15 Maria Au Firmament Des Salopes / Acte 1

J’étais content de moi, cocu, mais content. En fait, je savais que je ne serais plus
jamais le seul homme à jouir des faveurs de mon épouse, j’avais intégré son infidélité
comme une inéluctable réalité, et finalement, cela ne me gênait pas tant que je ne
l’aurais cru. J’étais le mari légitime, mais je n’avais pas l’exclusivité de
l’usufruit des charmes de mon épouse, mon épouse ayant accordé à Philippe le statut
d’usufruitier officiel. Il avait acquis le privilège de pouvoir lui aussi user et
r du corps de ma chérie, et je savais qu’il n’entendait pas renoncer à son droit
de cuissage. Mais je voulais garder le contrôle sur ces débauches, si possible y
participer, et surtout ne pas laisser à qui que ce soit les rênes de cette femelle
assoiffée de sexe. Et depuis la partie de jambes en l’air que j’avais organisé,
j’avais l’impression que ma chérie, comblée par mon initiative, n’irait plus se
soumettre aux pervers desseins d’un autre maître de cérémonie.
Peu de temps après, j’eus une nouvelle preuve de ma naïveté en rentrant à l’improviste
à la maison en fin d’après midi, bien plus tôt qu’à l’heure habituelle. Je pensais
faire une bonne surprise à ma tendre épouse, l’emmener au restaurant mais ce fut moi
le plus surpris des deux, et pas trop agréablement.
Je sentis une présence inhabituelle dès que j’ouvris la porte et j’eus un instant
d’hésitation, ne sachant si je devais entrer ou repartir. Mon instinct de mari me
taraudait l’esprit d’images d’ébats adultères de ma femme chérie. Après la sensation
de gêne, comme si j’étais moi-même pris en flagrant délit de faire quelque chose de
mal, il me vint une colère sourde. Comment, j’étais chez moi, ma femme recevait
quelqu’un, peut-être en tout bien tout honneur, et j’allais m’interdire d’entrer dans
ma propre maison, c’en était trop. Comme si je savais déjà ce que j’allais trouver, je
ne pus m’empêcher de refermer la porte d’entrée sans le moindre bruit et de m’avancer
dans le vestibule de l’appartement.

Des sons indéterminés provenaient de notre chambre
vers laquelle je me dirigeai sur la pointe des pieds. Je distinguai ces bruits de
mieux en mieux, il s’agissait en fait de petits cris et de gémissement. Je n’eus plus
le moindre doute sur les activités de ma tendre épouse mais je fus tout de même
surpris en passant la tête dans l’encadrement de la porte de la chambre laissée grande
ouverte. Maria jouait les amazones en corset, bas et porte-jarretelles noirs, des
dessous splendides qu’elle avait acheté depuis peu pour m’exciter. Je constatai que je
n’étais pas le seul à en profiter. C’est vrai, elle était magnifique avec, bandante à
souhait. Sa monture était nue, c’était un bel éphèbe à la peau très noire. Maria,
empalée sur son membre, ondulait sa croupe en gémissant. Le noir et la blanche
offraient un beau spectacle que j’aurais plus apprécié si la blanche n’avait pas été
ma propre femme qui prenait son pied avec un amant noir, mais je ne pouvais m’empêcher
de jouer les voyeurs. Puis la bête à deux dos changea de posture et j’eus tout loisir
d’apprécier la taille du sexe de son partenaire. Comment ma femme pouvait-elle
l’accueillir tout entier dans son ventre, il était réellement énorme, de la taille du
célèbre saucisson bâton de berger ou d’un gros concombre. Maria s’allongea sur le dos,
cuisses ouvertes et le noir s’installa tandis qu’elle le guida en elle. Je vis
l’énorme queue avalée par le con de ma femme qui croisa les jambes sur le dos de son
amant quand il fut tout entier en elle. Cela avait tout de la saillie animale, la
femelle écartelée offrant sa fente ouverte, le membre copulateur de l’étalon ployant
d’abord sous son poids et sa longueur, la pénétration lente, la copulation bestiale,
tout y était. Et la bite commença ses impressionnants allers et retours.
J’en avais assez vu, je n’allais pas rester à regarder jusqu’à l’estocade finale,
alors je revins vers le séjour.
