Ma Voisine, Ma Nounou, Ma Maitresse

Pierre et Sylvie sont amants depuis plusieurs mois. Leur rencontre au début ne
présageait rien de leur aventure. Pierre et Florence, sa femme ont deux jeunes s
et cherchaient une nounou. Ils épluchèrent les petites annonces, mais aucune des
prétendantes ne leur avaient convenues : trop chère, trop exigeantes, peu flexibles
dans les horaires... Un dimanche, lors d'une braderie organisée dans le quartier, ils
en vinrent à discuter avec quelques voisins. C'est ainsi qu'ils rencontrèrent Sylvie.
Elle habitait à 3 maisons de la leur. Elle avait été assistante maternelle il y a
quelques années et actuellement était au chômage. L'occasion était parfaite pour les
deux parties.

Avec les s, elle était vraiment très douce. Et Pierre qui perdait souvent son
calme avec eux, fut ravi de découvrir ses s sous un autre jour.

Le samedi, Florence travaillait et Pierre était la maison. Cependant, il profitait de
ce moment là pour travailler encore sur quelques dossiers délicats. Mais avec les
s, ce n'était pas possible. Avec l'arrivée de Sylvie, il retrouvait un peu plus
de sérénité, et se surprit même plusieurs fois à terminer en milieu d'après-midi, là
où il y a quelques mois, il n'avait parfois même pas pu eu le temps d'avancer un seul
cas. Du coup, il allait la rejoindre au salon pour discuter un peu alors que les
s dormaient.

C'est ainsi qu'une amitié commença. Sylvie était une très belle femme de 40 ans, blond
foncé, aux yeux bleu verts. Mince, toujours souriante, toujours un mot pour rire. Elle
taquinait souvent Pierre. De regards en coin en effleurement, Pierre se sentait
irrésistiblement attiré par Sylvie. Il sentait aussi qu'elle n'était pas insensible.
Mais à sa grande surprise, c'est elle qui fit un jour le premier pas. Ce samedi là,
elle n'avait pas arrêté toute la journée de faire quelques remarques à Pierre, des
sous entendus.

Jusque là, il avait pensé que c'était dans la logique de leurs jeux
habituels. Mais ce jour là, elle insistait beaucoup. Il l'a surpris plusieurs fois à
le fixer du regard, ou à examiner son corps.

Et c'est l'après-midi qu'elle se jeta littéralement sur lui, alors qu'il s'était assis
à côté d'elle pour lui servir un café. Il avait envie d'elle depuis plusieurs
semaines, et ce n'est pas cette attitude cavalière qui allait le gêner. Leurs habits
volèrent très rapidement sous l'assaut de la belle. S'en suivi une étreinte torride où
les deux amants s'avouèrent et se montrèrent à plusieurs reprises leur envies
réciproques... Sylvie, sous ses airs sages, cachait bien son jeu. Elle était vraiment
sans tabou, à la fois pleine d'initiative, parfois amant que Pierre prenne les
devants, tantôt le plaquant violemment au sol pour en faire son jouet intime.

Leur proximité était aussi un avantage. Sylvie et Florence avaient également
sympathisé, si bien que personne ne voyait d'un mauvais oeil que Sylvie vienne parfois
frapper à la porte de Pierre quand il était seul. Souvent, ils se quittaient sur le
perron en prenant bien soin qu'on les voit, en parlant de cuisine, de conseils divers,
de projets. Tout était prétexte à une visite : un article de journal, une recette de
cuisine, un vêtement oublié par les s chez elle, son chat qui s'était enfuie...
Et pourtant, qui aurait pensé que quelques minutes avant, Pierre l'avait installé sur
la table de la cuisine pour la prendre... Cette situation les excitaient beaucoup.

Il y a 3 semaines, Sylvie partit en vacances chez de la famille. Cela ne lui était pas
arrivé depuis plusieurs mois et elle espérait dans ce voyage, se ressourcer. Elle en
avertit Florence et Pierre pour qu'ils prennent leur disposition vis à vis de la garde
de leurs s. Florence comprit et la rassura : Pierre avait des vacances à
prendre, il pourrait alors assurer l'intérim.
Sylvie, un peu gênée, leur demanda
toutefois un service : elle ne pouvait pas amener son chat avec elle, et elle aurait
voulu qu'ils prennent soin de lui en son absence. Florence accepta tout naturellement
et Sylvie lui confia ses clefs.

