La Veuve

Je me retrouve dans une situation catastrophique : mon conjoint est décédé dans un accident de la circulation. Il gagnait fort bien sa vie, à tel point que je m’étais arrêtée de travailler : il avait un salaire de près de 25.000 euros par mois : un chauffard ivre l’a fauché quand il était à pied pour rentrer à la maison. Heureusement qu’il avait pris des dispositions au cas où. Si l’assurance a versé la rente de 10.000 euros mensuel, il n’en reste quand même que l’assurance de l’autre me doit une énorme somme.
Quelque soient les sous, je reste totalement dépourvue pour le reste. J’en suis réduite à me masturber journellement. Je le faisais souvent devant lui, ce n’est plus pareil, je n’ai pas ses encouragements quand ma main était sur mon sexe. Et sa pine, dans le cul ? J’ai bien des godes qui me calment à peine. Ca ne remplace pas une vraie bite bien dure dans les fesses.
Maintenant qu’un an est passé je suis toujours dans le même dénuement. J’ai le soutien de ma cousine et son mari. Un soutien moral c’est bien, en réalité c’est quoi. Pas grand-chose. Pourtant un jour j’ai eu la surprise de me faire réveiller pas une bouche sur la mienne. Je n’ai même pas réfléchi à qui pouvait être la langue qui me pénétrait.
Je pensais rêver quand une main, puis une autre est venue me caresser les seins. J’ai ouvert les yeux, je voyais le visage du mari de ma cousine, Marcel, qui s’occupait de moi. Je remarquais également le visage de Julie, ma cousine qui aidait à sa façon : elle me découvrait pour m’offrir et certainement prendre sa part dans les pelotages.
Au point de sevrage dans lequel j’étais, n’importe qui aurait pu avoir sa chance. C’est bien Julie qui levait ma nuisette pour poser elle-même sa main sur la chatte. J’étais la cible consentante du couple. Mes cuisses s’ouvraient seules.
Je tenais la nuque de Marcel, je ne voulais pas le perdre pour qu’il continue ses caresses. Pourtant il abandonnait ma bouche pour se consacrer uniquement à mes seins.

Il me suçait les tétons qui bandaient comme il y avait longtemps qu’ils de n’avaient fait. Ma maison cherchait sa bite que je trouvais finalement bien dure : il bandait plus que mon défunt. Le seul fait de toucher cette queue me redonner envie de branler. Je prenais à pleine main la bite et lui fais descendre la peaux jusqu’aux couilles. Avant le la remonter lentement.
J’allais lentement pour faire durer son plaisir, comme le mien de l’avoir entre mes doigts.
Je sentais les doigts de Julie sur ma chatte, sur mon clitoris à dire vrai. Elle commençait elle aussi à branler. Je ne savais pas qu’elle masturbait les autres femmes. Je bougeais sans arrêt mon bas ventre suivant ses allers et venues : c’était bon, merveilleusement bon. Je refermais les yeux pour mieux profiter de l’instant. Je n’avais jamais connu pareille fête des sens. Je me sentais au paradis avec une bite dans une main, une main de femme sur ma chatte et ce plaisir qui montait lentement. Brusquement j’ai eu un orgasme puissant. J’en criais même.
La bouche de Marcel a été remplacée par celle de Julie. Je n’en revenais pas de la douceur de sa langue dans ma bouche. Je perdais la queue que j’allais retrouver juste à l’entrée du tunnel. J’allais me faire mettre pour la première fois depuis longtemps. J’en avais besoin : je me suis laissé faire quand la queue de Marcel entrait. Il était doux dans mon sexe. Mon con était à la fête.
Il était sur moi, je passais mes talons sur ses hanches, aidée par ma cousine. C’était bon sentir la bite aller et venir dans mon ventre. Je la sentais caresser le clitoris aussi.
S’il pouvait vite jouir, là où il était pour m’enculer. Il n’a même pas attendu, il m’a mise en levrette. Je savais qu’il allait m’enculer. Heureusement que parfois je le faisais par plaisir avec le gode, sinon, il m’aurait mis l’anus en compote. J’ai jouis dès qu’il est entré dans l’anus. Je le sentais venir lentement, trop lentement, je le voulais à fond pour sentir ses poils contre mes fesses.

Il allait et venait dans mon derrière. Mon Dieu que c’était bon. Il sodomisait comme un dieu antique. Je voulais qu’il reste dans mon cul. Julie à son tout participait en me caressant le clitoris. Je sentais qu’il jouissait au fond de mon ventre : il m’a donné envie de jouir, ce que j’ai fait rapidement ; trop sans doute pour moi qui était sans rien dans mon ventre depuis des mois.
Le couple s’est arrêter de me baiser, ils se sont occupés d’eux, devant moi. Ils se sont installés à mes cotés, elle dessous, lui sur elle. Position classique. Sauf que quand il la baisait elle lui mettait deux doigts dans le cul. En limant les doigts allaient et venait dans son postérieur. Je ne voyais pas ce que faisait la main de Marcel passée dans les fesses de Julie, certainement qu’il lui rendait la politesse.
Ils me faisaient mouiller, tellement qu’il fallait que je participe aussi à leur plaisir. Je passais une main entre leur corps, juste au niveau des sexes : je touchais ainsi la bite qui explorait le minou de Julie. J’étais sur le bon chemin pour arriver là où je voulais : le clitoris de Julie. J’y arrivais lentement pour trouver le bouton. Comme le visage de son mari était loin d’elle, elle me tendait ses lèvres. Je n’hésitais pas je l’embrassais sur la bouche. Nos langues se reconnaissaient. Nous sommes restaient ainsi tout le temps de leur accouplement.
J’avais envie de jouir sans cesse. Quand le couple s’est dégagé je me suis donnée à ma cousine. Si elle voulait me branler encore, moi je voulais qu’elle me suce.
Finalement c’est Marcel qui nous dirigeaient pour nous mettre clitoris contre clitoris. C’était dur, mais très agréable de sentir le principal du con de l’autre sur le sien. Il nous fallait frotter nos bas ventres, nos cons pour un orgasme totalement différent. Un de ceux qu’on veut recommencer, surtout si un homme se branle devant nous.
Ils sont là pour plusieurs jours. J’espère que nous baiserons longuement chaque jour.

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