Leslie Hd74

Leslie HD74 – Vacances espagnoles, suite

Après la belle journée avec Stéphanie passée sur la plage en compagnie de Luciana et
son amie Estrela, la nuit est tombée et nous voila de retour pour le diner chez
Milena, la maman de Stéphanie.
Après la séance de la plage nous étions fatiguées, nous avons, avec Stéphanie pris une
douche qui nous a revigorée, puis nous avons dinées léger en compagnie de Milena. La
nuit avait envahie l'horizon et nous entourait de son silence alors nous sommes resté
à contempler les étoiles dans la douceur du sud espagnol. Cela me faisait du bien de
rester ainsi sans penser à rien en compagnie de mon aimée.
Puis nous sommes allées nous coucher.

Cette nuit là j'ai rêvée de filles plus belles les unes que les autres me caressant et
je faisais l'amour entre les bras de ces nymphes offertes sans pudeur ni complexe
assouvissant tous mes désirs les plus fous et les plus audacieux.
Au petit matin c'est avec une belle érection que je me suis réveillée sous les yeux
admiratifs de Stéphanie qui me dit ;
 Tu m'as l'air en pleine forme ce matin.
 Je n'ai rien dit et je suis partie prendre une douche avant de
descendre pour le petit déjeuner en compagnie de Stéphanie.

Après le petit déjeuner, nous sommes restées un moment avec la maman de Stéphanie à
parler de notre amour et de nos relations. De notre vie aussi difficile parfois dans
ce monde moderne ne reconnaissant pas vraiment notre état, mais nous n'avons pas
vraiment à nous plaindre ayant chacune un travail reconnu et une vie relativement
équilibrée.
Milena nous écoutait avec intérêt et posait sans cesse des questions pertinentes et à
cet instant j'ai sentit qu'une relation dans la confiance était entrain de s'établir
entre la maman de Steph et moi-même.
Puis la Milena est partie faire des courses en ville nous laissant seules avec
Stéphanie, nous avons flânées en demandant si nous n'irions pas à nouveau à la plage
l'après-midi, quand une jeune fille est entrée dans la maison.

Une belle brune fine
aux cheveux noirs de jais, avec un petit air coquin qui pouvait laisser supposer que
cette jeune femme n'avait pas froid aux yeux et devait être une sacrée coquine.
 Bonjour, ma sœur Luciana m'a dit que tu étais arrivée, lança t'elle à
Stéphanie.
 Bonjour, Pilar et oui nous sommes là je te présente Leslie, mon amie.
Pilar me dévisagea sans pudeur en s'arrêtant sur toutes mes formes, puis me regardant
dans les yeux elle me dit :
 Luciana m'a dit que tu étais belle et là elle ne s'est pas trompée.
 Bonjour, lui dis-je.

Pilar s’approcha de moi et m’embrassa, Stéphanie s'exclama :
 Dis-moi, tu ne perds pas de temps ma chérie.
 Excuses-moi, dit Pilar, mais l'envie était trop forte.
Nous avons un moment discutées, puis Pilar est partie car elle avait un rendez-vous
pour déjeuner, mais en partant elle nous dit ;
 J'espère vous voir cet après-midi à la plage, peut-être pourront nous
diner après.
 Pourquoi pas, réplique Stéphanie.
 Allez à plus, dit Pilar en partant.
Le midi nous avons déjeuné avec Milena qui nous avait préparée un petit repas simple
mais très bon, puis ensuite nous avons flânées sur la terrasse profitant de la chaleur
du sud espagnol.
En fin d'après-midi alors nous nous sommes rendues à la plage où nous avons retrouvées
Pilar qui trépignait d'impatience de nous retrouver, nous nous sommes baignées, puis
nous nous sommes prélassées sur nos serviettes profitant des rayons du soleil de cette
fin de journée, comme prévue nous avons décidée d'aller diner ensemble non sans être
passées auparavant prévenir Milena de ne pas nous attendre.
 Peut-être dormiront-elles à la maison, dit Pilar à l'attention de la
maman de Stéphanie.
 Pas de problème, dit celle-ci.

Nous avons été diné dans une petite auberge où tout en dégustant les spécialités
locales nous avons bien rigolées toutes les trois, Pilar et Stéphanie parlant du passé
et de leurs câlins érotiques de jeunesse, Pilar rajoutant à mon attention de multiples
détails afin sue je sois au courant de ses tendances sexuelles.
A la fin du diner je connaissais en détail la vie de Pilar et de ses tendances, cette
petite brune n'avait aucun tabou et avait envie de vivre les moindres occasions qui se
présentaient.

Comme prévu, invitées par Pilar nous avons été dormir chez elle et en arrivant à la
maison nous avons été accueillies par Ornella la maman de Pilar, une jeune maman au
regard perçant et coquin. La chambre de Pilar était prête et après avoir dit bonne
nuit à Ornella nous avons été nous coucher, enfin presque.

