens quand tu veux » lui dit le patron du bar en partant.
Les deux blacks m’avaient empoigné sous les bras pour me trainer jusqu’à l’hôtel tandis que ma femme les précédait en se trémoussant.
Une fois dans la chambre elle leur a demandé de m’allonger sur le canapé pour éviter que je lui ronfle dans les oreilles cette nuit.
« Bon, bein je crois que c’est à mon tour d’honorer ma partie du contrat » dit elle en prenant un air sans enthousiasme alors qu’au contraire l’idée de sucer ces deux bites de blacks en même temps l’avait tout émoustillée.
Elle s’est assise sur le bord du lit en leur faisant signe de s’approcher.
Une fois devant elle ils ont baissés leur short et caleçon de façon à se retrouver la bite à l’air prête à l’emploi.
Deux beaux calibres bien noir et en semi-érection qu’elle s’est empressée de prendre dans chacune de ses mains pour les faire grandir un peu plus.
Elle les a approchés jusqu’à sa bouche pour commencer à les titiller du bout de la langue à tour de rôle.
Très vite ils sont passés du stade de semi-érection à érection complète.
Deux grosses bites bien longues dont elle ne faisait pas le tour avec ses doigts et qu’elle enfournait dans sa bouche l’une après l’autre.
Décidément se dit-elle, ils sont tous bien montés ici.
Ce qui n’était pas pour lui déplaire.
Elle s’est donc appliquée à bien les sucer tous les deux en jouant bien avec sa langue et tout en les branlant.
Après une bonne dizaine de minutes de ce traitement, l’un des deux a dit qu’il ne voulait pas se contenter que d’une pipe.
« On va te montrer ma p’tite que chez nous on sait s’occuper d’une femme et on va te faire tutoyer les étoiles » « On a une réputation à tenir et tu verras que le patron c’est un p’tit joueur par rapport à nous »
« Déjà niveau calibre y’a pas photo » lui répondit-elle. « Mais je suis impatiente de découvrir ça »
Tout en parlant il l’avait allongée sur le lit en lui ôtant tous ses vêtement sauf les basket.


Il lui a écarté les jambes et est venu s’allonger entre ses cuisses.
« Je vais déjà te manger ton minou » lui dit-il.
Le deuxième s’est installé à côté d’elle pour qu’elle lui suce la bite.
Quand il disait « manger » ce n’était pas qu’une image, il la dévorait carrément, sa langue était grosse et épaisse et elle la sentait partout en même temps, sur ses lèvres, son clito, à l’intérieur, c’était pour Nathalie un festival de sensations.
Des picotements de plaisir parcouraient tout son intérieur.
Cette langue épaisse mais très agile l’a fait exploser en quelques minutes seulement.
Jamais une langue aussi grosse ne l’avait fouillée aussi bien et ne lui avait déclenché un orgasme aussi rapidement.
Ça commence bien se dit-elle, je crois que je vais prendre cher avec eux deux.
Il continuait à jouer avec sa langue en plaquant bien sa bouche contre sa vulve.
La sentant de nouveau au bord de la jouissance il s’est arrêté pour lui demander si elle avait des préservatifs.
Nathalie s’est levée pour aller en chercher dans la salle de bain, elle est revenue avec un chapelet d’une douzaine de capote.
« Voilà, il doit y en avoir assez avec tout ça » dit-elle en riant.
Celui qu’elle suçait s’était allongé sur le dos et avait enfilé une capote sur son sexe, Nathalie acceptant l’invitation s’est accroupie dessus pour s’empaler tout doucement.
Vu la taille de leur sexe il valait mieux qu’elle s’y habitue en douceur.
Petit à petit elle est descendue jusqu’à le prendre entièrement.
Elle avait la sensation d’être complétement remplie par ce pieu.
Sans même bouger, elle se sentait déjà au bord de l’orgasme.
Elle a attendue quelques secondes avant de commencer à faire des va et viens sur son mandrin.
Deux ou trois petits coups de rein et la voilà de nouveau à crier sa jouissance.
« C’est pas normal » leur dit-elle « Je joui trop vite »
« Si si c’est normal ma belle, je t’avais dit tu vas te rapprocher des étoiles » « Et ce n’est pas fini tu vas voir »
Reprenant un peu ses esprits, elle a recommencé à monter et descendre sur cette bite pendant que la deuxième se présentait devant sa bouche.

