Il Était Un Fois... (1)

Je venais d'entrer en terminale, dans un internat d'excellence. Plutôt douée, je devenais bientôt première de la classe; mais ce ne fut pas grâce à mon intelligence que je brillais le plus. Ayant choisi une section masculine, la terminale scientifique, il y avait dans ma classe 19 garçons sur 28 élèves. Brune, les yeux vert-bleu, une poitrine généreuse, de longues jambes fines et un cul à se damner, voilà ce qu'avaient à supporter les mâles de ma classe.
Ils ne furent pas longs à se mettre en besogne; les 9 demoiselles de ma classe, moi en tête, furent assaillies de demandes, de propositions. Étaient-ils en chaleur? En tout cas, certains semblaient vouloir nous déflorer sur un plan de travail. En décembre, les professeurs nous autorisèrent à rester dans les salles pour réviser nos bacs blancs. Étant la seule classe de terminale scientifique, nous disposions presque librement des laboratoires.
Un jour que j'étais assise seule dans une classe sur un plan de travail à écouter de la musique, Grégoire, un des plus beaux mecs de ma classe, entra et ferma la porte à clé derrière lui. Il vint vers moi et m'embrassa à pleine bouche, en me serrant contre lui – nous sortions ensemble depuis deux mois. Il me caressa à travers ma robe – les températures intérieures, élevées, nous permettaient de vivre comme en été malgré le froid et la neige dehors – et entreprit de me caresser les seins. Il déboutonna le haut de ma robe, et dégrafa mon soutien-gorge (il s'ouvrait par devant, ce qui est beaucoup plus pratique) afin d'empaumer mon généreux 90C. Il se pressa entre mes cuisses entr'ouvertes, et finit de déboutonner le restant de ma robe, en repoussant les pans sur les cotés. Mon string en dentelle rouge commençait à s'humidifier, et la bosse à l'entre-jambes de Grégoire semblait indiquer un excitation terrible. J'ouvris sa braguette, baissai son pantalon, puis son boxer noir moulant.
Sa queue dressée, le gland rougi d'excitation, ne laissait pas d’ambiguïté sur son désir; il m'allongea sur la table, sortit de sa poche une capote, et l'enfila sur sa bite.

Il me pénétra en douceur – s'était notre première fois - , en caressant mes seins, et commença à aller et venir en moi. Sa bite me procurait un plaisir fou, et malgré le fait que ce soit ma première pénétration, je ne ressentais aucun mal, aucune douleur. Des frissons me parcouraient, et Grégoire entama un massage de mon clitoris, avec application, ce qui me fit perdre pied. Ma tête tournait, je sentais sa queue en moi, qui me remplissait, me comblait de plaisir. Il saisit mes hanches, et me donna des coups de reins de plus en plus appuyés, ralentissant parfois, sûrement pour se retenir. Je n'étais pas une novice en amour; je n'avais simplement jamais été déflorée. J'ondulais du bassin, ce qui sembla faire frémir mon homme. Il ahanait, haletait, je gémissais; nous nous retenions de crier, car les autres ne devaient pas être très loin. Mais le plaisir fut si grand qu'un cri m'échappa, ce qui parut ravir Grégoire.
Je ne cessais de jouir, la chatte dégoulinante de cyprine, lorsqu'il s'arrêta, et je le sentis éjaculer. Dans un râle infini, il jouissait, après m'avoir comblée plusieurs fois. Il se retira, ôta le préservatif, le noua et le jeta. Il prit des mouchoirs dans un placard de la classe, pour me nettoyer. Tous ses gestes, tendres et attentionnés, me touchèrent; enfin, il me rhabilla, fit de même, puis me serra dans ses bras, contre son torse brûlant. Il déposa un baiser sur mon front, et nous sommes restés ainsi un bon quart d'heure, avant de sortir pour aller manger.

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