Dans la chambre, Pilar s'est dévêtue et nous est apparue entièrement nue, son corps
est magnifique, brune aux petits seins arrogants, cambrée au ventre plat et son pubis
à la toison taillée en v faisaient de cette jeune femme un être pour évoquer l'amour,
Pilar savait qu'elle était belle et prenait des poses afin de nous exciter.
 Viens, dit-elle à mon intention, j'espère que Stéphanie n'est pas
jalouse.
 Pas le moindre du monde, dit Stéphanie.
Stéphanie assise sur le bord du lit nous observait avec attention, je me suis
approchée de Pilar en me plaçant dans son dos et faisant face à Steph, et j’ai
commencée à lui caresser le dos, elle a renversé la tête sur mon épaule et m'a dit :
 Tu me plais, j'ai envie de toi.
Sa bouche étant offerte j’en ai profité pour l’embrasser sur la bouche, aussitôt nos
langues se sont entrelacés, et on est restées ainsi pendant un long moment sous le
regard de Stéphanie, j’ai commencée à caresser ses seins qui sont devenus durs la
faisant respirer bruyamment et haleter, j’ai descendu lentement ma main vers son
ventre pour la diriger vers son entrejambe, le bout de mes doigts ont trouvés son
sexe, Pilar était humide et le feu était déjà dans son corps.

Stéphanie entre temps s'était mise nue et assise sur le lit, le dos calé contre le mur
se masturbait doucement en nous regardant.
Mes doigts jouaient avec ses lèvres et son clitoris, Pilar haletait de plus en plus
laissant monter en elle le plaisir tant attendu, maintenant excitée comme je l'étais
elle pouvait sentir mon sexe dur contre ses fesses, ce qui devait accroitre encore un
peu plus son excitation.
 Tu es comme Stéphanie, me dit-elle, vous allez bien vous occuper de
moi.
 Ne t'inquiètes pas, répliqua Stéphanie, tu vas jouir comme jamais.
Je l'ai allongée sur le lit et j'ai relevée ma jupe en me penchant au-dessus d'elle
présentant mon sexe à l'entrée da vulve après l'avoir sorti de mon string. Je l'ai
alors pénétrée après lui ai relevé les jambes.
 Ohhh, soupira Pilar.
Et j’ai commencé des va et viens en elle, elle ondulait sous moi au rythme de mes
pénétrations puis elle a croisée ses jambes dans mon dos afin de s'aider pour me
pousser plus au profond d'elle, Pilar était délicieusement étroite et mon sexe
glissait enserré dans ce fourreau étroit, j’ai senti que Pilar contractait son vagin
afin de mieux m'enserrer encore le sexe, la sensation était fabuleuse, elle poussa un
cri rauque et relâcha un instant sa prise quand elle prit un son plaisir.
Nous sommes restées un moment ainsi puis je me suis retirée pour m'allongée sur le
dos, Pilar regarda Stéphanie pour lui dire :
 Tu n'as pas envie de te joindre à nous ?
Stéphanie s'est levée, elle bandait ferme et est venue nous rejoindre.
Pilar m'a enjambée pour se placer au-dessus et face à moi et en s'aidant d'une main à
réintroduit mon sexe en elle, dans cette position les genoux de part et d'autre de mon
corps elle offrait ses fesse ouvertes à Stéphanie.
 Tu aimes toujours autant te faire sodomiser, dit Stéphanie.

 Je pense qu'une double pénétration me ferait du bien, dit Pilar.
Pendant que Stéphanie se plaçait dans le dos de sa cousine j'ai continuée à pénétrer
la chatte de Pilar, je la baisait et elle poussait des petits cris en haletant, Puis
sentant Stéphanie derrière elle, Pilar s'est allongée complètement sur moi afin de
s'offrir, des es deux mains elle à ouvert ses fesses pour offrir son petit trou à sa
cousine et que Stéphanie puisse l’enculer, Steph a placée son gland sur sa rosette et
doucement a poussée, lentement le sexe de Stéphanie s'est enfoncé dans le cul de Pilar
qui gueule comme une forcenée, risquant de réveiller sa mère, lorsque le gland est
passé Stéphanie à marquer une pause le temps que Pilar s’habitue a cet intrus dans son
cul, je sentais le sexe se Stéphanie vibrer contre le mien au travers de la fine
parois qui sépare les deux orifices, puis Steph à pousser encore et une bonne partie
est entrée dans le cul de Pilar, la respiration coupée elle ne disait rien, nous avons
attendues un petit moment, à cet instant mon sexe était au plus profond du vagin de
Pilar, alors Steph à pousser une dernière fois faisant rentré son sexe entièrement,
Pilar s'est redressée un peu en faisant :
 Ahhh, ça fait mal.
 C'est que tu n'as plus l'habitude, lui dit Stéphanie, ou alors tes
copains ont des petites bites.
Puis ensemble nous avons fait des va et viens alternés, Pilar gémissait de plus en
plus belle se laissant aller à cette double pénétration, puis des cris sont sortis de
sa gorge lorsque l'orgasme est arrivé.
 Ohhh, oui, comme c'est bon, encore, encore.
Pilar gueulait sans se préoccuper de sa mère dans la chambre voisine.
 Allez-y, continuées, oh oui, encore, dit Pilar.

Nous étions toutes les trois au septième ciel, nous avons continuées à ramoner le cul
et le sexe de notre amante qui poussait des cris de plaisir, elle a eu un orgasme en
disant des mots inintelligibles, le délire lui enlevait toute notion de pudeur et ses
cris remplissaient la chambre, mais ce fut le délire quand ensemble avec Stéphanie
nous lui avons remplies ses orifices de notre jouissance.

Vidées et heureuses nous nous sommes endormies toutes les trois enlacées, Pilar au
milieu de nous deux.

A suivre…

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