Marie - Episode 7 - L'Association

Sur le trajet menant à l’association que j’ai choisi, tu as comme tu en as l’habitude maintenant, relevé ta jupe, écarté les pans de ton gilet et poser tes pieds sur le tableau de bord en ayant les cuisses ouvertes.

Marie - Je suis encore sous le choc à la fois de m'être branlée devant la fenêtre de mon jardin en robe de mariée, de vous avoir sucé en parlant à mon mari, puis d'avoir jouie comme une chienne sous vos insultes après avoir raccroché pendant que vous me besogniez la robe sur les seins et les mamelles ballotantes. La cerise sur le gâteau, c'est d'avoir tous mes sous-vêtements dans un sac poubelle ...

Je prends l’un des strings qui se trouve dans ma poche, et te dis :
« Essuies toi, tu as la chatte pleines de sperme »
Tu prends le sous-vêtement et le passe lentement sur tes lèvres intimes.
« Et tu crois que cela suffit pour absorber ta mouille et le sperme qui est dans ta chatte ? Allez mets ton string dans ton garage à bites »
Tu fais rentrer presque totalement le sous-vêtement noir dans ta chatte. Alors que seulement 2 ou 3 centimètres de tissus est encore apparent, je te dis :
« Parfait, garde le en toi, tu le retireras plus tard, lorsque je t’en donnerais l’ordre »

Pendant la suite du trajet, tu restes ainsi offerte aux regards des conducteurs que nous croisons ou doublons.

"Nous allons donner tes sous vêtements – AU RELAIS- Je sais qu’ils récupèrent les vêtements et qu’ils manquent souvent de sous vêtements "

Marie : « Je… Heu… Je ne sais pas monsieur le directeur comme vous voulez »,
Vous répondez alors que les membres de l’association seront ravis que je leur montre mon sous-vêtement et d’apprendre que désormais je n’en porte plus, et qu’ils seront enchantés de pouvoir donner de beaux sous vêtements à leurs amies :
« Quoi que avec des bonnet E ça fait plutôt sac à outre mais bon, on verra bien ... au minimum ça va les exciter de voir une bourgeoise en chaleur leur dire que pour obéir à son patron, elle a décidé de ne plus mettre de sous-vêtement, elle n'en a plus besoin .

.. »

Nous arrivons dans la cour de l’association, j’arrête l’automobile et te dis :
« Va te renseigner, pour savoir où tu peux déposer des vêtements »
Tu t’assois comme il faut, et tu noues les pans de ton gilet. Je te regarde faire et voyant mon regard désapprobateur, tu ne sers pas les liens du cache-cœur, laissant ainsi tes mamelles libres de tous mouvements sous le gilet.
« Voilà qui est mieux », dis je en souriant,
« N’oublie jamais que tu dois toujours exhiber ton décolleté et tes cuisses »

Tu sors du véhicule et te diriges timidement, vers un homme afféré à décharger une camionnette. Tu sens que chaque pas découvre très haut tes cuisses et ballottés tes grosses mamelles.

L’homme t’apercevant, arrête son occupation, et te regarde avancer vers lui, timidement mais terriblement sexy. Il te sourit. Te laissant venir jusqu’à lui, alors que son regard ne quittes pas tes cuisses.
L’employé : « Bonjour ma p’tit dame, que puis-je pour vous » Alors que son regard, un instant sur ton visage, plonge dans ton décolleté.

Marie : « Heu…Bonjour monsieur, je…Heu…Je voudrais savoir où je puis déposer des…Vêtements ? »

L’employé : « Les vêtements…Heu…La seconde porte de l’entrepôt, mon collègue doit être présent, autrement, vous pouvez demandé à la personne qui récupère les appareils électroménagers »

Marie : « Merci monsieur » et tu reviens vers la voiture toujours sous le regard de l’employé.

Te voyant approcher de l’automobile, je descends du véhicule, ouvre le coffre et sors les deux sacs poubelles.
« Tu sais où il faut les déposer ? Tu as dis ce que tu as amené ? »

Marie : « Il faut déposer les vêtements à la seconde porte de l’entrepôt. Non monsieur, je n’ai pas osé lui dire ce que j’amenais »

« Je vais t’aider, mais tu seras puni pour ne pas avoir obéis » dis-je te en te donnant le sac de sous-vêtement et gardant le sacs de pantalon plus lourd.

Tout en te suivant, je te dis :
« N’oublie pas que tu devras dire que tu apportes des sous-vêtements, car pour m’obéir, tu ne dois plus porter de collants, de culotte ni de soutien-gorge »
Et j’ajoute :
« S’il ne te crois pas, tu devras leur prouver ce que tu dis.»

Tu te diriges vers la porte de l’entrepôt le sac à la main. Je te suis de quelques mètres et peux ainsi voir l’employé que tu as vu il y a quelques minutes, reluqué une nouvelle fois tes cuisses.
Nous entrons dans le bâtiment et apercevant un homme derrière un comptoir, tu te diriges vers lui. Tu poses le sac sur le comptoir devant l’homme. Je fais la même chose et me mets immédiatement en retrait.

Marie : « Bonjour monsieur »

L’employé 2 : « Bonjour, alors qui y a-t-il dans ce sac ? » dit-il.

