Endettés

Vivianne relève ses yeux et aperçoit les trois hommes assis dans le canapé face à elle. Accroupie, nue, elle vient d'obéir à un ordre, celui d'uriner dans un bol, ce qu'elle vient de faire avec un grand sentiment de honte et de dégoût. Le bol, trop petit, a fait que de la pisse a coulé par terre et sur sa main qui tenait le petit récipient. Maintenant, elle attend, fixant Monsieur TRAVERS, déjà terrifiée par ce qu'il allait lui ordonner à nouveau. Les deux autres hommes, excités, osaient à peine croire ce qu'ils venaient devoir : une femme de 40 ans, respectable, venait de pisser devant eux sur un simple ordre, et sans aucune discussion. Bien qu'ils savaient qu'elle n'avait pas d'autre choix que d'obéir, ils n'avaient pas imaginé que leur ami irait si loin dans la séance à laquelle il les avait invités.
L'ordre de M. TRAVERS tomba, net et précis : AVALE !
Vivianne ne put retenir ses larmes et apporta le bol à ses lèvres. Avec difficulté, elle approcha ses lèvres et ouvrit légèrement la bouche. Au moment ou le liquide allait couler dans sa bouche, elle eut un haut de cœur et reposa le bol au sol. Elle baissa la tête et murmura un ""pitié"" que tout le monde entendit.
M. TRAVERS se leva du canapé et vint devant elle. Il lui dit de relever la tête et la gifla à deux reprises.
Es-tu certaine de refuser lui demanda t-il ?
La jeune femme humiliée, reprit le bol et malgré son dégout, avala deux gorgées du liquide encore tiède.
ARRETEZ !
JEAN, le mari de Vivianne, assis à l'autre bout de la pièce venait de crier à l'intention de M. TRAVERS. Celui-ci, sans répondre, ne prit même pas la peine de se retourner et intima à la jeune femme de continuer. Vivianne se tourna vers son mari et avec courage, avala la moitié du récipient.
ENCORE ordonna M. TRAVERS. Vivianne en deux autres gorgées, termina le bol.
TRÈS BIEN, repris monsieur TRAVERS, votre dette vient à nouveau de diminuer.....

.....