Pierre était tout de même contrarié. Ils avaient leurs habitudes et il s'était attaché
à elle. Pour la première fois, il n'allait pas la voir pendant 3 semaines... 4 longs
week-ends. Et ce n'est pas les quelques SMS ou appels qui allaient combler ce manque.
Un nouveau jeun tout aussi érotique, se mit en place lors de leurs échanges
téléphoniques... Les mots doux laissaient bientôt la place à les intentions profondes,
chacun décrivant, vivant ce qu'il voulait faire à l'autre s'ils avaient été là... Ces
petites séances n'étaient pas pour calmer l'ardeur de Pierre à son égard.

Hier, Sylvie est rentrée de vacances. Florence ne tarda pas à l'appeler pour prendre
de ses nouvelles et lui proposa de passer le soir même, pour prendre l’apéritif. Lui
rendre ses clefs ne serait qu'un prétexte de plus à se revoir. Pierre attendait cette
soirée avec excitation et appréhension : tant de jours sans la voir, et là, elle
serait dans la même pièce... Arriverait-il à se contrôler ?

La sonnette retentit. Pierre était nerveux, la boule au ventre. Il prétexta être
occupé et laissa Florence l'accueillir. Pierre entendit la douce voix de sa maîtresse.
Il descendit de l'étage pour les rejoindre. Dans le hall, Sylvie lui sourit, mais son
regard en disait long.

Florence passa devant Sylvie en l'invitant à passer au salon. Pierre fermait la
marche. Sylvie ralentit le pas jusqu'à être à son niveau. Discrètement, elle tendit la
main pour toucher celle de Pierre. Ce ne fut qu'un effleurement, mais elle provoqua un
frisson qui parcourut tout son corps.

Tous s'installèrent sur le canapé.
Florence appela les s pour qu'ils viennent la
saluer. Elle fut accueillie avec cris et embrassades. Ils avaient du mal à dissimuler
leur joie. Florence les renvoya dans leur chambre, car sinon ils n'arriveraient pas à
s'entendre parler. Lucas, le petit dernier supplia alors sa mère de l'accompagner dans
sa chambre, parce que sa sœur avait jeté son jouet au dessus de l'armoire qu'il ne
pouvait atteindre.

Les deux amants se retrouvaient alors seuls. Pierre attendit que Florence soit bien
dans la chambre des s. Il regarde Sylvie d'un oeil désireux. Elle, du coin de
l'oeil esquissa un sourire malicieux. Ils n'étaient qu'à quelques centimètres l'un de
l'autre.

Pierre approcha la main de la cuisse de Florence. A son contact, elle poussa une
longue respiration. A son tour, elle en fit de même, mais ne s'arrêta pas là. Elle
remonta le long de sa cuisse jusqu'à son entre jambe. L'excitation de Pierre n'était
pas dissimulable, en tout cas au toucher ! Pierre l'imita et sa main disparue sous la
jupe de Sylvie. Ses doigts atteignirent sans difficulté le doux coton de sa culotte.
Sylvie n'était visiblement pas en reste côté excitation. Elle pressa sa main fortement
sur le pantalon de Pierre au fur et à mesure qu'il la caressait.

Les pas de Florence retentirent dans l'escalier. Pierre retira à contre cœur sa main,
tout comme Sylvie. Florence entra dans le salon, le sourire aux lèvres.

- Ah ces s ! Je ne sais pas comment tu arrives à te débrouiller avec. Je
t'admire. Heureusement qu'on t'a.

Pierre souria... Lui aussi était bien content de l'avoir.

- Tu ne sers pas l’apéritif, Pierre ? interrogea Florence

- Si, tu as raison, je manque à toutes mes obligations. Que veux-tu Sylvie ?

Sylvie le regarda tendrement, un brin amusée :

- La même chose que toi...

- Heu, un Martini blanc, bredouilla Pierre

- Cela me convient.
.. Mais pas trop, car sinon, j'ai la tête qui tourne.

- Je m'en voudrais de te mettre dans cet état rétorqua Pierre.

Sylvie fit la description de son séjour, de sa famille qu'elle n'avait pas vu depuis
plusieurs mois. Pierre écoutait, semblant attentif. Mais son esprit était ailleurs...
Il observait ses lèvres mais ce n'étaient pas ces mots qu'il entendait. Il écoutait
son récit, mais ce n'est pas dans ce décor qu'il l'imaginait.

