Maîtresse

Maîtresse

C’est vrai qu’il avait poussé le bouchon un peu loin avec sa belle fille par alliance.
Comme il adorait écrire des histoires olé-olé, un jour qu’il était en train d’en
composer une, et qu’elle était passée voir la belle mère, il n’avait pas pu se
décrocher de son corsage enfin plutôt de ce qu’il y avait dedans…

Il faut dire qu’elle exhibait deux beaux trésors qui auraient fait pâlir un saint,
alors lui qui avait déjà un esprit un peu… beaucoup… porté sur la question, il se
l’était tout de suite imaginé en train de faire l’amour avec son mari, gémissant de
plaisir sous ses coups de butoirs, ses deux seins écrasés sous le poitrail du mâle et
l’idée lui était restée en tête obsédante.

L’obsession ne le quittant plus et n’y tenant plus, il avait commencé à lui envoyer
des messages de plus en plus chauds, comme elle ne répondait toujours pas, ils étaient
devenus encore plus salaces.
Il s’imaginait en train de pétrir la chaire défendue, suçant les tétons la tête en
feu, sa main tremblante cherchant la chaleur du minou dans la culotte toute mouillée
de cyprine…

Et soudain ce fut la douche froide qui tomba quant elle lui répondit enfin, lui
ordonnant d’arrêter de lui envoyer des cochonneries, sinon elle allait le dire à toute
la famille…

Il s’empressa de retirer son numéro de son portable pour ne plus être tenté de
recommencer et il s’ensuivit une période assez froide lors des repas des jours de
fêtes. Elle avait du en parler à la belle-mère car, il eut droit pendant un certain
temps à l’hôtel du cul tourné en punition.

Pourtant, il ne put s’empêcher d’écrire une historiette dans laquelle elle tenait le
rôle d’une maîtresse autoritaire qu’il appela « La Garce »
Et quelques temps passèrent jusqu’à ce réveillon ou pour cadeau il reçu un livre
qu’elle lui remis avec un petit sourire narquois en lui expliquant qu’il s’agissait de
devinettes…
Il s’appelait ‘La Grande Illusion’

Le lendemain matin, il ne put s’empêcher bon prince de la féliciter pour son choix en
lui envoyant un mail dans lequel il faisant son mea-culpa, reconnaissant qu’il avait
bien rit dans sa barbe en voyant le titre mais qu’il avait été, c’est vrai un peu trop
loin.

Mais ne voulant pas en rester là, il lui expliquât qu’il avait écrit une
histoire ou elle tenait le beau rôle suite à ce … débordement sentiment et qu’il la
lui joignait. Le résultat n’allait pas attendre mais ce ne fut pas celui espéré…

Un après midi alors qu’il était en train de boire une bière chez eux, il s’empourpra
soudain en entendant Cécile dire à son mari :
Tu sais qu’il s’occupe bien des messieurs !!!
C’est vrai qu’il s’était inventé ce rôle dans l’histoire qu’il lui avait envoyé mais,
ce n’était qu’une histoire.
A l’air narquois de Jean son mari, il comprit que cette garce lui avait fait lire
l’histoire et il comprit que le couple allait lui faire boire le calice jusqu’à la lie
Ma foi, si cela pouvait la faire jouir peut-être que…

La queue de Jean étirée sur son ventre se devinait tendue sous la braguette du jean
que les petits doigts caressaient doucement et, quant elle descendit d'une main
hésitante la fermeture éclair du pantalon, l'odeur du mâle se dépendit dans l'air, non
pas celle du sperme mais celle particulière qu'ont les effluves masculines lorsque le
mat commence à se tendre, décalottant le gland baveux...
Pourtant il ne semblait pas être très excité car la queue restait immobile sans ses
secousses impétueuses du sexe à la recherche de l'antre féminine, finalement, s'il
était monté comme un bourricot, il n'avait pas l'air d'être exagérément porté sur la
chose et la petite main féminine se mit à frotter la colonne à travers le slip,
ignorant superbement sa présence

Ils avaient décidé de lui faire tirer la langue c'est sûr.

Sa petite main était passée dans le slip de son mâle qui pas gêné du tout s'était
penché en arrière, lui livrant sa queue pour faire joujou à son aise. Elle pinçait le
bout de la queue entre ses doigts et il devinait le bout du gland qu'elle titillait en
le coinçant dans son fourreau, elle branlait doucement la colonne tout en le fixant
avec un sourire narquois aux lèvres.
Elle savait bien cette garce qu'il allait bientôt
être obligé de se branler comme un con devant sa chatte bâillante.

