Déchéance D'Un Mari Infidèle - Le Commencement

Je suis marié à Alicia depuis six ans. Comme beaucoup de couples nous nous sommes connus dans le milieu professionnel, le domaine de l'assurance dans notre cas. J'étais courtier, employé dans un grand cabinet. Elle était directrice d'un autre cabinet, dont sa famille est propriétaire et qui compte cinq agences dans la région. Agnès est une jolie brune au corps élancé, douée d'une classe naturelle qui fait se retourner les hommes sur son passage, mais les intimide également. C'est elle qui est venue vers moi à l'occasion d'un séminaire. Nous avons sympathisé, bu quelques verres puis quelques-uns de trop au cours du cocktail, nous avons échangé notre premier baiser dehors sous prétexte de fumer une cigarette, et nous avons fini la nuit dans ma chambre. Nous nous sommes réveillés amoureux, et six mois plus tard nous étions mariés, et moi nommé gérant d'une agence appartenant à ma belle-famille.
Jusqu'à ce que je recrute Nadia comme assistante, puis que je séduise Nadia, puis que Nadia devienne ma maîtresse. Et au bout de deux mois ce qui devait arriver arriva. Un soir Agnès m'attendait debout au milieu du salon, encore vêtue du tailleur pantalon qu'elle portait au bureau.
L'esprit encore au travail car je venais de terminer un rendez-vous important je me suis approché d'elle pour l'embrasser et j'ai pris en plein visage la plus magistrale claque que j'ai jamais reçue. J'ai bafouillé quelque chose comme "mais ma chérie que t'arrive-t-il" ou quelque chose d'approchant, et en réponse j'ai reçu une deuxième baffe tout aussi assourdissante. Agnès m'a désigné la table de la salle à manger :
- Assieds-toi, on va parler tous les deux
Je voyais qu'elle était habitée d'une colère froide, dévastatrice. En me frottant la joue j'ai obéis et me suis assis.
- Je t'explique : je sais que tu me trompes depuis des mois, je sais que c'est Nadia, je t'interdis de nier, je t'interdis de parler, tu m'écoutes et tu la fermes. Si tu as tout compris tu hoches juste la tête.


J'ai hoché la tête, pour comprendre j'avais très bien compris et j'imaginais déjà le divorce, la perte de mon job et ma recherche d'emploi, ment compliquée car ma belle-famille connait tout le monde dans la région.
- Que ce soit très clair : je ne veux pas divorcer. Par contre ta situation et notre relation vont un peu évoluer.
Elle me tendit une liasse de papiers :
- Premièrement vas me signer ces documents et à partir de demain tu n'es plus gérant de l'agence. Deuxièmement c'est Nadia qui devient gérante.
Je tombais des nues. Comment pouvait-elle donner une promotion aussi importante à la maitresse de son mari ?
- Je vois que tu es surpris, mais c’est très simple. Je suis allée voir ta si jolie maîtresse, je lui ai proposé le poste et en échange elle m'a écrit une longue lettre dans laquelle elle t'accuse de lui avoir fait du chantage sexuel en la menaçant de la licencier.
Je n'ai pas pu me retenir :
- Mais c'est faux ! Tu sais bien que...
Je n'ai pas eu le temps de finir ma phrase, elle venait de m'envoyer une claque aussi forte que les précédentes, qu'elle doubla immédiatement. J'en ai vu des chandelles et j'ai vacillé sur ma chaise. Pitoyable j'ai murmuré :
- Ne me tape plus, Agnès s'il te plait ne me tape plus, en tentant de me protéger le visage de mes bras
- N'élève pas la voix avec moi, c'est le dernier avertissement. Il faut que tu saches également que depuis l'année dernière il y a eu beaucoup d'irrégularités dans la gestion du cabinet : quelques factures gonflées, des oublis avec l'URSSAFF, un peu de bénéfice non déclaré. Bien sûr tu n'y es pour rien c'est le comptable qui gère tout cela selon mes directives, mais tu es gérant... et donc susceptible d'être condamné je dirais à au moins trois ans de prison... sans compter le harcèlement de Nadia et le chantage sexuel, bien sûr. Est-ce que tu comprends mieux ta situation "mon chéri" ?
Je comprenais parfaitement que j'étais piégé, mais je n'imaginais pas ce qu'elle voulait.

