Jc Et Moi : Deux Rugbymen Passionnés 1/?

J’ai 18 ans, je suis encore au lycée et ma passion c’est le rugby. Dans la famille c’est une religion, mon père en faisait, mon grand frère en fait et mon petit frère, qui n’a que 5 ans, rêve d’en faire. C’est donc tout naturellement que je fais trois entrainements pas semaine dont un de trois heures le mardi soir après les cours de 17 heures à 20 heures. C’est le genre d’entrainement qui fait du bien, qui défoule mais qui épuise en même temps ; un effort surhumain qui me transforme en fabrique de sueur brulante qui au contact du froid glacial de l’extérieure se transforme en rideau de brouillard autour et au-dessus des joueurs. Bref, c’est un moment que j’adore et dont je pourrais parler tout le temps. Mais mon plus grand plaisir dans le rugby ce sont les douches chaudes après un bon match gagné. Pudique de nature, j’ai toujours trouvé bizarre que me mettre nu devant toute une équipe de montagnes de muscles, symboles de la virilité masculine, ne me dérange pas alors que lorsqu’il est question de prendre une douche à la piscine municipale, je n’arrive pas à enlever le bas lorsqu’il y a du monde autour de moi.
Cette passion que j’ai pour « le sport de brutes joué par des gentlemen » , je la partage avec toute une bande de potes dont Jean-Charles (JC entre amis) mon meilleur ami, mon frère et on se retrouve souvent chez moi pour regarder des matchs, parler de rugby et trainer entre nous. . Rester à la maison nous offrait aussi l’occasion de regarder des films X car mon père n’était jamais à la maison à cause de son travail et ma mère qui avait accepté le fait de ne plus avoir à travailler grâce à la situation très aisé de son mari s’ennuyer à mourir dans la maison et avait décidé de se trouver un nouveau passe temps avec le jardinier, l’homme de la piscine et même parfois certains terminales majeurs qui trainaient chez moi. Mon père lui, et on le savait tous, couchait avec toutes les minettes qu’il rencontrait lors de ses voyages d’affaire ce qui rendait le sexe dans notre maison un sujet facile à aborder.


Je me souviens que JC était venu chez moi il y a quelques semaines pour regarder le film et qu’on s’est tout naturellement fait plaisir après la défaite cuisante de notre équipe. Il avait apporté un super film de boules dans lequel une fille d’à peine 18 ans se faisait prendre dans toutes les positions et se faisait baiser par tout les trou par tous ses employés (jardinier, plombier, homme de ménage, …). C’était à la fois très excitant et en même temps je pensais à la situation de ma mère… étrange. JC voyait bien que j’étais excité mais ne comprenais pas pourquoi aucune bosse ne s’était formée sous ma braguette :
- Qu’est-ce tu as ? C’est le meilleur porno de l’année et toi tu ne te mets pas au garde à vous ?
- Désolé, j’ai vraiment trop envie de me soulager parce que ça fait longtemps (ma copine avait eu ses règles pendant la semaine et déteste le faire dans cette période) mais je n’arrête pas de penser à ma mère en voyant cette meuf qui se fait tirer par tout le monde.
IL rigole un peu mais se remet vite à caresser la bosse monstrueuse qui se dessinait sous son pantalon en toile beige au tissu très fin. JC a une queue monumentale qui lui pose des problèmes avec les filles de notre âge qui en ont peur, c’est vrai que lorsque j’ai vu dès l’âge de 10 ans qu’il dépassait aisément les 19 cm en bandant ça m’a fait peur aussi. Enfin je voyais que ça queue monumentale qui aujourd’hui fait 24 cm poussait petit à petit son pantalon vers le haut et elle finit même par sortir de son caleçon pour arriver 3 cm sous le nombril. Il commence alors à se branler très lentement et enlève tous ses vêtements sauf ses chaussettes. Il a un corps de dieu, avec ses 1m85 et ses 75 kg de muscle, on aurait dit qu’un sculpteur grec l’avait sculpté lors de sa naissance. Sa mèche brune tombait sur son front et bougeait en même temps que sa main sur son manche et ses yeux verts étaient concentrés sur l’écran de la télévision exprimant un soulagement repris par sa bouche qui laissait apparaître ses dents de devant.
Je n’arrivais toujours pas à bander et JC l’avait remarqué :
- Putain mais t’es devenu gay ou quoi ? Pourquoi ce film de boule ne fait rien ?
- Non je t’ai dit que ça me fait penser à ma mère ce qui me fait débander tout de suite.
Mais ça réflexion sur le fait d’être gay m’a perturbé, je n’y avait jamais réfléchi.
- Attends je vais t’aider, me dit-il.
- Comment ?-Laisse toi faire.
Il laissa tomber ta queue et s’approcha de moi sans que je m’en rende compte. Il posa sa main sur ma bite et commença à caresser mon jeans. Ce n’était pas la première fois qu’il allait me branler mais je trouvais bizarre qu’il me caresse le pantalon comme il le faisait, en général je bandais déjà quand il commençait à me masturber. Il ajoute :
- Prends ma queue dans ta main.
- Pourquoi ?
- Fais moi confiance…
Je pris timidement son manche en main et sentis qu’il était vraiment énorme. J’arrivais à peine à faire le tour de son monstre, comme je le surnommé.
- Branle la maintenant.
Je m’exécute sans rien dire et commence des vas et viens avec ma main droite alors que lui me caressait de plus en plus vite en appuyant de plus en plus sur mon jeans… soudain et d’un seul coup j’ai bandé.
- Tu vois il te fallait juste un peu d’excitation.
- Merci JC
- Avec plaisir mec c’est quand tu veux que je t’aide…
Je ne sais pas pourquoi mais je lui ai demandé sans m’en rendre compte :
- Si tu veux quelque chose pour te remercier, tout ce que tu veux, je le ferai.
- Ben ça fait longtemps qu’on ne m’a pas sucé.
Sa réponse a été un choc, je trouvais déjà que ma question était ambiguë, mais sa réponse m’a laissé sans voix. Je lâche sa queue.
-T’es sérieux ?
- C’est bon entre potes on peut toujours se rendre ce genre de petit service.
- Mettre sa queue de 24 cm je ne trouve pas que c’est un petit service… on a pas les mêmes sens du coup de main.
- Je te demande juste un coup de langue.