Deuxième surprise, mon rival, l’affreux traître qui
m’avait volé ma moitié, était là, en caleçon. Confortablement installé dans mon
fauteuil, il sirotait une bière pour se remettre de ses ébats. Décidément, il voulait
tout me prendre, ma femme, mon lit, mon fauteuil, ma bière. Que voulait-il encore ?
Mon cul sans doute ? L’amant officiel sursauta quand il vit le mari de sa maîtresse,
il essaya de reprendre une certaine contenance et me tendit la main, sans savoir si
j’allais le saluer ou le massacrer sur place. J’en étais parfaitement capable, il
savait mieux que moi que j’aurais facilement le dessus et je savourais cet instant
avec délice : il était vainqueur au lit, il baisait ma femme certainement mieux que
moi ou tout du moins lui apportait-il quelque chose de plus que moi, mais là, à
l’instant présent, c’était moi le vainqueur. Je ne lui cassais pas la gueule et je ne
lui serrai pas la main non plus. Il me sourit en disant :
- Maria est dans la chambre.
- Tu ne la baises pas aujourd’hui ?
- Si je la baise, c’est qu’elle le veut bien.
- C’est vrai, elle est la seule coupable de cette situation, toi, tu es
irréprochable.
- Je te rappelle que la première fois, elle est venue s’emmancher sur ma queue.
Toute seule. Par ta faute je crois.
- Ben voyons !
- Et tu n’en as pas profité ?
- Il n’y a pas un seul mec qui n’en aurait pas profité. Et surtout quand on sait
comment elle aime le sexe !
- Ça va, on va le savoir, depuis que tu claironnes partout que ma femme est une
salope.
- C’est elle qui forge sa réputation, rappelle toi notre pari ce fameux premier
dimanche.
- Le dimanche, je me rappelle, mais de quel pari veux tu parler ?
- Je t’avais parié que ta petite femme se ferait mettre par un coup par un autre
que moi à la première occasion.
- Et alors ?
- Une heure plus tard, elle se tapait ton voisin.

- Et tu n’y es pour rien ?
- Je me suis juste amusé à l’exhiber, j’avoue que j’ai écarté ses fesses pour
que ton voisin puisse voir sa fente, mais personne ne l’a e à écarter les
cuisses, ton voisin l’a prise debout dans l’escalier, elle a lui donné sa chatte
tellement facilement que je n’en suis toujours pas revenu.
- Bon, et alors, elle a baisé avec notre voisin, elle a sûrement remis ça et
fait ce qu’elle avait envie avec lui, et maintenant c’est fini.
- Il l’a baisée bien plus que moi, c’est lui qui lui a rodé le cul, je suis
surpris que tu le prennes si bien.
- Si je le prends si bien, c’est parce que c’est une histoire finie. Et je te
rappelle que son cul, c’est toi qui l’a eu le premier.
- Et j’en suis fier, ce n’est pas tous les jours qu’on déniaise une femme
mariée. Et c’est grâce à moi que tu l’encules, mon cher.
- Tu vois, c’est ça la différence, notre voisin lui a rodé le cul et ne la voit
plus, et toi tu encore là.
- Ah ! tu m’en veux parce que je suis toujours avec elle ?
- Exact ! Je ne t’en aurais pas voulu de ce qui s’est passé la première fois.
Mais maintenant, c’est trop.
- C’est ta femme qui veut continuer, pas moi seulement.
- À propos, tu n’es pas avec elle ?
- Non, elle est avec Antoine.
- Qui c’est celui-là ?
- Un copain que j’ai présenté à ta femme.
- Et qui la baise en ce moment.
- C’est elle qui lui a demandé de venir, moi je n’y suis pour rien.
- Bien sur, tu lui as présenté juste pour prendre le thé.
- Je voulais la baiser une fois avec lui, juste pour qu’elle ait une nouvelle
expérience de trio.
- Ben voyons !
- C’est la vérité, ta femme voulait aller avec un noir.
- Et tu lui en a amené un.
- On a fait l’amour tous les trois il y a quelques jours, et ta femme a joui
comme une folle avec lui. C’est elle qui a insisté pour qu’il vienne avec moi
aujourd’hui.

- Tu dois être content, pas vrai !
- Tu te trompes, ce n’est pas ce que je voulais.
