L'Éducation De Ma Femme

Cette fois c’en était trop ! l’attitude de mon épouse était inqualifiable, non seulement elle faisait preuve d’une véritable paresse sexuelle, mais en plus j’ai appris récemment qu’elle avait eut une liaison, avec un jeune employé de la société d’assurances où elle exerce. Je lui ai donc mis le marché en main soit elle accepte de subir pendant une période à déterminer une éducation, supervisé par un avocat soit c’est la séparation pure et simple. Après bien des pleurs et des discussions finalement elle a accepté, la mort dans l’ âme la première solution :
J’ai donc contacté Maitre Legrand, qui m’as été recommandé par un ami. Un rendez vous fut pris pour que l'avocat voit Huguette et me dise si il était d’accord pour s’occuper d’elle car il est très occupé et sélectionne soigneusement les femmes qu’il prend en charge !

Le rendez vous à lieu chez nous, j’ai prévenu mon épouse en début d’après midi avant quelle ne se rende à son bureau.

— Rentres tôt ce soir, chéri, Maitre Legrand passe te voir vers 20h00

Elle a rougi puis bégayé :

— euh mais bien d’accord.

L’après-midi m’a parut interminable, tant j’étais pressé de cette confrontation, comment mon épouse elle si sure d’elle et si hautaine allait-elle réagir ?

Je suis arrivé à la maison vers 19h00 ma femme attendait déjà, elle portait un jean et un chemisier décontracté. A mon arrivée elle a essayé de parlementer me demandant d’annuler le rendez vous, mais trop tard, j’étais bien décidé, en plus la sonnette de la porte retentit.

—Vas ouvrir cela dois être ton avocat.

Ma femme revient un peu confuse avec un homme assez jeune, la trentaine, barbu et très maigre, le visage dur, sévère. Il porte un costume strict. Nous nous saluons, l’homme ne s’adresse qu’a moi, il désigne ma femme avec le doigt.

— C’est la femme dont vous m’avez parlé !

— Oui Maitre c’est ma femme, Huguette.



Puis s’adressant à mon épouse :

— Prends cette habitude quant on ne te demande rien, tu te places debout devant nous, mains sur la tête, doigt croisés, allez obéit.

Je suis surpris de voir ma femme prendre la position demandée sans rechigner, elle se place et baisse le regard.

— Bien dit l’homme tiens toi droite poitrine tendue, et gardes les cuisses ouvertes tu dois toujours être accessible... !

Elle rougit de plus belle et rectifie sa position.

— Tends plus ta poitrine ! voilà parfait, ne bouge plus !

Puis l’homme s’adresse à moi

— A t-elle déjà été soumise ?

— Non Maitre, je compte sur vous pour cela.

— Quel âge a votre femme ?

— 41 ans Maitre

— A t-elle é

— Oui nous avons un

— Elle est plus tôt bien faite, ronde, agréable, les seins lourds.

L’homme s’adresse à mon épouse :

— Quel est ta taille de soutien gorge ?

Catherine rougit et bafouille...

— Euh Humm 90 bonnet E Monsieur

L’homme la reprend

— Maitre.

— Oui Maitre.

Puis reprenant la conversation avec moi :

— Vous me parliez au téléphone de paresse sexuelle ?

— Oui elle est assez passive dans nos rapports et ils sont peu fréquents, en outre elle est souvent désagréable.

— Bien, et y a t-il des pratiques qu’elle refuse ?

— Euh pas vraiment mais..

— Elle pratique la fellation ?

— Oui très bien même mais refuse d’avaler la liqueur.

Du coin du regard, je vois ma femme liquéfiée de honte à l’évocation de ses pratiques sexuelles.

— Et la sodomie.

— Parfois Maitre et il me semble aussi qu’elle apprécie cette pratique.

— Bien c’est un bon point pour elle.

L’homme se lève approche de ma femme, et soudain il lui palpe les seins sur le chemisier, elle a un mouvement de recule.
Mais la voix glacée de l’homme la reprend.

— Allons ne bouge pas, reste sage et docile.

Il continue à lui palper les seins, trouve rapidement les tétons à travers le tissus et les pincent.

— Bien elle a les tétons bien longs c’est appréciable.

Ma femme à les larmes aux yeux, en continuant à palper sa poitrine l’homme la questionne

— Quand tu est seule, tu te masturbes ?

