Ah La Campagne ! (2)

Alors que nous prenons un café au salon après le diner Corinne nous souhaite une bonne nuit et part se coucher. Monique me demande alors ce que je suis parti faire tout à l’heure : voir Robert ou retourner à la ferme car elle a bien vu les regards entre Laurianne et moi. Je lui raconte en détails et cela la fait sourire puis dire que je suis un vieux vicieux, un gros dégoutant. Je lui dis que je suis fatigué et aimerai me reposer cette nuit, elle sourit et nous allons nous coucher. Le lendemain matin alors que nous finissons de prendre le petit déjeuner le téléphone sonne, Corinne décroche et me dit c’est le garagiste il voudrait te parler. Je prends le combiné et Robert me demande si je peux venir ce matin, je lui réponds que ce n’est pas possible mais dans l’après midi je pourrai si il est disponible. Il me dit de venir vers 16h et nous raccrochons. De retour à table, profitant que Corinne est partie aux WC, je dis à Monique que c’était Robert pour cet après midi et je lui demande de venir avec moi, très excitée elle me dit c’est d’accord comme cela Corinne n’ira rien imaginer ! Quand Corinne revient je lui dis que Robert avait trouvé mon portable et que j’irai le récupérer avec Monique dans l’après midi en allant reconnaitre les environs pour de futures ballades en vélo. J’ajoute que ce matin j’ai quelques courses à faire et là Monique sourit en disant : va on a des choses à faire avec Corinne. J’arrivais chez Laurianne vers 9h30 elle m’attendait en blouse et bottes caoutchouc comme la veille alors que je suis en short et t-shirt et à peine passer le seuil de la maison elle m’enlace et me met la main au paquet en me murmurant j’ai rêvé de toi mon gros vicieux. J’ouvre fébrilement sa blouse en l’embrassant, surprise elle n’a que sa culotte dessous ses grosses mamelles pendent libres, je commence à sucer et mordiller ses tétons qu’elle a très épais. Elle gémit se tortille puis s’agenouille, baisse mon short et commence à me sucer en me malaxant vigoureusement les couilles, elle me pompe tellement bien le gland que je l’arrête pour faire retomber l’excitation et la fais relever.

J’ôte sa blouse ouverte et retire sa culotte que je renifle avec bonheur, cela sent la femelle l’urine et la transpiration, j’en bande encore plus raide et je la regarde nue en bottes devant moi qui me regarde de façon très animale. Je le retourne l’appuie sur les coudes sur la table de la cuisine puis écartant ses fesses je lui darde ma langue dans on anus poilu et odorant, elle gémit : tu es un gros dégoutant ! Je lui fourre alors un doigt dans la chatte et la branle tout en glissant un doigt dans son cul elle râle et gémit ! Je la branle ainsi longuement quand d’un coup elle jouit et du jus dégouline de sa chatte et elle crie : viens, prends moi ! Je me relève et pose ma queue sur son œillet trempée de salive et poussant d’un coup je l’encule à fond. Son cul me serre la queue comme un doigt de gant et dès que je commence à la limer elle repart au ciel comme elle dit. Je passe mes mains sous selle et m’accroche à ses tétons pour limer à grand coups en le tirant, elle gémit, râle. Je sors alors ma queue et enfourne sa chatte d’un coup et après quelques va et vient je la sens qui se serre et Laurianne serre alors les jambes en hurlant : elle jouit comme une folle, sa chatte me broie la queue, je n’en peux plus. Je donne encore quelques coups de reins et je lâche tout avant de m’écrouler sur elle qui halète et me murmure : t’es un vrai cochon mais c’est bon ! Ma queue glisse, sort de son antre chaud et elle se retourne m’enlace fortement et m’embrasse en me mordant les lèvres. Elle me caresse les couilles et en souriant me dit : mon beau salaud j’espère que t’as encore du jus ! Elle ôte ses bottes et me prend par la main pour m’entrainer dans la chambre. Là on s’allonge sur le lit et elle passe tête bêche au dessus de moi posant son entrecuisses sur mon visage et prenant ma queue en bouche pour un 69 mémorable. Je lèche, suce sa chatte velue et odorante qui dégouline d’un mélange de cyprine et de foutre glissant jusqu’à son clito que j’aspire et suce, en même temps je glisse deux doigts dans son gros cul velu et le branle.
