La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 65)

ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS

La suite, toujours écrit par Myna que je remercie encore.

Le Maître regarda son nouveau jouet entrer. Son corps gracile lui plaisait. Viktor
avait eu raison de lui laisser les cheveux libres et le visage au naturel. Néanmoins
un léger maquillage lors des soirées, auxquelles il imaginait déjà lui faire
participer, ne ferait que rehausser sa beauté naturelle. Sir d’Evans lui intima
l’ordre de se mettre en position d’attente sur le bord du lit. Elle s’exécuta sans un
mot. Une fois qu’elle fut convenablement en place, le Maître ne s’occupa plus d’elle,
il se tourna en revanche vers les deux esclaves à genoux à terre. L’esclave femelle
portant autour du cou une pancarte où il était inscrit : ''j'ai été trouvé entrain de
forniquer avec cet esclave mâle par un commis de cuisine''.
D’une main, le Marquis d'Evans agrippa les cheveux blond platine de la pauvre fille et
leva sa tête afin qu’elle la regarde dans les yeux.

"Je ne veux même pas savoir ce qu’il vous a pris…."

"Je vous en prie, Maître (esclave64MDE l’interrompit), ne punissez pas
esclaveNatachaMDE, c’est moi qui…"

La gifle ne se fit pas attendre. Elle avait été tellement soudaine que l’esclave avait
été projeté à terre.

"Silence esclave ! Ne t’inquiète pas je vais m’occuper de toi dans un instant"

L’esclave ne broncha pas et un coup de cravache vint le cueillir à l’épaule. Il
comprit aussitôt ce qu’on attendait de lui, il remercia donc pour la gifle reçue, il
ne tenait pas à être punit par le Maître plus que de raison. Esclave64MDE se redressa
donc et repris humblement la position d’attente.

Le Maître prit le menton de la femelle dans ses mains :

“esclaveNatachaMDE, tu me déçois beaucoup, je pensais t'avoir mieux dressée que cela.

“

Soudain la gifle retentit, elle fit sursauter Myna et esclaveNatachaMDE perdit
l'équilibre.

Le temps qu'elle reprenne sa position, le Marquis fait retentir une cloche et le
majordome en livrée entre.

“Monsieur m'a fait demander ? “

“Oui James, emmenez cette chienne aux cuisines, elle a perdu le droit de se déplacer
sur ses deux pieds, désormais c'est à quatre pattes qu'elle se déplacera jusqu'à
nouvel ordre. Puisque c'est un commis qui l'a trouvée, elle sera très bien en cuisine.
Qu'elle y reste 50 jours, elle sera à la merci de Marie qui saura s'occuper d'elle
avec sévérité. Mais avant, qu'elle soit offerte au commis qui l'a trouvée, donnez lui
son congé pour deux jours pour qu'il en profite. Les 50 jours commenceront après. Je
veux que vous lui fassiez donner au minimum 50 coups de fouets par jour. Qu'ils
n'hésitent pas à la punir... Enfin, ils ont l'habitude. Emmenez la hors de ma vue à
présent. Je vous rappellerai dès que j'en aurais fini avec lui...“

esclaveNatachaMDE qui s'était encore plus décomposée en entendant la sentence se jeta
aux pieds de son Maître pour tenter de le faire infléchir mais il la repoussa et le
majordome l'att par les cheveux pour qu'elle se mette en position et le suive vers
sa punition.
Puis le Marquis d'Evans agrippa les cheveux du mâle, à son tour il le força à le
regarder :

“Esclave64, je suis vraiment déçu par ton attitude. Que va dire Monsieur David quand
il saura que son esclave favori a succombé aux charmes de l'une de mes femelles.... Ha
là là .... En attendant, je ne peux pas laisser passer cela. Alors viens ici, lève toi
! Défait ma ceinture et tâche d’essayer de te faire pardonner"

Esclave64MDE s'exécuta et s'approcha, Il avait compris le message, il était plus grand
que Sir d’Evans d'au moins une tête, mais cela ne le dérangeait pas.

Il défit donc la ceinture de son Maître, déboutonna et dézippa le pantalon. Il caressa
le sexe de ce dernier afin de le faire grossir. Quand il commença à être à l’étroit,
il consentit à le sortir. Sir d’Evans savait parfaitement que c’était une manière pour
lui de se rebeller, mais il le laissa faire. Rira bien qui rira le dernier...

