L'Interimaire - Chapitre 5

Ayant reçu plusieurs commentaires de lecteurs intéressés par ma série l'interimaire dont le chapitre 4 a été publié au mois d'octobre 2020,(https://www.histoires-de-sexe.net/l-interimaire-chapitre-4-37096) j'ai décidé de vous proposer un nouvel épisode.
Bonne lecture.

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Moussa Maloudila avait atterri le jour même à Roissy en provenance de Lomé.
Arès avoir déposé ses bagages dans un luxueux hôtel parisien, il s'était rendu comme prévu à la succursale parisienne de la Banque Internationale Européenne. Cet établissement lui avait été chaudement recommandé par un de ses amis qui connaissait personnellement Samuel G le directeur de l'agence bancaire.

- Tu verras avait il assuré à Moussa, monsieur G. sait très bien recevoir ses clients VIP. Je te recommande de prendre rendez-vous à son agence en fin d'après-midi. Tu ne regretteras pas la soirée qui s'ensuivra.

Samuel accueillit le Togolais dans la petite salle de réception réservée aux clients haut de gamme en compagnie de Martine l'employée intérimaire qui avait acquis le statut de bonne salope obéissante du directeur depuis qu'elle avait commencé sa mission à l'Agence.
La jeune femme avait été chargée de préparer et de servir une collation à son chef et à Monsieur Maloudila. Celui-ci se rinça bien l'oeil en matant la belle blonde dont la tenue cachait bien mal ses formes inspirantes. Après avoir pris Le temps d'avaler un verre de vieux Bourbon, Samuel se retira dans son bureau avec son client.

Une fois installé dans le confortable fauteuil, Moussa présenta le contenu de sa lourde malette au directeur.
Celui-ci estima rapidement la valeur en euros des nombreuses liasses de devises avant d'apercevoir plusieurs petits sacs remplis de pierres précieuses.
Ensuite il procéda personnellement à l'ouverture du compte de l'Africain avant de lui attribuer un coffre libre.

La moitié du numéraire soigneusement rangé dans l'attaché case servit à alimenter le compte alors que le solde du cash et les diamants bruts furent déposés dans la salle des coffres où Samuel conduisit lui-même son riche client.



- vous devez vous sentir plus léger déclara Samuel G. après avoir retrouvé monsieur Maloudila qui venait de refermer son coffre dont il avait glissé la clef dans la poche intérieure de sa veste.
- en effet. Toutefois je préfère savoir que les petites économies que j'ai pu me consti après 25 ans de bons et loyaux services au service de mon pays sont en lieu sûr bien loin de la cupidité de certains de mes concitoyens.
- sage précaution reprit Samuel d'un ton entendu. On n'imagine pas le nombre d'escrocs qui sont prêts à détourner les rétributions légitimes d'honorables serviteurs de l'état.
- Vous me l'ôtez de la bouche lâcha le noir avec un grand sourire.

- Bon, je pense que nous avons suffisamment travaillé pour aujourd'hui.
Si vous êtes d'accord, je vous invite à dîner ce soir dans un restaurant étoilé en compagnie de ma jeune assistante que vous avez croisée tout à l'heure. Nous disposerons d'un petit salon privé ou nous pourrons prendre nos aises en toute discrétion.
- mon ami Jean Aimé F. m'avait parlé de votre accueil. Je pense que je ne regretterai pas d'avoir choisi votre banque pour ouvrir mon compte.
- La satisfaction de nos clients est en effet notre priorité cher Moussa. Si vous permettez que je vous appelle ainsi.
- mais bien sûr Samuel. Au point où nous en sommes inutile de nous embarasser de formules de politesse.

Samuel avait choisi la place passager avant dans le taxi qui emmenait les trois protagonistes vers le restaurant sélectionné pour remercier Moussa Maloudila d'avoir choisi sa succursale pour ouvrir son compte.
Le Togolais était installé sur la banquette à côté de Martine.
La jeune femme blonde était vêtue d'une robe rouge à dos nu très décolletée, de bas coutures noirs, d'un porte jarretelles noir et rouge, d'escarpins imitation Louboutin à talons aiguilles et d'un manteau court en faux vison.
Respectant la volonté de son chef elle ne portait ni culotte ni soutien gorge.


Et le noir qui avait saisi le message implicite du directeur avait profité du trajet pour glisser sa main sous la robe de la blonde pulpeuse trop heureux de pétrir avec gourmandise le haut dénudé de la cuisse de sa voisine tout en abreuvant le banquier d'anecdotes personnelles.

Pendant le dîner, l'alcool aidant, Moussa confortablement assis sur la banquette à la droite de l'intérimaire était devenu beaucoup plus entreprenant, n'hésitant pas à embrasser sa voisine dans le cou, à plonger sa main droite dans son décolleté pour lui malaxer les seins voire même à faire coulisser ses doigts épais dans sa chatte.
Le noir manquait singulièrement de délicatesse et Martine aurait nettement préféré que son chef la prenne sauvagement sur la table plutôt que d'avoir à subir les attouchements malhabiles de son voisin.

