Une Semaine De Célibat Inattendue Deuxième Partie

30 degrés à 10h00, vive la Lorraine, on n’a pas fini de cuir. Heureusement, j’ai un tee-shirt et un bermuda, je ne porte pas de caleçon, car avec ses températures, ce n’est pas agréable. Je sors la valise de Lucette et je la suis, la porte s’ouvre et je vois Safiatou, elle porte un débardeur et une jupette ample qui ne descend pas bien loin. Lucette fait les présentations en expliquant ses déboires. Un bon gabarit, cette femme !certainement plus de 130kg, a mon avis, assise, ses seins devaient toucher ses cuisses et je vis un fessier d’une largeur impressionnante, d’énormes cuisses frippées mais elle a de beau restes, ce n’est pas peu dire, elle doit approcher des 80 ans, cheveux blanc-bruns mi-longs tressés. Safiatou me remercia elle aussi de ma gentillesse et proposa à Lucette de m’offrir un café. Vous n’allez pas dire non, et puis vous avez tout le temps, nouveau célibataire momentané que vous êtes s’esclaffa Lucette. Allons-y pour un café, c’est vrai que j’ai tout mon temps, Lucette étant bavarde, je ne vais pas m’ennuyer. Nous entrons dans la maison, je suis Lucette vers le salon, c’est une grande pièce avec un grand canapé en U et une grande table basse au centre. Lucette s’assoie à coté de moi, puis Safiatou nous amène le café et s’assied en face de nous. Nous discutons de tout de rien, comme quoi elle était contente de discuter avec un homme, ca manquait à la maison. Serait-ce une mamie coquine ? Pour son âge, elle n’était pas si mal, bien entendu, quand on pense au sexe, un début d’érection se produit, et depuis quelques minutes j’avais des palpitations et des bouffées de chaleur!! Zut, une ma queue commence à se dresser, je mets mes mains avec ma tasse devant la bosse, ca cache tout, (je suis dans la norme 17x5.5). Puis Safiatou se lève, me propose de reprendre du café, bien volontiers lui dis-je, mais se faisant, en versant le café dans la tasse que j’avais dans la main, ca coule à coté, sur mon bermuda ! Je suis désolée me dit elle, je vais réparer ça ! Elle part à la cuisine chercher une éponge, arrivé devant moi elle se penche, je vois ses 2 mamelles qui sortent presque de son débardeur, ma queue continue a faire son cinéma dans mon bermuda, et puis, le plus naturellement du monde, elle pousse mes mains et commence a frotter avec l’éponge mouillée la tache de café et se faisant se rend compte de mon état.

Elle se mit à rire et s’adressant tout de go à Lucette : je crois que ton invité est indisposé, il bande !! En plus la tache ne part pas, il va falloir laver le bermuda. Lucette me regarda avec un sourire, me retira la tasse des mains, allez, on obéit à la dame. Safiato tira sur mon bermuda, et je me retrouvais les fesses à l’air, la queue tendue devant ces 2 mamies. Safiatou s’assied à coté de moi, Lucette tend la main vers ma queue en disant : ça faisait longtemps qu’on n’avait pas eu un vrai sexe devant nous ma belle, les objets en plastique ca va, mais ca ne remplace pas une vraie, bon elle n’a pas la même taille que celle de feu ton mari, mais elle est honorable. Dis-voir, coquine tu n’aurais pas fait une blague à notre invité pour qu’il soit dans cet état ? Safiatou éclata de rire : j’ai mis dans son café une pilule blanche, on a du stock, vu que mon homme n’est plus là pour nous satisfaire, je me suis dis, que peut-être, ca te ferait plaisir, et à ce que je vois, c’est oui. Je reviens, je vais chercher le carton dans la chambre, tu vois de quoi je veux parler. Oui répondis Lucette, on peu se tutoyer mon jeune invité, oui jeune à 56 ans et moi 84 tu es jeune, même pour Safiatou qui en a 82, aller, allonge toi, ca reposera ton palpitant, je ne voudrais pas que ton cœur nous lâche minauda t’elle. Et me voici allongé sur le canapé, la queue dressée, ma tête posée sur une jambe de Lucette, sa deuxième jambe reposait près de mon cou, elle avait relevé légèrement sa jupe et je voyais sa petite culotte et devinais un minou avec des poils tout blancs. Sur ce, Safiatou arriva avec son carton mystère quelle posa sur mes jambes.

Fin de la 2eme partie