En attendant, l’esclave continuait ses caresses. Il posa enfin ses lèvres sur le gland
avec l’intention de faire encore languir le Maître mais ce dernier força la bouche de
esclave64MDE à s’ouvrir et s’enfonça à l’intérieur.

"Lèche bien, suce bien, car c’est le seul lubrifiant dont tu bénéficieras ! "

“A présent lèves-toi, penches-toi en avant, et met tes bras autour de la taille de ma
nouvelle esclave...“

Sa tête se posa juste sur l’entrejambe de Myna. Il en profita pour lui donner des
coups de langue sur le clitoris. Elle rougit en espérant que le Maître ne le voit pas.
Ce dernier le laisse faire un instant pour voir si elle va dire quelque chose, et
comme il n'en est rien, à son grand désespoir, Sir d’Evans dit en écartant les jambes
du pénitent du pied :

“As-tu fini ? “

Il prit alors une badine et fouetta le mâle plus pour lui zébrer les fesses que pour
lui faire mal,

Sir Evans se plaça derrière lui, et s’enfonça dans son cul sans autre forme de procès
et sans même prendre la peine de le lubrifier. Il le ramona tant et si bien que la
jouissance arriva très vite et il se vida en son fondement. Les derniers soubresauts
passés, il ressorti d'un seul coup. Le Maître le releva par les cheveux. Des larmes
coulaient sur ses joues. Il le fit agenouiller devant lui et lui ordonna de nettoyer
son sexe de ses lèvres. Lorsque le Marquis jugea que s'en était assez, il sonna à
nouveau et le majordome entra.

“Emmenez ce chien hors de ma vue et enchainez le dans la chambre de David.
Il saura
bien décider de son sort“

L’homme et l’esclave sortirent. Le Marquis d'Evans se tourna alors vers sa toute
nouvelle acquisition.

Myna était nue, agenouillée sur le lit, cuisses tendues, mains derrière la nuque, les
reins cambrés, les seins en avant, le visage droit. Sir d'Evans pressait sa cravache
sur son corps pour l'amener à la position idéale, la forçant à remonter le menton de
la pointe du cuir, l'appuyant de toute sa longueur en travers de son dos pour
maintenir sa cambrure...

La position idéale atteinte, Sir d’Evans prit place derrière la jeune femme, lui
intimant l'ordre à l'oreille de garder la position, de ne pas bouger, sous aucun
prétexte...

Sa bouche mordilla son oreille, elle embrassera son cou. Plaqué contre son dos, il
l'enlaçait et l'enserrerai pour caresser et malaxer ses seins, mi caresse mi .
Sa main s'égarait aussi vers son entrejambe, la fouillant sans ménagement, ramenant
l'humidité de son sexe jusque sur son ventre, ses seins, lui faisant lécher ses doigts
recouverts de sa mouille...

L'excitation montant, Sir d’Evans la poussa vers l'avant et la bascula sur le lit, son
visage et ses seins écrasés contre le matelas. Le Marquis lia ses bras en arrière, il
empoigna son bassin pour lui obliger à relever ses fesses rebondies. Le Maître lui
intima de garder la position, il présenta sa verge à sa bouche, se caressai sur son
visage toujours appuyé contre le drap, et elle la goûta... mais seulement à
l'occasion de quelques aller et retour dans sa bouche. Sans prévenir, le Noble la
laissa là, ne lui ordonnant que de rester sur le lit, et se rendit dans sa salle de
bain.

Mais Myna pas encore dressée ne put s'empêcher de suivre discrètement le Maître et
lorsque il fut sous la douche, elle se glissa auprès de lui. Sir d’Evans lui tournait
le dos, elle y posa ses mains et commençait à le caresser.
Le Marquis se tourna vers
son esclave, il aurait pu la punir pour ne pas être restée sur le lit en position mais
il ne dit rien, la laissant faire car sa verge était dure et tendue. Il décida de la
punir plus tard comme il se doit. Comme seule punition pour le moment il l'aida à
s'agenouiller devant lui afin qu’elle prenne son sexe dans sa bouche. La main de Sir
d’Evans maintenait sa tête afin qu’il lui impose son propre rythme. Lorsque sa
jouissance arriva, elle veut se retirer mais son Maître la maintint et lui ordonna
d’avaler. Elle s'exécuta.

Sir d’Evans la laissa là pantelante. Il lui dit de se laver à présent et de le
rejoindre à genoux.

