Expérience Échangiste Pour Florence.

EXPERIENCE ECHANGISTE POUR FLORENCE.


Encore une soirée de vernissage où je me demande ce que je suis venu faire. Après une coupe de champagne, quelques petits fours ainsi que quelques personnes que je connais de vue, je n'ai plus qu'une envie, enlever mes chaussures à talons et regagner mon lit bien chaud.

Mais, alors que j'envisage déjà de récupérer mon manteau, une voix derrière moi me demande doucement : "Vous partez déjà ?"
Je me retourne, la voix m'est inconnue mais pas le visage. C'est celui du peintre dont je viens de voir l'exposition.
Comment partir sans paraître grossière ? Je fais contre mauvaise fortune bon cœur. Après tout cet homme est charmant, des cheveux châtains, des yeux verts et pourtant je sais qu’il est encore célibataire.
Le vernissage continue. Mais, dans une autre salle, quelques mètres plus loin il y a un dancing style année 1980. Mon nouveau chevalier servant qui s'appelle Maxime me dit que ma tenue lui donne plus envie de danser que de continuer cette expo où son attaché de presse fera aussi bonne figure que lui.
Son sourire me charme et j'accepte en lui disant : "Pourquoi pas ?"
La discothèque s'appelle « l'Angel's » et l'accueil est chaleureux. Nous déposons nos affaires au vestiaire où on nous remet un petit cadenas numéroté. J'accepte une première danse. Ensuite, au fur à mesure de la soirée, je m'aperçois que les autres personnes sont singulièrement plus dénudées que moi. Une affiche à coté d’une tenture murale attire mon attention : "Ce soir, soirée libertine spéciale débutant".
D'abord surprise, je me dis encore "Pourquoi pas?" Cette fois ci, c'est pour un slow langoureux que m'invite Maxime en me murmurant, "je te trouve très belle".
On dirait que les gens savent à quoi s’attendre car les femmes portent des tenues arachnéennes ou suffisamment transparentes pour attiser le désir de leur partenaire. La plupart des hommes ont des pantalons si moulants qu’ils mettent en valeur leur petit cul ou leur paquet sur la face avant.


Je remarque alors que Maxime a une tenue du même genre et la chose a l’air assez prometteuse.
Mais où je me suis fourrée ? La danse est assez lascive et nous nous collons comme des coquillages au rocher.
Je m’aperçois soudain qu’il y a de moins en moins de couples dans cette salle. J’en vois un disparaître derrière la tenture et Maxime tout en virevoltant nous amène tout doucement dans ce coin là.
Nous nous retrouvons dans une sorte de sas avec un deuxième vestiaire. Une employée nous tend une petite cage grillagée en nous précisant :

-Si vous voulez aller plus loin, vous devez vous servir de votre cadenas pour enfermer tous vos vêtements que vous déposerez ici. Derrière cette deuxième tenture commence la « soirée libertine ».
Je comprends enfin l’utilisation de ce cadenas pour déposer nos affaires personnelles et éventuellement facturer quelques consommations, l'entrée (10 Euros) ne se payant qu'à la sortie.
Je suis une femme de 47 ans. J’ai été libertine quelques temps avec mon ancien compagnon. Mais c’était il y a bien longtemps.
Prise au piège… Je suis prête à m’enfuir mais Maxime me retient d’une main et me demande :
-Tu as pourtant lu l’affiche, à quoi t’attendais-tu en lisant soirée libertine ? A toi de décider mais moi, je ne repars pas.
Et sans plus faire attention à moi, il commence à se déshabiller. C’est un homme bien bâtit et qui sait entretenir son corps. Des pectoraux bien fermes et un ventre où se dessinent des abdos. Il doit passer de nombreuses heures dans les salles de muscu. Il retire maintenant son pantalon et je comprends pourquoi je devinais son service trois pièces car il ne porte rien dessous. Sans être un véritable étalon, ce que je découvre est quand même d’une taille appréciable.
Je ne suis pas du genre ''vierge effarouchée'', (heureusement car à quarante ans passés ça dénoterait un sacré problème), ni allumeuse.
Malgré les années j'ai conservé un bon 95C avec des seins fermes et arrogants qui ne tombent pas, peu de ventre, pas de culotte de cheval et d'assez jolies jambes gainées de bas-résille noir pour ce soir.
Un string et un soutien -gorge en dentelle noire sont mes seuls sous-vêtements de ce soir, la robe du cocktail étant décolletée et au-dessus du genou sans dévoiler autre chose que mes bas.
De plus, je suis assez curieuse de nature et mon chevalier servant reste courtois et attentif alors je me déshabille aussi et c'est main dans la main que nous pénétrons dans une salle où la musique est en sourdine.
La décoration du club libertin est dans un thème indien, pas glauque du tout, ça me rassure.
Des statues aux pénis accueillants ou aux corps de déesses souvent caressés égaient la pièce où il fait très chaud. Un immense jacuzzi permet de se rafraîchir. La lumière est tamisée et nous retrouvons de nombreux couples passés derrière la tenture, assis sur des canapés.