Cela dure longtemps et elle a deux orgasmes alors que je recommence à bien bander. Elle glisse alors vers mes hanches et s’empale sur ma queue et me chevauche, je tords et tire ses tétons. Du foutre et de la cyprine dégouline, Laurianne a bientôt un nouvel orgasme et se tord douloureusement, elle abandonne alors ma queue et se remettant en 69 la prend en bouche pour me sucer à mort s’arrêtant à chaque fois qu’elle sent que je vais venir. De mon coté j’écarte ses fesses et avec ma langue je lèche et darde son cul poilu et très odorant. Ce petit jeu se poursuit et elle finit par me faire aller au bout et avale tout jusqu’à la dernière goutte, elle continue alors me sucer, mais uniquement le gland, après que j’ai éjaculé, j’en peux plus je lui demande d’arrêter tout en continuant à travailler son cul avec ma langue. Elle se retourne alors et on s’embrasse en se mordillant et en se pelotant. Soudain une voix appelle : Laurianne, Laurianne, où es tu ? Et avant que l’on n’ait pu esquisser un geste Raymond est là debout au pied du lit. Laurianne rougit et agressive lui dit : que fais tu là ? Tu ne devais pas être aux abattoirs ? Lui ajoute et toi salope tu te fais sauter par le premier venu ! Je ne dis rien mais comme je me lève Laurianne me dit : restes, lui il sort ! Raymond hausse les épaules et me regardant me dit : je te la laisse cette grosse truie ! Laurianne lui crie : pédé ! Lui au moins il me fait jouir et il bande avec moi ! Oh atmosphère orageuse, les comptes se règlent, Laurianne me dit : au moins c’est clair, tu vas pouvoir venir sans te cacher. Je me lève et lui dit qu’il faut que je parte mais que je reviendrais, elle m’enlace en me murmurant : j’espère bien mon salaud. Une fois mon short et mon t-shirt remis je sors et là dans la cour Raymond me dit : tu peux venir te la taper tant que tu veux, au moins comme cela elle me foutra la paix ! Je rentre déjeuner et Monique en douce me dit : alors la Laurianne ? Je lui raconte, elle me dit : tu crois qu’elle baiserait avec une femme, Je lui dis qu’il faudra qu’on essaie, on finit de déjeuner puis après le café une petite sieste et on part direction le garage.
Une fois arrivés je me gare dans la cour derrière et Robert nous ayant vu arriver vient vers nous, un peu surpris de la présence de Monique. Je lui dis que c’était ma femme Monique et qu’elle savait tout et elle en souriant lui mis la main direct au paquet, il rougit mais se laissa faire. Monique ouvrit sa robe boutonnée par devant puis l’ôta, elle apparu nue et lisse et baissant le pantalon de Robert le suça devant moi. Il se mit à bander ferme et moi je commençais à triquer, Monique se relevant s’allongea sur le dos sur le bureau et écartant les cuisses dit à Robert : baises moi ! Il l’enfila sans ménagement et la baisa à grands coups. Très excité je lui dis alors : encules là elle adore ça, il sort alors sa queue relève les jambes de Monique pour les poser sur ses épaules et la sans ménagement l’encule. Monique gueule et crie : bourres moi gros salaud, défonces moi le cul ! Robert très excité s’exécute et Monique se branle le clito en même temps, bientôt elle jouit fortement et pisse en même temps sur robert qui trop excité décharge. Moi je me caresse doucement en matant. Monique et Robert s’essuient et se rhabillent, puis Robert nous demande si cela ne nous embêterait pas de venir avec lui chez des amis. On lui répond que bien au contraire, lui me dit qu’ils organisent des soirées chez Thierry et fabienne, pour nous c’est d’accord et il nous dit je vous contacte pour vous dire où et quand. On prend alors un café et je demande à Robert si il connait Laurianne et Raymond, il me dit bien sur et m’explique que Laurianne a 38ans et Raymond 47ans, qu’ils sont mariés depuis 20ans suite à un accord entre leurs parents pour réunir leurs deux exploitations. Je lui dis qu’on est plus au 19ème siècle ! Il ajoute qu’ils n’ont jamais eu d’s, que cela désespère leurs parents à cause des exploitations. Je lui dis que Laurianne à traité Raymond ,devant moi, de pédé, il me dit alors que Raymond ne baise Laurianne que lorsqu’il a un coup dans le nez et en plus il tire sa crampe et ne s’occupe pas d’elle, il ajoute que c’est Laurianne qui l’a raconté à sa femme un soir de bal ou elle était un peu éméchée.