- Ma femme est devenue une vraie salope grâce à toi, tu peux être satisfait.
- Tu ne comprends pas, elle est folle de lui.
- De quoi tu te plains ? Tu ne l’as pas baisée aujourd’hui ?
- Si, tout à l’heure, mais elle est restée avec lui, pas avec moi.
- Tu es jaloux ma parole.
- Ça me fait chier.
- Et moi, qu’est-ce que je dois dire alors ?
- Je ne sais pas.
- Le mari cocu, c’est moi, pas toi.
- Alors essaye de l’empêcher de se faire baiser par ce type, il va nous
l’esquinter.
- Nous l’esquinter ?
- Attends, je vais te montrer quelque chose.
Il se leva, fouilla la poche de son jean et prit son téléphone portable qu’il me
tendit après avoir pianoté quelques touches. La première photo montrait un couple qui
faisait l’amour à la missionnaire avec une femelle qui avait croisé ses cuisses sur le
dos de son partenaire. C’était un noir avec une blanche, Maria et Antoine bien sur.
Sur la deuxième, Maria se faisait prendre en levrette par le même étalon noir, elle
suçait une belle queue blanche sur la troisième, et un énorme braquemart noir sur les
suivantes. Elle tenait difficilement la verge, les deux mains sur la hampe, le gland
dans la bouche aux lèvres distendues, ou encore léchait la queue, ou encore essayait
d’en prendre le maximum dans sa bouche. Effectivement, le mandrin était
impressionnant, de quoi filer des complexes à n’importe quel petit blanc. Si Maria
avait désormais besoin d’un engin de ce calibre pour prendre son pied, nous pouvions
aller nous rhabiller. Philippe me laissa examiner toutes les photos avant de continuer
:
- Tu comprends pourquoi je suis inquiet.
- Tu as peur qu’il prenne ta place dans mon lit ?
- Ce n’est pas ça, il va la bousiller à force de la baiser.
- Si elle aime !
- Avec une queue comme la sienne, elle va avoir le con comme une autoroute.
- Pense-tu ! C’est souple le con d’une femme.
- C’est souple jusqu’à un certain point. A force, il va lui défoncer le con, le
cul, et tout.
- Pourquoi ? Lui aussi l’encule ?
- L’autre fois, il ne lui a pas mis par ce trou là, mais maintenant, c’est
possible, je sais qu’elle ne lui dira pas non, au contraire, elle risque de lui
demander de le faire.
- Grâce à toi, je vais avoir une femme fendue du dos au ventre.
- Ne le prends pas à la rigolade, quand il en aura fini avec elle, on pourra
dire adieu à sa petite chatte bien serrée, ne me dis pas que tu t’en fout.
J’avais en main la photo qui m’avait le plus impressionné, celle où ma femme suçait
l’énorme queue les deux mains sur le membre, le gland lui déformant la bouche, quand
les râles et gémissements provenant de la chambre se transformèrent en cris. Maria ne
boudait pas son plaisir, elle jouissait et criait comme une folle. Je savais que la
fenêtre était ouverte et que toute la rue était informée que madame se faisait baiser
et je souris intérieurement en pensant aux voisins. Philippe quant à lui me regardait
d’un air condescendant, un sourire narquois aux lèvres. Il me rabaissait sans
équivoque, j’étais le mari cocu dont il baisait la femme, le mari cocu dont il avait
transformé l’épouse en catin lubrique, le mari cocu qui assistait en direct à sa
disgrâce. L’orgasme de l’épouse infidèle sonnait comme le chant du cocu. Et le comble,
c’est que non seulement ma femme se faisait sauter sur mon lit, non seulement je
tenais la chandelle, mais en plus j’avais un témoin pour me tenir la main, un témoin
qui lui aussi se tapait cette salope, un témoin ravi d’écraser mon ego de mâle et de
mari. Chaque cri de ma femme me faisait ressentir les assauts de son amant comme si
c’était en moi qu’il s’enfonçait, j’avais l’impression que je me faisais enculer.
Philipe m’enfonça encore plus :
- Qu’est-ce qu’elle prend, la salope ! Elle aime ça cette putain.
- Pourquoi tu parles d’elle comme ça, tu en profites aussi, non ?