Sylvie s'excusa et se leva pour aller aux toilettes. Elle brisa un instant le charme
qu'elle avait construit dans l'imaginaire de Pierre. Il la vit s'éloigner, dans sa
robe délicieuse qui lui donnait une seule envie : la lui enlever.

- Je vais en profiter pour aller voir ce que font les s et je reviens, propose
Florence.

Pierre resta sur le canapé, pensif, à siroter son Martini. Quelques instants plus
tard, Sylvie revint des toilettes. Elle s'approcha de Pierre, posa un genou entre ses
jambes.

- Tiens, c'est pour toi ! Et elle introduisit un bout de tissu dans la poche de sa
chemise.

Puis elle recula et reprit sa place sur le canapé à côté de Pierre. Pierre, intrigué,
examina ce qu'elle avait mis : une petite culotte.

- Tu veux vérifier demanda-t-elle ?

Pierre releva l'invitation. Il posa la main sur la cuisse de Sylvie, puis il passa
sous sa robe. Ses doigts heurtèrent son pubis, parfaitement lisse et humide.

- Mais, tu t'es rasé ! s'exclama-t-il

- Oui, tu aimes ?

- Hum, c'est très agréable au toucher en tout cas...

Pierre en profita pleinement, là où il s'était arrêté, là où son imagination tout à
l'heure l'avait amené. Il prit soin d'inspecter la douceur de son pubis, puis caressa
légèrement ses lèvres tout aussi douces et onctueuses. Puis, il introduisit enfin les
doigts dans son intimité : tout aussi douce, chaude, humide et brûlante de désir...
Sylvie sursauta lorsqu'elle sentit qu'il la pénétrait. Pierre le remarqua et prit un
malin plaisir à explorer son sexe. Il avait encore en tête la discussion de tout à
l'heure, où il dut se contenter d'imaginer, de la regarder alors que sa seule envie
était de la prendre.

Sylvie se mordait les lèvres. Mais alors que Pierre décida de se retirer, elle plaqua
violemment la main entre ses jambes.

- Non, reste... Continue, c'est trop bon...

Pierre, un sourire aux lèvre, s'exécuta et s'enfonça encore plus profondément en elle.
En réponse, Sylvie place la main entre les jambes de Pierre et faufila ses doigts
entre les boutons de son pantalon. Agile, elle n'eut aucune difficulté à y trouver son
sexe, dur, ne demandant qu'à sortir. L'endroit était exigu. Mais elle n'eut pas de mal
à atteindre du bout des doigts son gland pour le masser. Très vite, elle le sentit
durcir encore plus, entravant ses mouvements... Partagée entre le plaisir que lui
prodiguait Pierre, l'idée qu'elle l'excitait à ce point, elle brûlait d'envie de lui
sauter dessus.

La voix de Florence raisonna dans l'escalier. Pierre et Sylvie se ravisèrent et
tentèrent de laisser aucune trace de leur excitation réciproque. Florence entra dans
le salon.

- C'est bon, ils devraient nous laisser tranquille. J'ai demandé aux grands de
s'occuper des petits et j'irai leur dire bonsoir quand ils m’appelleront. Maintenant
que tu es là, je ne vais tout de même pas passer mon temps là haut ! expliqua
Florence. De quoi discutions-nous ? Mais, vous n'avez pas touchés aux apéritifs ?

- Nous t'attendions, rétorqua Pierre. Nous n'allions tout de même pas continuer dans
toi.

- Qu'avez-vous fait alors en mon absence ?

- Heu, et bien nous... Sylvie m'a expliqué qu'elle était allé visiter un parc avec ses
petits neveux. C'est bien ça

- Oui, répondit Sylvie, un peu prise de court. Mes neveux et moi sommes allés visiter
un petit parc d'attraction. Mais malgré sa taille, il y a des jeux très excitants

- Ah bon ? interrogea Florence

- Oui. On y éprouve des sensations très fortes, qui vous parcourent tout le corps, qui
vous prennent dans le bas ventre et qui vous remontent partout.

- Eh bien, dis donc, tu es sûre que c'est pour les s, s'amusa Florence.

Sylvie et Pierre s'amusèrent de cette remarque. La discussion continua sur ce que
chacun avait fait pendant l'absence de Sylvie. Sylvie ne cessait de croiser et
décroiser le jambes, d'ajuster sa robe sur ses jambes. Pierre n'en perdait pas une
miette, sachant pertinemment qu'elle ne portait rien dessous.