Myna revint de la douche toujours entièrement nue, le corps encore ruisselant et les
cheveux mouillés.

Le Marquis souris en la voyant s'agenouiller devant lui et attendre qu’il la prenne en
main.

“Tu n'as pas encore l'habitude des positions exactes que j'entends te faire prendre.
Pour cette fois-ci, je t'ordonne de serrer les jambes, fesses en repos sur tes
chevilles, dos droit, mains croisées derrière le dos : la main gauche saisissant le
coude droit, et réciproquement.“

Il avança vers elle et prit son visage dans sa main, lui caressant la joue, lissant
ses cheveux mouillés... Puis il l'empoigna moins tendrement, en appui de chaque coté
de sa bouche entrouverte, sa main la forçant à relever la tête et à le regarder.

"Je crois que tu n'as pas bien saisi les règles... Quand je t'ordonne d'attendre sur
le lit, tu attends sur le lit. T'avais-je demandé de me sucer ? Non, je ne pense pas !
Mais puisque tu y tiens tellement, jusqu'à demain, la seule chose que je t'autorise à
avaler, c'est le foutre qui te giclera dans la gorge. D'autre part, il y a d'autres
portes à ton corps que j'aimerai explorer, et puisque tu t'es chargée, sans
autorisation, de m'amener à la jouissance, c'est calme et serein que je commencerai
cette exploration, j'ai tout mon temps... Lève-toi !"

Myna se tint maintenant debout. Le Maître tourna autour d’elle, admirant sa courbe, et
réfléchi encore à la meilleure façon de la dresser...

"Appuis tes mains contre le mur, un peu plus bas que la hauteur d'épaule, et garde les
bras tendus ! Eloigne les jambes, écarte moi ça que je puisse à loisir m'occuper de
toi, cambre toi plus et attend ! Attend vraiment cette fois-ci !"

Sir d’Evans s'absenta le temps d'aller chercher quelques accessoires... Lorsqu’il
revint, il les déposa sur un guéridon, à un endroit où elle put clairement les
distinguer, plusieurs Plugs et godemichets... certains étaient petits, d'autres plus
gros. Le Marquis se saisi de l'un d'eux et repassa derrière elle. Il n’avait pas envie
d'attendre qu’elle mouille convenablement pour pouvoir se servir de sa jouissance pour
lubrifier son cul. Aussi, elle ne tarda pas à sentir une noix de lubrifiant sur son
œillet... Une petite noix. Il aurait plus être plus généreux, mais elle est punie, et
il veut qu’elle s’en rappelle.

Il avait un jouet en main, mais ce n'est pas lui qu’il utilisa immédiatement. D'abord,
un de ses doigts s'aventura aussi profondément que possible, puis un second vint le
rejoindre et il joua de son corps quelques temps... Mais il se lassa et décida
finalement d'utiliser ses jouets. Le premier n'était pas très épais, moins que les
deux doigts qu’il avait actuellement fiché au fond d’elle... mais il était plus long,
et il comptait bien voir quelles étaient ses limites. Entre temps, Il avait aussi pris
quelques instants pour s'occuper de caresser son bouton et sa vulve... Il sait que ça
ne sera pas entièrement une punition, mais ils avaient encore tout leur temps pour la
suite...

Le Marquis lui présentait les plus gros godemichets qu’il faisait passer sur sa
rondelle, certain passant même parfois, mais c'était surtout pour lui faire peur.
Quand il en eu assez il mit en place un petit Plug en me disant :

“Tu vas garder cela en toi, ne le perd pas ou tu endureras mon courroux...“

Le Noble lui ordonna de ne pas bouger. Il sortit (enfin, c’est ce que Myna pensa) en
réalité il fit entrer l'une de ses esclaves, sa favorite esclave46MDE (laétitia) , et
lui ordonna de la lécher jusqu'à la jouissance et même plus. Le Maître se mit derrière
un paravent et il les observa. La favorite arriva derrière Myna et lui murmura tout en
lui caressant la vulve :

“Le Maître m'a demandé de te lécher jusqu'à la jouissance et même plus, mais crois moi
ta présence ne me plait pas. Alors je vais tout faire pour qu'il te punisse très
fort...“

