Rêve Qui Pourrait Devenir Un Jour Réalité ? 2eme Partie

Rêve qui pourrait devenir un jour réalité ? 2eme partie
Ce que je vais écrire ne relate pas une partie de ma vie. Juste un fantasme, non
plutôt un espoir de ce que pourrais être ma vie plus tard, un jour peut être qui sait
? Mais dans ce texte il y a beaucoup de moi, il y aura mon être et mon âme.

Je passe le reste de la semaine avec la soirée d’hier en tête, nous en avons reparlé
bien entendu et elle a l’aire d’être satisfaite de mes réactions. La semaine suivante,
elle me convoque le samedi, à une nouvelle séance, à 18h, sans m’en dire plus sur le
déroulement de ce nouveau rendez vous. Elle me précise juste de ne pas m’attendre à
rentrer trop tôt chez moi et me donne le nom du film : la dernière super production
hollywoodienne de super héros. Un vrai contraste avec le premier film. Le Samedi
arrive, pas assez vite à mon goût. Je me suis fait 100 fois le filme de cette soirée
dans ma tête
Une fois arrivé devant la salle, je reçu un SMS : « à nouveau tu vas t’installer seul,
tu te mets au 10eme rang sur le siège où il y a un programme. Tu regarderas dessous,
tu y trouveras un cadeau qui t’attends mais soit discret. Bon film ! Et dépêche
toi». Je vais vite prend ma place, elle m’avait fait descendre bien bas dans la salle
pour être sûr que la place ne soit pas prise de suite. Je vois le programme, m’y
installe et me baisse pour regarder sous le siège. Je sorts un petit paquet avec une
enveloppe dessus. Je l’ouvre et lis : « voici une petite récompense pour toute la
satisfaction que tu me donnes en ce moment, tu es très obéissant, sincère et en plus
tu es agréable, ouvre ce cadeau, vas le mettre et reviens à ta place, profites bien du
film. Ta Maitresse ». Le mettre ?? humm mon imagination fait vite le tour des
possibilités et une hypothèse sort vite du lot. Je l’ouvre, en effet, j’y trouve un
string en dentelle de toute beauté noir et rose.