- Bien sur que j’en profite ! Pas plus tard que tout à l’heure, j’ai baisé ta
petite femme recto verso. Plus les sucettes si tu veux tout savoir !
- Alors, de quoi tu te plains ?
- Je ne me plains pas, je dis juste que c’est une sacrée salope.
- Tu as une belle opinion d’elle. De toute façon, je ne vois pas de quoi tu te
plains, le cocu ici, c’est moi.
- Tu as raison, c’est toi le cocu. Mais on dirait que tu t’en fous que tout le
monde baise ta femme.
- Non, ça ne m’amuse pas beaucoup, d’ailleurs pas plus que ce soit toi ou le
noir.
- Celui-là, je n’aurais jamais du lui présenter.
- Lui mettre sur le ventre tu veux dire.
- Je n’aurais jamais pensé qu’elle allait en redemander. Il n’arrête plus de la
tringler.
- C’est ton copain, dis-lui de la laisser tranquille.
- Tu crois qu’il va m’écouter ? Maintenant qu’il y a goûté, il ne va pas la
lâcher si facilement, il se régale trop à la baiser.
- Tant que ça ?
- Tu n’as pas idée, au pieu, ta femme est une bombe, elle n’en a jamais assez.
C’est rarissime de tomber sur une femelle si chaude. En plus, les noirs sont friands
des femmes blanches, surtout les petites bourgeoises mariées.
- Pourtant, physiquement, il y a mieux qu’elle, non ?
- Ce n’est pas très important. Comparé à ses qualités au pieu, c’est même rien
du tout.
- Alors, laisse-la baiser tant qu’elle veut avec son étalon noir, qu’elle se
fasse rassasier la chatte et le cul, après elle le laissera tomber, tu verras.
- Ce n’est pas sur, mais je l’espère.
- Tu voulais qu’elle se dévergonde, c’est ce qu’elle fait.
- En attendant, je ne sais pas si tu le sais, elle lui demande de la baiser sans
capote.
- Lui aussi ?
- C’est vrai que moi non plus je n’en mets jamais avec elle. Mais je suis sain
et je préfèrerai qu’elle prenne plus de précautions avec les autres.
- Toi par contre, tu as le droit de lui remplir le ventre de foutre si je
comprends bien.
- Moi, je ne trempe pas ma bite dans n’importe quelle chatte.
- Et moi je dois tremper ma bite dans la chatte de ma femme pleine de ton
foutre.
- Tu fais comme tu veux avec ta femme.
- Et ça te donne le droit de baiser ma femme sans capote. Ecoute, si tu ne veux
pas qu’on baise ta femme, surveille-la un peu mieux.
- Maintenant, c’est trop tard. Elle est devenue trop vicieuse.
- Tu devrais en profiter, cocu pour cocu, autant participer à la fête. Tu n’as
pas envie de les rejoindre ?
- Au pieu ?
- Antoine sera d’accord et elle, ce ne sera pas la première fois qu’elle prendra
deux queues en même temps, ta femme adore ça. En plus, elle me dit toujours qu’elle
devient folle quand elle se fait baiser devant toi.
- Ça ne me dit rien de la partager avec un noir.
- Alors il l’aura pour lui tout seul. Quand ta femme va revenir, tu vas voir,
elle aura le trou du cul tellement explosé qu’elle ne va pas pouvoir marcher droit.
- N’exagère pas.
J’avais à peine terminé ma phrase que l’étalon apparut en caleçon dans la pièce.
Philippe se délecta en faisant les présentations, je te présente le mari de Maria,
voici mon ami Antoine. Il jubilait de ma colère, s’extasiait de ma honte d’être le
cocu de service. Prendre sa femme en flagrant délit d’adultère n’a qu’un avantage,
celui de pouvoir faire un constat. Ce cas mis à part, c’était très gênant, et pour le
mari, et pour l’amant.
La fautive apparut bientôt, avec la même tenue qu’au lit, en corset et bas. Elle avait
passé une petite culotte déjà trempée à cause du sperme qui s’écoulait de son sexe.
Maria refit les présentations, elle par contre, après avoir crié, éprouvait une gêne
visible de se présenter devant son mari avec ceux qui venaient de la posséder.
Philippe exultait :
- Tu n’avais rien dit à ton mari pour Antoine ?
- Comme tu peux le penser, cela ne lui fait pas particulièrement plaisir de le
savoir.