Elle se baissa et commence son office. N'y tenant plus Myna lâcha le mur et pris sa
tête entre ses mains, lui caressant les cheveux... Quand elle eu fini, que Myna en
était toute pantelante, la favorite l'emporta près du lit et lui dit de se pencher en
avant et elle retira le Plug, d'un seule coup avant de la pousser sur le lit et de lui
dire :

“Si tu dis que c'est moi, je te punirai comme jamais... “

Mais le Maître avait tout vu, Il décida de punir cette intrigante plus tard... en
attendant, Myna lui avait encore désobéi et cela il ne pouvait le laisser passer...,
mais d'abord il avait des règles à lui édicter.... Sans rien dire sur ce qu’il venait
d’observer, il s’approcha de sa nouvelle esclave, cette dernière ne pouvait s’empêcher
de rougir, sachant qu’elle avait fauté.

“Viens te placer sous la barre de suspension et lève tes bras.“

Le Maître passa une attache à chacun de ses poignets, suspendus par une corde à la
barre de suspension. Elle avait les bras écartés et son buste étiré vers le haut
laissait pointer ses deux seins et leurs mamelons. Elle avait honte d'être ainsi
livrée à un presque inconnu, à son Maître. Honte aussi de sentir le bout de ses seins
qui se hérissent sous la fraîcheur de la pièce peut-être mais plus probablement sous
l'excitation qui monte dans ta poitrine, bien malgré elle. Les mains du Marquis
s'abattirent sur ses deux fesses et cela la fit tressaillir. Elle restait pendue et
bougeait de tout son corps.

“Ne bouge pas. Apprends à supporter la douleur. Ton plaisir n'en deviendra que plus
grand. Laisse-toi faire. Reste droite et forte. Reste fière et ne montre pas que tu as
mal. “

Les mains claquaient de nouveau sur chacune de ses fesses.

Myna le vit prendre une fine baguette, qui s'effile à la pointe et il revint vers
elle.

“ Ceci va te faire mal ! Et tu vas comprendre que mes mains ne sont rien, sont une
caresse pour toi. Alors, parce que tu as bougé, parce que tu veux te rebeller, tu
recevras trois coups, pour cette première fois. Trois, ce n'est rien, crois-moi !“

Un premier coup et là, elle ressentit ce que voulait dire "ressentir la brûlure" d'une
baguette.

Étrangement, ce coup lui avait donné des sensations mêlées, au niveau de tout son
corps et au niveau de son intimité. Comme un désir qui lui venait, qui naissait en
elle, au plus profond de sa féminité. Un deuxième coup et, cette fois, ses fesses
laissent l'empreinte d'une marque, trait rouge sur la peau claire de ses deux globes
fessiers. Son corps tressaille, ses yeux se mouillent, son cœur s'accélère, avant le
troisième coup qui est plus cuisant que les deux autres. Mais elle comprend cependant
qu’il n'avait frappée que modérément, pour lui rappeler qui était le Maître, et qui
devait obéir.

“Tu es ma soumise, tu dois être l'élève obéissante dont on veut parfaire l'éducation.
“

Sir d’Evans lui expliqua cela, et ses yeux qui se baissaient marquant son
acquiescement à la loi qui lui serait imposée désormais.

Le Maître revint devant elle et Myna compris que ce dernier allait maintenant
s'occuper de ses seins.

Elle ne put faire autrement que les tendre, les donner, les offrir. Et c'est ainsi que
les voulait, érigés de tension, tendus sous les paumes de ses mains qui les
parcouraient, sous ses doigts qui en firent le tour, sous ses mains qui les
soupesaient et les rapprochaient, sous ses doigts qui agrippaient ses deux mamelons et
les pinçaient. Délicatement d'abord, puis avec plus de force, dans la tension, dans la
traction, dans l'étirement. Avec un petit mouvement de torsion puis de relâchement,
puis de tension encore et encore pour atteindre ce point où la peur d'avoir mal la
faisait paniquer. Il le voyait dans ses yeux qui l’imploraient.

Son but n’était pas de lui faire mal, mais de créer en elle la tension qui faisait
naître les sensations, qui faisait monter en elle l'anxiété et le désir. Elle
ressentait des vibrations dans sa poitrine et elles se propageaient jusque dans son
bas-ventre, jusqu'au creux de son intimité, faisant sourdre un peu davantage ses
sécrétions vaginales.

