Agnès

Je ne lui en ai pas parlé : j'ai fait une commande particulière par mail. J'espère qu'elle sera heureuse quand elle essaiera mes achats.
Cette nuit a été houleuse. Je me suis donnée comme souvent avec mes jambes bien écartées, ma chatte offerte à sa vue, déjà humide. J'attendais sa langue pour me donner les premiers frissons que j'aime tant. Quand j'aurai joui je lui avouerai mes achats : personne ne m'en voudrais d'avoir acheté deux godes, je pourrai en avoir un dans la chatte et lui mettre l'autre au cul, en tout cas si ma demande est acceptée. J'adore voir son anus bien rempli comme au début de nos relations.
J'étais encore trop jeune quand nous nous sommes rencontrées un après midi dans le jardin public, sur le même banc. Je lisais une de ses revues people quand elle est venue près de moi. Au début nous n'avons fait que nous regarder, moi en tout cas sans intentions particulières. Puis :
- Vous aimez lire ce genre de revues ?
- Oui, j'aime bien.
- Vous savez que presque tout est faux, fabriqué pour attirer les lecteurs.
- J'ignore ce qu'elle dit, elle doit exagérer en se faisant passer pour une intellectuelle. Nous avons continué à parler de tout quand sans que je m'en doute je me suis aperçue qu'elle me draguait. C'est toujours agréable d’entendre qu'on est belle, jolie et sexy. Quoique sexy n'est pas à mettre dans le bouche d'une jolie femme comme elle.
- Doit avoir 30 ans, je pourrais être sa petite sœur, sinon sa fille. J'avais à peine 17 ans.
- Ma vie sexuelle se résumait à de trop rares masturbations. J'aimais avoir des fantasmes où les garçons me mettaient leur gros engin dans mon sexe béant. Alors d'entendre des mots excitants venant d'une autre fille me troublait assez. Je savais bien que des fois deux femmes s'aimait d'amour, pour même arriver à faire l'amour ensemble souvent, comme un couple mixte. De là à me vois céder à une avance pas encore formulée, il y avait un grand pas que je n'étais pas prête à franchir.

Et puis pour aimer, il faut bien connaître un peu l'autre.
- Nous nous sommes séparées sans qu'elle ne me propose rien de particulier, sinon un au revoir. Le lendemain, sur le même banc, je lisais un magasine de femme. J'avais omis les peoples. Je lisais le journal quand elle est revenue. Cette fois elle m'a embrassée sur les joues. Je rendais son baiser. Elle m'a encore parlé de choses et d'autres. Finalement elle était très agréable à écouter, surtout quand elle réadmettait qu'elle me trouvait à son goût. Ce n'est que le lendemain qu'elle m'a invité chez elle pour déguster un chocolat. Je suis un peu gourmande, surtout de chocolat.
- Elle m'a fait asseoir dans un fauteuil pour que j'attende qu'elle me serve la boisson. Je regardais autour de moi pour admirer un salon comme j'aimais ; elle venait portant une tasse. Je la regardais venir vers moi, bien habillée avec goût avec une robe dans doute venant d'un couturier. Une robe fendue largement sur le coté laissant vois une bonne partie de ses cuisses, ce que je trouvais agréable à regarder. J'ai pris la tasse et sa soucoupe : elle s'est assise sur un accoudoir pour me parler encore. C'est là qu'elle m'a demandé si j'étais vierge encore. J ai répondu en rougissant un peu que oui, j'étais vierge. Je me demandais pourquoi le « encore ».
- Elle a prit ma tasse une fois vide, l'a posé par terre, sur la moquette épaisse, s'est tourné vers moi et a posé sa bouche sur la mienne. J'étais surprise de ce baiser, tellement que quand elle a voulue entrer sa langue dans ma bouche je l'ai laissé faire. Mon premier baiser. Je sentais sa salive et surtout les caresses de sa langue sur la mienne. Je trouvais la chose plaisante. Du coup je la laissais faire par simple plaisir. Pourtant je sentais ma culotte se mouiller. Je ne pensais jamais qu’une femme me fasse cet effet. Il me semblait préférer les garçons te j'embrassais une autre femme plus âgée, certainement mais une femme quand même.
- Elle m'a demandé d'enlever mon imper : comme une gamine que j'étais encore, je me suis levée pour obéir.
Quand j'étais debout, elle m'a pris dans ses bras pour m'embrasser encore. Elle tenait ma tâte par derrière, son autre main était sur mon dos. Je ne savais pas trop comment la tenir, j'ai fait comme elle. Ce que j'ignorais totalement est que la suite serait bien plus excitante encore.