Marie : « Heu…Ce sont tous mes…Heu,,, Mes sous-vêtements »

L’homme rit, croyant à une plaisanterie de ta part, et dit à un collègue qui se trouve à quelques mètres de lui :
« Viens voir Lucien, madame me dit qu’elle amène ses dessous »
L’homme s’approche de son collègue en souriant croyant lui aussi à une blague.
Jules, c’est le nom de l’homme à qui tu t’es adressée saisit le sac et le renverse sur le comptoir. Il reste aussitôt interloqué devant son contenu.
« Mais voyons madame, ils sont presque neufs, et nous ne prenons pas les dessous » dit il, tandis que Lucien prend un de tes soutifs et siffle d’admiration en voyant la grosseur des bonnets et dit :
« Tu as vu Jules, ce doit être le pied de peloter une paire de loches comme cela »

Marie - Je rougis, gênée et bafouille :
« Heu…Oui je sais, mais… Je dois m’en séparer… »
Jules : « Pourquoi votre mari ne les aimes pas »
Marie : « Heu,.. Ce n’est pas ça ! Je viens de trouver du travail et mon patron me veut heu… Nue sous mes vêtements »
Les hommes rigolent, « Ben voyons, et moi je suis le marquis de Sade » dit Jules.

Marie : « Mais, je vous dis la vérité » insistes-tu.

Je m’approche alors et te dis
« Je crois ma chérie que tu vas devoir leur prouver ce que tu dis, pour qu’ils te croient »
Tu me regardes affolée, bien que tu commences à être habituée à mes humiliations et lentement, tu dénoues ton cache-cœur et fais glisser ta jupe à tes pieds. Les deux hommes ont les yeux écarquillés et rivés sur toi.
Je prends tes vêtements et les poses sur le comptoir, alors que tu es nue devant ses deux inconnus. Ceux-ci semblent scotcher sidérés par le spectacle que tu leur offres.
Je décide de réveiller les deux employés et leur dit :
« Hé bien messieurs, qu’attendez vous pour venir palper la marchandise »
Les deux hommes s’empressent alors de contourner le comptoir pour venir près de toi.
« Allez messieurs, n’hésitez ^pas, cette femelle est là pour être peloter et doigter, alors ne vous gêner pas »
Aussitôt, tu sens les mains des hommes saisirent tes seins, tes fesses. Ils te pelotent sans douceur comme des affamés qui n’ont pas vu de chair fraîche depuis des années. Puis l’une des mains se pose entre tes cuisses et l’homme dit à son collègue :
« La salope, elle est trempée » et très vite il introduit deux puis trois doigts dans ta chatte. Tu sens le va et viens de ses doigts dans ton sexe. Tu te liquéfies totalement, Tu es prête à jouir.
Pendant ce temps, le second malaxe et pétris tes nibards avec rudesse, les étirant et les tordant entre ses doigts.
Tu te tortilles sous les mains des deux employés. Alors que les deux hommes ont sorti leur sexe de leur pantalon. Tu me regardes et te fais un signe affirmatif de la tête.
Immédiatement, tu prends les sexes de deux lascars entre tes mains et commence à les branler, tout en t’accroupissant devant eux.
Tu passes ta langue sur le gland du moins âgé, son sexe sent fort, mais tu t’empresses de le prendre totalement dans ta bouche et de le pomper avec avidité, tout en branlant l’autre de la main gauche.
Celui que tu suces, pétris l’un de tes nichons, et te tiens par les cheveux de l’autre. Très vite, il te besogne la bouche, s’enfonçant au fond de ta gorge à chaque va et vient et où il ne tarde pas à te décharger une grosse quantité de sperme.
Immédiatement, après avoir avaler la totalité de la semence de l’homme et nettoie sa queue de quelques coups de langues, tu te penches vers le plus àgé pour lui infliger le même traitement.

Après avoir avaler la semence du second employé, je te tend ta jupe que tu remets immédiatement, puis ton gilet, mais alors que tu t’appètes à le nouer, je te dis :
« Non laisse le ouvert »

J’obéis, et vous précède en sortant de l’entrepôt, passant une nouvelle fois devant le premier employé qui te voyant apparaître les seins à l’air, fait tomber le colis qu’il était en train de décharger.

Tu montes dans l’auto et alors que je fais demi tour, l’homme s’approche de la voiture et me fais signe de stopper.
J’arrête, ouvre ma vitre et j’entends l homme me dire « Vous êtes son mari ? »
« Non, son patron » et il me dit « Vous avez de la chance d’avoir une employée comme madame, elle me parait très coquine et joueuse »
« Mais ce n’est pas un jeu, cette femme est mariée et bourgeoise et je veux faire d’elle une salope et une putain »
Et sans attendre sa réponse, je démarre et quitte la cour de l’association, laissant l’homme abasourdi par ma réponse
En chemin, je te dis « nous allons maintenant allez acheter tes robes sexy et courtes » puis « Mais dis moi, qu’as-tu ressentis en te retrouvant nue devant ses inconnus »

Marie - En réponse je dis :
"Je… heu… ho… monsieur le directeur, j'ai vraiment eu honte d'être aussi impertinente et de m'exhiber devant ces hommes sales mais j'étais très excitée surtout quand ils m’ont malaxée les seins, j'ai encore des traces de cambouis... je… heu… et puis quand vous avez dit que vous alliez faire de moi une salope et une putain je… heu… je crois que vous avez déjà fait de moi une salope ... »
« Oui c’est vrai que tu es maintenant une salope, mais je ne penses pas que cela te gène, je pense même que tu regrettes de ne pas m’avoir connu plus tôt, car depuis que tu m’as rencontré tu es en permanence excitée et mouillée »
Je fais un arrêt le long du trottoir pour te regarder, des larmes coulent sur tes joues, alors que tu remontes ta jupe sur tes cuisses, dévoilant une nouvelle fois ton sexe et sors tes outres de ton cache-cœur.
« Bien, allons acheter des vêtements digne de ton nouveau statut : celui d’une salope »

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