— Oh noon monsi...euh non Maitre, jamais !

J’interviens :

— Il m’arrive de la forcer à ce masturber devant moi, et même de la forcer à aller jusqu’à l’orgasme, mais elle à horreur de cela.

— Bien dit l’homme c’est un bon début de soumission.

En la regardant dans les yeux l’homme commence à dégrafer les boutons de son jeans jusqu’au dernier.

— Oh non s’il vous plait pas cela !

— c’est moi qui décide compris ?

— bien Maitre.

L’homme passe deux doigts entre la peau et l’élastique du slip et écarte le tissu, il admire la motte brune et poilue de mon épouse qui est rouge comme une pivoine. Il tire un peu les poils.

— Tu as déjà eut la chatte rasée ?

Ce parler cru et voulu coupe le souffle à mon épouse. Elle bafouille :

— Euuh et Bien euh non Maitre jamais.

Un doigt de l’homme continu son inquisition, il passe entre les cuisses rencontre les petites lèvres fripées, les entrouvre et découvre l’entrée du vagin, moite et humide.

— Bien elle lubrifie vite elle est trempée.

— Ton clitoris est petit mais me semble bien sensible, n’est-ce pas Huguette ?

— Euh oui oui Maitre.

— Rajuste-toi dis l’homme.

Ma femme s’empresse de reboutonner son pantalon et reprends la position demandé.

— Bien dis l’homme, elle me plait je pense la prendre en dressage mais auparavant il reste une épreuve, tu sera convoquée chez un médecin de mes connaissances pour un contrôle médical, tu te rendras au rendez vous avec ton mari qui assistera à la visite.
..... c’est compris.

— Oui Maitre

— Ensuite si je te gardes tu suivras mes consignes tu auras des épreuves à réaliser et tu devra te rendre à des rendez vous avec des maitres assez divers. Ils te feront passer des épreuves et devront signer un carnet d'éducation que je te remettrai.

— Oui Maitre, je dois le faire ?

— Ton directeur que je compte parmi mes amis, sera prévenu de ton entrée en dressage.

— Oh noon je vous en prie ne parlez pas de tout cela à mon directeur.

Ma femme pleure humiliée, que va pensez son directeur ? lui qui lui fait entière confiance.

L’homme continu :

— Parfois tu sera seule, parfois avec d’autres femmes aussi en dressage parfois les maris seront également présent. Bien maintenant, je dois partir, tu aura de mes nouvelles très vite, maintenant tu vas mettre à genoux devant ton mari...

Ma femme obéit interloquée.

— Sors son sexe et suces le !

— Oh non, pas devant vous !

— Allons obéit, dit l’homme.

Huguette ouvre ma braguette, et écarte mon caleçon mon sexe dressé jaillit. Cette fois l’ordre est strict.

— Suces !

Mon épouse obéit me prends en bouche et aspire mon gland, je gémie un peu, et je vois l’homme sort en me faisant un signe. Durant les jours qui ont suivi la visite de Maitre Legrand nous n’avons pas évoqué cette soirée. Ma femme était plutôt distante. Chaque jour elle relevait anxieuse le courrier, attendant la fameuse convocation chez le médecin pour l’examen médical.

Le vendredi soir elle est rentrée du bureau en larmes et s’est jetée dans mes bras :

— Tu sais quoi ? Mon patron ! il est au courant, pour Maitre Legrand !

— Ah bon, qui lui a dit ?

Et Huguette commence à me raconter son après midi, tout en l’écoutant je lui caresse machinalement les seins sur le chemisier.

Comme tous les vendredis après midi son patron a réuni son équipe de cadres dont mon épouse, la seule femme de l’équipe, est un élément très dynamique.
Le patron de ma femme, est un patron à l’ancienne, strict mais juste, la soixantaine petit, chauve, toujours très poli.Durant le briefing le téléphone de son patron à sonné :

— Bonjour cher ami...non ! vous ne me déranger jamais, quelles nouvelles ?

Pendant un long moment, le patron a écouté son interlocuteur puis il a dévisagé ma femme qui, rougissante, à du baisser le regard.

— Bien cher ami merci de m’avoir prévenu, oui je suis assez disponible ces temps ci, oui pas de problème bonne journée.

La réunion a suivi son cours puis le patron a congédié ses cadres en leur souhaitant un bon week-end. Au moment où mon épouse sortait du bureau..

