Bien Baisé

J'ai rencontré Valérie lors d'une soirée d’entreprise. C'était ma femme qui nous a présentés. Elles travaillaient ensemble, et elles étaient plutôt bonnes copines. J'entendais souvent ma femme parler de Valérie, de son mari, et de sa vie en général. Ma femme est habile pour obtenir les confidences des gens.

Après de brèves salutations, nous avons continué notre tour du buffet, chacun de notre côté. Ma femme m'avait parlé à plusieurs reprises du mari de Valérie qui n’était pas vaillant au lit. Elle avait recueilli les confidences de Valérie, et j’étais sûr que ma femme lui avait raconté tout sur notre couple, ou presque tout.

Ma femme et moi, nous sommes membres d’un club échangiste et nous aimons pimenter notre vie sexuelle par de petits jeux entre adultes consentants. Du moment que le partenaire est au courant, pas de problèmes, en principe.

Valérie n'était pas vraiment une belle femme, surtout parce qu’elle ne soignait pas son apparence physique. Maquillage et toilettes sexy n’entraient pas dans le cadre de ses préoccupations. Mais elle était tout à fait consommable, pour quelqu’un qui prendrait la peine de ne pas s’attarder au superficiel.

Et je peux me vanter d’avoir l’œil affûté. Autant du côté de la poitrine que des hanches, il y avait tout ce qu’il me fallait. Bon, la situation était simple : voilà une femme qui se plaint d’être délaissée, et moi qui suis un chaud lapin. J’ai laissé ma femme près du buffet, discutant avec ses collègues de travail, et j’ai refait un tour de salle jusqu’à tomber sur Valérie, par le plus grand des hasards.

Elle buvait un verre, pour se détendre, dans un recoin de la grande salle. J’ai glissé mon bras sous le sien, et je lui ai demandé si elle passait un agréable moment. D’abord surprise, elle m’a reconnu et m’a confirmé qu’elle se sentait bien.
Sans vergogne, je regardais avec insistance ses seins voluptueux. Valérie m'a souri et elle s’est redressée en poussant ses seins vers moi.

 J’ai vu dans ses yeux qu’elle n’était pas farouche, alors j’ai posé la question :

«Aimeriez-vous passer un meilleur moment ?»

Valérie m'a souri et m'a répondu : «J'adorerais». J'ai jeté un coup d'œil à travers la pièce pour voir où était ma femme. Elle discutait au milieu d’un groupe animé et ne se préoccupait pas de moi.

J'ai entraîné Valérie à travers les couloirs jusqu'à une salle de bain, à l’étage. Je l’ai fait entrer et j’ai verrouillé la porte derrière nous, sans allumer la lumière. Sitôt la porte fermée, Valérie m’a pris dans ses bras et m'a embrassé lascivement. Je lui ai rendu son baiser et mes deux mains sont parties à la découverte de son corps.

Valérie devenait de plus en plus passionnée. Sa respiration s'accélérait lorsque je tripotais ses nichons. Elle m'a rapidement dégrafé la braguette pour se saisir de ma bite. J'ai glissé une main sous sa jupe et j'ai continué mon exploration jusqu'à sa chatte humide.

Mon doigt l’a pénétrée facilement. Sa chatte était torride et imberbe. Je l'ai doigtée énergiquement, et elle a enfoui son visage dans mon cou pour ses gémissements quand elle a commencé à jouir. Je l'ai retenue contre moi pour la caresser doucement tandis qu'elle revenait de son orgasme.

Valérie a agi comme une personne frustrée par le manque de sexe. D'après ce que ma femme m’avait raconté au sujet de son mari, je n’étais pas surpris. Je l'ai assise sur le lavabo en lui soulevant la jupe. Je lui ai simplement expliqué que nous devions faire vite pour revenir à la fête avant que quiconque ne s’aperçoive de notre absence. 

Elle m’a enlacé avec ses bras et ses jambes lorsque je me suis placé face à elle. J’aurais aimé la pénétrer avec un minimum de précaution et de douceur, mais elle m’a éperonné avec ses talons sur mes fesses. J’ai perdu mon équilibre avec mon pantalon sur mes chevilles, et mon entrée a été brutale et sauvage. Le choc lui a coupé le souffle et elle a émit un petit cri aigu de surprise.


Je n’ai eu le temps de m’excuser qu’elle m’intimait l’ordre, d’une voix rauque, de la baiser énergiquement. J'ai pompé ma bite dans sa chatte ardente pendant quelques minutes, puis j'ai mitraillé ma semence en elle. Valérie m'a embrassé langoureusement en ronronnant pendant que je me vidais dans sa chatte. Je me suis retiré et j'ai humidifié du papier essuie-tout pour que nous nous nettoyions.