- Oui, mais il aurait eu l’air moins bête en te trouvant au lit avec lui.
- De toute façon, maintenant c’est trop tard
- A voir comment tu as crié, tu as du te régaler ma salope.
- Tu as entendu ?
- Et ton mari aussi, qu’est-ce que tu crois.
- Je ne pensais pas.
- Antoine a du te démonter le cul, ma mignonne.
- Ne parle pas comme ça devant mon mari.
- Il est cocu mais pas idiot, il sait très bien à quoi s’en tenir.
- Justement, ce n’est pas la peine d’en rajouter.
Puis le matador officiel s’habilla et s’enfuit de mon domicile conjugal, sans doute en
jubilant après son forfait, laissant en tête-à-tête la femme adultère, le mari cocu et
l’étalon de passage, tout le monde ne sachant que dire, quelle attitude prendre dans
cette situation peu commune. Maria prétexta qu’elle devait se laver d’urgence et
s’enfuit dans la salle de bain. Je restai donc seul avec l’amant en second. En fait,
Antoine devait être un garçon charmant dont j’aurais apprécié la compagnie en d’autres
circonstances mais là, après l’avoir vu sur le ventre de ma femme, le contact était
plus difficile. Il était aussi mal à l’aise que moi, et finit par dire :
- Je suis gêné, mais finalement content de te rencontrer.
- Tu comprendras que je le sois moins.
- Philippe m’a dit que tu étais au courant pour ta femme.
- Pour lui, plus ou moins, elle s’est vengée de moi en baisant avec lui mais je
ne savais pas qu’elle couchait avec toi.
- Il m’a raconté qu’il l’a baisée devant toi et que tu n’as rien fait pour
l’empêcher.
- Je n’ai rien pu faire pour l’empêcher, nuance. Cela dit, je ne sais pas ce
qu’ils ont fait après.
- Il est revenu la voir.
- Je m’en doutais un peu, mais je n’en étais pas certain.
- Ces derniers temps, il la revoit souvent, et il lui fait faire des choses
qu’une femme mariée ne devrait pas faire.
- Par exemple ?
- Il lui propose de coucher aussi avec ses amis.
- Comme toi ?
- C’est lui qui me l’a présentée.
- Ça, je m’en doute.
- Il nous a emmenés à l’hôtel et comme ta femme était d’accord pour aller avec
nous deux, j’en ai profité.
- Ça je le comprends, ce n’est pas à toi que j’en veux, même si tu baises ma
femme.
- En général, je respecte les femmes mariées, mais Philippe m’a dit que tu t’en
foutais. Alors je ne me suis pas fait prié.
- Il ne t’a pas supplié tout de même.
- Non, bien sur, mais il a beaucoup insisté.
- Qu’est-ce qu’il t’a dit au juste ?
- D’abord il a raconté que c’est elle qui l’avait dragué et qu’il l’avait baisée
sous ton nez sans que tu l’en empêches.
- Tu parles, comme si j’avais pu empêcher quelque chose ! En fait j’ai trompé ma
femme, comme un con je lui ai avoué, alors elle a voulu se faire sauter par le premier
venu, elle s’est débrouillée pour que je tienne la chandelle. et elle s’est vengée
avec lui
- Et c’est lui qui en a profité.
- C’est le moins qu’on puisse dire.
- Il dit qu’au début, elle n’avait jamais rien fait avec personne.
- Avant toutes ces conneries, elle était fidèle, j’en suis sur.
- Après, quand il a vu comment elle était chaude, il dit qu’elle ne demandait
qu’à se faire mettre.
- Il ne s’en est pas privé, le salaud !
- C’est ce qu’il raconte. Il l’a baisée tant qu’il a voulu, excuse-moi, il
raconte même que c’est lui qui lui a cassé le cul le premier.
- Ça aussi il le raconte ?
- Il parait qu’elle fait tout ce qu’il lui demande, elle est d’accord pour tout.
- Il en a fait une pute.
- Il aurait commencé par la refiler à deux de vos copains pour qu’ils se la
fassent à deux, je ne sais pas si c’est vrai.
- Je ne peux rien dire, mais c’est possible, il cherche à la dépraver
complètement.
