De Jeune Fille Sage À Petite Salope... 2

Je ne reviendrai pas trop en détail sur le vendredi soir, Abdel et Francky avaient invité deux copains, Farid et Marc et j'ai eu droit à mon premier gang bang. J'ai beaucoup aimé être la proie de ces hommes qui profitaient de ma disponibilité. D'autant plus, que désormais je ne "jouais" plus un rôle, c'était bien moi la salope et je voulais en profiter au maximum.
Le lendemain après midi, Abdel m'a dit : puisque tu dis être une salope docile, on va te faire baiser par qui on veut. Tu as intérêt à tout accepter sinon on te dérouille. L'idée m'a tout de suite excitée, j'étais nue quand un jeune garçon est entré dans la chambre. Il avait tout juste 18 ans et était plutôt timide. Je ne sais pas si j'étais sa première fille, mais il ne devait pas avoir beaucoup d'expérience. Il a parlé un peu avec Abdel et s'est approché du lit. Il regardait Abdel, comme gêné et c'est moi qui ai demandé à Abdel de sortir. Je me suis ensuite occupée de lui, je l'ai sucé et il m'a prise rapidement avant de jouir encore plus rapidement dans sa capote. (J'ai oublié de préciser que tous les rapports ont eu lieu avec préservatifs) Il s'est ensuite quasiment enfui. Je n'avais, bien sûr, eu aucun plaisir physique, mais j'étais extrêmement troublée et excitée d'avoir été offerte comme un cadeau par un homme dominant. Bien évidemment, le fantasme d'être offerte comme une salope avait alimenté mes masturbations solitaires et ce qui venait de se passer était comme une marche de plus dans la réalisation de mes fantasmes.
Je retournais (toujours nue, Abdel m'avait pris mes habits dés mon arrivée et je devais rester nue jusqu'à mon départ) dans le salon où le prochain bénéficiaire du cadeau attendait. C'était un homme de 30 ans, Jean-Pierre, apparemment un ami d'Abdel qui me guida vers le canapé. Lui ne voulait pas aller dans la chambre mais préférait faire ça devant Abdel et Francky.
Il était en train de me prendre après s'être fait sucer quand mon prochain partenaire sonna à la porte.


J'eu un choc lorsque je le vit entrer. C'était un arabe d'une cinquantaine d'année, ventru mais surtout d'une laideur repoussante. A peine entré, Mohamed commença à se déshabiller sans me quitter des yeux.
Moi non plus je ne pouvais pas le quitter des yeux. Je n'étais plus du tout concentrée sur l'homme qui me baisait, je regardais avec fascination et horreur ce monstre qui enlevait son marcel sale sur un torse velu, son pantalon tomba dévoilant un slip douteux. Son regard était halluciné, il n'avait probablement jamais vu une fille aussi jeune (et jolie disons le !) nue à sa disposition.
Il baissa son slip et je sursautais en voyant la taille de sa queue. Dans certaines vidéos j'avais vu des noirs avec des bites super longues, mais jamais je n'avais vu de bite aussi épaisse. Il n'était pas encore dur, mais déjà son membre était bien plus gros que mon poignet. Il commença à se branler en s'approchant de moi. L'homme qui me baisait devait connaitre Mohamed car il lui dit : Approche, montre lui ta grosse bite, tu vas voir c'est une super bonne salope, tu n'en as jamais baisé des comme ça, hein Mohamed ?
Mohamed ne répondit pas mais sa main continuait à s'activer sur son membre. Il était juste sous mes yeux, devant ma bouche et semblait attendre que je décide de le sucer (ou du moins d'essayer !) Jean-Pierre, tout en continuant ses vas et viens dans ma chatte m'apostropha : Allez salope, suce le, fait ton boulot.
J'approchais ma tête de la bite énorme que j'avais sous les yeux et je me mis à la lécher, la caresser et essayer de la sucer. Elle était si grosse que j'eu du mal à la faire entrer dans ma bouche. Mohamed était plutôt délicat, n'essayant pas de forcer ma bouche, il ne parlait pas, grognait un peu pour exprimer sa satisfaction.
Au bout d'un moment, Jean-Pierre se retira de moi en disant à Mohamed : Vas-y, baise la, je veux te voir lui défoncer la chatte.
Mohamed se positionna alors entre mes jambes et tout en me regardant dans les yeux (du moins quand je ne regardais pas son membre s'enfoncer dans mon antre) il commença à me baiser.