Monique me dit qu’il faut qu’elle rentre elle a promis à sa sœur d’aller faire quelques courses avec elle, elle ajoute je prends la voiture Robert n’aura qu’à te raccompagner. Robert me dit reste avec moi j’attends un ami qui doit déposer sa voiture je te raccompagnerai et on le déposera au passage. D’accord, on prend un café et 20mn plus tard un type entre dans le bureau, 35 40ans, taille moyenne chauve visage poupin légèrement enrobé il salue Robert qui fait les présentations, j’apprends ainsi qu’il se nomme Denis. Robert nous laisse et va rentrer la voiture de Denis qui me sourit et me mate, puis il me dit : vous êtes drôlement costaud, j’aime beaucoup je lui souris et pose la main sur la bosse de mon short. Robert reviens et me dit c’est bon j’ai fermé on peut y aller, j’entends derrière moi Denis qui parle à voix basse à Robert qui soudain rit et s’approchant de moi me dit Denis me demandait si tu aimes les hommes. Pour toute réponse je m’avance vers lui et lui mets la main au paquet. Excité il me roule une pelle tout en malaxant ma bosse, resté sur ma faim je trique derechef, il baisse mon short et se met à me sucer. Robert sort sa queue et se branle, je le fais venir à côté de moi et me penche un peu pour le sucer pendant que Denis me bouffe la queue. Excités on fait une pause pour se mettre à poil, Denis est un peu enrobé avec des petits seins et un cul de femme, il bande et a une queue un peu courte fine mais avec un énorme gland et de très grosses couilles. Il me doigte le cul en me bouffant les couilles maintenant, Robert bien raide passe derrière Denis, le fait lever, att son cul pendant qu’il continue à me travailler le cul et bouffe mes couilles et l’enfile. Denis me lâche, gémit, ferme les yeux, Robert le bourre un bon moment pendant que je les mate en me branlant puis Denis me dit : appuies toi sur le bureau et tends moi ton cul ! Je m’exécute, je sens alors des mains écarter mes fesses et une bitte m’envahir le cul, je mate derrière et voit Denis m’enfiler avec Robert toujours dans son cul. Ils liment alors en cadence et gémissent, bientôt Denis s’immobilise et râle en déchargeant dans mon cul et haletant il recule sortant sa queue et me dit : maintenant vas derrière et encules Robert avant qu’il décharge. Je passe derrière me branle pour être à nouveau bien raide et enfile Robert tout de go il râle et crie : oh oui vas y ! Je lui bourre le cul à grands coups et bientôt il s’immobilise et inonde le cul de Denis, j’accélère et à mon tour éjacule. Nous sortons alors nos bittes, on a ainsi la queue dégoulinante et le cul plein ! Denis nous fait allonger par terre et suce la queue de robert pendant que ce dernier suce la mienne et que je suce celle de Denis. Quand tout est propre on passe au cul et on se lèche l’œillet dégoulinant de foutre, ainsi je lèche le foutre de Robert qui lui lèche celui de Denis qui lui lèche le mien. J’avoue que la situation est très excitante. Une fois le cul propre on se rhabille en riant et on monte en voiture arrivé chez Denis ce dernier nous propose un verre avant que Robert me raccompagne. Je lui dis qu’il faut que je rentre car je suis attendu, il ma malaxe le paquet et me dit de voir avec Robert pour organiser un rendez vous chez lui. On prend congé et Robert me dépose à la maison où je trouve Monique et Corinne en train de papoter autour d’un thé avec Odile, la femme de Robert. Je dis bonjour et m’éclipse à la salle de bain. Monique passe me voir et me demande ce que j’ai fais, je lui dis qu’il y a eu un surprise et que je lui raconterai.

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