- Petit à petit elle a descendu sa main sur mes fesses pour les malaxer. Cette première expérience me donner des envies de jouir : ma culotte devait être à tordre. Si j'avais pu je me serais caressée. Elle a lâchée ma bouche pour embrasser mon cou. C'était encore plus excitant : elle me voulait comme je voulais qu'elle me caresse la chatte. Sans que je m'en rendre compte elle commençait mon éducation sexuelle. Bien sur je savais bien qu'elle n'avait pas de queue : je ne risquais rien de ce coté. La main de derrière ma tête changeait de place, elle venait me caresser les seins. C'était encore plus agréable entre cette main et l'autre. Je lui appartenais déjà.
- Ses caresses sur ma poitrine faisaient que je sentais mes pointe grossir et pointer. J'aurais du lui donner les même soins. J'ai hésité trop longtemps, elle avait déjà sa main sur ma chatte. Je la sentais à travers mon jean. Quand elle a défait la boucle de la ceinture, ouvert la fermeture éclair elle a fait tomber mon pantalon sur les chevilles. Elle a passé sa main sur ma culotte pour sentir que j''étais plus que mouillée. Elle a baissé la culotte jusqu'en bas, m'a fait lever les pieds pour me débarrasser de mes frusques. Je me trouvais presque nue devant une femme. Elle a fait vite pour enlever tout ce que j'avais en haut. Maintenant elle aussi se déshabillait devant moi.
- Je le trouvais plus que belle, surtout sa poitrine dure qui pointe vers le haut. Je n'ai pas pu me retenir pour embrasser ses seins. Elle appuie ma tête contre sa poitrine :
- Oui, embrasse moi les seins, mordille un peu les pointes. Tu es douée.
- Je ne sais rien faire d'autre.
- Tu te branle jamais ?
- Si des fois.

- Alors tu pourras me le faire pour me faire jouir.
- Ainsi c'est vrai elle veut que nous fassions l'amour toutes les deux. Je vais essayer avec une femme d'expérience. Elle va me faire jouir, et je vais le faire jouir aussi. Comme expérience je pouvais plus mal tomber. Elle reprend ma bouche, sa langue est encore contre la mienne. Je sens ma cyprine couler entre les cuisses. Enfin elle passe sa main entre mes cuisses. J'écarte les jambes immédiatement pour qu'elle me caresse. Je le sens contre mon bouton : il est sorti de sa gaine depuis longtemps. Maintenant je sens son doigt toucher d'une merveilleuse façon mon clitoris. Je ne trouve pas cette caresse bonne, c'est une délivrance. J'attendais depuis trop longtemps. Je sens monter en moi un plaisir inédit : celui que donne une autre main que la sienne sur ma chatte. Ça monte de plus en plus, je serre les dents en geignant. Et je ne peux retenir un petit cri : je jouis longuement, fortement : je ne voudrais pas que ça s'arrête.
- Elle va s’assoit sur le fauteuil. Elle écarte aussi les cuisses. Je vois une chatte plus belle, me semble-t-il que la mienne. Elle aussi est mouillée. J'ai vite fait d'y poser ma main en entier. Je fais le tri ensuite en allant sur son bouton. Je la caresse comme pour moi. Elle secoue sa tête dans tous les sens en murmurant des mots que je ne comprends pas en entier. Je résume en disant qu'elle aime ce que je lui fais, qu'il faut que je continue, qu'elle jouit, qu'elle en veut encore.
- Je la fais jouir un bon moment quand elle décide d'aller dans la chambre.
- Encore un ne luxe pas possible. Nues nous étions, nues nous restons. Cette fois nous passons à des choses plus sérieuses, la masturbation n'est qu'un substitut. Elle me pousse sur le lit pour que j'aie les jambes en dehors. Elle ouvre mon compas pour y mettre sa tête. Je sens sa langue lécher mes genoux en remontant vers ma chatte. Je boues d’impatience ; enfin sa langue est très près de mon sexe. Que va-t-elle me faire ? Elle pose sa langue juste sur mon anus : c'est la première fois qu'on me touche cet endroit.
Elle ne s'y attarde pas : elle monte pour entrer un peu dans mon puits, là aussi je n'ai jamais rien reçu, sinon un de mes doigts quand prise dans le délire de la branlette je mettais mon index. Enfin elle arrive sur le clitoris : elle ne le lèche plus, elle l'aspire dans sa bouche. C'est bon je vais mourir de plaisir et de bonheur. Elle continue à me sucer pour que je jouisse encore au moins un fois. Je jouis comme jamais, surtout qu'elle entre un doigt dans mon rectum. Je savais bien que les femmes jouissent aussi par cet endroit, mais pas à ce point.
