Un Petit Trou Tout Lisse

Il se fout à poil et déroule un futon deux places sur le sol. Il a le corps fin et souple. Je commence à le caresser de partout.

– hmmm ! Comme t’as la peau douce !

Il me fait un grand sourire de toutes ses dents. Vraiment adorable : je l’embrasse langoureusement, puis je continue de le baisouiller partout, sur le torse, dans le cou, sur les épaules…

Il doit avoir dans les 24-25 ans. Drôle de tronche mais un corps sublime. Je viens de le rencontrer dans un jardin public. Il me faisait carrément du gringue. Je l’ai abordé, il m’a proposé de venir chez lui, dans son petit studio à côté du parc.

Couché à plat ventre sur son futon, il se laisse faire. Je lui caresse le dos, j’y dépose des petits bisous en descendant vers ses fesses. En bonne salope, il pousse des petits soupirs de satisfaction et écarte les jambes à mesure que je m’approche de son cul.

– La vache ! Ton petit trou du cul ! Qu’est-ce qu’il est mignon ! Hmmm ! Il sent bon. Qu’est-ce qu’il est doux ! Tout lisse. Tu te rases ?
– Non je m’épile.
– Avec quoi ?
– À la cire.
– Hmmm ! C’est doux. Ça sent bon…
– C’est la crème que je mets après l’épilation. Je me suis épilé juste avant de descendre au parc.
– Woaohh ! Tu t’es épilé pour aller draguer ?
– ouais
– Ça m’excite ! Raconte-moi ça !
– J’adore m’épiler le cul. Je me le lave d’abord longuement à l’eau tiède. Pendant ce temps, je fais chauffer la cire : j’ai un appareil pour ça, qui la maintient aussi à bonne température. Ensuite j’étale la cire chaude avec une petite spatule en bois. Je fais ça devant ce miroir, là… Je fais deux jolies bandes de cire : une de chaque côté de mon anus.
– Et quand tu les arraches, ça fait pas trop mal ?
– Si, mais j’adore ça ! D’abord je soulève un petit coin de la cire, comme un couvercle de yaourt, et ensuite j’arrache d’un coup sec en poussant un petit cri, comme ça : aaaïh !
– Ha ! Ha ! Ha ! T’es vraiment trop mignon !
– En général, ça me fait bander quand j’arrache la cire, alors je me caresse un peu en attendant que la douleur s’apaise.

Et je me passe une pierre d’alun mouillée à l’eau froide sur la peau épilée.
– Une pierre d’alun ?
– Oui, c’est un pierre blanche : c’est ça, là-bas, sur l’étagère… C’est un antiseptique naturel, ça assainit la peau après l’épilation…

Vu la forme lisse et oblongue de sa pierre d’alun, il n’y a aucun doute sur la façon dont il l’utilise pour assainir la peau de son anus !

– Ensuite, je mets une crème apaisante à l’amande douce.
– Oui, Hmmm ! C’est ça qui sent si bon !
– Quand j’ai fini, je sens mon petit trou tout net et tout bien dégagé. J’ai l’impression de sentir l’air plus froid que d’habitude entre mes fesses. Je me sens tout nu. Alors j’ai besoin que quelqu’un en profite : je mets un jean, pas de slip, et je descends direct au parc pour me faire draguer.

Pendant ce temps, après avoir mis la langue, je commence à le pénétrer un peu plus profondément avec mes doigts. Il se met à 4 pattes pour faciliter mon ouvrage, arrête de parler et ne pousse plus que des petits « ha » de plaisir. Je prends le temps de bien ouvrir ce magnifique petit orifice avec un puis deux doigts : je veux le préparer parfaitement pour que ma bite y glisse toute seule comme dans un fourreau. Il m’aide en écartant les cuisses aussi loin qu’il le peut ! Quand je le sens bien ouvert, je finis la préparation en le badigeonnant copieusement avec le gel dont le tube traînait à côté du futon (comme par hasard ;-) ).

Une fois la capote mise, la pénétration se fait effectivement tout seul et ma bite glisse en souplesse dans son cul. Tout en commençant à le ramoner doucement, je me couche à plat ventre sur lui et lui dis à l’oreille :

– Hhh… Qu’est-ce qu’il est doux, ton cul ! Je vais pas jouir tout de suite, mais c’est super bon ! À chaque aller-retour, j’ai la bite remplie de plaisir ! Tu le sens ?
– Oui… Pour moi aussi, c’est délicieux… Quand tu fais des allers-retours lents et souples, comme ça, j’ai l’impression de sentir ta jouissance dans ta bite.

Je le baise plusieurs minutes comme ça et je repense à son épilation.

– Moi aussi, ça m’excite à mort de t’imaginer en train de t’arracher les bandelettes de cire et de crier de douleur… Ça m’excite !
– hh… hh…
– Ça me plairait bien de te le faire, la prochaine fois.
– … ?
– D’accord ? Tu me préviendras la prochaine fois ? J’étalerai la cire autour de ton anus, avec ta spatule… Je te banderai les yeux et au moment où tu t’y attendras pas : crac, j’arracherai d’un coup sec ! Aannhh !

J’ai pas pu m’empêcher de donner un violent coup de bite bien au fond au moment où j’ai dit ça. Ça nous fait gémir tous les deux !

– Après, je te passerai ta pierre d’alun bien mouillée…

Je le pénètre de nouveau plus lentement, avec des mouvements souples et tournants, en frottant bien les bords de son petit trou pour lui suggérer la façon dont j’utiliserai sa pierre d’alun.

– hmmm
– … et j’étalerai la pommade à l’amande douce, en te massant bien le tour de l’anus avec mes doigt, délicatement… doucement… en faisant des petits ronds pour bien faire pénétrer dans la peau…

Rien que de penser à ça, ça me fait monter mon excitation. J’approche ma bouche de son oreille pour lui faire des petits bisous et je lui chuchote :

– Alors ? T’es OK ?
– Anh, oui… j’ai envie… je t’appellerai, oui… promis…
– Hhh… Ça m’excite à donf de savoir que je vais faire ça ! Tu t’épiles tous les combiens à peu près ?
– Hh… hh… hh… tous les mois… hh
– Anh ! Dans un mois, je t’épilerai comme jamais, tu verras… ! Oh putain, c’est bon… aaanhh…

Je ne peux plus me retenir et je jouis abondamment dans son cul.

Depuis, je me branle souvent et pensant à son petit duvet qui doit être en train de repousser, et à ce moment où je vais l’arracher d’un coup sec : il va pousser ses petits cris de douleur et ensuite, je soulagerai son cul avec sa crème et je finirais en lui baisant longuement son petit trou tout lisse et tout tendre.