La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 62)

ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS


(suite écrite par moi-même de l'épisode 60 avec encorebelle)


Les douze coups de midi sonnèrent à la belle et haute horloge au bois verni de la grande salle quand ils rentrèrent au château.


– J’ai faim, cette chasse et ce spectacle de ponyslaves m’ont ouvert l’appétit, dit le Marquis satisfait en se frottant ses deux volumineuses mains l’une contre l’autre, mais avant de passer à table je vous invite à l’apéritif, mon cher Maître Aristocrate.


Une cravache rangée dans la manche gauche de sa veste, le Noble invite à passer directement au grand salon pour prendre l’apéritif. Son œil pétille à la vue de la belle croupe d’encorebelle qui suit docilement à 4 pattes,son Maître. Une fois bien installée, ils continuèrent à échanger quelques impressions sur les ponyslaves lorsque Walter arriva avec un sceau à champagne et quelques flûtes. Il posa le tout sur la table de salon et remplit avec raffinement les coupes.


– Chienne, dit Maître Aristocrate d’un ton autoritaire et en claquant 2 doigts, redresse-toi et à genoux à mes côtés.

– Oui, Maître, répondit la belle encorebelle, la tête baissée


Docilement, elle se positionna. Elle déplia les genoux sur le tapis moelleux du salon, se tint droite et plaça en un réflexe ses mains jointes dans le dos. Mais, dans le même geste, sans brusquerie elle ne fit pas attention et renversa la coupe de champagne de son Maître posée sur la table de salon. Le beau tapis fut légèrement souillé


– Mais qu’est-ce que c’est que cette maladresse, chienne ? Dit son Maître avec des yeux de colère contenue

– Je… je demande pardon, … je ne suis pas digne d’être votre soumise, Maître. Je vous supplie de me corriger.

– Te rends-tu compte que cette faute me fait honte. Ca ne vaut pas moins de vingt coups de cravache !

– Oui, Maître, dit-elle confuse, toujours la tête baissée.




Le Marquis ne perdit rien de la scène et c’est avec un sourire pervers qu’il tendit déjà sa cravache à Maître Aristocrate. Celui-ci comprit de suite et empoigna la cravache. Le Marquis, tout en se calant confortablement dans son fauteuil et savourant son champagne, était des plus attentifs quant au déroulement de la suite des évènements.

– Soumise, ouvre ta bouche de chienne, dit Maître Aristocrate.


Elle s’exécuta immédiatement et son Maître lui plaça la cravache en travers de la bouche, comme on mettrait un mors à un cheval.

– Tiens-moi cette cravache avec tes dents uniquement ! Attention, tes lèvres ne doivent pas se joindre, nous devons constamment voir tes dents enserrer la cravache !


Les minutes de silence s’égrènent. Les deux Maîtres et David se taisent et observent cette chienne ainsi positionnée immobile, agenouillée, nue et les mains dans le dos. La salive d’encorebelle dégouline le long des commissures de ses lèvres. Cela est dû à l’inconfort de tenir la cravache uniquement avec ses dents. On aurait même dit qu’elle bavait comme une chienne. Le cou et le haut de ses seins sont déjà tout maculé et elle est toute mouillée de sa bave qui, coulant le long de son ventre, se perd entre ses cuisses. Puis son Maître récupère la cravache des dents de la soumise, et désignant son ami, le Marquis du bout de sa cravache, il brise le silence :

– Mon cher Marquis, voulez-vous éprouver du plaisir avec ma chienne… ?

– Eh bien… Heu … Je vous écoute… Mon cher.

–… en goûtant la langue de ma chienne, oui je voudrais qu’elle vous lèche le cul, cela sera son dû de vous avoir renversé une flûte de champagne. Mais cela ne l’exemptera pas de ma punition ensuite …


A la demande de son ami, le regard du Marquis trahit une expression mêlée de désir et de défi. Il se lève alors de son fauteuil, dégrafe sa ceinture, fait glisser sa braguette et laisse tomber son pantalon au sol.
Enfin, il tire de part et d’autre son boxer pour afficher fièrement ses fesses de profil.

Toujours du bout de la cravache, Maître Aristocrate désigne alors la table basse du salon à encorebelle :


– Chienne, je vais enlever le seau à glace et les coupes et tu viendras de suite te placer à genoux sur cette table, les mains jointes sur le plateau où tu relèveras la tête.

– Bien… Maître. Je ne sais pas si …

– Silence, chienne, et se tournant vers son ami, Edouard, si vous voulez bien vous tourner et vous cambrer, près de la bouche de cette chienne, vous allez apprécier ce petit délice buccal …


Les choses enlevées sur la table, encorebelle se positionna


– Releve bien tes fesses et approche ta bouche des fesses de notre hôte et prodigue-lui un bel analingus.

– Non, pas ça, je ne l’ai jamais fait à autre que vous Maître, répond-elle avec une expression de dégoût.