Alors Vivianne se souvient. C'était il y a 6 mois. A cette époque, tout allait bien pour elle et son mari. A 40 ans, ils étaient heureux. Leurs 2 s étaient adultes et autonomes. Vivianne et Paul s'étaient retrouvés età l'aise financièrement, pouvaient maintenant donner suite à leurs envies. Tous deux fonctionnaires, ils gagnaient bien leur vie jusqu'à cette mauvaise opération qui leur a fait perdre toutes leurs économies. Depuis, leurs deux salaires ne suffisaient pas à régler les frais.
Alors, Vivianne et son mari sont allés voir leur banquier. Leur conseiller financier qui les connaît depuis 10 ans. Vivianne ne l'a jamais apprécié car à chaque rendez-vous, elle avait remarqué que M. TRAVERS la mattait avec envie. Plusieurs fois, alors qu'elle était venue à l'agence sans son mari, M. TRAVERS lui avait fait des allusions de nature sexuelle. Elle l'avait sèchement remis à sa place. Vivianne, femme de 40 ans, n'est pas une femme superbe mais son visage est resté in, elle était restée assez mince malgré quelques formes au niveau de ses fesses et ne parvenait pas à dissimuler sa timidité et sa gêne lorsque quelqu'un lui parlait de sexe.
Non pas qu'elle n'aimait pas faire l'amour mais son éducation faisait qu'elle avait honte de parler de ces choses. Au début de son mariage, se dénuder devant son mari lui paraissait insurmontable. Cependant, avec les années, elle avait appris à se montrer "salope" et adorait baiser avec son mari même si ce sentiment de honte lui reevnait parfois quand il lui faisait faire certains actes. Néanmoins, elle s'était surprise à mouiller et à jouir de ces situations de honte.
Elle se souvient de ce jour où, elle et son mari avaient rendez-vous avec M. TRAVERS leur banquier. Il les avait reçu dans son bureau et avait écouté leur mésaventure avec intérêt. En clair, des mauvais placements et l'appât de gains leur avait fait perdre leurs économies et ils sollicitaient un prêt urgent de plusieurs milliers d'euros.
Depuis quelques mois, ils essayaient de faire face mais les factures s'étaient accumulées et ils étaient menacés de saisie par un huissier.
M. TRAVERS regardait le couple. Il savait pourquoi leur situation était devenue dramatique. de son point de vue, le couple n'a jamais pris le problème comme il le fallait. malgré leur dette, ils avaient continué à vivre en dépensant sans compter. Et maintenant ils étaient là, démunis, sans solution.
Dans 8 jours, c'était la saisie. Il leur fallait tout de suite un minimum pour retarder l'échéance et que l'huissier leur laisse un délai.
M. TRAVERS, un homme de 53 ans, bientôt à la retraite jubilait intérieurement. Il tenait sa vengeance vis à vis de cette "salope" qui l'avait repoussé.
Il l'étudiait : petite, plutôt mince, un gros cul et surtout son air hautaine ! c'est ce qui l'avait excité au premier rendez-vous : Son attitude distinguée et bourgeoise. Il l'immaginait très bien en bas porte jarretelles et lui entrain de forcer sa bouche avec sa grosse bite en lui maintenant la tête. Il avait plusieurs fois immaginé l'enculer en la traitant de tous les noms.
M. TRAVERS est marié mais son épouse a toujours refusé de réaliser ses fantasmes. Il faut dire qu'il a toujours été porté sur le SM. Son rêve : humilier et donner des ordres aux femmes. Il avait recherché à une époque, une soumise qui obéirait sans discussion à tous ses ordres même les plus fous mais ne l'a jamais trouvée.
Et là, alors qu'il n'y croyait plus, sa chance venait d'arriver.
Il allait faire chanter ce couple et profiter d'eux sexuellement.
Ce jour-là, il n'avait pas donné de réponse précise au couple pour leur demande de crédit. Il falalit qu'il réfléchisse. Il n'en avait pas dormi et le lendemain, il savait ce qu'il fallait faire.
Le matin, il téléphona à Vivianne, certrain que son mari était au travail alors qu'elle ne travaillait que l'après-midi.
Il lui donna rendez-vous pour la fin de matinée directement chez elle pour une question de rapidité lui dit-il.
NON NON LA PRESENCE DE VOTRE MARI N' EST PAS NECESSAIRE C'EST POUR REGLER QUELQUES FORMALITES lui expliqua t-il...
Il falalit qu'elle soit seule.
A 11 heures, il se présenta au domicile. Vivianne lui ouvrit. inquiète, elle lui demanda immédiatement : alors le prêt est accordé ?
Faut voir répondit M. TRAVERS.
Comment ? je ne comprends pas reprit Vivianne.
C'est facile : j'ai tous les documents prêts, il ne manque plus que ma signature pour que je vous remette l'argent qui empêchera la saisie de votre mobilier par l'huissier dans une semaine.
ALORS ? Vivianne ne comprenait pas pourquoi M. TRAVERS prenait cet air malicieux, lui, habituellement si poli.
Je ne vous remettrai la somme que si tu me suces maintenant.
Vivianne ne croyait pas ce qu'elle venait d'entendre. Quoi ? répondit-elle ?
