Leslie Hd84

Leslie HD84 – Vacances espagnoles, suite

En retrouvant mes autres compagnes je compris à leurs regards qu’elles se doutaient de quelque chose, mais elles ne dirent rien et ce n’est seulement sur le chemin du retour que posant sa tête sur mon épaule Alejandra me dit :
- Ce soir, c’est mon tour.
- On verra, lui dis-je.

Arrivés à la maison, Alejandra et Pilar filèrent dans leur chambre pour se changer les filles, c’est à cet instant que Luciana vint vers moi pour me prendre par la main et m’entrainer dans un coin isolé du jardin.
Elle avait pris une natte et une serviette qu’elle a disposée dans l’endroit discret du jardin.
Me regardant dans les yeux elle m’a dit :
- J’ai envie de toi, fait de moi ce que tu veux !
Elle s’est mise nue et s’est allongée sur la natte et elle m’a demandé de la caresser
Elle s’est étendue à plat ventre et j'ai commencé par ses épaules, puis je suis descendu le long de son dos, elle profitait de mes caresses en gémissant doucement, en disant :
- Oui, c’est bon.
Arrivée à la base du dos, j'ai attrapé ses fesses et je les ai caressé, Luciana gémissait en disant :
- Ohhh, continues.
Puis j'ai mis ma main dans la raie de ses fesses et je lui ai glissé un doigt dans le trou du cul, elle a cambré son derrière de façon à ma faciliter l'accès, j'ai continué à lui travailler le cul avec mon doigt et elle gémissait de plus en plus belle, elle gesticulait et se débattait par l'excitation, soudain elle à tressaillit et à crier sa jouissance.
J'ai retiré ma main de son derrière et je l'ai laissé profiter de son plaisir.
J'avais une érection d’enfer, ma verge me faisait mal, je voulais la monter tout de suite,
J’avais sorti mon sexe du maillot de bain et je me branlais, Luciana a approché sa tête et se l'est fourré dans la bouche, elle m'a pompé pendant quelques minutes, comme si elle avait toujours fait cela, je gémissais tout en regardant à gauche et à droite si personne ne venait.

Luciana m’a dit :
- Ne t’inquiètes pas personne ne viendra.

Puis elle s’est mise sur le dos et à ouvert grand ses cuisses en me disant :
- Baises moi !
Je me suis allongée sur elle et je l’ai pénétrée, la chatte étroite d’Alejandra s’ouvrant sur mon sexe me procurait un plaisir fou, elle gémissait en sentant mon membre entrer en elle.
- Comme il est gros, me dit-elle, quand tu seras partie il va me manquer
Après l’avoir baisée pendant un long moment, je l’ai retournée et j'ai commencé à lui titiller le trou du cul.
Je lui ai réintroduit un doigt, elle a gémi encore, alors j'ai continué avec deux doigt pour bien la préparée, elle gémissait en disant :
- Oui très bien, tu vas me prendre.
Elle gémissait étendue sur le ventre, et elle m’a dit :
- Prends-moi le cul !
Elle s'est cambrée pour s’offrir et j’ai placé mon membre sur sa rondelle, et j’ai poussé doucement.
Mon sexe glissa doucement centimètre par centimètre en elle, fermant les yeux et ouvrant grand la bouche elle se laissait prendre en soupirant.
- Oh oui que c'est bon, disait-elle dans un soupir.
Je voyais sur le visage de Luciana, la jouissance extrême qu’elle prenait dans l'acte de ma pénétration, elle avait envie d’être enculée et dans la position dans laquelle elle était, je l'ai accroché par les épaules et je l’ai ramoné.
- Tiens, t’en veux du sexe, en voilà, je lui disais.
- Oui, encules-moi, fais-moi jouir, j'aime ton sexe, disait-elle.
A quatre pattes, cambrant au maximum son derrière, j’avais une vue magnifique sur sa rondelle, maintenant restant ouverte quand j’en sortais
La pénétration était extrême, je la ramonais comme une folle, j'étais hors de moi.
A force de la ramoner, j'ai joui la tête rejetée en arrière, mes mains agrippant toujours ses épaules pour l’amener vers moi. Elle gémissait, en se masturbant le clito et on a joui ensemble.
Je lui ai envoyé ma jouissance dans les entrailles, et je me suis affaissé sur elle tout en gardant ma queue dans son antre.
Quand on s’est séparées après que j'eu débandé, j’ai vu mon sperme qui sortait de son cul et entre ses cuisses,

Quand nous avons réapparues, les filles étaient changées et Pilar nous dit :
Nous vous cherchions partout, où étiez-vous ?
- Nous profitions, dit Alejandra.
Pilar n’étant pas dupe, dit simplement :
- Allez-vous changer nous passons à table.

A suivre…