La sensation d'écartèlement était incroyable. Bien évidemment jamais je n'ai été pénétrée par un tel volume. Ça tirait beaucoup, mais je n'avais pas vraiment mal. Inexorablement le pieu de Mohamed ouvrait tout sur son passage. Une fois au fond, il commença à se retirer laissant un grand vide en moi, puis il me réinvesti. A chaque pénétration je perdais presque mon souffle, comme pistonnée par un truc infernal.
Une fois le rythme pris, Mohamed se pencha sur moi pour m'embrasser. Là c'était trop, si j'acceptais de me faire baiser par un homme aussi laid, c'est parce que j'avais accepté d'avance tout ce qu'Abdel m'avait prévu, mais embrasser quelqu'un est pour moi bien plus intime que de me faire prendre.
Je gémis donc Nooon en tournant la tête. Jean-Pierre me saisi alors par les cheveux, s'approcha de mon visage et en me regardant droit dans les yeux il me dit : Petite pute, qu'est-ce que c'est que ces manières ? Tu es un objet, on fait ce qu'on veut avec toi, tu as compris ?
Je ne sais pas ce qui s'est passé en moi, mais j'ai d'un seul coup accepté ma condition, je ne "jouais" plus à la soumise, j'étais vraiment une salope, mon "maître" m'avait offerte à Mohamed et même s'il était très laid, s'il voulait me rouler des pelles je n'avais rien à dire.
Je répondis Oui monsieur. Il me lâcha la tête et j'embrassais directement Mohamed. Sa grosse langue pénétra ma bouche comme son sexe remplissait le mien. D'un seul coup, je le voulais, je voulais lui faire plaisir. Je faisais de mon mieux pour tourner ma langue, lui rouler la meilleure pelle qu'il n'ait jamais eut. En même temps il me labourait la chatte, accélérant les vas et viens. Soudain je fus prise à mon propre jeu, c'était pour moi aussi la meilleure pelle que j'avais jamais eue. Sous ses assauts, je sentis monter l'orgasme, je cherchais à le retenir, je voulais faire durer, qu'il puisse encore me pourfendre. Il dut sentir que j'étais au bord de l'orgasme car il accéléra brusquement et en trois coups de reins il me fit exploser.
Je fus secouée par un éclair de jouissance qui me traversa de part en part. Je hurlais mon plaisir sous les rires des trois autres qui commentait la chose : regarde ça la chienne, elle jouit en plus, elle aime ça les gosses bites.
Je récupérais lentement, toujours empalée sur le monstre dans mon ventre. Mohamed se retourna sur le dos, et je me retrouvais assise sur son pieu. Abdel me donna à boire et une fois la pression retombée, je commençais à monter et descendre sur son sexe. Je le regardais bien dans les yeux, je voulais le remercier pour le plaisir qu'il m'avait donné. Oui il était laid, mais ça n'avait plus aucune importance. Je l'embrassais tendrement, je lui léchais les lèvres, je lui faisais l'amour.
Alors que j'étais penchée sur Mohamed, Jean-Pierre annonça : Bon, moi j'ai toujours pas fini mon tour, je vais lui prendre le cul à cette pute.
Huummm, ouiii, j'écartais mes fesses et il m'enfonça sa queue bien au fond. Je criais un peu car la place était limitée dans mes reins vu la masse que j'avais dans la chatte, mais assez vite mon anus s'adapta à la bite agressive de JP. J'étais bien, en sandwich entre deux hommes, en train de faire l'amour à Mohamed pendant que JP me défonçait le cul.
JP ne tint pas très longtemps à se rythme et je le sentis se contracter pendant qu'il remplissait sa capote. Il se retira mais je sentis très vite une autre bite, celle de Francky qui lui aussi occupait l'espace disponible. Lui aussi avait du être excité par la séance avec Mohamed (je l'appelle Mo maintenant) car lui non plus ne put se retenir très longtemps.
Une fois libérée, je continuais à m'empaler sur Mo, il me pétrissait les seins quand je me redressais et m'entourais de ses bras quand je m'allongeais pour l'embrasser.
A un moment, je me dégageais de lui, je le pris par la main et l'emmenai vers la chambre, je me positionnais à 4 pattes sur le lit, épaules écrasées sur le matelas, lui offrant mon sexe en lui disant : Vient, défonce moi, jouis en moi.
Il se mit à me besogner lentement puis de plus en plus vite, je me sentis repartir dans une jouissance incroyable, mais il me pilonnait tellement que l'orgasme se "cassait" au moment d'exploser pour mieux remonter ensuite et ainsi de suite. Soudain je le sentis se crisper et il éjacula, figé au fond de mon corps. Je jouis immédiatement. Encore une fois, je failli perdre connaissance.
Une fois redescendus du 7ème ciel, Mo s'est dégagé, toujours un peu pataud, comme s'excusant d'avoir abusé de moi. Je m'approchais de lui en l'enlaçant et en lui murmurant à l'oreille que j'étais ravie qu'il en ait profité, que je le remerciais pour le meilleur orgasme de ma vie et que j'espérais bien le revoir.
Le soir, nous sommes sortis diner avec Abdel et Francky. J'étais trop fatiguée pour continuer ! Le lendemain matin, nous avons fait un petit trio sympa tous les trois puis j'ai pris une douche avant de rentrer chez moi.
Je partais deux jours après pour trois mois de vacances, mais j'emmenai des "devoirs" avec moi. J'avais décidé qu'à la rentrée, je donnerai mon cul à Mo et il fallait donc que je le "rode" un peu !!!
J'avais été dans un sex-shop, seule, j'avais expliqué tranquillement au vendeur ce que je voulais et j'étais reparti avec deux godes de bonne taille dont un vraiment gros, un plug gonflable pour muscler mon anneau et du gel pour faire passer tout ça ! Il m'avait aussi conseillé des petits bâtonnets en plastique pour forcer petit à petit le sphincter. Ce sont des tiges de 10/15 cm de long, d'un peu moins d'1 cm de diamètre avec les extrémités arrondies. On en introduit 5 ou 6 dans le rectum, puis on en ajoute d'autres, une par une au centre de celles qui sont déjà en place. Petit à petit, le cul s'ouvre, le muscle se tend puis se détend et on en met une autre, etc…
Le gars du sex-shop avait vraiment été très sympa et il m'avait dit de revenir si j'avais d'autres questions ou besoins ! En disant ça il avait un petit sourire en coin me faisant comprendre que j'étais à son gout ! Comme il était aussi au mien, je lui répondis qu'au retour des vacances, je viendrai sûrement voir ce qu'il avait à me proposer… Nous nous sommes donc quittés sur une promesse de baise future non explicite mais parfaitement comprise des deux côtés.

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