Leslie Hd71

Leslie HD71 – Laure chez un ami gynécologue, suite

Laure me fait discrètement signe de la rejoindre, alors je dégage mon sexe de la
bouche de Pascal, et contourne la table.
Pascal toujours allongé et entravé sur la table ne peut que redresser légèrement son
corps pour voir ce qui se passe.
Laure se recule pour me laisser sa place et je m’installe entre les jambes de Pascal,
qui les yeux exorbités comprenant ce que je vais faire s’écrie :
- Non, Leslie, non pas ça.
Quoi ! S’exclame Laure, l’autre jour tu m’as sodomisé et aujourd’hui tu acceptes mon
doigt dans ton cul et tu refuses de te faire enculer, ce n’est pas très chouette de ta
part, mais comme tu le vois tu n’as pas le choix.
- Non, non, nous dit Pascal, ton doigt ce n’est pas comme la grosse queue de
Leslie.
- Et la tienne dans le mien c’était de la guimauve !
- Ce n’était pas pareil, tu en voulais du sexe dans ton cul et en plus tu as
aimée.
- Tu vas voir, c’est pareil pour toi, au début tu vas pleurer ta mère et ensuite
tu en redemanderas.
- Non, vous ne pouvez pas me faire ça ! Continue d’implorer Pascal.
- En plus, continue Laure sans se soucier des propos de Pascal, tu as une chance
extraordinaire car Laure est très endurante et elle va te sodomiser comme une reine,
si bien qu’à la fin tu ne sentiras même plus ton trou du cul.
- T’es cinglée, dit Pascal.
- En plus nous t’offrirons nos culs en cadeau et tu pourras nous enculer toute
la nuit si tu le désire.
Pascal se trémousse dans tous les sens pour se dégager, mais rien n’y fait car il est
solidement entravé.
- Assez parlé, dis Laure, de l’action maintenant.
Et s’adressant à moi elle me dit :
- Encules notre ami et ne ménage pas ta peine !

Après lui avoir copieusement enduit le cul de gel et m’en être copieusement mis sur le
sexe, je m’approche de la table et pointe mon gland à l’entrée de l’anus de Pascal.


Pascal grogne et peste en nous traitant.
- Vous n’êtes que des folles et des vicieuses.
- Cause toujours, lui dit Laure, quand t’auras la bite de Leslie dans le cul tu
vas manquer d’air et il te faudra la fermer un peu, et puis Leslie a été sympa elle
t’a bien enduit le trou, tu vas voir ça va rentrer tout seul.
Je remarque à cet instant que Pascal ne bande plus.
Plein de détresse, Pascal essaie d’amadouer Laure en souvenir de leur vieille amitié.
- Notre amitié va certainement en prendre un coup, dit-il à Laure.
- Non c’est ton cul qui va en prendre un coup, réplique Laure.
Je profite de cet instant pour pousser mon gland sur la rosette de Pascal, il n’a
jamais été sodomisé car son anneau résiste et il hurle à pleine gorge.
- Ohhh, ça fait mal !
Je continue de pousser dans le cul de Pascal et je sens au bout de mon gland un léger
coulissement, le cul de Pascal s’ouvre doucement, j’arrête de pousser et me retire,
laissant mon gland posé au contact de la rondelle de notre ami.
Je recommence à donner de petits coups afin qu’il s’habitue à la présence de mon sexe
sur sa rondelle cherchant l’ouverture qui le fera coulisser en Pascal.
Pascal gémit en se plaignant.
- Ca fait horriblement mal, dit-il.
- On le sait bien, réplique Laure, ça été pareille pour nous la première fois,
détends-toi un peu.
Mes coups sont de plus en plus appuyés, le sphincter se détend et le trou s’ouvre
petit à petit, maintenant le gland est presque passé, un autre coup plus appuyé en
l’agrippant par les hanches et mon gland passe le sphincter de Pascal, qui se remet à
bander comme un âne.
- Waouh, mon pauvre cul, dit Pascal.
Je le laisse s’habi à cette intrusion, fichée en lui du gland.
Laure s’approche et dépose un baiser sur ses lèvres, prend sa queue et commence à le
branler en lui disant :
- Bahhh dit donc ça te fait de l’effet d’avoir une bite dans le cul, tu bandes
comme un cochon mon salaud.

- Ohhh, c’est bon ce que tu me fais, ça apaise un peu et ça me détend.
- Eh bien je vais continuer pendant que Leslie te fourre toute sa longueur dans
ton petit cul.
C’est le moment, je commence à m’enfoncer dans le cul de Pascal en le tenant fermement
par les hanches, ça glisse tout seul tellement qu’il est enduit de gel.
Pascal souffle de plus en plus fort, l’air lui manque et Laure s’acharne sur son sexe
dans un branle de folie.
Bientôt toute ma queue est en lui et Laure ne peux, en remarquant mon pubis contre les
couilles de Pascal, s’empêcher de dire.
- Eh bien voilà, maintenant tu es notre petit encule d’ami.
- Vicieuse, répond Pascal.

Maintenant je le sodomise en larges et amples allers et retours dans son antre, ce
soir e me sens en forme et je sais que cela va durer longtemps, alors je fais signe à
Laure de diminuer la cadence de son branle et d’éviter de le faire jouir, en lui
disant :
- Il faut qu’il soit en forme pour nous.
- Ta raison, je vais le sucer un peu, c’est plus doux et plus jouissif.
Quand Laure entoure le membre de Pascal de ses lèvres chaudes et humides, celui si
feule et gémit de bonheur, il commence aussi à se trémousser du cul, signe que le
plaisir commence à venir.

Laure suce Pascal doucement afin de lui éviter de jouir, je pense qu’elle a une petite
idée en tête pour la suite, pendant ce temps-là je continue à bien ramoner le cul de
pascal qui commence à se laisser complètement allé.
D’autant plus qu’il feule et gémit comme une petite chatte, la bouche grande ouverte
il prend du plaisir en disant des :
Ohhh, ohhh.
Laure s’arrête de le sucer et lui dit :
Bah, mon cochon tu prends ton pied.
Ohhh, dis Pascal, c’est bon, ohhh.
Et je lui remplis le cul de mon abondante semence.

Laure lui défait ses liens en l’embrassant tendrement sur les lèvres, Pascal parait
sortir d’un rêve et il met quelque temps à revenir à nous.

Puis Pascal descend de la table, ouvre un placard et sort une bouteille de whisky et
trois verres, et va s’assoir dans le fauteuil.
Il remplit les trois verres à moitié, en prend un et le boit d’un seul trait en disant
:
- Il me fallait bien ça !
Il se resserre et nous invite à trinquer, nous buvons et il est vrai que ça fait du
bien, nous allons pouvoir attaquer la deuxième mi-temps.

A suivre…

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