Petit à petit elle apprenait à mieux gérer ses sens, même si un autre orgasme l’a foudroyé assez rapidement.
Elle a progressivement réussi à contrôler ses jouissances au bout du quatrième ou cinquième.
Peu après, ils ont inversé les rôles, celui qui était allongé à la baiser est remonté un peu, ma femme s’est mise à quatre pattes pour le sucer et l’autre est venue la prendre en levrette.
La bouche bien remplie par l’un, elle se faisait pilonner par l’autre.
Elle ne comptait plus les orgasmes qu’ils lui avaient procuré tous les deux.
A quatre pattes, les fesses bien en arrière, elle subissait leurs assauts respectifs.
A chacune de ses jouissances, ils échangeaient leur place ne lui laissant pas le temps de reprendre ses esprits.
Après une bonne heure, peut-être plus, exténuée par ces orgasmes à répétition elle leur dit :
« J’ai envie de vous sentir jouir »
« Ok ma belle, on va se laisser aller »
Celui qui la prenait par derrière a accéléré le mouvement et s’est plaqué contre ses fesses en la tenant fermement par les hanches quand il a explosé en elle.
Malgré la capote elle sentait bien les flots de sperme jaillir de façon saccadé.
Elle branlait plus énergiquement celui qu’elle suçait pour le faire jouir à son tour et il lui a rapidement englué le visage et les seins.
Après s’être essuyés un peu ils sont sortis tous les trois à poil sur la terrasse pour prendre un rafraichissement qu’elle a pris dans le frigo.
Au bout de cinq minutes elle a pris leur sexe dans ses mains et s’est agenouillée pour les sucer à nouveau.
« Eh bien dit donc ma belle tu en veux toi »
« Je n’ai pas encore visité toutes les étoiles » répondit-elle en souriant.
Ils sont alors retournés sur le lit pour prolonger leurs ébats.
Ils l’ont baisé, défoncé, taraudé, pilonné dans toutes les positions possible pendant encore quelques heures, ils ont éjaculé partout sur son corps plusieurs fois jusqu’au petit matin.

Vers six heures ils sont repartis, vidé et fatigué.
« Merci pour les étoiles » leur dit-elle.
« De rien ma belle, tu as été vraiment phénoménale, c’est nous qui te remercions »
Sur ce, elle a refermé la porte et s’est affalée sur le lit.

C’est le soleil qui passait à travers le rideau de la baie vitrée de la terrasse qui m’a réveillé.
La bouche pâteuse, le cerveau encore un peu embrumé par l’alcool, je me suis levé du canapé.
Pourquoi j’étais sur le canapé ?
Je ne me souviens plus comment on est rentré à l’hôtel.
Je me posais plein de question avant de commencer à me rappeler et comprendre un peu la situation.
Nathalie était là, complétement nue, allongée sur le ventre en plein milieu du lit, les jambes et les bras écartées.
Mais pourquoi elle a gardé ses basket ?
Puis en regardant autour, j’ai vu son bustier d’un côté du lit, son short et son string de l’autre et partout tout autour un grand nombre de capotes usagées et leurs d’emballages qui jonchaient le sol.
Elle est certainement rentrée avec un autre homme et quand je vois le nombre de préservatifs, ils devaient être même plusieurs.
Quel c.., moi je dormais pendant ce temps-là, j’ai tout loupé.
C’était qui ? Le patron du bar ? Les deux blacks ? les trois peut-être.
Je me posais milles questions, je voulais savoir.
Bon, allez, ça ne sert à rien de me triturer l’esprit, elle va me raconter ça à son réveil de toute façon.
Je posais mes yeux à nouveau sur elle.
Putain c’est vrai qu’elle est belle, même quand elle dort.
M…., je bande.
Je me suis déshabillé, allongé près d’elle et j’ai commencé à lui caresser et embrasser les fesses.
Elle a émis un grognement, de désapprobation je pense, puis s’est retournée sur le dos.
Elle dormait toujours et était maintenant côté pile, ce n’était pas fait pour calmer mon érection ça.
J’ai aperçu des trace blanche séchées un peu partout sur son corps et même dans ses cheveux.

