La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 22)

- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS-

Il resta comme cela un moment, puis se dirigea vers Lalielou, il saisi le plug queue
et sans ménagement le lui enfonça plus loin, elle gémi . Il l'obligea à se relever en
tirant méchamment sur son collier . Elle gardait les yeux baissés n'osant pas
affronter son regard .

- va aux cuisines et met toi au service de Marie !
- oui Monsieur le Marquis, répondit elle, se souvenant de la gifle de la cuisinière .

Il la lâcha et elle parti d'un pas rapide vers ce qu'elle croyait être un soulagement
.
Le Marquis la regarda s'éloigner puis se tourna vers moi toujours la tête au sol . Il
s’approcha de quelques pas et je pus voir le bout de ses chaussures . Il restait là,
sans bouger . Au bout d'un moment son pied droit se mit à battre le sol comme s'il
battait la mesure d'une musique qu'il était le seul à entendre . Je n'osais pas me
redresser et restais là dans une position qui, je le savais, exposait ma croupe et la
révélait, indécente, avec ce plug fiché dans mes entrailles . Je sentais la tension
monter et la peur me gagner . La crainte de la suite des événements me faisait
grelotter et suer tout à la fois .

Tout autour de moi, comme autant de témoins muets, les morceaux de cristal
scintillaient doucement dans la lueur des chandeliers, leurs éclats me rappelaient
l'abandon de mon Maître et j’eus envie de pleurer. Monsieur le Marquis bougea
légèrement . Ah comme j'aurai préféré qu'il cria, qu'il hurla sa colère, qu'il fasse
quelque chose !.... Mais là, ce calme, ce silence, cette attente me terrorisaient
d'autant plus qu'ils duraient depuis longtemps .

Puis soudain, semblant enfin s'être décidé, il appela Walter. Ce fût si brusque, si
inattendu que cela me fit sursauter, mais je n'osais toujours pas, ni bouger, ni le
regarder.

Il m'était moins pénible d'être ainsi, soumise, dans cette position, que de
croiser son regard et d'y voir son courroux .

Walter à peine arrivé, le Marquis lui demanda :
- emmène cette femelle dans la salle Rouge et installe la, prépare la, je viendrai
tout à l'heure me rembourser de ce qu'elle a brisé .

Mon sang se figea, une sueur froide coula le long de mes flancs . J’eus toutes les
peines du monde à me mettre debout lorsque Walter tira sur la laisse pour me faire me
lever et me conduire vers un lieu inconnu . J'en étais sûre maintenant, le Marquis
avait choisi et trouvé quelques supplices sortis tout droit de son imaginaire pervers
.

Il me revint en flash menaçant lugubre, le souvenir de mes lectures, me surprenant à
fantasmer sur ses mêmes supplices que le Marquis décrivait sur le "Château" et pour
lesquels je me voyais actrice sublimée sous ses délires . Mais la réalité avait
rattrapé les rêves et c'est d'une main ferme que Walter m'entraîna vers "la salle
rouge", la salle d'un calvaire annoncé.
"Pour me rembourser de ce qu'elle à brisé" avait-il dit . C'était clair, c'était net,
j'allai payer durement cette faute .

Pendant que, tenue en laisse, je suivais Walter vers un escalier de pierres polies par
les passages répétés au fil de nombreuses années, le Marquis prit la direction des
cuisines . Il s'installa en bout de table et réclama un café à la cuisinière .
Lalielou était assise à l'autre bout et se restaurait, le nez dans son assiette .

- elle mange ? Pourquoi ? demanda t'il vindicatif, je te l'ai envoyé pour qu'elle
travaille !
- pfff ! elle ne pourrait rien faire le ventre vide et j'ai beaucoup de travail à lui
donner Monsieur le Marquis, répondit elle
- bien Marie, tu as l'autorisation de lui faire faire ce que tu penses bon lui
demander, elle doit t'obéir comme si c'était moi, d'ailleurs je vais t'y aider en te
donnant un moyen très efficace pour te faire obéir .


- viens ici toi ! Lalielou s'approcha craintive, le Marquis lui palpa les fesses, tira
sur la queue de fourrure, lui tapota, soupesa les seins, lui malaxa le ventre sans
ménagement, lui fit écarter les jambes d'une tape et glissa une main investigatrice
sur son sexe humide .

- qu'est ce qui te fais mouiller comme ça ? tu aimes avoir des objets dans ton petit
trou ? alors je vais te combler petite chienne lubrique, viens ici, viens sur mes
genoux !

