Le Feu Couvait...

Cela fait sept ans que nous somment ensemble Cécile et moi Yvan, elle ne m’a jamais cachée sa relation ambigüe avec ce capitaine des pompiers, un nommé Ludo, ami de ses parents depuis toujours, marié avec Nora
Ils étaient si amis avec ses parents qu’il était aussi son parrain……elle m’a tout raconté en détails …..

- Cela a duré deux ans, tout a commencé pour l’anniversaire de mes seize ans, ce jour là mon parrain m’a prise dans ses bras, il m’a écrasé les seins sur sa poitrine tandis que son genou cherchait mon entre jambes ,en murmurant a mon oreille : ‘je ne m’étais pas encore aperçu que tu es devenue une vraie femme’ , ce n’était pas une étreinte de parrain a filleule !dés lors je savais qu’il allait se passer quelque chose entre nous car sans vouloir me l’avouer j’étais moi aussi fortement attirée par son physique, son odeur, par le mâle quoi !
– Cela c’est concrétisé le jeudi suivant , comme a son habitude pour me ramener a la maison il passe me chercher au lycée en début d’après midi car je n’ai plus de cours et le bus ne passe qu’en fin de soirée, je monte dans sa voiture sous le regard envieux des copines ,je ne prête aucune attention a ma jupe qui est relevée a mis cuisses , au premier feu rouge sa main se pose sur mon genou, je ne vois pas pourquoi je m’offusquerais car cet homme m’a vue souvent nue chez mes parents ,mais quand même je suis troublée par le silence inhabituel qui règne entre nous …..
Des que nous avons quittés la ville ses doigts se crispent sur ma cuisse, pour lui montrer que je suis consentante, plutôt que de serrer les genoux j’écarte vers lui celui qui subit les caresses, la main décrit des cercles sur ma peau satinée a l’intérieur de ma cuisse, elle remonte lentement sans toutefois oser toucher mon slip qui s’humidifie rapidement…
- Je n’ai pas non plus protesté quand il a ralentit pour prendre le petit chemin qui mène a l’étang, un coup d’œil discret vers sa braguette m’a confirmé qu’il bandait, garé sous les arbres il a coupé le contact, il a descendu pour ouvrir le coffre, dans le rétro j’ai vu qu’il étalait une couverture, puis il est venu ouvrir ma portière
- Tu viens Cécile ?
Comme hypnotisée je l’ai suivi, là il a saisi son portable en me fixant dans les yeux …
- Allo, Didier ? C’est Ludo, je suis désolé je suis en panne de voiture, nous aurons du retard, ne t’inquiète pas Cécile est avec moi
Pendant qu’il téléphonait, face a face, les yeux dans les yeux, j’ai fais glisser ma robe qui est tombée en corolle a mes chevilles, l’attache de mon soutien gorges défaite celui-ci est tombé lui aussi a mes pieds, il a eu de la peine à déglutir quand me seins arrogants se sont dressés sous ses yeux
- Mon dieu que tu es belle ……Tes seins sont merveilleux…il y a trop longtemps que tu m’excite sans doute inconsciemment nous devons concrétiser
Il s’est approché pour saisir mes tétons dressés qu’il a roulés entre ses doigts, je me suis mise à genoux, il est s’est déshabillé en un temps record, une verge monstrueuse est apparue, j’en avais encore jamais vue en réel
- Allonge-toi Cécile.