J’ai alors avancé ma main vers son sexe qui était trempé et glissé mes doigts à l’intérieur.
Whaaaaaaaaa… c’est vachement dilaté.
Elle a dû prendre cher cette nuit.
J’avais envie d’elle.
Mon sexe était tout gonflé.
J’ai approché ma bouche de sa vulve pour commencer à la lécher.
Nouveau grognement, mais moindre celui-là.
J’ai donc continué à explorer son sexe avec ma langue, il était trempé mais avait un petit gout de latex.
Je n’en attendais pas moins d’elle.
Ma langue a continué de la fouiller et les grognements se sont transformés en petits gémissements.
J’ai accentué mon broutage de minou jusqu’à la faire jouir dans une longue plainte émanant de sa gorge.
C’est bon je l’ai réveillé, je me relève pour aller lui présenter mon sexe et qu’elle me suce et…
M…., elle s’est rendormit aussitôt.
A genou à côté d’elle, le sexe en érection, j’avais trop envie de jouir.
Je me suis branlé en la regardant.
Excité par ce que j’imaginais, j’ai très vite éjaculé sur ses seins, mêlant mon sperme à celui séché de son ou ses amants de la nuit.
Je me suis allongé de nouveau entre ses cuisses, le visage collé à son sexe, j’étais bien là.

On a dû se réveiller à peu près en même temps, j’avais toujours mon visage sur son sexe et son odeur qui enivrait mes narines.
« Ça va mieux ? »
« Oui j’ai un peu mal au crane mais ça va » « Je crois que j’en ai pris une sévère hier soir »
« Oui, car avec tout ce que j’ai pris cette nuit, ça ne t’a même pas réveillé, tout a tout loupé mon amour »
« Pffffff oui je suis dégouté »
« T’inquiète je vais tout te raconter, mais d’abord je prends une douche et on mange quelque chose car je suis morte de faim »

Cette après-midi-là nous sommes restés dans l’hôtel pour nous reposer.
Allongée sur le lit entre mes cuisses à me sucer, elle m’a raconté sa folle nuit avec le patron du bar et les deux blacks.
J’ai éjaculé trois fois dans sa bouche pendant qu’elle me narrait ses exploits.

« Tu sais, avant de baiser avec le patron de bar, on a discuté un peu. Je crois qu’il ne serait pas contre un trio avec toi et moi et je pense qu’il a quelques fantasmes en commun avec nous. Et après m’avoir baisé, bien que je lui aie confirmé que tu es partageur, il m’a dit qu’il avait un peu peur de ta réaction quant au fait qu’il m’ais sauter toute seule. Ça te dirait un trio avec lui ? »
« Moi si ça te va, alors ça me va »
« On va se baigner dans la piscine et après on va boire un verre dans son bar, je crois savoir comment le décider, mais tu ne dis rien et tu me laisse faire » me dit-elle.
« Ok »

