Dans Les Archives

Je suis chargée de classer les archives de la boite: je m’y régale, je suis seule, je
peux lire tous les doubles du courrier, et depuis que nous sommes passés au numériques
je « traduit » le courrier banal en papier. Le travail n’est pas le même: c’est plus
compliquer, qu’elle idée de traduire ce qui est sur ordinateur. Bête et disciplinée
j’obéi. Ayant plus de travail je n’y arrive plus, je crie help vers la DHR.
Huit jours plus tard j’ai du renfort, une jeune fille de 18 ans qui commence dans la
boite. Elle ne me déplait pas, belle chevelure, brune, poitrine avenante, taille fine,
hanche un peu étroite le tout sur de longues jambes. Elle porte un longue jupe fendue
sur le coté, agréable de voir ses jambes et un top presque transparent. Le temps de la
mettre au courant de tout, j’y passe la journée. Sa présence ne me pèse pas du tout,
elle est sympathique. En plus j’imagine des situations où nous serions deux sur un
lit. J’espère bien qu’elle ne se refusera pas.
Le lendemain nous prenons le travail normal, je lui ai appris tout la veille.
Toutefois elle a quelques difficultés que je l’aide à résoudre facilement. Assise à
son bureau elle appelle souvent au secours. Les premières fois, j’étais à ses cotés
pour lui faire accomplir sa tâche. Vers la fin de l’après midi, j’étais derrière elle,
penchée sur ses épaules: je sentais son odeur monter de son corps. Pour mieux voir
j’étais obligée de me mettre sur le coté, ma poitrine touchait soi sa tête soi son
cou. Elle m’appelle plus souvent maintenant. Je ne demande pas mieux, elle m’excite
quand je suis penchée sur elle.
Quand arrive la fin du travail, elle se lève s’approche de moi et me donne un baiser
inattendu sur la bouche. Sa langue cherche l’ouverture de ma bouche. Elle n’est pas ma
première fille, je la laisse faire, pour une fois que je ne provoque pas une fille,
j’en suis satisfaite.

Je suis bien serrée contre elle, nos bouches toujours occupées
au baiser. Elle passe ses mains sur mes fesses. Pas possible elle connait son affaire
au moins aussi bien que moi.
Nous ne prenons aucune précaution tellement nous sommes isolées. Elle le sait la
coquine: elle me pousse vers mon bureau, me fait poser les fesses sur le bord, elle
m’embrasse dans le cou. Elle me fait frémir de désir: j’ai envie de jouir; même si je
ne mène pas la danse. Elle caresse lentement ma poitrine, je la sens durcir doucement,
je sens aussi, c’est le moins grave l’humidité envahir ma chatte qui pourtant en a
connu des situations similaires. Ses mains descendent le long de mon corps, pour aller
tout en bas, sur mes genoux. S’il lui faut deux mains pour aller sur ma chatte, je
crains de ne pas tenir le coup bien longtemps.
Elle caresse l’intérieur des deux cuisses, en montant: j’écarte les jambes en signe
d’acceptation. Ma jupe remonte le long de mes jambes jusqu’à l’aine. Elle n’est même
pas surprise de ne pas sentir de culotte: je ne porte jamais de sous vêtement, par
contre je garde ma fourrure j’ai essayer une fois, j’ai eu des difficultés quand les
poils repoussaient. Ses deux mains arrivent ensemble sur l’entrecuisse. Une d’elles
restent sans trop bouger contre une cuisse pendant que l’autre va directement sur mon
clitoris. Elle le caresse très lentement avec deux doigts. Elle a une habileté
diabolique. Sa bouche est revenue sur la mienne. Nos langues à nouveau reprennent le
ballet de l’amour. Par contre je ne suis plus contre elle qui passe ses jambes sur la
mienne: elle se masturbe à travers nos habits. Arrive le moment attendu de ma montée
au ciel ce qui arrive facilement tellement elle sait bien masturber une autre fille.
Normalement c’est moi qui dirige mes compagnes. Là je prends mon plaisir avec une file
bien plus jeune qui sait faire au moins aussi bien que moi.
Elle commence à me
déshabiller: je la laisse faire surtout qu’elle accompagne ce qu’elle fait par des
baisers de reconnaissance. Ses lèvres se posent partout sur mon corps.
C’est à mon tour de la mettre nue, maintenant je peux voir les trésors que je ne
faisait que deviner. C’est une statue grecque: ses seins ne bougent pratiquement pas,
son nombril me donne envie d’y faire reposer ma langue un moment. Sa fente cuillère
attire mes doigts.
Nous sommes étendues sur la moquette épaisse, elle me tient dans ses bras un moment
avant d’aller encore une fois sur mon sexe. Je l’accueille en écartant les cuisses.
Maintenant elle sait qu’elle peut faire ce qu’elle veut, elle en profite pour me
doigter avec plusieurs doigts, je ne sais même pas lesquels. Je ne sais qu’une chose,
elle me fait du bien. A mon tour, je prend son bouton entre deux doigts, je la branle
lentement. Nos mouvements sont coordonnés. Nous jouissons presque ensemble. J’étais
décidée à lui en donner plus, elle me prend en traitre en mettant un doigt sur le
fondement. Ce lieu est un de mes préféré. Elle caresse d’abord l’extérieur de l’anus
en me faisant jouir (rares sont les filles qui y arrivent) et ensuite entre le doigt
profondément. Elle le fait aller et venir pendant un bon moment pendant lequel je
reste inactive, bloquée par le plaisir.
Quand je sors de ma léthargie je me penche vers sa chatte, j’arrive à passer me tête.
Je vais la lécher comme une vrai lesbienne, ce que je suis. Je retrouve l’odeur et le
goût d’un sexe féminin. Je n’ai pas fait l’amour avec une autre depuis plus de deux
mois, c’est long. Ma langue aussi retrouve une chatte, elle en profite pour aller dans
tous les endroits sensibles: le bouton, le puits et le cul. Je commence quand même par
lécher les deux grandes lèvres: je lui donne des frissons, sans la faire jouir. Son
premier orgasme vient de son clitoris.
J’y trouve mon plaisir quand je lui en donne.
Je reçois un flot de cyprine dans la bouche: c’est agréable. Je n’arrête pas là, je
plonge ma langue dans son réservoir à orgasme. J’y fais des aller et venue: elle gémit
pendant toute la durée de mon occupation, enfin, après une autre jouissance, je passe
ma langue sur le rectum qui est mouillé par le trop plein de cyprine.
Elle veut me rendre la pareille, je préfère un vrai 69 ce qui lui plait bien aussi.
Elle me met sur le dos, je suis bien livrée à elle. Sur moi je sens son poids, ses
seins, ses bras qui entourent mes cuisses, bref je sens ce que je fais aux autres.
Avant même qu’elle me lèche j’ai déjà un orgasme en préparation. J’ai juste le temps
de lever la tête pour lécher son bouton que la sienne me lèche déjà: je jouis
immédiatement. Nos langues ne sont que des instruments du démons pour nous donner tant
de plaisirs.
Nous ne nous serions pas arrêter si nous n’avions pas entendu la femme de service
arriver. Nous avons juste le temps de nous rhabiller avant sa venue. Nous avons le
temps de nous embrasser:
- A demain, même heure, me dit ma collègue.
- Si tu veux j’ai un gode, je le porte ?
- Oui, j’en ai un aussi, je le porterais, je pourrais t’enculer.
Vivement demain qu’elle m’encule, j’aime quand une femme me sodomise, c’est bien
meilleur qu’une bite dans




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