- Ça doit être vrai, en tout cas les deux mecs sont sur la liste, et au moins
l’un d’eux confirme, il se vante d’avoir fait ce qu’il a voulu avec ta femme, grâce à
Philippe. J’ai cru comprendre que c’était comme un test, juste pour savoir jusqu’où il
pouvait aller.
- Et alors ?
- Alors, il dit qu’elle a réussi le test avec mention, elle est même plus salope
qu’il pensait, elle est prête à tout, elle ne demande que ça.
- Et c’est quoi la prochaine étape ?
- Il y a la liste, il veut organiser une partouze où elle devra se taper tout le
monde.
- Bravo ! Et qu’est-ce qu’elle en pense ?
- Elle n’a pas dit non.
- Ça promet.
- Il m’a dit qu’elle voulait aussi se faire un noir bien monté.
- C’est surtout lui qui voulait qu’elle se fasse tringler par un noir, excuse-
moi, je ne cherche pas à te blesser, mais c’est une façon de la dépraver encore plus.
- Et pourquoi veut-il faire ça ?
- Je ne sais pas, ça l’amuse, ou peut-être que c’est pour m’humilier.
- Il t’en veut à ce point ?
- Je ne sais pas pourquoi.
- Il raconte aussi que tu sais que ta femme donne son cul à tout le monde, qu’il
faut en profiter parce que tu t’en fous.
- Je suis marié avec une salope, je le sais mais je ne m’en fous pas.
- C’est moche que tu sois cocu.
- On n’en meurt pas, la preuve.
- Tu devrais surveiller un peu ta femme, tu sais, maintenant elle va avec
n’importe qui.
- Ça fait longtemps qu’elle couche avec toi ?
- Je ne sais pas trop, quelques semaines. Les premières fois on se voyait
toujours à l’hôtel. Après, Maria m’a fait venir ici, elle disait que c’était plus
pratique pour elle, et aussi plus discret.
- Pour la discrétion, à mon avis c’est raté, avec tous les voisins qui nous
connaissent, bonjour la réputation.
- On a essayé de faire attention, j’espère que personne ne s’est aperçu de nos
allées et venues.
- Ça m’étonnerait.
- Depuis, je suis venu ici, quelques fois avec Philippe, surtout au début, et
d’autres fois tout seul.
- Tu as eu le temps de savoir ce qu’elle vaut.
- Je peux l’avouer, je l’ai baisée un paquet de fois.
- Tant que ça ?
- Pratiquement tous les jours, je suis au chômage en ce moment, alors je peux me
libérer facilement dans la journée.
- Ça, je ne le savais pas. Et Philippe ?
- Lui aussi, il profite tant qu’il peut, mais comme il travaille, il vient moins
souvent, ment.
- Alors on la baise tous les trois depuis plusieurs semaine si je comprends
bien.
- C’est ça.
- Elle a la santé, ma petite femme. moi je la baise tous les jours, maintenant
j’apprends que toi aussi, et Philippe se la tape plusieurs fois par semaine. Oui, elle
a une sacrée santé.
- Elle est comme ça.
- Et ma femme a voulu tout de suite ?
- Qu’est ce que tu veux dire ?
- Si Philippe ne l’a pas un peu e la première fois, si elle était vraiment
d’accord pour que vous la baisiez à deux ?
- Je ne saurais pas trop le dire avec les autres, peut-être qu’il lui a un peu
la main, mais devant moi, elle était tout ce qu’il y a de consentante.
- Même pas de pudeur !
- Si, avant de commencer, elle était rouge comme un coquelicot, peut-être de
honte, je ne sais, je ne lui ai pas demandé, j’avais autre chose en tête si tu vois ce
que je veux dire. Mais elle s’est montrée très timide la première fois.
- Timide mais d’accord pour tout ?
- C’est ça. Philippe nous a présenté, elle osait à peine me regarder et je me
suis demandé s’il ne m’avait pas raconté des histoires. Je me demandais si elle savait
vraiment ce que nous avions l’intention de faire avec elle.
- Et après ?
- Il l’a conduite près du lit, elle s’est assise sur ses genoux et ça a
commencé.
- Déjà ?
- Il l’a embrassée et caressée, gentiment d’abord, après il l’a carrément
tripotée par dessus et par-dessous la robe. Il remontait bien sa robe pour que je
regarde ce qu’il faisait et où il la touchait.