Vers seize heure nous sommes donc allés prendre un verre dans le bar.
Quand nous sommes arrivés il était seul et est venu nous accueillir.
Il était moins à l’aise que la veille mais tenté quand même de le cacher.
Nous nous sommes installés au bar pour prendre une bière et il est passé de l’autre côté pour nous servir.
Nous avons discuté un peu de tout et de rien, puis Nathalie lui a dit :
« Tu es toujours ok pour ce dont on a parlé hier soir ? »
« Heuuuu… Oui… enfin… heuuu… je ne sais pas trop… »
« Je vais te montrer quelque chose » lui répondit-elle.
Elle est passé derrière le bar, s’est accroupie devant lui, a détachée son pantalon et a engloutie son sexe avec sa bouche.
Un peu gêné, mal à l’aise, il a osé un regard vers moi et voyant que je lui souriais il s’est senti rassuré et s’est laissé faire.
Sa bite à très vite pris de l’ampleur jusqu’à être complétement en érection.
Il jetait de temps en temps un œil vers moi pour voir si j’approuvais toujours.
Ma femme s’appliquait à le sucer du mieux qu’elle pouvait et il avait l’air d’apprécier sa fellation.
Je la voyais jouer avec sa langue sur sa bite, lui aspirer les couilles et lui titiller le gland du bout de la langue.
Il n’y avait personne d’autre que nous dans la salle et si quelqu’un rentrait pour s’assoir à une table il ne pouvait voir ce qui se passait derrière le bar.
J’admirais le spectacle de ma femme qui parfois me regardait avec son air très salope alors qu’elle savourait cette bite.
C’était la première fois que je la voyais sucer un homme âgé d’une vingtaine d’année de plus qu’elle et ça m’excitais.
Elle n’en était pas à son premier « vieux » mais à chaque fois elle était seule.
Après une bonne dizaine de minute de ce traitement je l’ai senti se raidir en jetant un dernier regard vers moi, puis il a attrapé la tête de ma femme pour la bloquer sur son sexe et s’est déversé dans sa bouche avec un grognement de plaisir.
Elle s’est relevée en lui montrant qu’elle avait toujours du sperme sur sa langue, le bar n’étant pas très large elle s’est avancée vers moi, m’a attrapée la tête et m’a roulée une grosse pelle pleine de sperme.
J’ai cru que j’allais jouir dans mon short quand j’ai senti sa langue se mélanger avec la mienne pour me faire gouter à son sperme.
Après un long baiser, elle s’est de nouveau accroupie face à lui pour lui nettoyer son sexe puis s’est relevée pour l’emballer à son tour.
« Alors ? » dit-elle.
« Je crois qu’on va s’éclater tous les trois. Ça vous dit demain soir ? Je ferme plus tôt. »
Le rendez-vous était pris.
Le soir après le restaurant nous sommes rentré tranquillement à l’hôtel pour être en forme pour la folle nuit du lendemain qui nous attendait.

Au réveil le lendemain, alerte partout sur l’ile, la petite tempête tropicale qui devait passer s’est transformée en ouragan, elle devait arriver en fin d’après-midi chez nous.
Il fallait trouver de l’essence des vivres et se barricader au plus tard à dix-sept heures.
Mince notre trio tombait à l’eau.
Tant pis, notre sécurité avant tout, nous avons trouvé de l’essence difficilement, des chips et des cacahuètes en guise de vivre et c’est tout.
Les magasins étaient dévalisés.
Bon, au pire on avait plusieurs bouteilles de rhum arrangé acheté au marché deux jours avant, dans le coffre de la voiture.
Seize heures trente nous étions enfermé dans notre chambre à attendre que l’ouragan arrive.
Le vent soufflait très fort et la mer était déchainée.
Une bouteille de rhum plus tard, malgré que la tempête fît rage et avec tout ce brouhaha nous avons réussi à nous endormir un peu.
Réveillé plusieurs fois dans la nuit par des grands bruits, nous nous sommes levés de bonne heure, il était six heures du matin, il pleuvait encore mais le vent avait cessé.
Nous sommes sortis de la chambre et là une vision d’apocalypse s’ouvrait à nous.
Des toits arrachés, des arbres cassés ou déracinés, la piscine toute verte.
Un désastre.
Heureusement aucune victime d’après la radio.

La direction de l’hôtel malgré nos demande de les aider nous a dit de laisser faire les pompiers et les gens de l’entretien car il y avait trop de risque.