La soirée s'avançait et Sylvie décida de prendre congé.

- Attends, on a récupéré aussi ton courrier, dit Florence

Pierre sauta sur l'occasion :

- Je vais le chercher, je l'ai laissé dans mon bureau.

Il revint quelques instants après et tendit les enveloppes à Sylvie. Pierre regardait
avec insistance la première du paquet. Il avait pris l'enveloppe entre deux doigts
pour la sortir du paquet. Cela l'intriguait et dès qu'elle eut le paquet en main, elle
examina discrètement l'enveloppe. Sur l'avant, rien de particulier : c'était visible
une simple facture. Elle la tourna et découvrit quelques mots de l'écriture de Pierre.

"Une fois que tu seras parti, je prétexterai avoir quelque chose à faire dans le
garage. Rejoins-y moi"

Sylvie s'empressa de retourner l'enveloppe pour cacher le message :

- Tiens, enfin, une bonne nouvelle, commenta-t-elle. Je vais rentrer de suite pour la
lire.

Ce fut le signal pour terminer cette visite. Chacun se salua et Sylvie rentra chez
elle.

Comme convenu, Pierre prétexta un bricolage dans le garage. Florence, un peu fatiguée,
décida d'aller se reposer dans la chambre pour lire un peu. L'occasion était trop
bonne. Sans précipitation pour ne pas éveiller quelques soupçons, Pierre s'éclipsa. Il
attendit quelques instants, guettant derrière la porte de séparation le moindre bruit
au cas où sa femme viendrait lui demander quelque chose. Mais rien.

Le cœur battant, il se dirigea vers la porte du garage. Il éteint la lumière pour ne
pas attirer l'attention des voisins en ouvrant la porte, sans un bruit. Derrière,
Sylvie l'attendait, tapie dans l'obscurité. Pierre lui fait signe d'entrer. Il entend
un bruit et jette un rapide coup d’œil autour. Finalement, fausse alerte : c'est juste
le chat du voisin qui escale la clôture.

Il décide alors de rentrer à son tour et ferme la porte derrière lui. En allumant la
lumière, il découvre Sylvie. Pendant qu'il inspectait dehors, elle avait laissé tomber
sa petite robe à ses pieds et s'offrait à lui, entièrement nue.

D'abord surpris, il s'approcha d'elle, immobile. Elle l'attendait, soumise. Il
s'empara d'un de ses seins pour le lécher, le dévorer. Puis il glissa ses mains le
long de ses hanches pour caresser ses fesses. Sylvie se plaqua à lui. Elle retrouvait
la dureté de son sexe pointer dans son pantalon. Mais cette fois, hors de question de
se contenter de l'effleurer. Elle défait son pantalon et hâtivement sort son sexe.
Enfin, elle l'a pleinement en main, dure, comme elle l'aime. Elle le plaque contre
elle pour en sentir la chaleur. Elle commence un peu à le masturber, mais en fait, il
n'en a vraiment pas besoin.

Elle recule alors à petits pas, entraînant avec elle son amant, jusqu'à une table
d'atelier. Fort heureusement, il n'y a rien dessus. Elle s'y hisse. Puis, elle écarte
généreusement les cuisses pour y accueillir Pierre. Il ne se fait pas prier. Il prend
son sexe bien en main et présente son gland juste à l'entrée de ses lèvres. Même si
l'envie est là, il préfère jouer encore un peu : il balade le bout de son sexe le long
de ses lèvres, les écartant légèrement à chaque passage. Sophie observe, mais c'est en
elle qu'elle le veut. Elle s'apprête à l'interpeller lorsque sans crier gare, Pierre
la pénètre d'un coup de reins.

Sophie est tellement excité que Pierre n'a aucun mal à la pénétrer. Seules ses cuisses
heurtant ses fesses stoppe sa course en elle. Sophie relève bien les jambes en les
appuyant contre le torse de Pierre. Il commence par de petits va-et-viens, puis il
amplifie le mouvement. Le vagin de Sophie est tellement dilaté que le sexe de Pierre
en vient à sortir d'elle à chaque fois qu'il recule... Sophie adore ça, car elle sent
à nouveau le gland de Pierre effleurer ses lèvres avant de s'enfoncer profondément en
elle.