Valérie m'a dit de redescendre à la fête avant elle pour que l’on ne nous voit pas ensemble. Elle est restée dans les toilettes pour essayer de dissimuler une partie du désordre que j'avais laissé sur elle. Je me suis glissé dehors et je suis retourné à la fête.

Le lendemain, Valérie m’a appelé sur mon portable : «Aimerais-tu passer un bon moment ?»

«Bien sûr» lui ai-je répondu.

Valérie voulais me revoir dans d’autres circonstances pour faire plus ample connaissance et m'a demandé si je disposais d’un moment. Je m’absente souvent pour participer à des tournois de poker, alors je lui ai dit que je pouvais me libérer facilement. Valérie m'a donné rendez-vous dans un bar du centre ville en m’indiquant qu’après, je pourrais l’emmener où je voulais.

J’ai bien compris l’allusion, j’ai dit a ma femme que le lendemain j’avais un tournoi de poker et qu’elle ne m’attende pas, que ça pouvait durer toute la nuit. Le lendemain soir, j’ai ramassé Valérie dans le bar où elle m’attendait, et je l’ai emmenée dans un hôtel, dans une banlieue où nous n’étions connus ni l’un ni l’autre. Je l’ai baisée comme un mort de faim.

Nous avons fait quelques pauses au cours de la nuit, pour discuter et reprendre des forces, mais elle m’a toujours remis debout facilement. J’étais sidéré de voir qu’une femme, si portée sur le sexe, puisse avoir épousée un homme qui n’appréciait pas son talent. Pourtant, j’en ai connu des cochonnes, mais celle-là les battait toutes.

Valérie et moi avons commencé à avoir des séances de baise régulières deux à trois fois par mois.
 Son mari ne s’intéressait à elle qu’une fois par mois, juste à la fin des règles, pour être sûr qu’il n’y avait pas d’entourloupe, parce qu’il ne voulait d’un marmot. Elle prétendait qu’avec lui, ça ne durait jamais longtemps, et qu’il avait fini avant qu’elle ne commence.

À la question «pourquoi restes-tu avec lui ?» son regard s’est voilé et elle n’a pas su répondre. Elle m'a dit qu'elle voulait profiter d’avoir un amant vaillant pour essayer toutes les positions et toutes les pratiques sexuelles que je connaissais. Quand il s'agissait de sexe, Valérie était comme une gamine dans un magasin de jouets.

Pendant quelques mois, j'ai déballé tout mon catalogue pour lui donner tout ce qu'elle désirait. C'était comme si j'assistais à l’éveil de la nature au printemps. Chaque fois que nous nous rencontrions, je la trouvais de plus en plus belle. Elle faisait des efforts, coiffure, maquillage, tenues sexy, elle a vraiment évolué pendant cette période.

Je ne comprends toujours pas comment, ni son mari, ni ma femme, qui la voyaient tous les jours, n’ont vu cette évolution. Pendant les pauses, entre deux séances plus sportives, nous parlions de sexe et de nos fantasmes les plus fous. Une nuit, Valérie m'a confié qu'elle aimerait participer à un gang-bang. La seule femme au milieu d’un groupe d’hommes, tous préoccupés par une seule et même femme, elle-même.

«Combien de partenaires ?» ai-je demandé. C’est la seule question qui me venait à l’esprit.

«Je ne sais pas, deux ou trois peut-être. Juste pour voir ?»

«Je comprends, mais pourquoi juste deux ou trois ? Pourquoi pas huit, dix ou vingt ?» J’étais certain de ses capacités.

«Je ne sais pas, je pense y aller progressivement, comme si j’avais peur d’échouer ! Parfois, tu m’excites tellement quand tu me baises, je me sens comme une chienne en chaleur. Dans ces moments-là, je serais capable de tout !»

«Je parie que tu pourrais t’en faire beaucoup» lui ai-je dit.


«Présente-moi ton équipe de rugby, ou les chœurs de l’armée soviétique» répondit-elle en riant.

Notre conversation nous avais émoustillés. Elle m’a chevauché comme une cavalière dominatrice. Une fois calmée, elle a recommencé à me questionner sur le sujet qui lui tenait à cœur.

«Penses-tu que je pourrais essayer ? Comment pourrais-je essayer ?»

«Si tu le désires vraiment, pourquoi pas ? Tu pourrais demander à quelqu'un d’organiser quelque chose pour toi »

Valérie me regarda longuement en réfléchissant.