...
J’ai obéis, il est venus a cheval sur moi sa queue pesait lourd sur mon ventre, il s’en est saisit pour la placer entre mes seins
- Pose tes mains sur ta poitrine pour emprisonner ma verge … voilà, c’est bien,
Sa queue a disparut sous l’opulence de mes nichons, il a commencé des mouvements d’avant en arrière, son gland énorme dépassait pour venir butter sur mon menton, une main a soulevé ma tête pour que je puisse mieux voir ? Non, pour que j’avale a chaque poussées la chose arrondie au bout de laquelle perle une goute translucide, son autre main est venue derrière lui se poser sur mon slip et masser ma vulve par-dessus le tissu, mon bassin se tord en tous sens sous la caresse, c’est le supplice de tantale !j’ai envie qu’il me baise, qu’il me dépucelle car je suis toujours vierge
Soudain une giclée puissante m’a aspergé le front et les cheveux avant qu’il ne m’engouffre d’autorité son gland dans la bouche, j’ai avalé mon premier sperme, la première gorgée a faillit me faire vomir, j’ai finalement appréciées les autres, la liqueur d’homme c’est bon !
Ludo a reculé pour tirer sur ma petite culotte, j’ai soulevé le bassin, il est resté bouche bée devant mon pubis poilu non épilé après avoir pris son temps pour le contempler puis il a posé sa bouche sur ma fente, j’ai eue honte car je doutais de la fraicheur de mon vagin …..Sa langue pointue s’est insinuée entre mes grandes lèvres pour fouiller mon intimité accompagnée d’un doigt fureteur, soudain il s’est relevé
- Tu es encore vierge ?
- Ben oui Ludo ….mais ça ne fait rien tu peux me le faire …..
Il a bougonné je ne sais quoi avant de me relever les jambes sur ses épaules, ses doigts sont revenus a la charge mais cette fois sur mon anus qu’il a caressé un long moment, je pensais que c’était normal cette caresse
- Ma petite chérie je ne veux pas te dépuceler, mais je veux bien te prendre par ton petit trou …..
- Non ! Pas par là ça dois faire trop mal …
- Bien préparée ça va aller tu va voir ….
.
Il a appuyé son gland sur ma rondelle, j’avais mal mais il insistait alors par surprise j’ai passée ma main entre nous deux et j’ai tirée sa queue pour la positionner a l’entrée de ma chatte, partit dans son élan il me l’a enfoncée d’un coup de rein jusqu’en moitié, j’ai poussé un cri quand mon hymen a cédé, presqu’aussitôt le plaisir est venu !
- HA petite futée tu m’as eu, bon maintenant que le mal est fait allons y
Il m’a baisée comme un dieu longuement sans débander il m’a prise trois fois de suite, c’est ainsi que nous sommes devenus amants sans que jamais personne ne s’en aperçoive, a chaque fois qu’il me baisait il me mettait le feu partout il avait toujours la même envie pour mon cul mais je n’ai jamais cédé …. Jusqu’au jour ou je l’ai surpris en train de batifoler avec maman, écœurée j’avais dix huit ans je suis partie loin de la maison, c’est là que nous nous somment rencontrés mon chéri ! Voilà, tu sais tout !

Malgré le temps qui a passé, a chaque fois que nous faisons l’amour je ne peux m’empêcher d’imaginer Cécile les cuisses écartées se faisant bourrer par cet homme monté comme un âne, bien plus âgé qu’elle
Souvent quand nous baisons je pousse le désir malsain à lui poser des questions sur la façon dont il la baisait, réticente au début, elle entre vite dans une sorte d’hystérie en évoquant le membre énorme qui la transperçait, sa chatte se transforme alors en fleur carnivore j’ai l’impression que je pourrais entre en entier dans son corps, je sais qu’elle a ce mec dans la peau, et malgré moi je fais tout pour entretenir son souvenir…..

Et puis un jour le téléphone sonne ……
- Allo Cécile ? C’est Nora la femme de Ludo ton parrain, il y a longtemps n’est ce pas ? !tu va bien ? Voilà il se trouve que Ludo va faire un stage tout près de chez toi et il aimerait beaucoup te rencontrer toi et ton ami Yvan bien sur !
Quand elle a raccroché elle était pâle

- Chéri que faisons-nous ?
- Hé bien nous allons le recevoir évidement ! Je suis impatient de faire sa connaissance !
Au début c’est un ‘ non’ catégorique et puis elle a cédé, un rendez vous fut pris pour un vendredi soir, plus l’heure fatidique approche plus Cécile devient nerveuse
- Je mets quoi sur moi ?
- J’adore ta petite robe en mousseline
- Ho … on voit mes seins a travers
- Et alors ? il les connais non ? !! N’oublie pas tes talons, tu seras superbe chérie
Quand Ludo arrive Cécile préfère attendre au salon, effectivement il est bel homme malgré son âge, je le débarrasse des fleurs et de la bouteille de champagne
- Cécile ! Tu es toujours aussi belle
- Merci …
Il l’enlace d’une façon possessive, ses lèvres appuient le baiser tout prés de la bouche de Cécile, elle reste immobile les bras le long du corps pourtant je suis certain qu’elle a très envie de lui rendre son baiser sur les lèvres…
Peu a peu l’atmosphère se détend, l’homme a très souvent les yeux braqués sur les seins qui pointes sous le tissu léger, cela doit lui rappeler des souvenirs, pour se donner du courage Cécile a bus plus que d’habitude, elle meure d’envie de s’approcher de son ex amant mais elle ne sait pas comment s’y pendre
- Comment va maman ?
- Je ne sais pas, nous ne nous voyons plus il y a longtemps ….