Mais baiser l'interimaire ne faisait pas partie des plans de Samuel pour la suite de la soirée. Il voulait que son employée raccompagne le Togolais à son hôtel et que le type fasse ensuite d'elle ce dont il avait envie.

Après un dernier digestif, son client n'était pas loin de l'état comateux et Samuel s'adressa à lui en adoptant le tutoiement que l'africain avait instutionnalisé après sa deuxième coupe de Champagne.
- j'espère que tu as apprécié le dîner mon cher moussa. Si tu le veux bien, je vais appeler un ami conducteur de VTC qui te reconduira à ton hôtel et je vais bien sûr laisser Martine t'accompagner pour qu'elle s'assure que tu arrives bien à bon port.
- Samuel ! Tu es un vrai ami ! Déclara le noir d'une voix pâteuse en se levant. Il faudra que tu passes me voir quand tu viendras au Togo. Je te présenterai une de mes assistantes. Tu ne seras pas déçu...
Mais d'abord je vais aller pisser un coup déclama le noir sur un ton théâtral.
- veux-tu que Martine t'accompagne ? proposa le banquier.
Moussa roula ses gros yeux avant de répondre.
- C'est une excellente idée.
Elle me la tiendra pendant que je pisse. Ça m'évitera d'en foutre partout s'esclaffa-t-il.

Le serveur dedié à la petite salle privatisée par Samuel n'avait rien perdu de l'échange et il conduisit Martine et Moussa jusqu'aux toilettes des hommes avant de se poster devant la porte pour empêcher l'un des rares clients encore présents dans le restaurant de pénétrer dans la pièce.

Le noir s'immobilisa devant l'urinoir et attendit les jambes écartées que la belle blonde extirpe sa queue de son pantalon pour le faire pisser.
En sortant la bite molle de Moussa, Martine réprima une moue de desappointement.
Elle ne savait pas si c'était dû aux effets de l'alcool mais l' engin qu'elle tenait dans la main était bien loin du mandrin d'ébène king size qu'elle s'attendait à trouver. Elle attendit néanmoins patiemment que l'homme ait fini son affaire avant de secouer son membre et de le remettre dans son caleçon.
Lorsqu'elle retrouva Samuel, Celui-ci la prit quelques instants à l'écart pour lui faire part de ses dernières consignes.
- le chauffeur du taxi est un pote. Il a l'habitude de trimballer des mecs bourrés en compagnie de salopes. Donc ne te gêne pas pour sucer notre nouvel ami pendant le trajet s'il te le demande.
- il est complètement noir votre client. S'il arrive à bander ce sera un miracle répliqua Martine.
- écoute chérie. Si tu n'es pas satisfaite cette nuit, je réparerai ça demain. Et promis je te la fourrerai dans tous les trous. D'ici là tâche d'être gentille avec monsieur.

Martine obéit donc docilement à son patron et après avoir remis son manteau avec l'aide du serveur, elle passa son bras à celui de l'Africain avant de se diriger vers la berline noire qui attendait ses clients feux allumés.

Moins d'une minute après le départ de la voiture, Moussa dormait à poings fermés la main droite posée sur le minou de sa voisine.
Une fois arrivés devant l'hôtel, le portier vint aider Martine à sortir le gaillard de la voiture et ils se débrouillèrent pour l'emmener jusqu'à la chambre alors qu'il était toujours dans le cirage.

Une fois dans piaule, Le noir s'écroula aussitôt sur le grand lit et sombra à nouveau trop assommé par l'alcool pour esquisser la moindre réaction.
Pendant un quart d'heure, Martine s'escrima à déshabiller le type et à le faire entrer dans le lit. Lorsqu'enfin il fut allongé, le corps recouvert par les draps, l'interimaire était en sueur. Elle s'affala dans un profond fauteuil avant de se demander quelle était la conduite à tenir dans une telle situation.

Martine s'accorda ensuite une pause pour consulter son smartphone pour la première fois de la soirée et découvrit aussitôt plusieurs messages de son amie Brigitte.

Sa collègue lui demandait explicitement si son étalon africain la comblait comme il se devait.

"Tu parles d'un étalon" pensa Martine désabusée. Elle se leva alors puis baissa le drap du lit pour filmer le noir à poil en train de ronfler bruyamment.
Ensuite elle envoya la video à son amie avec cette légende: "comme tu peux le voir tous les africains ne sont pas des bêtes de sexe".

À sa grande surprise et malgré l'heure tardive, la réponse lui parvint quelques secondes plus tard.
- C'est toi qui l'a mis dans cet état ?
- non c'est le Champagne et le Bordeaux.
- ma pauvre... Il te reste plus qu'à appeler memeth au cas où il serait disponible.
Le message se terminait par trois smileys clin d'oeil.

L'évocation du turc croisé lors du déjeuner fit mouiller Martine. Elle attrapa son sac et fouilla à l'intérieur jusqu'à ce qu'elle retrouve le morceau de papier sur lequel était inscrit le numéro de téléphone de Memeth.