Nous avons pris une douche puis nous sommes habillés.
Nathalie avait enfilé une petite jupe et un tee-shirt blanc sans rien d’autre.
La pluie avait cessé, le soleil brillait à nouveau donc nous sommes partis à pied explorer un peu les alentours de l’hôtel.
Nous n’avons pas pu aller très loin et au bout d’une demi-heure nous avons fait demi-tour car les routes étaient coupées.
Sur le chemin du retour une grosse averse de dix minutes nous a trempés des pieds à la tête.
Quand nous sommes rentrés dans le hall d’accueil de l’hôtel il y avait une dizaine de personnes qui étaient là.
J’ai vu leur regards se diriger vers nous et nous regarder comme si nous étions des bêtes curieuse.
Nous avons continué à traverser le hall main dans la main, c’est en sortant quand j’ai ouvert la porte et que j’ai vu dans le reflet que j’ai compris.
J’ai aussitôt éclaté de rire.
J’ai dit à Nathalie toujours en riant :
« Regarde ton tee-shirt blanc, avec la pluie il est devenu transparent, les gens ont cru que tu avais les seins à l’air »
« Je comprends maintenant pourquoi tout le monde me dévisageait, enfin ce n’était pas mon visage qu’ils regardaient » s’exclama-t-elle en riant.
Beaucoup de gens avaient quittés l’hôtel hier, il ne devait rester que quelques chambres d’occupées.
Ne pouvant pas trop sortir, Nathalie a passé une partie de l’après-midi à dormir.
Le soir notre repas était constitué de chips et de rhum.
N’ayant pas trop l’habitude d’en boire si souvent j’avais un peu la migraine.
J’ai pris un cachet et me suis allongé.
Nathalie avait juste un string de bain et un haut de maillot cachant juste les auréoles de ses seins.
Dès que mon mal de tête se dissipe je lui saute dessus.
Je me suis un peu assoupi et j’ai vaguement entendu frapper à la porte, j’ai entendu quelques mots confus puis plus rien.

Toc toc toc.
Nathalie ouvre la porte et en face d’elle un jeune antillais d’une bonne vingtaine d’année.
« Bonsoir madame, excusez-moi de vous déranger, je suis le voisin du dessous, je suis avec deux autres copains et on a plus de rhum, vous n’auriez pas une bouteille pour nous dépanner s’il vous plait ? »
« Bonsoir, je crois que si, il doit m’en rester une dans la voiture »
« Oh ce serait cool de nous dépanner, promis je vous en ramène une demain »
« Attendez, je prends les clé pour aller la chercher »
En rentrant dans la chambre pour prendre les clés, elle s’est aperçue que sa tenue n’était pas très adéquate pour sortir.
Elle att un paréo au passage et le mets autour de ses épaules.
Mince il ne descend pas assez bas pour cacher le string.
Dilemme, je cache le haut ou le bas, allez va pour le bas. Après tout on est en vacances, quand je vais à la piscine je sors comme ça se dit-elle.
La voilà donc partie avec ce jeune black qui semblait fort intéressé par les formes de ma femme.
Quand elle s’est penchée pour attr la bouteille dans le coffre de la voiture, le paréo est remonté un peu laissant une partie des fesses de Nathalie à la vue du jeune homme.
Évidemment elle a eu un peu de mal à attr la bouteille, permettant ainsi de lui offrir la vue de ses fesses un peu plus longtemps.
Revenu vers les chambres, il lui propose :
« Vous voulez vous joindre à nous pour boire un verre ? » « Il n’y a plus que nous dans ce bâtiment »
« C’est gentil mais mon mari s’est assoupi car l’excès de rhum lui a donné des migraines »
« Ce n’est pas grave venez sans lui, vous n’allez quand même pas passer votre soirée à le regarder dormir »
« Bon ok, je vais me changer et j’arrive »
« Non s’il vous plait restait comme vous êtes, vous êtes trop belle comme ça »
« C’est un peu osé comme tenue pour rester seule avec trois garçon quand même »
« Regardez autour, notre ile elle est détruite, laissez-nous avoir une belle vision ce soir » « Pi mes potes y vous kiff trop, ils vont trouver trop cool de vous voire comme ça »
Bon pour l’argument, c’est un peu léger se dit-elle, mais après tout il est mignon et j’ai encore envie de m’éclater avant de rentrer en métropole.
« Ok, je passe juste dans ma chambre et j’arrive »

« Ça va mieux mon amour ? »
« J’ai toujours un peu la migraine mais ça se calme »
« Il y a trois jeune en dessous, ils m’ont proposé de boire un verre avec eux, ça te dérange ou tu veux venir ? »
« Non vas-y, décidément le rhum ne me convient pas » « Heuuu, tu y va comme ça ? »
« Oui, je crois que j’ai envie de m’amuser encore un peu, tu es d’accord ? » « En plus ils sont juste en dessous tu pourras peut-être entendre »
« T’es vraiment une sacré salope, tu ne penses qu’à ça depuis qu’on est là »
« Je sais, mais je sais aussi que tu adore ça, je suis sûr que tu bande déjà »
En avançant sa main vers mon bas ventre elle s’écrie :
« Tu vois, j’avais raison »
Un gros smack et elle sort de la chambre.

