Les Soldats

La guerre est une sale affaire. Pourtant je n’en suis pas mécontente, même si presque tous les hommes du village ont disparu vers le front : des soldats au repos sont logés juste en face dans une grange aménagée. Je les regarde par ma fenêtre : je les trouve tous excitants. C’est pour ça que le soir, dans mon lit, je suis nue, que je me caresse pour jouir. Mes fantasmes sont les mêmes : je suis la proie consentante de ces mâles. Je ne devrais pas en parler à ma mère, surtout à 18 ans, à peine. Elle me met en garde de ne pas ma donner ainsi aux premiers venus.
Mon ventre n’en a rien à fiche de ces recommandations : un après midi, je vais faire un tour, juste sous ma fenêtre pour les voir de plus près. Je serais embarrassée de faire un choix parmi tous ces mâles. Un gradé, d’après ses galons, (il doit être sergent ou général), me fait un sourire auquel je réponds.
Aussi le soir, je mets au point mon plan. Je peux en passant par notre remise venir dans ma chambre sans que ma mère s’en aperçoive. Je sors pour prendre l’air. Je vais chez les soldats où je suis accueillie comme une reine. Je n’ai qu’à faire mon choix pour une fois. Je remarque un grand gaillard blond qui ferais bien mon affaire, au moins pour une nuit. Je ne crains rien, je sais bien baiser depuis que je le fait avec des copains qui ont disparus du paysage.
Je n’ai qu’un coup d’œil à faire pour embarquer mon bonhomme. Nous allons nous promener dans la campagne. Il m’embrasse le premier. Il sait bien le faire. Il n’arrête pas là, il commence à me caresser partout, y compris sous la jupe. J’écarte simplement les jambes pour qu’il arrive à mon abricot.
Il sait bien se servir de ses doigts ; il me branle impeccablement. Je jouis comme il faut. Je fouille sa braguette pour sortir une bite pas tellement grosse, mais longue. Je fais descendre le prépuce pour mettre à l’air libre le gland. Je mets de la salive dans ma main pour le branler comme m’a appris mon deuxième amant à qui je faisais la même chose deux ou trois jours par mois quand je ne pouvais pas baiser.


Je le fais cracher son sperme. Il aurait voulu baiser. Je le laisse la queue dehors pour venir chez moi. C’est amusant de voir sa bite aller et venir de droite et de gauche. Mais à force de se promener avec moi, il bande vite.
Dans ma chambre nous sommes rapidement allongés. Il est sur le coté, sa bouche sur la mienne, sa queue contre une cuisse. Pendant qu’il caresse encore mes seins je le branle encore doucement. Je pourrais le faire jouir encore comme ça dans ma main, je préfère qu’il jouisse dans mon ventre.
- Baises moi.
- Branles moi encore.
- Non mets moi la.
Il faut que je le supplie pour qu’il me baise. Enfin il vient entre mes jambes. Je le dirige vers le puits. Il entre lentement, comme un voleur dans une maison. S’il savait le nombre de fois que j’ai eu de la visite à cet endroit entre autre…
Dès qu’il entame les vas-et-viens, me voilà les jambes autour de ses reins. J’accompagne ses mouvements. Je crois, même s’il ne le dit pas qu’il est étonné de ma tenue. Il ne sait pas que quand je baise, je baise sans exclusive. Il baise bien le salaud puisqu’il me fait jouir trois fois en l’espace de quelques instants. Avant qu’il jouisse pour de bon, je me retourne en lui donnant mon cul.
Il comprend vite ce que je veux. Je sens sa bite contre mon anus. Il ne doit pas être habitué à la sodomie. Pourtant tous ceux qui m’ont enculée m’ont bien appris comment faire pour bien jouir.
Je le fais entrer dans ma trou de derrière. Il me fait un peu mal, comme c’est normal avant de ressentir le plaisir incomparable de la sodomie. Il lime mon cul : c’est bon. Je pourrais me branler aussi, je ne le fais pas volontairement. Il me fait partir encore plusieurs fois.
Quand enfin il jouit, je sens son jet de sperme. Il sort, se rhabille et s’en vas après une dernier baiser.
Pour demain j’ai une petite idée.
Je la mets en application en choisissant deux soldats. Je suis salope jusqu’au bout. Je vais me faire mettre par deux bites, je ne sais pas encore comment, mais je vais les faire juter dans mon corps.