- Et elle ne disait rien ?
- Non, rien, elle se laissait faire, elle lui tenait la tête en l’embrassant
pendant que l’autre s’occupait d’en bas. Ça m’excitait rien que de voir Philippe jouer
avec sa langue.
- Elle adore jouer comme ça, c’est vrai.
- C’est quand il lui a enlevé sa petite culotte que j’ai compris que c’était
gagné, elle savait ce qu’on allait lui faire et elle était d’accord.
- Une honnête femme ne se laisse pas déculotter en public sans arrières pensées.
- Il lui a écarté les cuisses et a commencé à l’exciter en la branlant.
- Et elle se laissait toujours faire ?
- Complètement. Elle se laissait faire, et nous regardait bizarrement, au début
j’avais l’impression qu’elle se demandait ce qu’elle faisait là comme si elle était
hypnotisée ou e, après j’ai plutôt vu une expression de défi, comme si elle
voulait se prouver à elle-même qu’elle était capable d’aller au bout de ses
phantasmes.
- Elle en a été capable la première fois ?
- Plus que capable. Philippe lui disait de se laisser aller, et il m’a proposé
de vérifier par moi-même à quel point elle était mouillée. Elle n’a pas bronchée quand
j’ai caressé son sexe, pas plus que quand j’ai enfoncé un doigt dans sa chatte. C’est
Philippe qui menait le bal, il me disait ce qu’il fallait faire, et puis il m’a
demandé de sortir ma queue pour que Maria me la suce. Il disait que c’était la
meilleure façon de faire connaissance.
- Elle l’a fait ?
- Elle a commencé tout doucement, après à fond. C’est comme ça que tout a
commencé.
- Et après vous l’avez baisée tous les deux.
- Plusieurs fois, oui.
- Je savais qu’elle est loin d’être farouche mais ça me surprend d’entendre ça.
- En plus Philippe lui fait une sacrée publicité. Il raconte à tout le monde
comment il la baise, il donne tous les détails qu’on veut, qu’elle suce, qu’elle
avale, qu’elle donne le cul, tout ce qu’on lui fait à deux avec photos à l’appui.
- Il m’en a montré à moi aussi, mais pour pas pour m’exciter, plutôt pour
m’humilier.
- Il en a fait plein, dans toutes les positions, il en trimballe toujours avec
lui. Il a même une séquence porno sur CD
- Il l’a filmée ?
- Un jour, elle a fait l’amour les yeux bandés et il en a fait un film.
- Comment ça les yeux bandés ?
- Elle avait un bandeau sur les yeux pour qu’elle ne sache pas avec qui elle
était.
- Mais ceux qui l’ont baisée pouvaient la reconnaître ?
- Bien sur, ils savaient parfaitement qui elle était. D’ailleurs, on la
reconnaît parfaitement sur le film, alors que Philippe a bien fait attention à ne pas
filmer les visages de ses partenaires.
- Combien étaient-ils ?
- Trois.
- Et elle ne sait pas qui l’a baisée ?
- Non, elle, elle ne sait pas.
- Et toi, tu sais ?
- J’ai reconnu un des trois, d’ailleurs, il s’en vante volontiers.
- Et personne ne l’a obligée, ni e, ni saoulée pour qu’elle accepte de
faire ça ?
- Non, Philippe dit qu’elle était encore plus excitée que d’habitude, et c’est
vrai que sur le film, on la voit faire les plus grosses cochonneries possibles, en
fait, elle fait tout ce qu’on peut imaginer, ils lui ont fait tout ce qu’ils ont
voulu. Le plus fort, c’est qu’à la fin, elle remercie même ses partenaires de l’avoir
défoncée.
- Et ce film, il est où ?
- Il le vend 30 euros je crois.
- Je suppose qu’il l’a vendu à tout le monde autour de moi.
- Pratiquement oui.
- Et toi, tu l’as ?
- Moi aussi je l’ai pris.
- Tu pourrais me le faire passer, ou même mieux, achète m’en un.
- Si tu veux, mais je ne suis pas certain que ça te plaise.
- Au point où j’en suis, je peux même regarder le film. C’est comme le press-
book d’une star du cinéma porno
- C’est un peu ça oui, il expose la marchandise et la propose à tous ses
copains. Je ne comprends pas pourquoi elle fait tout ce qu’il veut.