Toc toc toc.
« C’est ouvert entrez »
« Bonsoir »
« Bonsoir madame »
« Je vous présente notre voisine »
Obnubilé par sa tenue les deux autres restaient bouche bée.
Les trois jeunes blacks avaient entre vingt-deux et vingt-trois ans, assez grand, bien bâti, assez mignon dans l’ensemble.
Après avoir bu le premier verre, les esprits s’étaient un peu libérés.
« Alors comme ça votre mari ne supporte pas trop le rhum ? »
« En fait il a un peu trop abusé il y a deux jours et maintenant dès qu’il en boit un peu ça lui donne des migraines »
Là-dessus un des trois rétorque en riant :
« En tout cas quand il a bu il a l’air d’assurer le monsieur, on n’a presque pas dormi de la nuit nous ce soir-là »
« Non mais c’était pas lui. » Heuuuu oups j’ai dit une connerie se dit-elle.
Puis après quelques secondes de silence :
« Ça commence à devenir intéressant » dit le moins timide des trois.
« On a envie d’en savoir plus, vous en avez trop dit ou pas assez, mais à mon avis c’est pas assez » continua-t-il avec un large sourire.
Un peu gênée au début, elle se dit en définitif qu’elle s’en foutait et qu’elle ne les reverrait sans doute jamais donc autant les faire fantasmer un peu.
De plus en acceptant l’invitation elle savait qu’elle venait dans leur chambre avec une arrière-pensée, celle de se faire ces trois petits jeunes.
Elle leur a alors raconté sans trop rentrer dans les détails son retour dans la chambre avec les deux blacks.
Tout émoustillés les trois jeunes lui ont confiés :
« On vous entendez tellement prendre votre pied qu’on a dû se branler une partie de la nuit. On se doutais bien qu’il n’y avait pas que votre mari pour vous entendre crier si souvent et autant de fois. »
Elle était assise sur le lit et les trois jeunes sur le canapé, elle s’est vite aperçue que leur short avait pris du volume.
L’un d’eux s’est alors lancé :
« Et là maintenant, trois beaux jeunes hommes rien que pour vous, ça vous tente ? »
« Faut voir. Vous avez quoi à me proposer ? »
Ils se sont immédiatement levés devant elle, exhibant leur short largement déformé par leur érection.
« Et sans le short ça donne quoi ? » dit-elle.
Trois belles queues bien raide se trouvaient maintenant devant ses yeux.
Une bien grosse et longue et deux autres un peu moins longue mais tout aussi honorable.
« Approchez » -leur dit-elle « Je ne vais pas vous manger. Ou plutôt si, je vais vous dévorer vos bites ».
Joignant le geste à la parole elle en a pris deux dans les mains et une dans la bouche puis a alterné pour que chacun puisse gouter à sa bouche.
« Vous sucer trop bien dit l’un des trois »
« Heuuu je viens de prendre ta bite dans ma bouche, vous allez certainement me baiser, alors s’il te plait ne me dit pas « vous » ».
« C’est vrai tu suce vraiment trop bien » dit l’un des deux autres.
« Attend, on va s’occuper un peu de toi »
Ils l’ont allongé sur le lit et lui ont enlevé le peu de vêtement qu’elle avait.
L’un est venu entre ses cuisses pour la lécher et les deux autres se sont occupés de ses seins et de sa bouche.
Ils l’ont embrassé, caressé et léché de partout pendant un long moment.
La langue qui la fouillait commençait à lui procurer des picotements annonciateur de jouissance.
Un premier orgasme l’a submergée peu de temps après.
Un des trois est parti chercher des capotes dans son sac et en a tout de suite enfilé une sur son sexe.
« J’ai envie de te baiser » lui dit-il.
Elle s’est mise à quatre pattes pour qu’il puisse venir la pénétrer.
Les deux autres sont arrivés devant sa bouche pour qu’elle les suce.
Fougueux, celui qui la prenait en levrette la pilonner à grands coups de boutoir permettant à ma femme d’avoir rapidement un deuxième orgasme.
Les deux autres ne s’étant apparemment jamais fait sucer aussi bien lui ont explosé leur jus sur le visage et dans les cheveux.
Celui de derrière n’a pas tardé non plus à envoyer toute sa crème dans le préservatif après un ultime et violent coup de rein.
Les trois n’avaient pas débandé.
L’un d’eux s’est allongé à son tour, a mis une capote et a demandé à ma femme de venir le chevauché.
Après s’être essuyé le visage, elle s’est empalée sur lui et a commencé à aller et venir sur son sexe.
La laissant faire au début, il a progressivement lui aussi avancé son bassin pour aller à sa rencontre et la pénétrer encore plus loin à chaque mouvement.
Une fois à l’unisson leurs mouvements se sont accélérés, il lui pétrissait les seins pendant qu’il la baisait.
Elle poussait des petits cris de plaisir à chaque coup de rein et sentait sa jouissance monter doucement.
Elle a eu une nouvelle orgasme en même temps que celui qui la défonçait.
Les deux autres devant sa bouche se régalait de la fellation qu’elle leur prodiguait.
La voyant jouir à nouveau, ils n’ont pas tardé à la suivre.
Le premier était encore dans sa bouche lorsqu’il a lâché sa sauce et le deuxième lui a arrosé le visage.
Elle a avalé ce qu’elle avait dans la bouche puis les a repris à nouveau entre ses lèvres pour les nettoyer.
Une petite pause rhum s’imposait pour reprendre des forces.

