Accident De Voiture

Quand on conduit il faut être prudent, très prudent. C'est en gros ce que je dit à une jolie personne blonde après l'accrochage dont elle est responsable. Rien de grave sinon un peu de tôle froissée. C'est l'assurance qui payera dit-elle. Je veux bien, pourtant je n'en suis pas tout à fait certain: elle est totalement dans son tord. Elle se rend compte qu'en plus elle va perdre un bonus. Son visage chagriné me fait pitié. Je l'invite à prendre un remontant dans le café voisin. L'établissement est pratiquement plein: nous nous installons au fond. En buvant un café, j'arrive à la dérider en lui racontant des histoires un peu coquines. Enfin elle sourit. A son tour de me raconter à sa façon une histoire sur les blondes dont elle fait partie. Enfin la voila remise.
Nous continuons à bavarder : plus je la regarde, plus j'ai envie de rester un moment avec elle, d'autant plus que pas mal de consommateurs la regardent. C'est vrai qu'elle est sexy. Je ne peux m'empêcher de le lui dire. Elle me regarde comme si j'avais dit une énormité. Je soutiens son regard et répète qu'elle me plait beaucoup. Pour le prouver je me penche sur sa bouche, y pose la mienne. Je risquais une rebuffade. Il n'en est rien : sa langue vient à la rencontre de la mienne. Nous changeons de place pour tourner le dos aux clients. Nous pouvons nous amuser à un autre jeu plus intéressant : je pose ma main sur un genou, la remonte sous la jupe pour aller là bas, vers son paradis. Elle ne me décourage pas: elle écarte les jambes. J'arrive sans peine à lui caresser les cuisses à l'intérieur, là où la peau est douce. Elle ne porte pas de culotte. Je lui pose un doigt sur son bouton. Elle m'embrasse toujours pendant que je la masturbe. Elle se crispe quand elle jouit.
A son tour elle pose sa main sur la bosse de mon pantalon. Elle n'essaye même pas de me sortir le sexe: elle se contente de le masser. Elle me glisse à l'oreille qu'elle aussi a envie. L'accrochage est vite oublié.


Nous sortons du bistro pour aller chez elle: juste à coté. Dès l'entrée elle m'assaille directement: sa bouche se colle encore à la mienne: elle prend ma main pour que je la caresse encore. Je relève sa jupe, arrive comme prévu sur sa fente. Cette fois je ne vais pas sur son clitoris je cherche l'entrée de sa grotte pour la doigter. Elle écarte plus que prévu ses jambes. J'y mets deux doigts, les fait aller et venir. Mon pouce se contente de lui caresser le bouton.
Cette fois elle sort ma queue, la regarde:
- Tu es bien monté, j'aime ça.
- Je ne suis pas plus monté qu'un autre (ce qui est la vérité), Ou alors tu n'en as pas vu beaucoup.
- Si j'en ai vu. La dernière fois c'était il y a longtemps.
- Ça fait combien longtemps ?
- Plusieurs mois.
- Rattrapons le temps perdu. Nous ne perdons plus de temps:
C'est certain qu'elle a une sacrée envie de baise pour s'être faite "levée" aussi vite. Je lui caresse la poitrine à travers son t-shirt.
J'en ai assez de trouver un rempart à ma caresse: je la déshabille: elle m'aide beaucoup. Quand elle est nue, elle m'entraîne vers sa chambre: Je ne me déshabille qu'ici. Elle voudrai que je la baise maintenant, illico. J'ai envie d'elle complètement. Je la fait coucher: elle se met sur le dos, les jambes déjà bien ouvertes, offerte à mon sexe. Je ne veux pas encore la lui mettre: je préfère lui faire connaître d'autres plaisirs préliminaires. Je mets ma tête sur son pubis, l'embrasse et descend ma langue vers son clitoris. Je le connais pour l'avoir branlé: je préfère le goûter. Je ne le regrette pas, sa mouille me plait beaucoup.
Je prends son bouton entre les lèvres et l'embrasse comme si c'était sa langue. Je la sens se trémousser. Quand elle jouit je le ressens sur la bouche. Je reste ma langue collée à son clitoris, j'y ajoute deux doigts pour encore une fois les lui mettre dans le vagin. Les deux actions la font jouir encore plus fort. Elle gémit de plus en plus.

Elle me supplie de la baiser. Comment refuser à une si belle blonde ? Je monte vers elle: j'ai ma bite juste à l'entrée de son trésor. Je reste ainsi quelques secondes: des secondes de trop: elle donne un sérieux coup de rein. Nous sommes réunis par nos sexes. Si elle me dit qu'elle aime me sentir, pour ma part j'aime être dans se merveilleux paradis des queues.
Je ne la ménage pas en aller et venus: elle y répond sans arrêt; Elle jouis assez vite après les premiers orgasmes que je lui ai fait avoir. C'est aussitôt après sa seconde jouissance avec ma pine qu'elle me demande de la sodomiser.
Elle se tourne en levrette, se mouille bien l'anus. En prenant ma bite, elle me guide vers son cul. Je pose à peine ma queue sur sa pastille qu'elle fait comme quand je l'ai baisée: elle donne un coup de rein: j'entre sans problème dans un endroit habituellement étroit. Je la lui mets à fond. Je la sens jouir plusieurs fois, plus que ce que je croyais. Quand je jouis dans son cul, j'en ressors.
Nous restons blottis un moment. Je lui demande pourquoi son cul est si ouvert: elle ne répond pas: elle sort de sa table de nuit un godemiché qu'elle me présente comme son seul amant depuis longtemps: c'est pour ça qu'elle n'a pas vue de queue humaine depuis plusieurs années. Par contre pour son fondement, elle s'en occupe elle-même presque tous les jours: elle aime se sodomiser et se caresser le clitoris à la fois.
Nous nous voyons plusieurs fois par semaine. Elle me montre comme elle se donne son plaisir: J'avais déjà vu des femmes se caresser le clitoris, c'est la première que je vois s'enculer avec un gode dans la main gauche pendant que la droite s'occupe de son devant.


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