Fanny....Enfin Seuls

Je vous laissais il y a peu, avec la découverte que je venais de faire en trouvant ma sage épouse en charmante compagnie dans le lit conjugal et il y a eu une suite à ces premiers ébats endiablés.
En effet, cette révélation accidentelle des nouvelles habitudes sexuelles de Fanny allait ouvrir des perspectives, et réveiller mon ardeur.

Le soir même, nous nous retrouvions tous les deux, et Fanny me recevait dans le lit avec tranquillement posé près de son oreiller, le godemiché que nous avions utilisé l’après-midi, un tube de lubrifiant et un sourire qui en disait long sur ses intentions.
Je lui proposais de commencer par un bain chaud qui nettoierait les expériences de l’après-midi et nous nous dirigeâmes vers la salle de bain.
En fait de bain, c’est dans notre grande douche à l’italienne que nous allions débuter la soirée et comme l’eau chaude commençait à couler lentement sur nos deux corps, les petits seins de mon épouse avaient leurs pointes tendues comme une offrande et je les suçais goulument.

Fanny se débrouilla pour que le jet ne vienne plus perturber la zone de ma bite et de mes couilles et elle commença avec application, une fellation qu’elle accompagnait de massage entre mes cuisses puis elle remontait au niveau de mes bourses qu’elle caressait tout en douceur. Elle fît même quelques « tentatives » autour de mon anus qui finalement se révélait être une parfaite zone érogène, et ceci décuplait la dureté de mon sexe, ce fût une belle surprise.

Elle me prenait en bouche et faisait tourner l’une de ses mains sur la base de ma bite, puis explorait tout ce qui pouvait l’être avec sa main restée libre.
Je sentais l’eau s’écouler doucement sur mon dos et je fermais les yeux de plaisir.
Après plus ou moins, une minute de ce traitement, Fanny se releva, elle arrêta le jet de l’eau et démonta la tête de la pomme de douche, laissant ainsi le tuyau de douche sans l’accessoire de diffusion.


Puis elle dirigea l’extrémité du tuyau vers son anus et elle remis l’eau en service.
Au bout de quelques secondes, elle arrêta le jet, elle retira le tuyau qui était au bord de son fondement et elle s’accroupit près de l’évacuation.
Un long jet ressorti de son cul et je compris qu’elle faisait en sorte de ne pas avoir à gérer de mauvaise surprise lorsque nous serions à nouveau amenés à pratiquer cette sodomie que j’avais découvert, chez elle, pour la première fois l’après-midi même.
Elle m’expliqua que c’était Clothilde, l’épouse notre ami J.F. qui l’avait initié à cette pratique qui avait le mérite de nettoyer le conduit anal, mais en plus de le dilater légèrement, préparant ainsi sans violence l’exploration de cette voie.

J’avais envie de ressentir à nouveau, l’étroitesse de ce magnifique conduit et j’étais toujours très disposé à la pénétrer, avec une bite qui n’attendait que cela.
Je fis un aller-retour vers la chambre pour récupérer le tube de lubrifiant et proposait à Fanny de prendre la pause sur le tapis de la salle de bains. Elle s’installa « à quatre pattes » le cul en l’air et je commençais par lui écarter légèrement les fesses et à titiller son anneau avec la langue, puis je pris une noisette de lubrifiant et avec l’aide de mon majeur, puis de mon annulaire, avec des mouvements circulaires, je dilatais cette rondelle qui ne demandait qu’à s’offrir.
Quand Fanny fût apprêtée, je me positionnais au-dessus de son anus et après avoir enduit mon gland d’une goutte du lubrifiant, je dirigeais en douceur la tête de mon sexe vers ce petit trou offert.
Même si Fanny semblait avoir exploré l’amour anal depuis quelques temps, je prenais mon temps pour m’insérer sans violence dans ses entrailles et chercher ce plaisir nouveau qui n’allait pas tarder à venir.
Quelle douce sensation d’avoir son sexe légèrement enserré et de sentir une résistance juvénile.
Quelle douce sensation de venir taper au fond de ce conduit et d’avoir les bourses qui touchent légèrement les fesses de sa partenaire lorsque l’on s’enfonce au maximum de sa possibilité.

Quel bonheur ensuite d’éjaculer sans retenue et de sentir que la partenaire t’accompagne pour un plaisir partagé.
J’avais pris mon pied, mais je voulais que Fanny jouisse aussi.

Elle se retourna et me montra une chatte luisante ou les grandes lèvres étaient quasiment entre-ouvertes, comme si elles attendaient une offrande méritée.
Après avoir éjaculé, je manquais de tonus, et je prenais toutefois le soin de nettoyer mon sexe.
Je retournais dans la chambre pour me saisir du godemiché et à mon retour Fanny m’attendait toujours dans la même position, sa main posée sur le clitoris et manifestement la recherche du plaisir avait débuté.
Je repoussais tendrement sa main et introduisait avec fougue mais sans blesser notre accessoire dans sa chatte, et débutait des va et vient attendus semble-t-il, aux soupirs qu’ils déclenchaient chez mon épouse et à la lubrification qui était naturelle.

Dans le même temps, je me mis titiller avec la langue le sillon qui part de son clitoris, en remontant jusqu’à la base de ses grands lèvres et je sentais que cela la contentait grandement.

Il ne fallut pas trois minutes pour qu’elle laisse échapper un cri qui semblait dire « vas-y » « vas-y » et elle se raidit magnifiquement tout en expirant un souffle rauque qui témoignait tout comme ses joues rouges, d’un orgasme violent et consommé.
Elle gisait prêt de moi, jambes écartées, lèvres luisantes, poils trempés et son sexe remplit par ce godemiché qui avait contribué à son plaisir.
Son cul avait laissé déborder, le sperme que j’avais répandu, et Fanny semblait comblée, apaisée et surtout pleinement baisée, ce qui ne nous était plus vraiment arrivé ces dernières années.

J’avais repris une certaine vigueur, mais je ne me sentais pas la force de « casser » ce moment de plénitude et je remettais à plus tard mon désir d’un coït vaginal destiné à remplacer ce godemiché qui devait ne rester qu’un accessoire de contentement, mais pas un palliatif à nos ébats….

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