Lalielou se demanda si elle avait bien entendu, mais le regard et le geste du Marquis
lui firent comprendre tout de suite qu'elle avait bien compris et qu'il valait mieux
qu'elle obtempère tout de suite . Elle s'approcha donc, se pencha, s'allongea sur les
genoux et attendit la première claque ... qui ne vint pas .

Au lieu de ça, le Marquis s'amusa avec la queue, la tirant doucement jusqu'à ce qu'il
aperçoive l'acier du plug, le lâchant, laissant l'anus se refermer dessus, aspirant,
emprisonnant le plug joueur. Il tira, lâcha, plusieurs fois, s'amusa à voir les fesses
de Lalielou s'entrouvrir et se refermer au rythme qu'il imposait par son mouvement du
poignet, Lalielou suivait la cadence en ondulant de la croupe qui montait et
descendait lentement . Se lassant du jeu le Marquis, d'un coup plus fort le lui ôta
sans crier gare . Lalielou, que ce traitement commençait à exciter gémis de ce retrait
brutal .

- ne t'inquiète pas petite chienne je vais t'en mettre un autre, pour que tu puisses
être des plus efficace auprès de Marie, ne bouge pas, Elle était bien trop inquiète
pour ne serait-ce qu'essayer, elle attendit la suite avec une certaine impatience,
elle sentait son anus prêt à recevoir autre chose, elle souhaitait que ce soit plus
gros, plus large, plus profond, et en même temps, connaissant les penchants du
Marquis, elle avait une certaine appréhension de découvrir ce qu'il lui réservait .


- Marie, allez me chercher le "gonflable" !
- tout de suite Monsieur le Marquis !
Lalielou fût soulagée, un gonflable ! ça allait, elle avait déjà subit cela avec son
Maître et en avait jouit . Elle aimait cette plénitude qu'elle ressentait ainsi
remplie, pleine, comblée.

Marie revint avec un objet de bonne taille au bout duquel pendait un tuyau noir et une
"poire" souple . Le Marquis le mis en place au centre des jolies fesses de Lalielou
sans aucune difficulté. Il pressa la pompe plusieurs fois et l'engin se gonfla, se mit
en place, se cala au creux du puits d'amour qu'il emplissait maintenant avec ampleur.

- voila Marie, dit le Marquis en redressant Lalielou, elle est à vous, je vous laisse
libre de gonfler l'engin chaque fois que vous le jugerez nécessaire pour lui apprendre
la célérité et l'efficacité . Si cela ne suffisait pas, vous m'en informerez, pour
l'instant j'ai à faire dans la salle rouge !

- aaaah, Monsieur le Marquis va passer d’agréables moments, dit-elle en riant et en se
tapant sur les cuisses !
- oui Marie, mais ce ne sera pas le cas de tout le monde ! lui répondit-il complice .

Lalielou, les mains croisées sur son pubis, les fesses remplies, attendait le bon
plaisir de Marie.
Le Marquis finit son café, se leva et sortit de la cuisine en sifflotant .

Pendant ce temps, Walter me traînait, plus qu'il ne me conduisait dans cet escalier où
mes talons aiguilles glissaient me faisant me tordre les chevilles. Il tirait trop
fort sur la laisse et me fit tomber à plusieurs reprises, meurtrissant mes genoux sur
la pierre froide des marches . Il n'avait que faire de mes gémissements .

- dépêche toi, me hurla t-il, tu dois être prête quand le Marquis arrivera, je n'ai
pas de temps à perdre .
Je m’empressais d’obéir et le suivis le plus rapidement possible

En gravissant les marches, je me fis la réflexion que l'escalier s'incurvait
doucement, comme s'il s'enroulait autour d'une tour.
J'étais tellement impatiente de
voir Monsieur le Marquis, que je n'avais pas remarqué cette tour en arrivant ce matin
...
Ce matin, seulement ce Matin, cela me paraissait déjà si lointain, .....

Au milieu de la montée, Walter s'arrêta devant une porte de bois sculptée . Massive,
elle était imposante mais cependant n'émit aucun bruit quand il la poussa . Elle était
rembourrée du côté intérieur et recouverte de tissus damassé rouge, piquée de gros
clous en fer forgés formant un magnifique quadrillage très élégant.

La pièce, que je découvris alors me coupa le souffle ! Elle était effectivement ronde
. C'est autour d'elle que l'escalier se lovait ainsi, l’enserrant comme le serpent
enserrait l'arbre de la connaissance au jardin d’éden. Mais là s'arrêtait la
comparaison car ce n'était pas au paradis que je venais d'entrer mais en enfer ....

(A suivre ...)

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