«Ferais-tu quelque chose comme ça pour moi ?»

«Bien sûr, si c'est ce que tu désires vraiment. Pour ma part, je ne vois aucun mal là-dedans»

Je savais que c'était ce qui la préoccupait depuis le début. Accepterais-je de lui présenter d’autres partenaires, et éventuellement d’être présent pour assister, pour la tranquilliser, au cas où quelque chose se passerait mal. Je lui ai dit que j'allais étudier quelque chose pour elle, avec des gars sûrs que je connaissais.

J'ai regardé ses seins gigotant au-dessus de moi, je l’ai fait basculer, et j’ai continué de la baiser.

«Comment pourrais-je refuser quelque chose à une si belle poupée ?»

Valérie a rougi et m’a demandé : «Penses-tu vraiment ce que tu dis ? Je suis heureuse que tu sois aussi ouvert d'esprit. J'ai toujours voulu essayer ce fantasme, mais je n’osais pas en parler, à personne, et je ne savais pas comment le réaliser. Je t’aime … Vraiment, tu sais, je t’aime !»

J’ai été surpris par cette déclaration. Visiblement, notre relation venait de franchir un nouveau palier. Cette semaine-là, j'ai organisé le planning pour que trois étalons que je connaissais bien nous rejoignent dans le petit hôtel qui abritait nos amours illégales. Tout c’est très bien passé cette nuit-là. Les trois mecs étaient ravis de ma trouvaille. Valérie a adoré toute la baise qu'elle a reçu. Quand ils sont partis, Valérie rayonnait. Elle m'a demandé de la câliner dans le lit.

«Merci d'avoir organisé ça pour moi. Tu es vraiment un gars super. Mon mari, hé bien, quand je vous compare tous les deux, sur n’importe quel sujet, c’est vraiment une grosse bouse de vache. Rien d’autre. Dis-moi, est-ce que tu ferais quelque chose de semblable pour ta femme ? »

«Je le ferais si elle en avait envie. Mais elle n’aime pas ça.»

«Attends, je croyais que vous pratiquiez l’échangisme. Elle m'en a parlé, et elle ne veut pas faire l’amour à plusieurs ?»

«C'est juste un mauvais souvenir. Elle a essayé une fois. Je la pensais en de bonnes mains, je l’ai laissée seule, d’autres se joint à la partie, et ils n’ont pas été gentils avec elle. Depuis, elle ne veut plus ...»

«Si j'étais ta femme, me laisserais-tu faire des choses avec d’autres ?» elle a demandé.

«Bien sûr que je le ferais. J'aimerais essayer plein de choses différentes, avec différents partenaires.»

«Si j'étais ta femme, il n'y aurait rien que je ne voudrais pas faire avec toi !» elle rougit en détournant son regard.

Elle insistait : «Y a-t-il des choses que tu n’accepterais pas que je fasse ?»

«Je n’accepterais pas que l’on te nuise ou qu’on te fasse du mal»

«Mais tout ce qui est OK pour moi, c’est OK pour toi ?»

«Oui, bien sûr. Maintenant, dis-moi ce que tu as en tête ?»

«Oh rien du tout, c’était juste par curiosité.»

Valérie a ouvert ma braguette et elle a mis ma bite dans sa bouche. Une manière comme une autre de ne pas répondre aux questions dérangeantes.

Nous avons continué nos sessions de baise plus ou moins régulières. J'ai arrangé quelques autres réunions pour elle, avec plus ou moins d'hommes. Avec des femmes aussi. Le principal problème, c’était de trouver des partenaires qui ne connaissaient pas ma femme. Je m’étais embarqué dans le mensonge, je devais continuer. Et dans ce monde particulier, tout le monde se connaît plus ou moins. Je choisissais des gens mariés, qui seraient moins enclins à parler.

Clairement, Valérie préférait le sexe à plusieurs.

Depuis un an que notre relation évoluait gentiment, Valérie parlait de plus en plus de son envie de tomber enceinte, et de la manière dont elle aimerait que cela se fasse. Son mari n'était pas motivé pour les relations sexuelles et ne voulait pas d’s. Elle a précisé qu'elle ne voulait pas que son mari soit le père. Elle espérait que ce soit moi.

De mon côté, j’étais indécis, pris entre ma vanité d’avoir été choisi par une femme pour lui faire un , le plaisir d’être père, et tous les soucis que cela m’amènerait, dont la colère de ma femme ne serait pas le moindre. Je lui ai dit que je devais y réfléchir. En réalité, j'avais prévu d'y réfléchir pendant très, très longtemps. J'espérais que le sujet disparaîtrait de lui-même.