- Ha …dommage pour toi !
- Ne dit pas ça tu sais combien je t’aimais, cela fais combien ? Huit, neuf ans ?
Le pompier enlace Cécile qui ne proteste pas, le feu qui couvait se ranime, ça se voit dans leurs yeux …
Je dois absolument faire quelque chose, sans réfléchir je suis passé derrière elle et d’un coup je baisse les bretelles de sa robe qui tombe à sa taille
- Tu les reconnais Ludo ? Ils n’ont pas trop changés ces beaux seins ?
- Tu es fou chéri ? Qu’est ce qui te prend ?
En tout cas elle ne fait rien pour les cacher !
- Aller Ludo courage, regarde moi ces tétons qui durcissent
Ludo tends la main pour palper un sein
- C’est vrai ils sont toujours aussi fermes ….
- Que diriez-vous d’une cravate de notaire, elle adore ça ! Il parait que tu les fais bien
- Chéri ne dit pas de bêtise
- Il a raison j’aimerais bien faire cela en souvenir du bon vieux temps ….
D’un coup sec je tire la robe vers le bas, Cécile se retrouve en string et talons hauts, Ludo la prend dans ses bras pour la coucher a même la moquette, c’est a peine si elle a essayé de résister, les yeux fermés elle attend …..
Nous nous dessapons en un temps record, même si je m’y attendais je suis ébahi par la queue noueuse qui se redresse lentement entre les jambes de Ludo
Comme elle me l’avait expliqué lord de leur première fois il s’installe a cheval sur ma copine la bitte entre les seins, d’elle-même elle saisie les mamelons pour les presser sur le manche qui disparait dans la vallée mammaire, l’homme soulève sa tête pour qu’elle puisse profiter du spectacle et avaler le gland qui vient buter sur son menton
Je suis fasciné, le membre glisse de mieux en mieux entre les seins, Cécile lance sa tête en avant pour avaler le plus possible de chair a chaque poussées
Et comme pour à la première fois il glisse son autre main entre les cuisses mais cette fois par-dessous la culotte, Cécile pousse un grognement quand les doigts trouvent l’entrée du vagin
Je me masturbe comme un malade devant les deux amants a nouveau réunis qui se donnent du plaisir comme si je n’existais pas
Après cinq minutes de ce régime il explose, des giclées abondante fusent sur son visage, elle finit par happer la queue pour déguster les dernière rasades
Cécile lève un regard honteux vers moi
- Çà va chérie ? C’était merveilleusement beau à voir, j’ai très envie de toi, tu veux bien ?
- Tu veux me prendre devant Ludo ?
- pourquoi pas Cécile j’aimerais aussi te voir faire l’amour ensemble, allez y ne vous gênez pas pour moi
- Viens sur moi chérie ainsi ton parrain ne perdras rien de notre union
- Quand même c’est indécent ….
.
Malgré tout elle se débarrasse de son string humide a l’entre jambes et vient a chevale sur moi, des ses doigts elle ouvre sa chatte de l’autre saisie ma queue bandée a mort elle se laisse descendre sur mon mat que la chatte avale lentement sous les yeux exorbités de son amant
Une fois bien empalée je la couche sur moi, son cul cambré attire l’œil de Ludo qui voit son anus palpiter, je lui fais un signe discret, celui ci pose une main sur la fesse convoitée, Cécile sursaute, je la calme d’un baiser j’ai envie qu’il prenne son cul qu’elle lui a toujours refusé a moi aussi d’ailleurs ! Elle me murmure :
- Tu es un salaud ….tu veux lui donner mon cul ?
- Nous allons te donner un immense plaisir mon amour lâche toi ……
Ludo relais ses doigts et sa langue sur l’anus qui se détende peu a peu, j’ai interrompus mes mouvements, Alice plante ses ongles et ses dents dans mon épaule, je comprends qu’il va pousser son nœud a proximité du mien
Elle pousse un hurlement quand la queue élargie son anus, suit un instant d’interrogation, va-t-elle refuser ?
NON ! C’est elle qui pousse son cul vers son amant elle d’empale sur le membre qui glisse sur le mien, dés lord la partie est gagnée, nous synchronisons nos mouvements, la fille coincée entre nous deux ronronne de plaisir
- Merci Alice chérie de m’avoir enfin donné ton petit cul !
- Je t’aime toujours Ludo, pardonne moi Yvan …. Je savais que ce n’était pas une bonne idée que je le revois, baisez moi nous ferons le point après ….
Nous l’avons baisée une bonne partie de la nuit puis nous nous sommes couchés a mon réveil Alice était partie le rejoindre dans son lit …. Je me suis habillé et j’ai quitté la maison, trois jours plus tard je suis venus chercher quelques affaires il était encore là …..
Moralité : il faut se méfier du feu qui dort …….ils sont restés ensembles

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