Trois C'Est Trop Pour Moi..

Les voila montées dans le tram: elles sont rieuses encore fières de leur blague faite
à un type pas
mal. Assises dans le même compartiment, si on peut parler de compartiment. Elles
racontent encore
une fois leur aventure. J’étais le seul à les entendre. D’après ce que je comprenais
elles avaient
poussé un garçon à se masturber devant elle sans retour de leur part. Elles
s’expliquaient comment
il faisait et la tête de déception quand il l’ai a vu partir.
Pour elles s’était d’un bon gout torride. Je ne pouvais laisser passer une telle
énormité:
- Si je vous demandais de vous branler, toutes les trois ensemble devant moi, je
trouverais cela
excitant et sans doute j’en ferai autant.
- C’est à voir.
- J’habite pas loin de la prochains station, je vous même chez moi pour voir.
La plus téméraire réponds,
- Chiche.
Je me vois embarqué dans une drôle d’affaire avec trois filles dégourdies. Elles sont
bien
assorties, même si je le les connais pas encore. Pour aller chez moi, j’en prends deux
par les bras,
l’autre donne un bras à sa copine et nous voila partis. J’ai lancé ce défis sans trop
réfléchir aux
conséquences. Dans le séjour, la seule pièce pouvant nous contenir à quatre, j’offre
en galant homme
un alcool. Je suis surpris de les entendre accepter un alcool mais fort.
Un whisky fait leur affaire, alors que je mon contente d’un bon armagnac. Elles n’en
sont qu’à la mi
verre quand je leur demande de tenir parole: elles doivent se branler les trois
ensemble devant moi.
La plus faraude commence à se déshabiller devant ses copines et moi. Pour elle une
bonne branlette
n’est valable que nue. Elle cherche un endroit où ranger ses affaires (bon exemple de
fille bien
élevée !!). Nous la regardons tous: elle est bien fichu: ses 18 ans y sont pour
beaucoup.

Elle
s’installe sur le divan, en face de ses copines qui ne peuvent faire autrement
qu’elle.
C’est bien la première fois que j’ai autant de belles filles nues chez moi. Elles sont
alignées
maintenant sur le divan. Je vois les chattes bien lisses en entier, bien mieux
qu’elles qui n’en
voient qu’une partie.
Que faire devant trois filles foldingues qui s’apprêtent à se donner du plaisir. Je
fais comme elle,
je me déshabille aussi. Ma queue est bien dressée. Les trois regards sont fixés
dessus. Je me garde
bien de me toucher, même si l’envie de m’en manque pas.
Par contre je ne me gêne pas pour regarder avec attention leurs doigts accélérer les
cadences pour
jouir. Je m’approche de ma première qui a commencé, je lui tends ma queue qu’elle
accepte sans
discuter dans la bouche. Elle a commencé par lécher le gland avant de la prendre en
entier dans sa
bouche avec un zèle rare. Je ne suis pas le premier à lui confier ma queue pour jouir
dans sa
bouche. Les deux autres la voyant faire viennent me lécher le reste de la queue depuis
le gland
jusqu’au couilles.
J’arrive à sortir ma pine de la bouche juste avant la catastrophe. Elles avaient
arrêter leurs
caresses individuelles quand celle qui me suçait prend une autre initiative, elle pose
ses mains sur
les chattes de ses amies pour les remplacer: elle peut les masturber elle-même. Elles
se laissent
faire avec facilité. A mon avis ce n’est pas la première fois, à voir sa dextérité.
Les deux autres filles sont bien assises contre le dossier, les têtes en arrière, les
yeux fermés,
profitant à plein de la caresse.
Cette fois je ne me retiens plus, je prends ma bite à pleine main, le prépuce descend
et remonte
comme je veux. Je sens ce merveilleux plaisir de la masturbation envahir mes reins.

Quand je sens
que je vais jouir, j’arrête tout: ma queue a des mouvements incontrôlés. Je patient un
peu avant de
recommencer.
Les filles après orgasme me regardent. Je me branle maintenant sous leurs regards;
sans aucune
honte, au contraire, je suis fier de leur montrer ce que je fais. J’ai peut être été
un peu trop
loin: elles sont envie de moi, de ma queue dans leurs ventres.
Je peux bien en satisfaire deux mais trois, c’est trop pour moi. Je ne désigne
personne pour baiser,
c’est la plus hardie qui vient directement se mettre sur moi, sur mes cuisses, le dos
contre ma
poitrine, ma pine entre ses jambes. Je sens contre mon sexe, le sien tout humide. Elle
se soulève
pour s’empaler sur ma queue. Elle le fait lentement: je suis plus qu’à l’aise dans sa
gaine quand
elle demande à une copine de venir la sucer. Je sens le sexe de celle que je baise et
la bouche de
l’autre, surtout son menton contre ma bite qui entre en sort. Je ne sais laquelle me
fait le plus de
bien. Elle accélère la vitesse pour jouir. Je suis moi aussi comme elle, j’ai besoin
de décharger.
Mon sperme gicle dans son vagin. Quand elle sort une partie en sort: il n’est pas
perdu, le reste
est vite avalé.
Coup de chance je ne débande qu’à peine. Je suis vite en forme grâce à une bouche.
J’ai droit à une
autre fille. Je veux changer de position: je la fait coucher sur le petit tapis, elle
a déjà les
jambes ouvertes, ce qui me permet de revoir sa chatte en entier, avant de me coucher
sur elle.
Accueillante elle lève un peu les cuisses pour que j’aille au tréfonds de son ventre.
Ses talons
sont sur mes fesses. Avec elle s’est réellement une baise consentie et partagée. Elle
jouit comme
j’en ai peu connue. C’est à la fois long et répétitif.
Elle n’arrête que quand elle n’en a plus la force, alors que j’ai encore envie.

Enfin la troisième me veut après les autres: ce n‘est pas un reste qu’elle veut. Elle
me veut
derrière.
- Encules moi fort.
- A te faire mal ?
- Bien sur, j’aime avoir mal au cul au début, c’est tellement bon après.
Elle sait ce qu’elle veut.: elle va l’avoir. Je la mets brutalement en levrette,
j’écarte ses
fesses, pose ma bite sur l’anus. J’entre en forçant puisqu’elle veut avoir mal, autant
que j’en
profite. C’est vrai que je dois la faire souffrir, à sec c’est déjà difficile pour ma
bite alors
pour son cul !!!
Elle hurle à peine enculée. Pourtant elle arrête vite pour dire que je ne la lui met
pas assez
profond que je ne vais pas asses vite, qu’elle jouit, elle en veut encore. Nous voyons
les deux
autres filles qui se masturbent en nous regardant.
Je m’efforce de tenir la coup.
Je ne peux plus tenir et pourtant j’en suis à ma troisième. Alors dans un grand
courant mon sperme
s’échappe: je jouis encore comme rarement.
Elles sont devenues folles, dingues de plaisirs: je les vois souvent séparées la plus
part du temps,
à deux souvent. Trois étant l’exception que je remplis souvent difficilement. Je ne
m’en plaint pas.

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