Yvette, Médecin

Je sais que la suivante sera encore plus salope. Quelque chose me le dit. Je viens de
me faire remballer par la copine que j’avais depuis presque un an. Elle baisait bien
pourtant. Les nuits passées ensemble étaient des véritables romans érotiques, à croire
qu’elle avait lu à la fois Sade, histoire d’O ou la vie amoureuse de Catherine M et
tout ce qui s’y rapporte. Je regrette déjà ses fellations accentuées par les caresses
sur les couilles, et le cul. Quand elle voulait une fellation c’était sous condition
de lui mettre eux ou trois doigts doucement dans l’anus. Quand nous faisions des
trios, elle en était à la base, soit avec, ce que je préférais un autre fille, soit
avec un autre homme: elle adore les doubles pénétration. Un jour après une double
particulièrement ratée, elle m’a fait retombé la faute sur moi, comme si c’étais de ma
faute si l’autre débandait. Je l’ai baisé en lui mettant trois doigts dans le cul:! Il
lui manquait le poids de l’autre. Pourtant elle a essayé de le faire bander sans
succès.
J’en suis réduit à trouver une fille plus dévergondée. Je fais appel à un copain;
l’amant de ma sœur; pour qu’il m’aide. Il me fais penser aussitôt à une de ses ex
qu’il a laissé tombée pour la sœur. J’avais oublier qu’il avait des goûts immodérés
pour les filles spécialement tordues. Je me lançais donc à la conquête d’Yvette, une
fille médecin, qui en dehors de sa profession ou au cause d’elle avait toujours des
amants très chauds.
Ce matin donc, je suis malade. Comme je sais que je lui plait, elle me demande de me
déshabiller. Je garde mon slip pour me coucher sur la table d’examen: pas suffisant,
je dois être nu quand elle le demande. Elle prend ma tension, m’ausculte avec son
stéthoscope, appuie un peu partout sur le ventre. Je commence à bander sans me gêner,
elle décalotte la queue, la recalotte pour recommencer: elle commence à me branler.

Je
la laisse faire, elle s’y prend fort bien. Quand elle sent que je vais jouir, elle
arrête tout, m’embrasse sur la bouche, Je peux passer ma main entre ses jambes,
malheureusement elle porte un pantalon. Je ne peux la branler.
Elle m’arrête aussi:
- Je ne suis pas libre, mon mec me baise assez bien, pour le moment il me suffit.
Dommage, j’avais un truc neuf à te montrer.
- Quoi donc ?
- Pas la peine ton amant te suffit. Dommage pour toi et ton sexe. Tu aurais apprécié.
- Tu sais que j’en connais un peu plus que ce que tu crois.
Pour me faire parler, elle a repris ma bite et recommence à me branler. Cette fois je
vais me laisser faire jusqu’au bout. C’est un fait qu’elle sait branler comme il
convient: j’envie souvent son mec. Elle arrête au moment où je commençais à jouir,
juste une seconde avant. Je suis obligé d’inventer sur le champs ce qu’elle ne connait
pas encore. Il faut qu’elle soit presque nue, en touts cas le bas du corps. Elle se
déshabille complètement, m’offre son sexe; A tant qu’y être je la suce juste un peu
pour être certain qu’elle mouille. Je la fait coucher à ma place, elle écarte les
jambes juste ce qu’il faut. Je commence par la branler un peu, je mets le pouce dans
son vagin, je le fait aller et venir. Elle ferme un peu mes yeux, j’enfile ensuite
l’index dans l’anus. Je fait coulisser les doigts en sens inverse. Elle se tend vers
ma main. Je pensais lui faire une chose qu’elle connaissait, non pour elle c’était une
caresse inédite. Elle gémit pas mal, elle crie presque quand elle jouit.
Je fais une proposition pas honnête du tout. Je deviens son amant bis, c’est à dire
que je la baiserai quand elle aura envie d’être prise des deux cotés à la fois. Je
sait qu’elle aime bien ça, jusqu’à présent elle fait appel à l’amant de ma sœur.
Pour sceller notre accord, je lui demande de me baiser normalement sur sa table
d’examen.
Elle vient de jouir plus que d’autres fois. Maintenant c’est à elle de me
montrer de quoi elle est capable. Elle enlève tout ce qu’elle a qui lui reste. Nue
elle est particulièrement sexy et aguichante comme une fille de 32 ans peut l‘être.
Elle vient sur moi, s’allonge contre moi, m’embrasse longuement, nos langues jouent un
bon moment ensemble. Je sens ses seins sur ma poitrine. Sa main se glisse entre nos
corps. Elle sait que je bande toujours contre son ventre, elle prend la bite dans sa
main, se relève un peu, juste pour que ma bite soit en place sur elle, sur son sexe.
Je suis juste à l’entrée de son trou. Elle se laisser aller à des aller retour sur sa
chatte, ma bite bien utilisée comme jouet sexuel contre son clitoris. Enfin elle se
décide, elle m’autorise à la pénétrer. Nom d’un chien elle est mouillée un max. Elle
arrive à se redresser sur moi. Ma queue ne lui suffit certainement pas, elle se
caresse le clitoris en plus. Elle n’a aucune pudeur et s’en vante:
- Regarde ce que je me fais, je me branle en plus de ta queue dans mon con. C’est bon
de baiser comme ça.
- Ralenti un peu, tu vas me faire jouir trop vite.
- J’aime quand le sperme envahi ma chatte. C’est plus chaud que la bite.
- Depuis qu’elle âge tu baises.
- Je devais avoir 13 ans la première fois. J’ai joui pour cette première fois, c’était
drôlement bon. Après j’ai baisé souvent, même avec des copines pour voir comment
c’était avec les filles.
- Et alors ?
- Aussi bon, sauf que je préfère avoir une queue dans la chatte, sinon, je le fais
avec une cliente une fois par mois, ici dans le cabinet. Tiens c’est même demain.
- Racontes moi.
- Tu vas m’exciter encore. Quand elle vient, elle souffre toujours du même mal: un
creux dans le bas ventre. Il faut que je l’ausculte comme je t’ai fait tout à l’heure,
sauf que je sais bien ce qu’elle a: il lui faut une langue de femme sur son clitoris.