Je le regarde, et lui dis :
- À une seule condition, tu me rendras le service…
- ok.
Aucun de nous deux n’a bougé ni prononcé un mot pendant plusieurs secondes et puis je me suis jeté sur monstre. J’ai d’abord timidement posé mes lèvres sur son énorme gland rouge et brulant. Puis j’ai sorti ma langue sur son méat urinal. Le gout était étrange mais pas déplaisant, j’ai donc continué à sortir ma langue petit à petit et j’ai commencé à mettre son gland à l’intérieur de ma bouche humide en collant ma langue sur la paroi de son monstre. Il commençait à exprimer un certain plaisir. J’ai donc enfoncé ma bouche un peu plus profond et encore un peu plus jusqu’à ce que je sente que si elle rentrait plus dans ma bouche, sa queue allait m’. J’ai sorti sa queue de ma bouche puis j’ai commencé à lui lécher tout le phallus jusqu’à ses boules. Je lui fis signe de s’allonger et je me mis entre ses jambes tout en suçant et en aspirant ses noix comme le faisait la fille dans le porno que nous étions entrain de regarder. Je sentais son sexe s’épaissir et il commençait à gémir sans se retenir. Il me pris la tête par les cheveux et m’emmena jusqu’au haut de son gland, me faisant comprendre qu’il voulait que je m’occupe encore de son manche laissant ses boules pleines de bave et en même temps elles étaient rentrées et non pendantes comme d’habitude, un signe qu’il prenait son pied. En retournant sur gland j’en ai profité pour mouiller toute se queue en alternant des coups de langue puissants et un badigeonnage de bave plus doux. JC était vraiment en transe et gémissait comme un acteur porno avec sa voix rauque et il poussait des petits cris assez graves qui me faisaient encore plus bander. Moi je bandais comme un taureau en rut et je me rendais compte petit à petit que la situation m’excitait, je ne sais toujours pas si c’était à cause de la pipe ou parce que mon sexe alors brulant et humide effleurait sa cuisse à chaque coup de langue et à chaque coup de bassin que medonnait mon partenaire ou peut être que ses gémissements me donnaient l’impression d’être un maître dans la matière ce qui me rendait heureux, je ne sais pas mais ce que je savais à l’époque c’est que je prenais mon pied.
Il commença à prendre ma tête et à l’accompagner sur sa bite et pris ainsi le contrôle de la fellation maintenant un rythme soutenu qui me faisait bander encore plus. Ses gémissements se faisaient encore plus forts et ses coups de bassin associés à sa main qui dirigeait ma tête s’accéléraient. Et sans me prévenir il fit une grimace que je ne vis pas et gicla 6 jets de foutre blanc dans ma bouche. C’est incroyablement délicieux le sperme. Ma bouche était remplie du liquide visqueux et en relevant la tête je vis le sourire de mon ami et je lui souris en retour laissant apparaitre son sperme collé entre ma langue et mon palais.
- Je n’ai jamais gouté mon sperme, me dit-il.
Il s’avança vers moi et me roula une pelle comme je n’en avais jamais faite. Sans le vouloir je ne bougeais plus me laissant faire. Puis il pris ma bite la branla jusqu’au jus, se leva, repris son porno, se rhabilla et partit la main plein de mon sperme qu’il léchait. Moi je suis resté là à me reposer en me demandant ce qui venait de se passer.
Plus tard dans la soirée je pris une douche en me branlant comme jamais pensant à ce qui venait de se produire plus tôt…

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