— Ah Huguette svp vous pouvez rester encore un moment ! fermez la porte je vous prie.

Mon épouse exécute et se place devant le bureau de son patron.

— Oui Monsieur

— Venez près de moi Huguette.

Elle contourne le bureau et se place à la droite de son patron pensant que celui ci veut lui présenter un détail dans un dossier.

son patron lève les yeux et la dévisage, et lui dit :

— Huguette, pendant la réunion Maitre Legrand m’a informé du rendez vous qu’il a eut avec vous...

Les jambes de Huguette flagellent, elle rougie et sens qu’elle transpire.

— Oh mon dieu non pas cela oh pourquoi ?

Des larmes coulent

Mr Moreau son patron la rassure :

— Allons ne pleurez pas, je trouve cela très bien, Maitre Legrand est parfait, une éducation vous fera le plus grand bien, mon épouse Mme Moreau a suivit un stage chez lui également, pendant plusieurs mois.

— Oh Mme Moreau aussi ?

Huguette imagine mal, Mme Moreau soumise, elle est très ronde, et si religieuse. La femme du directeur est un grande bourgeoise, âgée d’une soixantaine d’années, et très chic.

— Oui mon épouse, et depuis je collabore avec Maitre Legrand, je reçoit chez moi des soumises en stage. Je participe à des séances d'éducations dans la villa de Maitre Legrand, et je fais partie du comité qui interroge les soumises.

Huguette ne réponds rien, elle a le souffle coupé. Sans gène Mr Legrand passe la main sous sa jupe et remonte le long de ses cuisses, puis palpe ses fesses, bien rondes, sur son slip.

Puis Mr Legrand, sentant qu’elle porte un collant se fâche un peu, baisse son collant au niveau de ses genoux et saisissant une paire de ciseaux sur son bureau le découpe en charpie. Puis remonte sa main sous la jupe de mon épouse, sur le devant cette fois.

— Ah c’est beaucoup mieux. Huguette je ne veux plus vous voir avec ce sous vêtement ridicule qu’est le collant ! A partir de lundi vous porterez des bas avec porte-jarretelle, c’est compris ?

Comme dans un rêve Huguette s’entend répondre

— Bien Mr Legrand

L’homme s’enhardit, il lui caresse le pubis à travers le slip, cela dur longtemps, puis il force l’entrecuisse, caresse le tissu moite.

Pendant son récit, n’y tenant plus je dézippe sa jupe qui tombe à ses pieds et passe ma mains dans son slip, son sexe est trempé....je la masturbe doucement.

Mr Moreau s’amuse a agacer ses petite lèvres à travers la culotte, qui se trempe de plus en plus.

- Tu as laisser ton patron te tripoter !

— Oui je ne pouvais pas faire autrement c’est mon patron

— tu as pris du plaisir

Huguette hésite, rougie.. et dit :

— Euh oui un peu malgré moi. Il m'a dit ensuite :

— A partir de lundi vous cesserez également de mettre ces culottes trop couvrantes, vous porterez des strings !

— Oh bien Monsieur Moreau.

Doucement l’homme la masturbe, malgré sa honte Huguette sens le plaisir qui monte...Son patron passe son doigt entre la chair et l’élastique, il entre en contacte avec son clitoris qu’il décalotte du bout du doigt, puis sa vulve trempée, il la doigte. Elle ferme les yeux et gémie doucement, sa respiration s’accélère, elle râle un peu et se contracte.

— Hummmmm oh ouiii hummmmm

— Vous avez joui ?

Mr Moreau lui montre son doigt couvert de mouille, puis le flaire longuement.

— Oui monsieur dit - elle morte de honte

— Bien allez filez, bon week- end, ah j’oubliai lundi matin 8h vous viendrez me présenter vos nouveau dessous.

— Euh oui, bien Monsieur, bon week end Monsieur.

Je pousse ma femme sur le canapé et me plaçant entre ses cuisses je lui lèche le sexe et aspire son clitoris, elle se tord,gémie, puis la mettant à 4 quatre pattes je la sodomise, sans préparation, son orgasme est rapide. Elle s’effondre sur le canapé.

Je lui dit :

— Demain après midi nous irons acheter des dessous et lundi tu iras les présenter à Mr Moreau

Epuisée mon épouse s’endort sur le canapé.....


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