Pierre saisit la jambe gauche de Sophie, tandis qu'il baisse l'autre. Bien ancré sur
ces cuisses, il la pénètre encore plus profondément. Sophie en a presque le souffle
coupé à chaque fois qu'il vient butter en elle. Elle se cramponne au bord de la table
pour ne pas manquer de tomber à chaque coup.

Tous les deux ont été séparés trop longtemps, et bien que Pierre ait fait l'amour à
Florence la veille, il n'est pas en reste avec Sophie. Il s'enfonce en elle aussi
profondément qu'il le peut et les petits cris que laisse malgré tout échapper Sophie
l'encourage. Mais Sophie le veut encore plus en elle... Elle le repousse et dès qu'il
se retire, elle se tourne sur le ventre. Elle n'a plus qu'à lui présenter ses fesses,
bombées de plaisir, désireuses de le sentir bien au fond. Elle les écarte légèrement,
mais Pierre a déjà présenté son sexe à l'entrée de son vagin et n'a pas vraiment
besoin de son aide pour rentrer à nouveau en elle.

- Oh, là, je te sens encore mieux... vas-y Pierre, maintenant, fais toi du bien...

Pierre cogne contre ses cuisses violemment et laisse échapper à son tour de léger
soupir à chaque fois qu'il la heurte. De sa main, il caresse onctueusement ses fesses,
souligne leur forme. Puis, il s'attarde vers son petit œillet, là, présent sous ses
yeux... Il se retire un instant et laisse passer son gland dessus pour l'humidifier.
Il retourne ensuite aussitôt dans les chaudes entrailles de Sophie. De son pouce, il
commence à préparer son petit orifice, alors que Sophie ne semble pas l'en décourager.
Elle se doute bien de ce qu'il lui prépare, l'occasion de le sentir toujours plus en
elle, et de lui donner aussi le plaisir qu'elle lui propose. Pierre recommence à
nouveau à mouiller son petit trou... Et enfin, lorsqu'il estime qu'il est suffisamment
préparé, laisse cette fois son gland à son entrée. Le bout de son gland épouse
parfaitement la forme que son travail préparatoire a creusé. Les mains sur ces
hanches, le sexe dur et bien placé, il commence à force doucement l'entrée. Sophie se
prostre dans l'attente. Encore quelques millimètres et il passe la première barrière.
Sophie respire fort à la sensation du passage de son gland. Elle écarte encore plus
les fesses pour l'aider. Pierre profite de ce coup de main salutaire pour enfoncer
enfin l'intégralité de son sexe dans son anus. Il sait que lorsqu'elle est excitée
comme aujourd'hui, c'est son plus grand plaisir. Et il ne déclinera pas son offre de
se faire plaisir en elle, pas ce soir, pas après autant de temps sans avoir eu le
plaisir de lui faire l'amour.

Pierre doucement, reprend ses va-et-viens dans cet orifice délicieusement étroit. Il a
l'impression qu'elle le dévore intégralement. Après toute cette soirée, cette
excitation et le consentement si chaleureux de sa maîtresse, Pierre serre une dernière
fois ses fesses contre son sexe et s'enfonce aussi loin qu'il peut en elle. Elle le
sent, elle se cambre de plaisir. Pierre a l'impression de ne faire plus qu'un avec
elle, et d'un dernier coup de rein vigoureux, déverse son plaisir au sein de Sophie.
Elle s'écroule en le sentant jouir et laisse aller enfin son plaisir... Oui, il s'est
donné du plaisir grâce à elle, et elle a ressent un grand plaisir ... intérieur.

Les amants s'écroulent, repus, l'un sur l'autre. Pierre reste encore en elle jusqu'à
ce que son sexe devienne moins dur. Sophie le laisse partir en sachant bien que ce
n'est qu'un au revoir. Libérée de son étreinte, elle se retourne pour embrasser
fougueusement Pierre.

Ils se rhabillent tous les deux. Puis, au moment de partir, juste avant que Pierre
n'éteigne à nouveau la lumière, Sophie retourne sur ses pas. Elle regarde dans le
garage et trouve une clef à molette.

- Que fais-tu ? interroge Pierre

- Je prends de quoi "bricoler"

- Pardon ?

- Oui, je crois que le siphon de mon évier a une fuite... Mais tu connais mes talents
de bricoleuse... Je m'y prends toujours si mal... A tel point que je pense que demain
après-midi, tu devras certainement venir me montrer tes capacités... mais d'amant...

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!