Mon mal de tête s’était passé, j’avais entendu ma femme avoir plusieurs orgasmes.
Je suis sorti de la chambre sans faire trop de bruit, puis j’ai fait le tour pour accéder au côté balcon, je me suis caché, la nuit étant très sombre c’était beaucoup plus facile pour mater.
Leur chambre était au rez de chaussée, je pouvais distinguer assez bien leurs ébats.
Je la voyais se faire prendre par un et sucer les deux autres.
Le spectacle m’excitait au plus haut point.
J’ai eu peur de me faire surprendre lorsqu’ils ont fait une pause et qu’ils sont venus fumer sur le balcon, mais ne se doutant pas que je matais ils ne m’ont pas vu.
Après leur cigarette ils sont retournés vers le lit rejoindre ma femme et la mettre à quatre pattes.
Ils ont tous les trois enfilé une capote et ont décidé de la prendre l’un après l’autre en se relayant toute les cinq minutes.
De ce fait ils ont tenu beaucoup plus longtemps et ont permis à ma femme d’avoir une multitude d’orgasme.
Pendant plus d’une heure ils l’ont pilonné en utilisant ce stratagème pour ne plus jouir aussi vite.
Complétement désinhibés, ils la défonçaient en lui disant qu’elle était bonne et en la traitant de salope, de chienne, de pute à blacks.
Elle acquiesçait en leur disant qu’elle adorait leurs grosses bites, qu’il la baisait bien, qu’elle en voulait encore.
Nathalie a eu une dizaine d’orgasme avec ce traitement.
Au bout d’un moment les sentant prêt à jouir, elle leur dit :
« Venez, je vais vous finir avec ma bouche »
Elle les a sucés quelques minutes jusqu’à les faire se vider chacun leur tour dans sa bouche.
Elle a tout avalé goulument et les a nettoyés l’un après l’autre.
La voyant se rhabiller, je suis vite retourné dans la chambre.

Nathalie est arrivée quelques minutes après, j’étais allongé nu sur le lit, le sexe bien droit.
Elle s’est couchée sur moi pour venir m’enfoncer sa langue dans la bouche.
Elle avait un gout de sperme et son visage sentait la bite, ses cheveux était collé par plusieurs trainé de foutre.
Nous nous sommes embrassés sauvagement pendant un long moment.
Me voyant très excité, elle est descendue me sucer en sachant que j’allais jouir très vite.
Cinq minutes plus tard, je lui envoyais plusieurs giclées de sperme au fond de la gorge.
Elle est remontée se blottir dans mes bras et nous avons fait l’amour plusieurs fois dans la nuit.

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