Contre Jour

Je ne peux oublier la première fois où nous nous sommes vus. Elle
était à contre jour, pile en face du soleil. Je voyais son corps par
transparence, surtout ses jambes, magnifiques jambes. Je n'ai vu le
reste que quand nous nous sommes croisés. Je la regardais
tellement qu'elle s'arrêtait pour me demander pourquoi je la fixais
ainsi.
Vous être très belle et ..... désirable. Elle en rougit avant de me
donner une gifle. J'arrêtais sa main et la gardais.
Elle est toujours belle et désirable. Depuis que nous sommes
ensemble nous faisons l'amour sans complexe.
Avant il faut que j'explique comment les événements ont évolué.
Après avoir gardé sa main je l'ai embrassé: elle me laisse faire et
j'en profite pour m'approcher d'elle et en l'enlaçant je peux
l'embrasser sur la bouche. Au début elle ne veut pas de mon baiser
et enfin elle entrouvre ses lèvres. Nos langues se caressent et à ce
moment je crois enfin que j'ai gagné la partie. Bernique la
demoiselle est sage et ne veut pas se compromettre avec un type
comme moi. Je lui prends le bras et elle se laisse conduire. Je ne
vais pas loin: je lui offre un café qu'elle accepte. Enfin je suis assis
près d'elle et nous bavardons. Il n'ai jamais question de sexe ni
d'amour, sauf que je lui répète qu'elle est très belle et qu'elle me
plait. elle semble heureuse de se faire flatter même par un homme
que je trouve, moi, quelconque. En fait de café nous ne le buvons
pas: il refroidi tout seul pendant que nous parlons. Au moment de le
boire froid, nous éclatons de rire. Elle a un rire qui me donne encore
plus envie d'elle. Je l'embrasse encore; cette fois elle ne se dérobe
pas. Elle me semble que le point de craquer. Je pose une main sur
sa cuisse. Elle me repousse, elle sait ce que je veux. Peut-être
pense-t-elle comme moi.

Je ne sais que penser. les femmes sont
compliquées pour les conquérir. Elles savent faire traîner les galants
pour mieux les accrocher par la suite.
C'est son cas. D'elle même elle me donne rendez-vous pour le
lendemain après midi dans ce café justement vers 17 heures. Le
temps me dure de la voir. J'en prends mon parti en espérant qu'enfin
je pourrais aller plus loin que des baisers. Je passe une nuit agitée:
j'ai envie de cette fille et je l'aurais un jour. Mais voilà quand ?
Le matin je me réveille avec la gaule, comme à peut près tout les
jours. Je me lève avec la queue en l'air: je ne peux résister et je
répond à cet appel de ma bite; je me branle en pensant à elle dont
je ne connais même pas le nom.
Enfin je la retrouve à l'endroit voulu par elle. Je m'approche et elle
me tend la main. Drôles de façons: je lui prends la main et la porte à
ma bouche sa l'embrasser. Sensible à ce geste elle m'incite à
m'asseoir. Nous prenons un simple thé. Je l'enlace et enfin je
l'embrasse encore et encore. Nos lèvres semblent collées. Encore
une fois je pose une main sur sa cuisse. Elle ne me repousse pas.
Je veux aller plus loin: elle se lève et me demande de la suivre. Je
n'ose pas lui demander où. Je la suis. Cette fois elle me guide
vers.... chez elle.
Je l'embrasse encore une fois et elle m'arrête pour m'embrasser le
cou. Je profite d'elle en lui posant une main sur la poitrine. Elle se
cabre: pas encore. Je ne vais pas rester avec une fille qui est
d'accord à un moment et dit non de suite après.
J'ai tords: elle ne veux pas que je la touche de trop près, alors
qu'elle pose sa main sur ma bite. Je bande et elle me caresse à
travers le pantalon. Cette fois je n'hésite plus: je lui mets la main sur
son bas ventre directement. Elle supporte ma privauté et j'en profite
pour relever lentement la robe pour arriver à ses cuisses.

Elle ne me laisse pas le temps d'arriver à mon but quand elle me
sort la queue et la branle pour de bon. Je suis saisi par le plaisir que
me donne sa main. Elle s'arrête brusquement et je recommence
mon expédition vers son sexe. Je n'ai pas le temps: elle se penche
et sans ses mains elle descend mon prépuce et me lèche le gland.
Je ne sais où elle a appris à sucer, c'est en tout cas une merveille,
ma reine de la pipe.
J'en oublie de continuer mes caresses. Elle n'oublie rien: elle me
lâche et sans rien dire elle se déshabille totalement. Ce que j'avais
vu à contre jour n'est rien par rapport à ce qu'elle offre: une véritable
splendeur. Je me déshabille à mon tour: elle me regarde faire sans
rien dire. Enfin elle vient se coller à moi et j'en profite pour enfin lui
caresser les seins. J’embrasse ses aréoles tendrement et pose
cette fois ma main pile sur son entrée de con. Elle écarte les jambes
comme une invite à aller plus loin. je caresse son bouton et je la
branle lentement. De son coté elle me prend la pine, la branle et me
met un doigt dans le cul. J'aime bien ce qu'elle fait. Soudain elle
gémit en jouissant. Elle ne m'attends pas mon orgasme et
m'entraîne sur le lit: Nous sommes blottis et je recommence à la
branler. Elle m'arrête pour venir me sucer. Elle recommence une
fellation comme je n'en ai jamais connu. Elle s'arrête juste le temps
de m'enjamber et me donner son petit truc à sucer. Je prends son
abricot à pleine bouche et je goûte sa cyprine en m'en régale.
J'aspire complètement son clitoris et le lèche longuement. Je ne
sais comment elle fait: nous jouissons ensemble. Elle avale mon
sperme et s'en délecte comme mi avec sa mouille.
Nous revenons l'un contre l'autre: je lui caresse distraitement un
sein. Elle s'occupe de ma queue et la mignote tant qu'elle me fait
encore bander.
Je m'apprête à la baiser. Pourtant elle ne veut pas
encore. Elle me suce encore et n'ouvre ses jambes que quand elle
me sent très dur. Enfin je peux la baiser. Elle pose ses talons sur
mes fesses et dirige la cadence, lente au début et plus rapide vers la
fin ai moment de jouissance. Elle sait que je n'ai pas jouit: elle se
tourne légèrement et me donne ses fesses, bien mouillées entre les
quelles je rentre sans difficulté. Je jouis enfin ans son anus.
Nous baisons toujours.

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