Tu as bien compris : tu me suces et tu as l'argent tout de suite. Tu refuses et je m'en vais mais vous n'aurez pas le prêt. Alors ? Je te laisse réfléchir 10 minutes. Pendant ce temps, je vais attendre dehors. Dans 10 minutes je reviendrais. Si tu n'est pas à genoux prête à me sucer, je m'en vais et ce sera définitif.
Et il sortit.
Seule, Vivianne paniquait. Tout se bousculait dans sa tête. Que faire ? Elle savait que M. TRAVERS était sérieux, cela se sentait. Pour la première fois de sa vie, elle devait prendre une décision dont sa vie et celle de son mari allait dépendre. 10 minutes c'est peu se dit-elle. Il fallait qu'elle se décide rapidement. Si elle n'avait pas cet argent, tout était terminé, plus de maison, plus de voiture, plus de meubles, obligés d'aller vivre ailleurs mais où ?
Elle se rendait compte qu'elle n'avait pas le choix. Au fond, se dit-elle, je vais lui faire une pipe et dans 5 minutes ce sera fini. PAUL n'en saurait rien. Elle immaginait déjà sa joie quand elle lui dirait que le prêt est accepté.
Il ne restait plus que 2 minutes, elle aperçevait M. TRAVERS devant la maison.
Alors elle se plaça dans le salon, sur le tapis et se mit à genoux.
M. TRAVERS ouvrit la porte. il était calme mais avait quand même un doute. Allait-elle accepter ? Il sut que oui quand il entra. De l'entrée, il voyait Vivianne à genoux sur le tapis. Il referma la porte derrière lui et s'avanca.
Il se plaça devant elle et d'un ton autoritaire lui dit : BAISSE MON PANTALON ET MON SLIP ET SUCE !
Vivianne se dépécha et quand elle vit la bite de l'homme dressée devant elle, HORREUR ! le sexe sentait l'urine et n'était pas trop propre. Elle ferma les yeux ouvrit la bouche et commenca à sucer. Au bout de quelques minutes, M. TRAVERS se dit qu'il serait bien de la tester un peu plus.
LECHE MOI LES COUILLES ET SUCE MA BITE EN ME REGARDANT lui dit-il. Vivianne s'exécuta.
TU ES UNE GROSSE SALOPE DE MERDE lui dit-il. Vivianne continua à lécher sans protester à l'insulte.
Il avait gagné, il en était certain maintenant.
Vivianne continua ses mouvements de va et vient et sentait qu'il allait jouir. Elle se dégagea et allait le branler quand elle sentit les deux mains de l'homme prendre sa tête et la diriger vers la bite. Non pensa t-elle pas ca ! M. TRAVERS senti que Vivianne cherchait à lui échapper. Tout en lui maintenant la tête, il lui enfourna à nouvea sa bite dans la bouche en lui disant "" TU AVALES TOUT OU TU PERDS L ARGENT "".
Vivianne crut défaillir. Les seules fois où elle avait gouter du sperme c'était celui de son mari et elle n'avait jamais appréciée. Le liquide chaud et son odeur ne lui convenait pas. Elle l'avait déjà avalé mais pas souvent, surtout au début de leur mariage mais ca faisait bien 5 ans que cela n'était plus arrivé. Son mari s'en plaignait mais elle n'avait pas cédé et il n'avait plus insisté.
Le membre dans la bouche, M. TRAVERS lui imposait son rythme. Il faisait durer le plaisir en faisant lui-même les mouvements de va et vient en tenant la tête de vivianne. Et soudain, il ne peut se retenir. Il grogna et s'enfonca encore un peu plus dans sa bouche. Et ce fut l'explosion.
vivianne reçut le premier jet au fond de la gorge. Elle tenta à nouveau de se reculer mais il l'en empêcha en lui maintenant la tête tout en continuant à se vider. Par la surprise, Vivianne avala la première gorgée. Elle refusa d'avaler les autres jets. Elle sentit le sexe de M. TRAVERS se ramolir et put se dégager, avec l'intention de recracher tout le sperme qu'elle avait dans la bouche.
M. TRAVERS s'en aperçut et lui tira les cheveux en arrière. TU AVALES TOUT A PETITES GORGEES !
Vaincue, Vivianne obéit. A genoux, les larmes aux yeux, elle fit ce qu'il voulait. Par petites doses, elle avala entièrement le sperme. M. TRAVERS la félicita tout en la redressant. MERCI C ETAIT TRES BIEN. TU AS DES POSSIBILITES.
Il ouvrit sa saccoche et déposa plusieurs billets sur la table.
Vivianne s'aperçut immédiateent qu'il manquait la moitié de la somme nécessaire. Elle le regarda d'un air interrogateur ?
QUE CROYAIS TU SALOPE ? QU UNE PIPE MAL FAIRE MERITAIT UNE TELLE SOMME ? IL M EN FAUDRA UN PEU PLUS SI TU VEUX LE RESTE.
Vivianne ne sut quoi répondre. et se mit en colère. DONNE MOI LE RESTE ! dit-elle.
M. TRAVERS rigola. NON. TU FERAS COMME J AI DIT SINON CA S ARRETE LA.
Vivianne n'osait poser la question. Que fallait-il qu'elle fasse encore ?
M. TRAVERS semblait avoir lu dans sa pensée et lui dit : JE VAIS REVENIR DEMAIN MATIN DES QUE TON MARI SERA PARTI AU TRAVAIL. COMME CA, NOUS AURONS 3 HEURES DEVANT NOUS. EN PLUS TU SERAS PUNIE POUR M AVOIR TUTOYE !
ALORS C EST OUI OU NON ?
C'est oui répondit Vivianne, je n'ai pas le choix.
JE VEUX QUE TU M ATTENDES NUE EN BAS ET PORTE JARRETELLES NOIRS. SANS CULOTTE. C EST COMPRIS ? SI TU N EN AS PAS VOICI DE L ARGENT POUR EN ACHETER AVANT DEMAIN.
Très bien dit vivianne.
DORENAVANT TU ME REPONDRAS OUI MONSIEUR C EST CLAIR ?
Oui monsieur répondit vivianne.

A suivre...................

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