Comme hier, je passe par la remise en demandant le silence. Consigne respectée.
Nous sommes à trois, nus comme Eve pour moi. Je regarde leur bite. Belle queue, bonne à baiser et sucer. Si une ressemble à s’y m’éprendre à celle de celui d’hier, l’autre est bien plus grosse. Pourquoi ces différences entre bites ?
Je suis assise sur le lit, les deux autour de moi. Il m’est facile de les branler un peu tous les deux à la fois. Ca leur fera un bon souvenir plus tard. Je ne perds rien : j’ai leurs mains sur moi, chaque sein à la sienne, comme mes fesses.
J’arrive à leur faire caresser entre mes cuisses. J’ai terriblement envie qu’ils me baisent. Lentement j’en fais coucher un, celui qui a la grosse bite, sur le dos. Je plante sa queue dans ma figue. Je me démène pour qu’il me remplisse comme j’aime. Je demande à l’autre de venir me sodomiser.
J’ai affaire à un homme qui n’en est pas à son coup d’essai. Il entre dans le ventre avec beaucoup de « doigté ». Je le laisse venir à fond pour entamer les vas-et-viens. Je ne sais plus comment me mettre pour tenir le coup. Je me retiens comme je peux pour ne pas trop jouir, même si je sais que je ne tiendrais pas longtemps. J’aime sentir ses deux bites se croiser, m’ouvrir à chaque fois, me faire pousser de nombreux soupirs de contentement.
J’ai affaire à deux gars qui savent bien baiser : ils tiennent le coup pour ne pas jouir rapidement. Et pourtant que c’est bon de sentir leur jet de sperme dans mes entrailles. Ce qui est meilleur est que leurs bites deviennent plus grosses au moment de leurs orgasmes.
Je peux les maintenir en place pour une autre baise, même s’ils débandent un peu. Je serre mon sphincter et mon con pour les garder. C’est moi qui juge quand ils sont à nouveau aptes à baiser. Je reprends les mouvements qu’ils refont. Je suis limée des deux cotés à la fois.
Pour ma première double pénétration c’est une réussite. La prochaine fois je recommencerais.
Le lendemain je demande à trois soldats de venir me baiser.
J’ai des amateurs en pagaille. J’ai pris gout à être celle qui choisit. Je ne me suis pas trompée. Mes amants de cette nuit sont bien montés. Ils sont pratiquement de la même taille, leur vit est grosso modo du même modèle, ni trop gros ni trop petit.
Cette fois je me couche, pour les laisser libre de s’exprimer. Je suis envahie de mains et de bouches. Je suis ravie de pouvoir prendre dans mes mains les trois bites que je masturbe presque normalement. J’attends simplement qu’ils soient impatients de me baiser. Finalement c’est moi qui ai le plus envie. Je me fais mettre par devant et par derrière : je prends le dernier par la bouche.
Cette façon de faire est sans doute totalement immorale, mais tellement agréable : chacune de mes ouvertures est remplie par une pine. Je me démène tellement que je les fais jouir ensemble. Quel plaisir extraordinaire de faire jouir trois hommes à la fois. Et quel régal d’avoir du sperme tout chaud dans la bouche. Ils se retirent tout penauds de ne plus bander. J’aime les remettre en forme : j’éprouve le besoin d’une autre jouissance.
Quand enfin ils bandent à nouveau, je prends dans la bouche celui qui me baisait, je me fais enculer par celui que je suçais, pour finir l’enculeur avait droit à mon con.
Le seul détail qui cloche est que ma mère entendant du bruit ouvre ma porte juste quand je prends le sperme. Elle fait sortir tout le monde pour m’engueuler.
- Tu n’es qu’une garce, une putain de te donner ainsi. Ne recommence jamais plus ça ici.
- Tu aurais aimé être à ma place.
- Ca ne te regarde pas, si j’ai envie de baiser, je n’ai pas de compte à te rendre.
- Comme moi. Je baise qui je veux.
- Pas ici.
J’ai compris, demain je baiserais tous les soldats qui voudront de moi.
C’est ainsi que je me rends à nouveau dans la grange qui abrite les soldats. Je me mets nue devant tous
- Qui veut de moi me baise.
Je suis assaillie par tous, y compris ceux qui ont déjà été mes amants.
Je prie je ne sais quel dieu pour qu’ils me passent dessus tous. Je ne suis pas déçue : je suis jetée par terre sur de la paille, je sens une foule de mains sur moi. J’ai les yeux fermés pour profiter de toutes les caresses intimes que je reçois avec un plaisir que je ne dissimule pas du tout. Quand j’ouvre à nouveau les yeux c’est pour voir un rassemblement de bites en érection. Je n’en ai jamais vue autant à la fois : toutes les tailles, toutes les longueurs, tous les diamètres. J’ai de quoi me faire mettre partout plusieurs fois. Je vais baigner dans un océan de sperme.
Dès que j’ouvre la bouche, je reçois une bite bien grosse, presque trop grosse pour ma chatte ou mon cul. Ces deux trous ne restent pas longtemps vides. D’abord une bouche est sur mon clitoris pour le lécher. Ensuite, après m’avoir fait jouir ainsi je reçois dans l’anus un morceau assez gros qui me fait mal en entrant, pourtant je ressens un plaisir décuplé sans doute à cause de la taille de l’engin. Je suis retournée sur le dos, toujours la bite dans le rectum, Je sens une main me branler et enfin une autre bite dans mon puits.
Je vais jouir celui qui me suçais , le temps d’avaler, il est vite remplacé par un autre aussi empressé. Le baiseur jouit à son tour, alors que l’enculeur reste dans mes boyaux. Il est long à jouir. Je peux jeter un coup d’œil autour de moi pour voir d’autres bites en érection. Qu’est-ce que je vais prendre. Qu’est-ce que je vais jouir encore. Pourvu que ma mère ne me voit pas ainsi offerte à cette cohue de soldats.
Je ne me souviens même plus de ce qui c’est passé : si je sais que j’ai joui jusqu’au lever du jour. J’ai joui jusqu’au moment où les soldats partaient tous au casse pipe.
En rentrant chez moi, j’ai vu un des leur sortir en se rebraguettant de chez moi : il venait de se payer ma mère, cette sainte femme.

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