Le Marquis lui intima l'ordre d'ouvrir ses jambes, d'écarter ses cuisses. Et il glissa
ses doigts vers son bas-ventre, par-dessus ta vulve. Ses doigts l’ouvraient
délicatement, pour dégager le sillon vulvaire. Ils remontaient vers son clitoris et
l'enserrent, le titillant, l'effarouchant, le pressant, l'éveillant. Elle était chaude
maintenant et les sensations étaient en elle, l'échauffant encore plus, faisant couler
ses sécrétions que ses doigts recueillaient en se glissant vers l'entrée de ton vagin.

“Un jour prochain, nous procéderons à ton dépucelage. Tu deviendras femme, ainsi !
Pour ton plaisir, et pour le nôtre“

Sir d’Evans la détacha et sonna. Il fit demander Viktor et avant que ce dernier
n’arrive, il lui fit placer les bras derrière la nuque et les jambes écartées.

“Voici quelques règles que je veux de voir suivre :
Règle numéro 1. Tu ne t'appartiens plus, tu m'appartiens. Tu es à mon entière
disposition, et j'use de chaque centimètre carré de ta peau pour mon plaisir. Ta
bouche, ton sexe et ton cul sont à mon service.
Règle numéro 2. Je suis ton maitre. Chaque fois que j'aurai usé de toi ou que je
t'aurai punie, tu m'en remercieras. Tu me parleras avec respect et m'appellera Maitre.
Tu as compris ces deux premières règles ?
“Oui“
Vivement, le Maître s'approcha d’elle et il cravacha les fesses. Le coup était
cinglant.
"Oui qui ?"
"Oui Maitre"
“Bien, passons à la suite...
Règle numéro 3. Tu seras désirable. Tu es ma chienne, ma soumise, mon objet de
jouissance. Mais je n'aime que les beaux objets. Tu prendras soin de ton apparence :
légèrement maquillée lorsque je te l’ordonnerais, épilée.
Règle numéro 4. Tu prendras soin de ton corps. Je te veux à la fois souple et tonique.
Tu devras être souple pour que je puisse amener ton corps dans les positions qu'il me
plaira de lui faire adopter, et t'y lier pour le temps qu'il me plaira. J'userai de
ton sexe et de ton cul à loisir, mais je tiens à ce que tu ne sois pas distendue,
aussi tu feras le nécessaire pour prendre soin de ton corps. Si je sens que tu ne te
prends pas en main, c'est moi qui m'occuperai de ses séances de remises en forme, et
tu le regretteras.
Règle numéro 5. Tu apprendras un certain nombre de positions d'attentes que tu devras
connaitre par cœur. A chacune de mes absences, au moment où je rentre et à moins que
je n'ai restreint tes mouvements pour la journée, je veux te trouver dans le hall et
dans cette posture d’attente.
Règle numéro 6. Interdiction de te procurer du plaisir solitaire. A partir de
maintenant, tu me confies ton plaisir. Aussi, à moins que je t'en donne l'ordre, il
t’est interdit de te masturber.
Règle numéro 7. Tu me dois des comptes. Chaque jour tu tiendras un cahier relatant ta
journée, tes pensées, tes émotions, la façon dont j'ai joué de ton corps, les
sensations que tu as ressenti. Si ce cahier n'est pas tenu convenablement, tu recevras
une punition et tu devras recommencer tes écrits.
Règle numéro 8. Tout affront mérite punition. Ai-je vraiment besoin de te décrire ce
qu'implique cette règle ? Tu sais d'ailleurs que ton comportement de tout à l'heure ne
peut être excusé.“

Disant cela, Myna vois le Maître caresser et jouer avec une badine. Elle tremble
légèrement. Elle a déjà eu l'occasion d'en sentir la morsure mais elle anticipe la
douleur. Et elle a raison, les marques que la badine laisse sur un corps mettent
plusieurs jours à s'estomper, et pour peu qu'elles soient convenablement placées, il
n'y a aucun moyen, pour celle qui les as reçu, d'en faire abstraction

“Règle numéro 9. Tu seras punie selon mes envies. Si tout affront mérite punition,
attend toi aussi à en ressentir les affres selon mon bon vouloir, afin de m'assurer de
ton obéissance et de l'avancement de ton dressage“

Sur ces mots, Viktor fit son entrée. Sans plus un regard pour son esclave, il la remit
aux bons soins de Viktor. Ce dernier prévint que Monsieur David était rentré et qu’il
attendait dans le bureau...

(à suivre...)

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