-Tu sais, tu n'es pas obligée de faire quoi que ce soit si tu n'en as pas envie, me rassure Maxime avec malice, à la façon d'un preux chevalier galant.
Je suis agréablement surprise par... mon rencard surprise, mais légèrement inquiète de ce que nous allons faire, ou de ce qu'il voudrait que je fasse. Je pourrai toujours m'éclipser en cas de problème.
La soirée s'annonce pleine d'aventure et j’ai laissé ma pudibonderie au vestiaire.
-Quoi qu'il arrive, ne me lâche pas la main, je le supplie, et il me rassure aussitôt.
-Ne t'inquiète pas, je prendrai soin de toi comme le lait sur le feu.
Je me rappelle le fonctionnement du club et la charte de la vie libertine que nous a expliqués la femme qui nous a accueillis. Il faut obtenir le consentement express de l’autre pour faire quelque chose donc pas question de toucher une personne sans lui avoir demandé la permission au préalable. Je trouve ça assez rassurant de me dire que dans le milieu libertin les femmes ne sont pas des objets au bon vouloir des hommes. Qu’elles peuvent s’habiller comme elles veulent et faire ce qu’elles veulent, danser nues sans qu’ils ne l’interprètent comme une invite à se faire baiser.

D’ailleurs le personnel est attentif à faire respecter les règles et n’hésite pas à intervenir si nécessaire.

Assez rapidement, un autre couple vient s'asseoir vers nous. Ils sont sympathiques, elle, c'est une petite blonde pétillante, lui un grand brun aux yeux verts comme ceux de Maxime. Sous mes yeux, je vois déambuler des bites, des chattes… mais pas que !
J’essaie de deviner l’histoire de chacune des personnes présentes quand je remarque les deux serveurs, eux aussi en tenue d’Adam, visiblement très gâtés par Mère Nature. Ils sont très jeunes, dans les 18/20 ans, un black et un blanc, suivis des yeux ou physiquement par des femmes présentes.
J’ai déjà vu des gens se caresser, et faire l’amour, mais là je suis suffoquée en voyant la scène.
Ils se déplacent, précédés par des verges superbement tendues et à chaque fois qu’ils s’arrêtent pour servir les boissons commandées, ils reçoivent leur pourboire des clients(es). Je vois sans écran, sans barrière aucune que chaque couple branle ou prend en bouche les verges des serveurs pour entretenir une érection quasi perpétuelle. C’est incroyablement excitant mais pas choquant. Je ne sais plus où me mettre quand le black vient prendre notre commande.
Nous décidons après quelques temps de discussion de nous isoler dans une des petites chambres.
A tout hasard, je prends une poignée de préservatifs mis à notre disposition dans de grands saladiers déposés un peu partout. Là, malgré l'excitation qui me saisit j'ai un peu peur.
En effet, je pratique très facilement le mélangisme, les câlins et caresses de toutes sortes. Par contre, l'échangisme n'est pas encore au programme pour l'instant bien que le pas à franchir soit très mince.
Pourquoi pas ce soir ? Maxime commence à me caresser divinement bien les seins et comme je suis de tendance bisexuelle je commence à embrasser Delphine qui me rend un baiser fougueux à pleine bouche.
Mais nous sommes dérangés sur notre lancée par le retour des deux serveurs toujours suivis par quelques jeunes femmes.
Ils viennent déposer notre commande sur une table basse et demandent leur dû. Ils passent de l’un(e) à l’autre et comme une glace vanille/chocolat, je goutte l’un après l’autre aux joncs vigoureux de ces éphèbes. Il m’est déjà arrivé d’avoir en main un beau chibre, mais le contraste entre ces deux tiges pharaoniques est une première. C’est très plaisant et je sens ma chatte devenir suintante de plaisir. Je voudrais profiter un peu plus longtemps de ces sucres d’orge disproportionnés mais ils s’éloignent déjà suivis de leurs groupies.

A suivre...

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