Comme elle avait elle aussi pas mal picolé, elle décida de l'appeler en numéro masqué sans savoir ce qu'elle raconterait si jamais il décrochait.
Martine reconnut la voix chaude et virile de l'homme qui répondit après trois sonneries.
- Allô qui m'appelle à cette heure ci? Aboya le type.
- bonsoir. Désolée de vous déranger aussi tard...
- mais je reconnais ta voix lâcha l'homme sur un ton adouci. Tu es la nana blonde qui déjeunait à la table près de la mienne ce midi.
- en effet c'est exact. Quelle mémoire!
- j'ai toujours une bonne mémoire quand il s'agit de belles gonzesses. Qu'est ce qui t'arrive ? Ton petit ami s'est tiré en te laissant avec le feu au cul.
- c'est presque ça. J'ai la chatte toute mouillée et le black à côté de moi est trop bourré pour en profiter.
- putain. C'est la première fois qu'on me la fait celle là. Figure toi que je suis chez moi avec mon pote hassan et qu'on était en train de se demander comment on allait finir la nuit. Tu veux qu'on vienne s'occuper de toi.

Martine jeta un coup d'oeil au togolais. Visiblement il n'était pas prêt d'émerger et Martine avait trop bu pour s'interroger sur les éventuelles conséquences de la décision qu'elle s'apprêtait à prendre. Elle communiqua donc l'adresse de l'hôtel et le numéro de la chambre à Memeth en lui recommandant d'être le plus discret possible en venant la retrouver.
Trente minutes plus tard, les deux turcs avaient rejoint Martine qui les attendait dans la chambre en porte jarretelles et talons aiguille.
Dans un premier temps, ils installèrent le noir sur l'épaisse moquette du couloir privatif et le couvrirent d'une couverture avant d'éteindre la lumière et de fermer la porte qui communiquait avec la chambre.
Puis ils se déshabillèrent entièrement bien décidés à s'occuper de la plantureuse blonde une bonne partie de la nuit.
Martine assise sur le lit examina avec satisfaction les deux mâles nus avant de déclarer ravie:
- enfin deux belles grosses queues vaillantes rien que pour moi. J'ai bien fait de garder ton numéro.
Les deux types echangèrent un regard lubrique avant de rejoindre la plantureuse jeune femme sur le plumard.
- La vache quel morceau s'extasia-t-elle avant d'attr à pleines mains l'énorme bite du séduisant Memeth qu'elle branla fébrilement avant de l'emboucher. À quatre pattes au dessus du colosse turc étendu sur le dos, elle se délectait en léchant et en suçant goulument le fabuleux dard pointé vers le ciel pendant qu'Hassan positionnait son noeud sur la vulve gonflée de désir de Martine bien décidé à s'enfoncer jusqu'à la garde dans sa chatte béante.
Bien vite la jeune femme dut abandonner son monstrueux sucre d'orge trop accaparée par le pieu turgescent qui fouillait son intimité avec la puissance d'un marteau pilon. Le premier orgasme ne tarda pas à la submerger avant qu'Hassan n'extirpe son noeud gluant de la grotte accueillante pour se vider sur la croupe rebondie de Martine.

- Viens me baiser maintenant Memeth supplia la femme. Ton copain m'a bien élargie pour que je puisse accueillir ta queue magnifique. Prends moi comme une chienne.
L'alcool avait un puissant effet aphrodisiaque sur Martine qui avait perdu toute retenue n'aspirant plus qu'à se faire remplir par l'énorme tenon de Memeth.

L'étalon la lima pendant plus d'un quart d'heure lui procurant trois fabuleux orgasmes avant de décharger au fond de son con. Hassan attendit à peine que la jeune femme reprenne son souffle avant de l'enculer sans autre forme de procès. Les deux mâles se succédèrent ainsi pendant plus d'une heure explorant sans relâche les orifices de plus en plus dilatés de leur maîtresse jusqu'au feu d'artifice matérialisé par une double pénétration d'anthologie où Martine finit par s'évanouir de plaisir avec l'énorme chibre de Memeth planté dans la chatte et la grosse queue d'hassan enfoncée jusqu'aux couilles dans son fondement.

- putain les gars. Vous m'avez tuée gémit Martine complètement sonnée. Si vous pouviez remettre le type qui cuve dans l'entrée à côté de moi dans le lit et vous sauver aussi discrètement que vous êtes venus, ce serait génial.

La jeune femme s'endormit avant que ses amants aient refermé la porte de la chambre.
C'est Moussa qui la réveilla lorsqu'il se leva avec la tête du type qui vient de prendre un train en pleine figure.

- Oh bon sang ! J'ai l'impression qu'un Boeing est en train de décoller de mon crâne lâcha t-il en se tenant la tête. Je ne me souviens plus de rien depuis qu'on a quitté le restaurant hier soir.

Martine lui répondit d'une voix traînante.
- Et bien moi je peux te garantir que je ne suis pas prête d'oublier la nuit que tu m'as fait passer. Tu étais complètement déchaîné. Une véritable bête de sexe. Je ne vais pas pouvoir marcher pendant une semaine.

Le Togolais bomba alors le torse avec fierté malgré la migraine qui lui vrillait le cerveau.
- Que veux tu ? Nous sommes comme ça nous les africains. Des amants infatigables toujours prêts à honorer les belles femmes blanches.

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