Pas d’homme, seulement une femme. Ca ressemble de loin à une vaginite, sauf que je
peux lui entrer mes doigts ou ma langue dans le con. J’ai essayé une fois avec un tout
petit gode, celui que j’ai dans mon sac: je lui ai fait mal. Alors je l’ai branlé
normalement et elle a joui. Depuis nous nous rendons toujours les plaisirs: elle me
baise formidablement bien.
-Dommage qu’elle ne veuille pas d’homme, je me la paierais bien. J’aimerai te voir
avec elle.
- Vicieux.
- C’est bien beau, quand est-ce que tu fera appel à moi.
- Après demain, ici vers 20 heures. Je préfère baiser ici que chez moi, il y a moins
de bavardages;
- Tu crains les bavardages, toi ?
- Je suis un bon médecin, j’ai une bonne clientèle, si on me suspecte d’avoir des
amants, les mères de famille n’auront plus confiance en moi pour m’envoyer leurs
gamines.
Nous nous disons à après demain.
Elle m’a crevée, elle a des façons de baiser extraordinaire. Comme médecin, bien, sur
elle connais pas mal de détails sur les points sensibles. Je me demande comment nous
ferons demain.
Je vis sur les nerfs jusqu’au moment du rendez vous. Son amant habituel est au
courant, elle ne lui cache rien. Nous nous touchons la main, avant de baiser notre
communes amante. Quand elle ouvre la porte de la salle d’attente, elle est vêtue d’une
grande serviette qu’elle fait tomber en nous voyant. Plus un seul mot n’est échangés.
Seuls les gestes comptent surtout les siens. Elle embrasse l’amant sur le bouche, lui
prend la bite dans la main, la fait bander, se tourne vers moi pour le même jeu. Par
geste elle nous demande de nous déshabiller. Ce que nous faisons. Nous savons tous que
l’amour cérébral lui est étranger. Seue le plaisir la guide.
Elle nous branle simplement pour que nous bandions, dès que la but est atteint, elle
se baisse, nous prends l’un et l’autre dans la bouche, ses mains s’occupe des
couilles, vont vers les anus.
Nous sentons bien les doigts entrer dans le cul. Elle
connais tous les gestes érotiques qui font du bien. Ce qu’elle nous fait est
extraordinaire. Nous attendons ses demandes qui arrivent vite. D’abord elle écarte les
cuisses pour que nous allions lui sucer le con et le cul. J’hérite du cul. Ma langue
lèche l’anus lentement puis rapidement, je n’hésite pas à entrer le bout de la langue
dans son cul qui connaissant la musique me laisse entrer facilement. Ma sodomie
linguale lui plait bien: elle me caresse la tête. Le cunnilingus qui lui fait l’autre
amant doit être au moins aussi bon.
Nous la sentons jouir, pour moi mieux que l’avant-veille. Elle me pousse en arrière,
je me trouve avec son cul sur la bouche. Je continue un peu, jusqu’au moment où elle
descend le long de mon corps: Je sens que ma bite est dans sa raie fessière. Elle
ralenti sa descente jusqu’au moment où je sens son anus à nouveau. Elle s’assoit un
peu sur moi, lève ma bite, la pose sur son cul et s’y laisse aller dessus. J’ai un
plaisir trouble de sentir ma bite qui entre sans obstacle dans ses entrailles. Elle se
penche sur moi, sans s’y allonger. Je regarde par dessus son épaule. L’autre homme est
presque sur elle. Je la sens bouger sa main quand elle le guide dans sa chatte; Je
sens maintenant un plaisir différent avec une autre bite qui touche la mienne à
travers ses parois. C’est elle qui mène la danse de son ventre. Nous la sentons jouir
plusieurs fois. Elle va de plus en plus vite pour jouir plus fort. Je sens sa cyprine
couler sur la base de ma queue. Mon plaisir arrive en même temps que celui de l’autre
et du sien. Nous nous séparons: elle est heureuse d’avoir joui ainsi.
Je pense qu’elle en a pour plusieurs jours avant de me demander de l’enculer ou la
baiser. Elle est satisfaite de nos services. Nous devons la baiser tous les jours.
Corvée agréable que nous ne refusons pas.

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