Malgré son air narquois, elle devait commencée à être très excitée car il pouvait voir
ses grandes cuisses fuselées se serrer régulièrement frottant les grosses lèvres
poilues de sa minette l'une contre l'autre, impatiente qu'elle était d'être
explorée...

L’excitation montant, elle ne put se contenir davantage et faisant glisser le slip
gênant, elle libéra la grosse bite de sa prison de coton. C'est vrai que c'était joli
une dame en train de s'occuper d'une queue, il voyait ses petits doigts branlant
doucement la grosse colonne, il s'imaginait la fraîcheur que la petite main sur le
pis bouillant, elle remontait doucement vers le gland, le décalottant et le re-
calottant et, arrivée à la base du gland, elle le serrait par petits coups pour
l’exciter encore plus, lui faisant cracher des petites gouttes de spermes qu'elle
frottait sur ses lèvres, prenant soin de ne pas les avaler. Elle adorait avoir la
bouche toutes poisseuse de sperme, non seulement ça rendaient ses lèvres collantes
mais, l'odeur du jus du mâle qu'elle adorait lui restait sur la figure, l'embaumant
de son fumet.

Il ne put résister davantage, sa queue emprisonnée de travers dans son slip essayait
désespérément de se tendre prise dans les replis du tissu et dégrafant la fermeture,
il la libéra, la laissant se balancer enfin libérée…

Visiblement, elle n'attendait que ça et, le fixant droit dans les yeux, elle se mit à
lécher la queue de son mâle à grands coups de langue pendant qu'il était obligé de se
masturber devant elle...

Elle avait entourée les deux grosses bourses poilues au creux de sa main et elle les
malaxait doucement, prenant grand soin de ne pas les serrer de trop et la caresse de
ses petites mains commença à faire son effet: la colonne se mit à avoir des
soubresauts, il voyait pour la première fois en gros plan une autre queue que la
sienne se mettre en action, à chaque coup de langue le long de la veine bleue, la bête
se mettait à vibrer, comme attirée par un aimant et quand enfin elle la prit à pleine
main pour la branler, le monstre se dressa soudain, battant la chamade, les perles de
rosées sortant de plus belle au bouts du gland en répandant une odeur de foutre dans
toute la pièce.


En la voyant rapidement retirer sa petite culotte et enjamber Jean, il comprit qu'elle
avait l'habitude de mener les opérations. Mais, il resta baba quant il la vit
s'installer sans façon sur le ventre du mâle, ses cuisses largement écartées
libéraient sa vulve bordée d'une toison très foncée. Elle s’empala doucement sur la
colonne la coinçant dans sa fente bouillante, montant et descendant doucement en
s’arrêtant sur le gland vibrant de plaisir, elle le gobait littéralement dans son
antre contractant ses cuisses pour le pincer puis, quand elle sentait que Jean
impatient allait s’enfoncer en elle impétueusement, ses lèvres ardentes gorgées de
cyprine reprenaient leur va et vient sur la veine bleue excitées par les battements de
la verge enfiévrée sur son clito affolé.

Enfin elle se souleva soudain moite de désir, laissant le mât se redresser raide et
fier et se laissant porter par les mains de Jean qui la soutenait, elle se laissa
descendre doucement sur la queue vibrante de désir en poussant un râle de plaisir et
pétrissant ses deux petits seins à pleines mains, elle se coucha consentante sur le
mâle, se livrant à lui et à ses désirs…

Elle se demanda pourquoi il lui relevait la cuisse en la besognant, la maintenant
couchée sur le coté au lieu de l’écraser sous lui comme d’habitude et, ce n’est qu’en
sentant la chaleur du beau père contre son dos qu’elle compris que la solidarité
masculine n’était pas un vain mot…

Elle se mit à grogner mais pour toute réponse, Jean écrasa ses lèvres sur les siennes,
fouillant sa bouche de sa langue impétueuse pendant que la main bouillante du beau
père s’emparait d’un de ses seins le pétrissant doucement laissant passer la chaleur
du mâle à travers le mamelon avide de caresses pendant que sa queue battait la chamade
contre ses fesses...

Après tout, il serait temps de leur faire payer tout ça demain et s’alanguissant, elle
laissa le gros mandarin venir se frotter contre sa rosette déjà détrempée de sa
cyprine qui avait coulée de sa chatte baveuse et quand elle sentie la pression du
gland violacé qui commençait à ouvrir la porte du sanctuaire, elle se mit à gémir de
plaisir coincée entre les deux mâles et quand Jean se raidit soudain, elle enfonça ses
ongles dans son dos se laissant soulever par les deux queues qui l’inondèrent de leurs
foutres la serrant comme un étau contre leur deux poitrines velues…



Ecrivain

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!