Pas De Pénétration

Tu as voulu partir, c'est ton droit. Sache quand même que je t'aime.
Je sais pourquoi tu es partie. Tu ne voulais que des caresses. Je
voulais faire de toi une femme accomplie et tu n'a jamais voulu
que je te pénètre, soit disant pour rester vierge jusqu'à ton mariage
et je ne voulais pas me marier.
Pourtant quand je te caressais les seins, les fesses ou que je
mettais ma main entre tes jambes tu disait simplement que tu
aimait. Quand je te branlais le clitoris tu jouissait à chaque fois.
Quand je te caressais tout le tour de ton cul tu aimait et en
redemandait toujours. J'aimais te lécher le con en entier et te sucer
clitoris en particulier tu gémissait toujours juste avant de jouir. Tu
aimait avoir ma bite dans ta bouche pendant nos 69 et tu me
demandait de jouir en toi. J'aimais m'oublier en toi et tu dégustais
mon sperme.
Je t'ai souvent demandé de te baiser comme tout homme l'aurait
fait. Tu refusais sans arrêt. Un jour j'avais réellement besoin de
sentir autour de ma queue autre chose que ta main; je voulais un
sexe féminin. Tu n'avais pas compris ce besoin somme toute
naturel.
J'ai alors cherché autour de moi une autre fille non pas pour te
laisser tomber, simplement baiser. Sans m'en douter que je tombais
sur une de tes connaissances, même pas une amie. Je l'ai baisé
plusieurs fois. Quand je la tenais dans mes bras et que j'avais ma
pine dans son con je pensais qu'à toi. Je l'ai même sodomisé et je
pensais toujours à toi: je me voyais d'enculer et réagir comme cette
fille qui jouissait.
Bien sur tu a sur que ma queue avait servi avec une autre: tu m'en
a voulu. Tu m'en a tellement voulu que tu m'a lâché alors que je ne
faisais que te désirer.
Quelques jours après je t'ai revu et je me suis approché de toi. Tu
ne m'a pas rejeté.

Je t'ai embrassé sur la bouche et nous nous
sommes embrassés comme la première fois. C'est toi même qui
m'a invité à aller chez toi. Tu ne l'avais jamais fait au paravent. Je
t'ai pris dans les bras et tu a eu pour moi un geste que je n'oublierai
jamais: Tu a pris ma main et l'a posé sur ton bas ventre pour que je
te caresse le clitoris. Je t'ai branlé et tu n'a pas attendu que je
finisse: tu t'est déshabillée, tu a sorti ma queue et tu a commencé à
me branler. Et ça me branler tu savais bien le faire.
Le plus remarquable c'est que de toi même tu te soit mise nue sans
que je demande rien. Tu m'a même déshabillé pour que nous
soyons bien à l'aise.
La suite qui m'a étonné encore plus: tu m'a emmené dans ta
chambre et tu t'est couchée. Je t'ai caressé à peu près partout. Tu
fermait les yeux et te laissait faire sans rien dire. J'ai mis ma main
sur ton bouton et je l'ai branlé. Tu a jouit en gémissant un peu. Tu
m'a rendu la pareille en me prenant la bite dans ta main et tu t'ai
arrêté rapidement sans me faire jouir, comme tu le faisais avant. Tu
a remplacé ta main par ta bouche et tu m'a passé la langue sur mon
gland avant de prendre presque toute la queue dans ta bouche. Tu
a arrêté encore bien avant que je jouisse.
Et là, j'ai eu la surprise de d'entendre dire que je pouvais te baiser.
Enfin te baiser................
Tu est sur le dos, les jambes bien ouvertes: je vois ton sexe et ton
petit trou en entier. C'est excitant, même si je l'ai déjà vu. Tu m'as
demander de poser mes lèvres sur les tiennes. Je me suis couché
sur toi pour t'embrasser et ma bite se trouvait bien en érection juste
à l'entrée de ton con. Tu l'a prise en main et l'a posée pour que je
rentre facilement en toi. C'est toi qui a poussé un peu en avant et
ma queue se trouvait juste à l'entrée de ton hymen. Je suis sur le
point de cueillir ta fleur.
Je vais lentement je ne veux pas te faire de
mal. C'est encore toi qui d'un coup de rein t'es dévirginisée. Tu as
juste poussé un tout petit gémissement de douleur. Je suis au fond
de ton con et je commence mes allers et venues. Tu est comme
une souche, tu ne bouges pas d'un poil. Et d'un seul coup je ne sais
commence tu a gémir cette fois de plaisir. Je limais ton vagin, je
prends de plus en plus de plaisir. Et toi tu commences à en avoir
puisque tes gémissements se font de plus en plus sonores. Le ciel
des amant fait bien les choses: nous avons joui ensemble. Je reste
en toi tout le temps de notre jouissance. Je commençais à
débander: Popaul sort tout seul.
Nous sommes enlacés et comme pour célébrer cet événement nos
corps serrés ne pouvaient plus se détacher. Je t'ai encore
caresser, cette fois comme tu aimais autour de ton cul. Tu en a jouit
et ça ma fait bander.
Tu a encore fait une chose que je ne connaissais pas: tu t'est
branlée avec vigueur en te mettant deux doigts dans le con. Je
bande encore plus. Tu m'a demandé de te la mettre au cul et bien
sur j'ai accepté le don de la virginité de ton petit trou. Avant de le
faire j'ai remis dans ton con ma bite et l'ai posée sur ta pastille. J'y
allais avec prudence. Je rentrais à la lenteur d'un escargot en rut:
doucement. Je te sentais crispé et je te demandais de te détendre.
Tu m'écouté et j'ai pu rentrer dans ton cul assez facilement.
heureusement que je venait de jouir: ton antre de derrière était plus
accueillante que je ne le prévoyais: Je ne tarderai pas à y jouir
encore. Mais à ton tour tu jouissait plusieurs fois: j'en étais très
étonné.
Nous baisions plusieurs fois. Les jours suivant étaient pareils. Nous
ne pensions plus qu'à ça. Nous préférons la sodomie: tu aime te
branler pendant que je suis en toi
C'était il y a vingt ans.
Depuis nous nous sommes mariés et avons
3 s, de l'amour, puisque nous baisons toujours avec
autant de plaisir.

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