Elle me parlait de ses fantasmes. Elle en avait beaucoup, ou alors ils évoluaient avec le temps. Avoir des relations sexuelles non protégées avec un parfait inconnu, en prenant le risque d’être imprégnée. Franchement, je ne voyais pas l’intérêt. La plupart de ces fantasmes impliquaient qu'elle soit violée, et qu'elle tombe enceinte. Elle était comme une gamine dans un magasin de jouets, à qui l’on disait qu'elle pouvait tout avoir. Elle voulait tout.

Valérie parlait aussi d’un gang-bang avec des africains, soit des noirs, soit des maghrébins et, cerise sur le gâteau, tomber enceinte à la suite de cette relation. Pourquoi ? Parce qu’un bébé typé, noir ou beur, c’est ce qui ferait le plus chier son mari. Pourquoi pas ?

Elle me parlait de ce qu'elle ressentirait au moment où le sperme giclerait en elle, et qu'elle se sentirait imprégnée. Elle m'a dit que cela l’excitait parce que cela représentait le fruit défendu, un tabou de sa culture chrétienne, la hantise des racistes. Et son mari était un putain de raciste. 

Valérie s’excitait chaque fois qu’elle en parlait. Cette pensée l’émoustillait, elle s’échauffait en parlant, la stimulation tendait ses tétons, picotait sa chatte, elle se déchaînait en me faisant l’amour. J'ai pensé qu'elle devenait obsédée.

Une fois, elle m'a dit qu'elle voulait avoir des relations sexuelles non protégées avec des hommes noirs. Elle m’a dit qu'elle était excitée par la perspective d’être enceinte. Je n'aimais pas l'idée, je savais qu'il y avait un grand risque qu'elle regrette ce caprice. Si elle accouchait d’un métis, ses activités, nos activités de l'année écoulée seraient découvertes.

Valérie a persisté et j'ai finalement cédé. Valérie m'a assuré qu'elle n’irait pas jusqu’au terme si elle tombait enceinte. Elle voulait juste avoir des relations sexuelles risquées. Pour ajouter de l'intensité à la situation.

Elle m'a demandé d’organiser un rendez-vous. Je ne connaissais pas beaucoup de blacks, et je ne voulais pas prendre de risques trop importants. J’ai finalement trouvé trois mecs habitués à travailler ensemble. Ils se louaient "au noir" à des bourgeoises en mal de sensations fortes.

Le rendez-vous tombait le soir de son anniversaire. Valérie a été particulièrement enchantée par cette coïncidence. J'avais apporté des boissons pour la nuit, et Valérie avait fait l’acquisition d’une tenue vraiment affriolante. Avant que l’équipe de hardeurs n’arrive, elle m’a demandé comme un service de filmer leurs ébats.

«Un souvenir pour plus tard, tu veux bien ? Je sais, cela t’empêchera de participer, mais sois sympa, fais-le pour moi, juste pour cette fois ?»

Pour me récompenser de ma gentillesse, et pour me permettre de filmer sans trembler, elle a commencé à sucer ma bite. J’ai ouvert une bouteille et nous avons commencé à boire un coup. Elle interrompait sa fellation de temps en temps pour boire une gorgée en suçant un glaçon. Quand elle reprenait son ouvrage, sa bouche fraîche me procurait une sensation curieuse.

Lorsque les trois étalons noirs sont arrivés, Valérie a joué le rôle de la parfaite hôtesse. Elle leur a servi des boissons. Pendant qu’ils faisaient connaissance en buvant un verre et en caressant Valérie, j’ai installé mon matériel de photo.

Valérie commença à s’échauffer en attrapant la bite la plus proche pour commencer à la sucer. Un gars s’est glissé derrière elle pour lui lécher la chatte pendant que le troisième lui tripotait les nichons. J’ai fait plusieurs photos, sous divers angles, puis j’ai mis en marche la caméra.

Après un moment, Valérie s’est allongée sur le dos, et ce fut la curée. Le plus rapide s’est agenouillé près de sa tête pour lui donner sa bite à sucer. Le deuxième s'est allongé entre ses jambes pour lui manger sa chatte voluptueuse. Le plus lent s’est emparé de ses nichons pour les téter en les tripotant. Bonne fille, Valérie a tendu sa main pour lui attr la bite et la secouer.

Valérie, haletante, gémissait de plaisir au fur et à mesure de la progression des événements. Il était clair qu'elle appréciait beaucoup la participation des trois étalons à son cadeau d'anniversaire. Bientôt, il y eut un changement de positions.

