Jean-Pierre Et Maria Dans Le Tgv

LUI
La belle nana que voilà, j’en ferais bien mon quatre heures. C’est ce que je me disais
en la voyant,
belle comme en cœur, dans sa petite robe à carreaux. Il me semble qu’elle me regarde.
Vas-y lève là,
tu ne le regretteras pas une instant.
ELLE.
Que veut ce type, il me toise depuis un moment. Je lui plais sans doute, mais de là à
me dévorer
il y a un pas que je n’aimerais pas qu’il franchisse. D’accord il ne me déplait pas,
seul son regard
me gêne un peu. Je suis certaine qu’il voudrait me baiser.
LUI
Plus je la vois plus j’ai envie d’elle. Qu’elle poitrine, quelles fesses. Je vois ses
yeux luisants,
elle a envie de tirer un coup sans se l’avouer. J’aimerai la lui mettre partout, j’en
suis capable,
je bande longtemps.
ELLE
Oui, son regard est insistant et pourtant plus je le regarde moins il me fait peur. Je
n’ai jamais
peur d’un homme, j’en ai pas mal connu, je les ai tous baisés avec succès pour moi,
quand à eux,
bof, je m’en fous.
LUI
D’abord je la prendrais par devant, son con doit être bien humide, et ensuite je
l’enculerais : il
me semble qu’elle doit aimer la sodomie, comme moi j’aime la faire.
ELLE
Si je cède, je sais qu’il voudra me faire jouir, il y arrivera : je commence à avoir
envie de sa
queue qui doit me plaire. J’espère qu’il bande longtemps. J’aimerais l’avoir un moment
dans la
bouche, il y a longtemps que je n’ai pas sucé de bite. A savoir si son jus est bon ?
LUI
Oui, mais, l’enculer avant ou après. Elles sont toutes les même il faut leur obéir, la
plus part
veulent baiser avant. Pourquoi ne pas se sucer ?
ELLE
Il ne sait pas que je vais lui dire oui, je le laisse mariner un peu dans son jus : il
sera plus mur
pour me faire jouir. Surtout que je le veux trois fois : dans la bouche, le con et le
cul.

Il faut
qu’il tienne le coup, sinon je serais obligée de me branler. J’aimerais bien le voir
quand lui se
branle. Comment il tient sa queue pour faire gicler son sperme…… Du sperme dans ma
bouche, j’en veux
maintenant.
LUI
Je vais aller lui parler, lui dire simplement la vérité : j’ai envie de toi. Qu’est-ce
que je
risque : un râteau et alors, ce ne serait pas le premier ni le dernier. Mais si elle
accepte je
serais satisfait, surtout si elle voit que je bande.
ELLE
Pourquoi il ne vient pas plus près : je pourrais voir s’il a une belle bite et même
s’il bande
simplement comme j’aime. Mais s’il vient contre moi, il va m’embrasser. Je répondrais
à sa bouche et
à sa langue. Tiens il ne fume pas, une bonne note : le baiser d’un fumeur est
désagréable dans la
bouche. Ailleurs je ne sais pas, je ne crois pas qu’une langue gêne quand elle est sur
mon abricot.
LUI
J’espère qu’elle aime les 69 comme moi. Hum de la cyprine sur ma langue !!! Et ma
queue dans sa
bouche : elle doit bien sucer.
ELLE
Pourquoi il n’est pas près de moi ?
LES VOYAGEURS EN DIRECTION DE MARSEILLE MONTPELLIER EN VOITURE QUAI NUMERO 5. EN
VOITURE.
ELLE
Tiens il monte dans le même wagon que moi.
LUI
Elle va comme moi à Montpellier. Pourvu que…..
ELLE
Qu’elle chance nous avons des sièges voisins.
LUI
Je vous en prie asseyez-vous près de moi.
ELLE
Avec plaisir.
LUI
Le train part, voulez vous un café ?
ELLE
Avec plaisir, Monsieur ?
LUI
Jean-Pierre
ELLE
Moi c’est Maria.

Ils se lèvent ensemble pour aller vers le bar. En route Maria veux passer par les WC.
Il l’attend
patiemment quand elle ressort elle l’entraine à l’intérieur en l‘invitant. L’exigüité
favorise les
rapprochements. Leurs lèvres font ce qu’elles devaient : un long baiser prélude la
suite.
C’est
Jean-Pierre qui ne perd pas de temps : il lève le bas de la robe, Maria le laisse
faire. La main
monte vers la chatte offerte et mouillée depuis un moment. Il la branle jusqu’à la
jouissance de la
demoiselle qui ne se démonte pas pour sortir la bite et le branler.
Pendant la masturbation il garde assez de self-control pour lentement mettre à nu le
corps de la
fille. Il l’appuie contre le petit lavabo, lui fait bien écarter les jambes pour
mettre sa queue
dans son nid. En quelques mouvements Maria pousse un léger cri en jouissant.
Il la fait se retourner pour l’enculer. Elle a envie de l’avoir dans le cul. Elle sait
bien ouvrir
son anus pour être sodomisée. C’est rapidement entré. Leurs mouvements conjugués leurs
donnent un
large aperçu de leur plaisir. Elle se laisse aller à jouir plusieurs fois avec la
queue dans le
ventre. Quand la décharge arrive, elle jouit encore une fois.
Quand elle voit que la queue de Jean-Pierre est toujours dure, elle la lave au robinet
du lavabo
pour le sucer, pas comme un roudoudou, comme une bite : elle le lèche largement depuis
les couilles
jusqu’au gland. Elle aime bien faire cette chose : il lui semble posséder complètement
l’homme. Lui
se laisse aller au plaisir qui monte, monte jusqu’à éclater dans le bouche de l’amante
à son grand
plaisir.
L’arrivée est pour bientôt. Cette fois c’est Jean-Pierre qui a encore envie. Maria le
pousse devant
elle ? Les toilettes ont ça de bien dans les TGV, ils sont relativement libres.
Maria met nu son compagnon, reste la robe à mi taille. Elle donne sa chatte à la bite
toujours dure.
C’est elle qui mène la danse. Elle enfile elle-même la queue dans sa figue. Elle la
laisse plantée,
malgré ses orgasmes à répétition dans l’attende de celui de l’amant.
Arrivés, après un baiser ils se séparent sans seulement savoir qui ils étaient, sans
espoir de se
revoir un jour sauf accident imprévisible.


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