- Pourquoi tout cela et ne pas divorcer ?
- Mais pour me venger, imbécile, juste pour me venger. Vois-tu, dans les documents que tu dois signer il y a également ton nouveau contrat de travail : c'est toi qui devient la nouvelle assistante du cabinet. Evidemment avec quelques aménagements, le salaire juste au smic, et quelques tâches autres que le secrétariat, car tu es également chargé du ménage du cabinet, j'espère que tu es content ?
J'étais effondré mais je n'avais pas encore touché le fond.
- Tu vas également me donner les clés de ta voiture et ta carte bleue.
- Mais comment je vais aller travailler ?
- A pied, bien sûr ! Il n'y a que sept kilomètres, si tu ne traînes pas trop en deux heures tu y es. Et puis si tu es très sage, peut-être que de temps en temps je te donnerai un ticket de bus, je suis gentille, non ?
Un sourire ironique et cruel ne quittait pas son visage. Elle voulait m'humilier comme elle s'était sentie humiliée par mon infidélité, et je n'avais pas d'autre choix que d'accepter, sinon j'allais me retrouver d'abord devant un tribunal puis en prison pour quelques longues années.
- A la maison également il y aura du changement. J'ai diminué le contrat de la femme de ménage, c'est toi qui entretiendra la maison, j'ai calculé que cela te prendrait environ une heure par jour. Bien sûr tu prépareras aussi les repas. Avec les temps de trajet à pied cela va réduire un peu tes nuits mais tu devrais pouvoir dormir environ six heures si tu ne traînes pas. Tu n'as plus rien, tu me demanderas à chaque fois que tu auras besoin de quelque chose.
- Agnès, pardonne moi je suis désolé, je te promets que tout ça est fini. S'il te plait fais-moi confiance je ne recommencerai pas mes erreurs, ce n'est pas la peine d'être aussi dure. Je veux être à nouveau l'homme que tu aimes.
- Décidément tu oses tout ! Mais c’est d'accord, je vais te pardonner... peut-être. Et dans très longtemps. Et en fonction de ton attitude, bien sûr.
Et donc peut-être qu'un jour je lèverai quelques-unes des punitions, selon tes progrès. En attendant ce sont ces règles qui s'appliquent. Un dernier détail : ne crois pas que tu vas pouvoir te reposer au bureau : Nadia me fera un compte rendu quotidien et vois-tu elle s'est lassée de toi, elle m'a expliqué qu'elle était tombée amoureuse, d'un prof de lycée qui est client au cabinet je crois, et que pour elle dès demain tu ne seras plus qu'un simple petit employé sans la moindre importance. Je crois qu'elle tient à garder son poste de directrice, ça doit jouer un peu aussi tu ne crois pas ?
Anéanti j'ai signé les contrats et j'ai donné à Agnès ma carte bleue, mon chéquier et les clés de la voiture. Elle m'a même fait vider la monnaie de mes poches pour être sûr que je dépendais entièrement d'elle.
- Tu peux disposer me dit-elle..
Il était tard, je suis allé prendre une douche. Quand je suis sorti de la salle de bains j'ai voulu rejoindre notre chambre mais elle m'a arrêté.
- Tu imagines quoi espèce de porc ? Que tu vas dormir dans le mêle lit que moi ? Tu veux me baiser, aussi ? C'est fini tout ça.
Elle m'expliqua que ma place était maintenant dans la plus petite des deux chambres d'amis, celle qui avait un lit étroit d'une place. Je m'apprêtais à rejoindre ma nouvelle chambre mais je n'étais pas encore au bout de l'humiliation pour ce soir là. Agnès me jeta un objet que je rattrapais in extremis avant qu'il ne tombe par terre, sans savoir ce que c'était. Lorsque j'ouvris les mains je vis qu'il s'agissait d'une cage de chasteté en plastique et en métal.
- Tu la mets tout de suite, ça t'évitera les tentations. Tu vois j'ai été très frustrée ces derniers temps quand tu ne me touchais plus. Tu vas savoir ce que c'est. Allez, exécution !
J'étais en boxer et en t-shirt, sous ses directives j'ai dû baisser mon boxer jusqu'aux chevilles et m'harnacher de la cage. J'ai eu du mal mais j'ai réussi à boucler le petit cadenas sur l'anneau.
Mon pénis était à l'étroit, je ne risquais pas de bander et c'était très inconfortable.
Agnès alla s'enfermer dans ce qui était jusqu'à maintenant notre chambre. Moi je suis allé me coucher dans le petit lit de la chambre d'ami, ma queue enfermée dans la cage. Je me suis retourné pendant des heures sans trouver le sommeil et en ressassant tout ce que j'avais perdu ce soir-là. J'ai fini par m'endormir ; il était plus de trois heures du matin.

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