Valérie s’est retrouvée à quatre pattes sur le lit, un mec accroché à ses fesses qui la tambourinait en levrette. À sa tête, un mec agenouillé lui donnait sa bite à téter. Le dernier, allongé sur le dos, sous elle, lui bouffait les nichons en lui tripotant la chatte. Moi, je réalisais le long métrage de ma vie.

Tellement préoccupé par mon rôle de filmer avec sérieux, je n’étais même pas allumé. J'ai pris des gros plans de chacun des trois hommes prenant possession de ses orifices. Ils étaient étirés, dilatés, remplis et Valérie pantelait sous les charges répétées qui la faisait gémir et crier. Je me réjouissais secrètement d’avoir de si bonnes images, car les trois gars ne ménageaient pas leur peine.

Jusqu’au bout de la nuit, j'ai continué mon rôle de cameraman porno. J'ai fais des gros plans du visage de Valérie quand elle a eu des orgasmes. J’ai fais des gros plans des bites des mecs crachant leur sperme. Valérie les suppliait de «la baiser bien à fond». Elle voulait que la semence jaillisse au fond de son vagin fertile. Valérie avait un regard inimitable de pure extase chaque fois qu’une bite noire s’épanchait au fond de sa vulve.

Moi, j'étais content qu'elle ait apprécié l'expérience et j'étais content d'avoir réalisé un bon film. Puis, brusquement, tout a changé pour moi cette nuit-là. Pendant cette année écoulée, Valérie était juste un bon coup pour moi. Elle était une partenaire géniale, sauvage, une bête de sexe, mais ce n'était qu'une bonne affaire.

Les trois étalons noirs avaient fini leur prestation, s’étaient rhabillés, avait pris leur fric et étaient partis. Je regardais Valérie allongée en travers du lit défait. Sa peau luisante de sueur brillait dans la lumière pâle du jour naissant, et son regard extasié prouvait qu’elle avait touché le paradis.

Valérie était étalée là, les jambes grandes ouvertes, genoux pliés. Épuisée, elle était restée dans la position où les gars l’avaient laissée. Je voulais des gros plans de sa chatte. Étirée, bavant sa crème, les lèvres gonflées, rougies, elles montraient clairement les dégâts subis pendant l’intense bataille.

C'est à ce moment-là que j'ai réalisé que Valérie et moi, nous étions parfaits l'un pour l'autre. Nous nous complétions exactement. Elle avait besoin d’un exutoire de temps à autre, mais elle avait besoin d’aide pour y parvenir. Il lui fallait quelqu'un qui la protège et qui la cajole. C'est à cet instant que j'ai réalisé que je voulais être celui-là. C'est à ce moment-là que j'ai réalisé que j'étais amoureux de Valérie.

«Eh bien, comment c'était ?»

«Sensationnel ! C'était encore mieux que j’espérais … Je suis enceinte maintenant !»

«Enceinte ! Qu’est-ce tu racontes ? Comment peux-tu en être sûre ?»

«Je le sens. C’est en moi. Je suis dans la période la plus fertile de mon cycle, et t’as vu ce qu’ils m’ont mis !»

«Tu ne peux pas en être sûre. Tu ne le sauras qu’au bout de plusieurs semaines. Qu’est-ce que tu vas faire, maintenant ?»

«Maintenant, j’ai envie que tu me fasses l’amour. Doucement, tendrement, amoureusement. Viens !»

Le sujet de Valérie ayant un bébé dans son ventre nous a fait parler pendant deux mois. Valérie a fait une fausse couche dans son deuxième mois. Progressivement, Valérie n’a plus voulu avoir des relations sexuelles avec d’autres que moi. Il semblait qu’elle avait épuisé tous ses fantasmes, que ça ne l’amusait plus.

Et le sujet de Valérie portant mon bébé dans son ventre est revenu sur le tapis. J’ai résisté autant que j’ai pu, puis j’ai cédé. Son mari n'a jamais soupçonné qu'il n'était pas le père. Elle lui a dit qu'il lui avait fait ça involontairement.

Il ne montrait aucun intérêt pour le futur bébé. Il a juste dit que «c’était une connasse, qu’elle n’avait qu’à faire le nécessaire, et qu’elle devait se débrouiller seule !»

Valérie a accouché d’un magnifique garçon. Comme son mari ne voulait pas assister à l’accouchement, c’est moi qui était présent. Valérie a quitté son mari, je me suis séparé de ma femme. Nous nous sommes mariés deux ans plus tard, en découvrant que je l'avais remise enceinte. Nous ne pratiquons plus l’échangisme, désormais.

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