- Elle m'enjambe pour me donner toute sa chatte. Je me lance comme elle a fait, seulement je suis maladroite je la fais partir moins bien que moi.
- Nous revenons cote à cote pour nous reposer un peu. Après un autre baiser, nous parlons de nous. Surtout elle :
- Je m'appelle Agnès, j'ai 35 ans. Je suis cadre supérieure dans une grande boite de communication. Divorcée depuis 5 ans, je n'ai plus jamais eu d'homme dans ma vie, même si des fois j'ai envie d'une bite dans le cul. Je connais des endroits où je trouve toujours bite pour mon anus. Tu m'a plus, je t'ai baisée, j'avais envie de toi, tu sais bien te donner alors, si tu veux nous resterons ensemble. Et toi tu as aimé baiser avec moi ?
- Oui, c’était bon. Je suis jeune, je n'aurais 18 ans que dans un mois, je m'appelle Georgette. Je suis encore étudiante et je vis dans un petit appartement que me payent mes parents.
- Alors c'est simple, donne congé à ton propriétaire et viens ici.
- C'est ce que j'ai fait. Depuis que je suis chez elle, je me sens plus sure de moi, je m'habille toujours comme elle. Je ne me farde pas pour ne pas en prendre l'habitude. Seuls nos cheveux différent ; elle est blonde aux yeux bleus, je suis brune aux cheveux longs châtains. Dernièrement elle a rasé ma toison du pubis, comme elle a rasé la mienne. Quand nous passons une main à cet endroit il nous semble toucher une fillette.
- Elle a voulu que je perde ma virginité simplement pour pouvoir me doigter comme elle aime que je lui fasse, avec au moins trois doigts. Un soir elle attendait, nue comme moi un homme de ses relations, un de ceux qui l'enculaient quand elle en mourrai d'envie. Elle m'a offerte à lui. Il était bien fait, avait une bite correcte qui me convenait bien.
- Dans la chambre nous étions couchés les trois ensembles. Lui était entre nous. C'est elle qui l'a excité en le masturbant. Je
- la regardait bien pour apprendre et à la fin, avant qu'elle s'arrête, c'est ma main qui l'a masturbé. C'était agréable d'avoir une virilité bien dure dans la main. Il me rendait la caresse en me masturbant. Agnès été posée sur un coude pour nous regarder en souriant. Quand il est venu sur moi, c'est elle qui a prit la bite en main pour la diriger dans mon vagin. J'ai senti le début de l’introduction favorablement. Il s'est arrêter un instant en disant attention je te baise. J'ai senti une douleur assez vive, heureusement vite passée. J'ai bien senti quand il était au fond de mon sexe, je l'ai surtout senti quand son sperme est sorti de sa queue. La douleur m'avait déjà passée. J’ai même senti un début de plaisir vite interrompu quand il est sorti. Agnès l'a fait venir vers elle. La bite flasque devenait à nouveau dure quand elle l'a prit dans sa bouche. Je la regardais grossir sans arrêt pour devenir comme elle était juste avant de me baiser. Elle s'est mise à quatre pattes pour lui donner son cul. Il est entré facilement pendant qu'elle se branlait. C’était étonné de la vois se faire mettre par derrière en prenant un tel plaisir. Si j'avais su j'aurais remplacé sa main par ma langue.
- C'est aussi au moins une fois par mois, elle fait venir cet homme qui quelques fois me baise aussi. Il me fait jouir maintenant, il voudra me la mettre derrière, j'hésite encore, plus tard peut-être.
- Ce soir tout ce passe comme je voulais. Quand nous sommes en 69 je sors un gode pour le lui mettre au cul. Au début, elle rechigne et à force d'insister, pour me faire plaisir elle accepte. J'ai bien mouillé son anus avec ma cyprine. J'ai toujours ma langue dans son vagin, vers l'endroit plus que sensible. Très lentement j'entre le gode, je ne sens pas de résistance, elle fait plus qu'accepter ce que je fais, elle en jouit vite.
- C'est maintenant mon tour de l'avoir dans le ventre. Elle me baise comme un homme, c'est bon. Elle veut me le mettre au cul, je refuse, elle insiste. Je la laisse faire uniquement pour son plaisir. Je ne pensais jamais jouir autant, avec ce qu'elle appelle une double pénétration. Je ne m'en lasse pas. Elle ne veut surtout pas que je lui fasse pareille.
- Je passe mon doctorat pour trouver une situation. Elle sait où je peux travailler : avec elle.
- La vie est belle maintenant.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!