Et visiblement il a été porté car il
est immaculé de taches. Je me lève vite pour aller enfiler ce string, j’en oublis même
qu’elle peut, qu’elle doit même, se trouver dans la salle et donc que je pourrais la
chercher du regard. A peine franchis la porte, un sms arrive : « au faite, tu jettes
ton caleçon à la poubelle, ce genre de sous-vêtement ne te sera plus utile ! ».
J’exécute les ordres. Dépose mon caleçon, enfile ce bout de tissus qui me rentre dans
les fesses. Je reprends ma place, la tête dans les nuages, ne pouvant m’empêcher de
caresser ce tissu qui me mordille le sexe et de penser à son odeur qui s’incruste dans
mon corps. Le film se passe et comme le premier film un sms arrive juste avant la fin
: « rdv à 20h30 à la pizzeria D, rue palatine» une table est réservée à ton nom ». Je
regarde ma montre, 20 minutes à patienter, je décide d’y aller à pieds cela a un
peu le temps, le téléphone sonne :
-alors qu’as tu pensé de ce film ?
- ne pouvant pas lui cacher la vérité, je lui répondis : heureusement que je portais
votre magnifique cadeau sinon je me serais endormi.
-Tu n’aimes pas les films grand public ? Me questionne-t-elle
-non c’est certain que je préfère, quitte à choisir, d’aller voir des films du même
genre que le premier plutôt que ces grosses productions insipides.
-alors j’ai bien fait te t’offrir un cadeau, tu as pensé à moi?
-Oh que oui Maîtresse Ana, je suis heureux de ce cadeau, d’ailleurs je n’ai pas pris
le temps de vous remercier. Merci je suis bien ainsi.
-bon on se voit à la pizzeria, me dit-elle en partant dans un rire avant de
raccrocher.
Je n’arrive pas à m’imaginer que je vais enfin la voir. Cette femme me teste depuis
quasi trois mois, et je n’ai vu que son ombre… mon cœur palpite à 200 à l’heure.
J’arrive devant la pizzeria, dis au réceptionniste que j’ai une réservation à mon nom,
il me demande confirmation : « Monsieur B.
c’est ça pour une personne… » ! Aie le
choque… ! J’avale ma salive, essaye de reprendre consistance et sort un « oui c’est çà
» je suis penaud et m’installe à ma table, seul… ! Mon téléphone sonne :
-tu es bien installé ma petite salope. ?
-euh oui Maitresse Ana.
-euh ? T’en es pas sur ?
-si si mais j’avoue que je suis surpris (pour ne pas dire déçu à ma maitresse) de
manger seul Maitresse.
Ma tête tourne dans tout les sens pour voir une femme avec un téléphone à la main.
Mais en vain. La pizzeria est bondée et aucune femme solitaire dans la salle.
-arrête de faire la girouette ! me dit-elle
Elle est la pourtant, me regarde, me scrute mais où est-elle ?
-ne me cherches pas, tu n’y arriveras pas. Tu commandes une pizza royale, un the en
guise de dessert et tu attends mes ordres pour partir !
- bien Maîtresse Ana, je ferai comme bon vous semble.
La serveuse vient prendre ma commande… je lui demande une royale et elle repart.
Aussitôt après un sms. : vas aux toilettes, regarde derrière la cuvette, prend le sac
et fait ce que tu as à faire… laisse ce que tu devras dans le sac au même endroit. M.A
. Mon cœur vibre, elle a tout prévu, mais comment je fais pour ne pas l’apercevoir.
Je me lève, cherche les toilettes qui sont dos à ma place, comme par hasard, pour que
je ne puisse voir qui y va une fois de retour, tout est planifié dans les moindres
détails. J’arrive aux toilettes, une femme d’une cinquantaine d’année, en sort, mais
impossible que ca soit elle, ma Maîtresse m’as dis avoir 35 ans et n’avait pas de
raison de mentir, à moins que. Je rentre, referme derrière moi. Je trouve le sac et en
fais l’inventaire… mon cœur se décroche. Bas, porte-jarretelles, guêpière, chemisier
blanc mais féminin, très féminin même, et une chaine en argent sur laquelle un petit
cadenas avec sa clé est accroché. J’attache cette chaine autour de mon coup, me
déshabille dans cette petite cabine, enfile les bas, le porte-jarretelles, et la
guêpière, tous est assorti au string.
Je remets mon pantalon et met le chemisier de
femme en laissant ma propre chemise dans le sac. Remet mon pull, mes chaussures, cache
à nouveau le sac et sort des toilettes rouge de honte envoyant deux femmes faire le
pied de grue devant… je baisse la tête et repart fissa a ma place. Et si l’une de ces
filles était ma Maîtresse ?? Quelle de ne pas savoir qui elle est alors
qu’elle épie tous mes faits et gestes. A peine assis que mon téléphone sonne.
-t’es bien ma petite salope comme cela ?
-euh oui Maitresse Ana !
- dis-le !
J’avale ma salive baisse de 4 tons le volume de ma voix
-je suis votre petite salope vêtue ainsi Maîtresse Ana
-rien entendu, plus fort.
Je me résigne à parler normalement
-je suis votre petite salope Maitresse Ana !