- C’est comme si elle se prostituait pour lui. J’espère qu’il ne gagne pas de
fric avec son cul tout de même.
- Non pas ça, il lui arrive de parier sur elle.
- Comment ça, parier sur elle ?
- Son passe-temps favori en ce moment, c’est de parier qu’il n’a qu’à lui
demander pour qu’elle donne le cul à un tel ou un tel. Quand il m’a proposé de les
rejoindre à l’hôtel, il a parié avec un de nos amis que nous la baiserions lui et moi.
L’autre ne voulait pas croire que ça marcherait, il vous connaît ta femme et toi et
disait qu’elle ne le ferait pas, alors ils ont parié une grosse somme, deux ou trois
cents euros je crois.
- Le salaud, en plus, il a gagné du fric.
- Le pire, c’est qu’il y a une liste d’attente officielle, ça l’amuse.
- Moi pas.
- Je comprends. Tout le monde veut lui passer dessus, surtout des types qui te
connaissent.
- C’est plus marrant de baiser une femme mariée quand on connaît le cocu.
- Je peux te l’avouer, j’ai vu la liste puisque je suis dessus, il y a au moins
vingt noms dans la colonne de ceux qui veulent se taper ta femme.
- J’aimerais bien savoir quels amis sont salauds à ce point.
- Ne te fais pas d’illusions, tout le monde veut la baiser, l’autre nous a tous
appâté avec ses histoires et ses photos. En plus, il dit que tu es d’accord, puisque
tu as bien voulu qu’elle couche avec lui, tu voudrais bien qu’elle le fasse avec les
autres, alors il n’y a pas de scrupules à avoir.
- C’est dur à avaler.
- Il y a une autre colonne, ceux qui ont baisé ta femme, et il y a déjà six ou
sept noms cochés.
- Avec toi ?
- Moi compris, on est doit être sept à l’avoir fait. Pour exciter les autres,
Philippe fait raconter par les deux premiers ce qu’ils ont fait à ta femme grâce à
lui, en plus maintenant avec le film, le succès est garanti.
- Il en reste douze ou treize si je laisse faire.
- Par déduction oui.
- Merci de m’avoir prévenu.
- C’est la moindre des choses après ce que je t’ai fait. C’est un peu tard mais
je te promets de respecter ta femme, enfin je vais essayer.
- Tu ne vas plus la baiser ?
- Ça, je ne sais pas mais je te promets de ne pas l’entraîner dans des boîtes
échangistes, comme Philippe l’a proposé.
- Pour qu’elle couche avec d’autres noirs ?
- Des noirs, des arabes, des blancs, des jaunes, un peu tout le monde.
- Et elle est d’accord ?
- Elle n’a rien contre bien au contraire.
- Merde, c’est grave.
- Je te promets de ne pas l’entraîner là-dedans.
- Je te remercie de ne pas être comme Philippe.
- Tu devrais lui casser la gueule.
- J’y pense mais ça n’arrangera rien. Sinon ce serait déjà fait.
Je ne savais pas si je pouvais prendre cette promesse pour argent comptant, mais
Antoine me faisait l’impression d’être quelqu’un de très bien. Alors, après
l’humiliation que m’avait infligée Philippe, j’avais envie de le croire. Mon épouse
tendre et adorée, chérie de moi et baisée par tous, apparut juste après le départ
d’Antoine. Elle avait des cernes, mais aussi l’expression d’une femelle comblée.
Une chemisette couvrait le haut, assez transparente pour laisser deviner les seins
dont les mamelons essayaient de percer le tissu, mais le vêtement arrivait au nombril
et laissait la culotte cacher le reste. La petite culotte de dentelle avait bien du
mal à voiler la toison brune et en plus, une auréole mouillait la fente, la semence de
ses amants sans doute.
Madame raccompagna ses partenaires de coucherie jusque dans l’escalier, revint dans le
salon, se lova dans un fauteuil et s’étira comme une chatte. Sans plus d’explication,
elle alluma la télévision et se plongea dans la contemplation du petit écran. En fait,
il n’y avait rien à expliquer, tout était très clair, ma femme était devenue
nymphomane et je devais l’accepter ou la quitter, c’était aussi simple que cela.

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