Je Ne Demandais Qu'un Conseil...

Je l'avais appelé pour un conseil.

Proche de mon mari, cet ami qui nous a découvert en couple, était resté de nombreuses et longues soirées avec nous deux, nous avions toujours cru lui et moi que nous finirions par coucher ensemble tous les trois...mais mon mari n'avait jamais envisagé la chose et ne souhaitait pas y réfléchir.

Chemin faisant dans nos vies de couples, nous étions... moins en contact...

Mais quand, dans un moment d'égarement, j'avais envoyé a un collègue une photo de la chatte dégoulinante d'excitation, j'ai jugé utile de lui demander conseil, lui le tombeur qui s'était finalement rangé.

Je savais qu'il avait comme moi besoin d'un frisson permanent..alors...je lui posais rapidement la question. Pourquoi? Pourquoi en étais je là, que devais je faire? En parler a mon mari pour régler nos problèmes...ne plus parler a mon crush du boulot...le faisait il ? Teaser des filles, garder un jardin secret, comment s'en dépêtrer ensuite?

Sa réponse.."fais le. Débarrasse toi de l'envie, tu reviendras plus amoureuse, certaine de ce que tu ne veux pas perdre, et moins dans l'attente sexuellement. Je l'ai fait. Je ne regrette pas. Ma femme n'a pas besoin de savoir, je l'aime et je ne veux ni la quitter ni la blesser. Il ne te satisfera pas, inutile de lui mettre la pression. Baise, et reviens lui."

Mince.
Aurait'il raison..
On échange par textos...
Et le voilà qui me propose de les rejoindre, sa maîtresse et lui a l'hôtel...

Je nous imagine tellement..

Tant d'années sans pouvoir toucher les seins d'une femme... mon mari est a ce point jaloux...

Je ferme les yeux.
Est ce mon passé qui me revient, les envies qui sont trop fortes... toutes ces fois où nous avons cru pouvoir coucher ensemble, avec lui, sans finalement jamais le faire...

Mais je t'imagine.
Le bruit de ta ceinture que tu défais.

Je t'ai entendu la défaire des centaines de fois en soirées et j'ai toujours voulu en sentir le cuir sur ma peau.
Tes mains n'ont pas à guider longtemps mes épaules vers ta queue..

J'ai toujours aimé sucer. Sentir une bite posséder toute ma bouche me fait mouiller ma culotte comme jamais. Je veux te prendre entier, dans ma bouche, et chercher la place d'écrire avec ma langue. Ce cirque ne dure pas longtemps, car a mesure que ta queue enfle dans ma bouche je veux m'appliquer a ce que tu sentes le fond de ma gorge et ce que je suis capable de t'engloutir. Le point où ma gorge est si serrée qu'elle te force le gland à s'aplatir pour continuer sa course.

Je n'ai jamais aimé les pipes sensuelles, j'aime ce moment où tu seras partagé entre reculer pour ne pas me faire mal ou te faire débander, et celui où, rattrapé par la sensation de m'avoir ouvert l'oesophage tu vas attr ma tête et faire taper mon front contre toi pour aller plus loin encore.

Ton amie n'aura qu'a passer la main entre mes cuisses pour voir que je suis a deux doigts de jouir.

Alors tu t'arrêteras, car je n'ai pas encore mérité cette délivrance...tu me tourneras le visage vers sa chatte, me réhaussant les fesses. Tu n'as pas encore décidé de mon sort.

J'avais le cul si entraîné autrefois. Je sais que je vais a la fois te supplier et regretter. Tu glisseras deux doigts dans ma chatte trempée, puis m'ordonneras de continuer seule, pendant que tu ouvres le chemin délaissé de mes fesses.

De ton autre main, tu t'assures que je n'oublies pas de lui donner du plaisir. Je m'applique. Là où avant je guidais les filles a me faire jouir, je réapprends ma place, animale, à votre merci.

Tu me relèves parfois le visage. Tu veux m'entendre demander...tu m'as connue si fière et arrogante...l'amoureuse avec de grands discours...mais je ne suis qu'un corps gonflé de désir. Tu l'as toujours su, n'est ce pas ?

Je t'ai dit 2 mots au téléphone, mais tu savais déjà de quoi il retournait.


Je me souviens m'être apprêtée des dizaines de fois avant ton arrivée...j'avais toujours peur qu'on n'ait pas suffisamment à boire, parce que bourrés, c'était moins grave quand je m'asseyais a 10 cm de toi, en short, ou sans soutif, quand je regardais ta queue a travers ton pantalon.

Alors oui, je relève ma tête, ta main dans mes cheveux, te dire que j'en ai envie, que je veux que tu me défonces le cul, et que je vais m'appliquer comme je peux pour bouffer ta collègue comme si c'était ma propre chatte.

Je vais la sentir passer ta queue..mon cul aura envie de se refermer a chaque centimètre que franchit ta bite..tu vas la rentrer jusqu'à la garde..tu sens mon corps se dérober sous toi..a peine quelques allers retours pour que j'imprime bien la forme de ta queue et tu la sors.

J'essaie d'entreprendre, ma bouche ayant trouvé de jolis seins à lécher mais tu as aussi des projets pour elle...je redescends nettoyer ta queue pour que tu la prennes. Je ne sais pas trop où est ma place.

J'hésite entre te lécher le cul pendant que tu la prends, et monter sur sa bouche. J'ai en tous cas les doigts entre les cuisses, et je meurs d'envie de me toucher, de me faire jouir.

Mais, ce n'était pas le projet.
Non, m'attacher et faire de moi votre jouisseuse, animale, incontrôlable et honteuse, je crois que la suite est plus folle encore que ce que je pourrais imaginer et...


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