-ben voilà. J’aime mieux entendre clairement les choses. Assumes, car si tu n’assumes
pas ta nouvelle condition on stoppe tout net, moi je veux un soumis à ma botte fière
de ça condition, pas d’un pseudo soumis qui n’est soumis que chez moi en privé.
- Bien Maîtresse Ana. Je veux vivre selon votre désir et être modeler pour vos envies.
J’assumerai ma nouvelle condition. Dis-je d’un ton sincère qui fit se retourner deux
dames qui mangeaient à coté de moi ce qui à pour effet de me prendre une bouffée de
chaleur terrible.
-Aurais-tu parlé trop fort ?
-oui Maitresse, balbutie-je
-Bon retire ton pull et montre nous t’as belle chemise viril ! Elle éclate de rire et
raccroche.
J’enlève mon pull au moment même ou la serveuse m’apporte ma pizza. Elle aperçoit tout
de suite que mon chemiser n’est pas de mon genre ainsi que le cadenas en guise de
pendentif. .. Et repart avec un sourire en coin. Je ne sais plus ou me mettre j’ai
même plus faim mais me force à manger quand même. Pas de nouvelle de ma maîtresse. Il
y a des femmes de partout, je suis sur qu’elle est derrière moi, je scrute la salle
qui s’offre à mes yeux : j’élimine d’office celles qui sont en tête à tête avec un
homme, bien qu’avec une femme aussi imaginative, elle pourrait très bien avoir un
complice masculin.
il y a deux groupes composés uniquement de femmes, mais comment
être sur ? Et derrière mon dos il y a bien encore une dizaine de table. Mais où est-
elle. Mon thé arrive et la serveuse ne peut s’empêcher de me lancer un énorme sourire
en partant. Est-ce elle ? Est-elle une complice? Quelle délicieuse de ne pas
savoir à quel saint se vouer. Je bois mon thé et patiente comme demandé, la pizzeria
commence à se vider il est 23h. Un sms arrive : « as tu bien manger ma petite salope,
te sens tu bien dans ta nouvelle tenue ? Tu va maintenant partir en donnant ton numéro
de téléphone à la serveuse on verra bien si elle t’appelle. Je t’autoriserais peut
être à fricoter avec elle. »
Franchement je n’avais jamais fait cela et j’ai tellement peu confiance en moi que je
suis persuadé qu’elle ne me contacterait jamais. Je lui demande la note, lui tends ma
carte bleue et un bout de nappe déchirée avec mon numéro de tel dessus. Elle prend le
tout, ne regarde pas le papier et le met dans ca poche et me fait payer, et repart en
me souhaitant une bonne soirée.
Je sors du restaurant tout en regardant à droite et à gauche si je reconnais la
silhouette de ma Maîtresse, il reste peu de monde mais toujours sans succès. Je
retourne à ma voiture. Quand mon téléphone sonne.
-ma salope soumise. Je te félicite pour cette soirée. Tu va rentrer chez toi
maintenant. Mais avant tout va ouvrir le cadenas. La clé tu la jettes… attention à
toi si tu décides de la garde et d’outre passer mes directives.
En même temps que je l’écoute, j’ouvre le cadenas et laisse tomber discrètement la
petite clé à terre.
-Et attention à ce qu’il ne se referme pas car je serais extrêmement en colère. Tu
gardes ce cadenas précieusement chez toi comme le graal, interdiction de jouer avec.
-bien Maitresse.
-Et pour ce soir, une fois chez toi, interdiction de te masturber, d’enlever tes sous-
vêtements. Je te souhaite une bonne nuit ma salope. Demain tu resteras toute la
journée ainsi chez toi. Pas de sortie, pas de copain.
A peine le temps d’acquiescer qu’elle me raccroche quasiment au nez. Je regarde ce
cadenas me posant mille questions sur son utilisation futur, j’étais à mille lieux de
la vérité, malgré tous les fantasmes que j’avais fait de cette pratique.
J’arrive chez moi, me regarde dans la glace avec ce chemisier de femme sur moi, j’ôte
mon pantalon, le chemisier et me retrouve avec la panoplie du parfait travestis sur
moi. Il ne manquait plus que la perruque. La vision de mon image me provoque un début
d’érection qui est interrompu par un coup de téléphone, non masqué ? Ma Maîtresse ?
Non pas possible… je décroche, une voie féminine me dis bonsoir et se présente comme
étant la serveuse de ce soir. Elle me demanda si j’étais un homme sérieux ou un fou.
Qu’elle avait bien compris mon penchant pour le travestissement mais ne comprenais pas
le cadenas à mon coup… je ne veux pas mentir et me mets à tout lui raconter
sincèrement sans aucune pudeur. Ca dure des heures, elle me pose des tas de questions
et je finis pas lui donner l’adresse e-mail de ma maitresse si elle voulait en savoir
plus. Je n’ai pas vu l’heure à laquelle je me suis couché. Il est bien tard, je
m’endors à la minute même ou je ferme les yeux mais suis réveillé en sursaut par un
autre coup de téléphone…

A suivre…si vous le voulez toujours. ?

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