– J’ai dit silence et obéis, soumise, que tu renverses du champagne, je peux encore l’accepter, mais que tu désobéisses à un ordre donné, ça, je ne puis l’admettre. Tu vas donc recevoir après avoir léché notre ami, pour ton châtiment dix coups de cravache tout de suite que tu compteras un à un à haute et intelligible voix, bien entendu. Mais d’abord lèche, salope, celui qui t’accueille ici et fait ça bien …


Et il empoigna les cheveux d’encorebelle et lui approcha la tête des fesses du Marquis qui, de dos, se pencha en avant pour laisser libre passage à la langue de la chienne. Docilement, elle s’exécuta, cette fois sans dire mot. Sa langue pointant vers le sphincter du Marquis, elle prit le goût de l’orifice du Noble en enfonçant directement sa langue au milieu de l’anus ainsi exposé. Elle lécha avec application du mieux qu’elle pouvait. Au bout de quelques minutes, ses coups de langue étaient tellement intenses qu’on entendit le Marquis exprimer son bien-être par de petits gémissements.
Il ne put s’éviter de décrire ce qu’il ressentit à vive voix :

- Oui , continue chienne, hummmmm, c’est exquis….


Au bout d’un moment, il entra en érection tellement elle lui procura un délicieux plaisir anal. Et c’est sous ses encouragements qu’encorebelle s’activa de plus belle, elle lui lécha à pleine langue son anus, le pénétra comme si elle voulait y mettre le menton avec. De temps en temps, elle reprenait son souffle en léchant les testicules pendantes puis repartait à l’assaut de ce sphincter luisant où elle n’avait aucune peine à engouffrer sa langue entière. Tout en pratiquant avec frénésie son analingus, elle ondulait de la croupe. On la devinait prendre du plaisir. D’ailleurs, elle se permit de gémir lorsqu’elle toucha différentes zones de l’anus du Marquis. Lui transpire de plaisir. Ses gémissements plus rauques couvrent ceux plus brefs et saccadés de la chienne.

Puis soudain, le Marquis se redressa, se retourna face à ses amis et, montrant une splendide érection, dit à Maître Arisocrate :


– Sa langue est un pur bonheur, mais puis-je la prendre par derrière ainsi, elle m’a donné la trique cette salope et me donne trop envie de la prendre ainsi agenouillée sur cette table de salon

– Mais ne vous gênez pas mon ami, elle vous doit bien cela…


Le Marquis ne se fit pas prier, il contourna la table et se présenta derrière encorebelle qui, déjà émoustillée par cette situation, écartait les genoux. Le Marquis n’entreprit même pas de procéder à quelconques préliminaires et d’un coup, enfonça sa verge épaisse et durcie dans la chatte trempée d’excitation et si bien exposée de la chienne. Maître Aristocrate excité également par la scène dégrafa son pantalon et vint se faire sucer en empoignant la chevelure de la soumise pour lui faire relever la tête. Sa queue s’introduit alors dans la bouche d’encorebelle. Son Maître commença un va et vient jusqu’au fond de la gorge. Il se plia légèrement pour lui pincer les tétons, les vriller, les étirer.
Pendant ce temps, le Marquis limait tel un hussard la chatte de la chienne à grands coups de reins puissants et virils. Et c’est dans des jouissances puissantes que les 3 acteurs de cette scène éclatèrent pratiquement en même temps. Encorebelle dut avaler le sperme dégoulinant et nettoyer de sa langue les deux bites car le Marquis, après avoir joui sur les fesses de la soumise, alla se positionner, lui aussi, près de la bouche de la chienne….

Les deux Maîtres réajustèrent leur slip et pantalon. Le Marquis se réinstalla dans son confortable fauteuil. Puis Maître Aristocrate ordonnat alors à la soumise de ne pas bouger, de rester toujours agenouillée sur cette table basse de salon. Il empoigna de nouveau la cravache et dit sans préambule :


- Et maintenant les dix coups de cravache et tu comptes fort, chienne.


Le premier coup de cravache s’abattit avec une telle force qu’un hurlement de douleur déchira d’un coup le calme de la pièce. L’atmosphère était lourde quand on entendit doucement une voix pleurante :


- UN.

- Plus fort, j’ai dit

- UN.


Comme un athlète qui se prépare juste avant la compétition, encorebelle se concentrait pour recevoir les neufs autres salves qui, elle le savait, seraient cuisantes. Le second coup fut tout aussi violent que le premier. Elle hurla le chiffre « DEUX » cette fois avec une telle maîtrise qu’elle en exprima sa douleur exclusivement dans la prononciation de ce chiffre. Elle reprit rapidement de l’air à plein poumon comme si la ventilation de sa poitrine refroidissait la cuisante morsure du coup de cravache. Le troisième, quatrième et cinquième coup lui fut porté en rafale et tout aussi fort que les deux premiers. Elle en était déstabilisée et compta plus difficilement dans sa prononciation. Dès le chiffre CINQ exprimé, le sixième lui est asséné sèchement avec force. Elle hurla sa douleur à n’en plus finir au travers du chiffre SIX. Ses sanglots firent place à des pleurs continus. Maître Aristocrate abrégea sa souffrance en lui attribuant les quatre derniers coups en rafale qu’elle compta également un à un. Elle fut soulagée, mais totalement en pleurs, pour désigner enfin le chiffre DIX.


– Tu peux me remercier…chienne … dit son Maître avec autorité

– Mer…Merci Maître. Merci Maître. Vous êtes infiniment bon pour moi, Maître.


Ses derniers mots se noyèrent dans ses sanglots. Elle lui baisa alors chaque doigt de la main que son Maître lui tendit. Celui-ci fut à ce moment-là très fier d’encorebelle. Il lui tapotait ses cheveux par ce signe de satisfaction…


– Te voila pardonnée, mais ne recommence pas à discuter mes ordres ...

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