A La Queue Leu Leu (Récit Imaginaire Pour Satisfaire Ma Copine)



Salut, C’est Bob. Comment allez-vous ? La vie en ces temps de confinements de covid n’est surement pas facile pour qui que ce soit. Malgré cela, et peut être pour vous satisfaire vous aussi, je souhaite écrire et publier une nouvelle histoire de Virginie. Sauf que là, première exception, aucun fait réel ; un récit purement imaginaire qui met en scène Virginie et puis… moi, un peu. Car il faut bien que je vous le dise : à écrire des récits érotiques, mi-réel, mi-érotique, et romancés de panache, on se prend très vite au jeu et finalement l’idée vient de faire du 100 % imaginaire !

Pour commencer, je dirais que cela est lié sans doute à la situation que nous vivons actuellement : peu d’échanges, peu de complicité avec nos amis et … peu de partenaires de jeu. Disons-le franchement, depuis février mars dernier, les rencontres coquines sont inexistantes !

Si vous avez suivi quelques peu les aventures de Virginie (cela pourrait être le titre d’un roman, qui sait ?), vous savez combien j’aime ma belle et combien nous avons vécu quelques passages difficiles quand même, même si ce que je vous ai dit n’est qu’une petite fraction de ce qu’il y a à dire.

Virginie, c’est l’amour de ma vie. Une femme remarquable. Pas toujours facile, certes. Et pourtant !
Moi, c’est Bob. Son premier amour et finalement son unique. Curieusement ; ce que je mis longtemps à comprendre que les femmes aussi peuvent séparer leur vie sexuelle et leur vie amoureuse. Bien que dans le cas de ma chérie, j’ai vu très souvent les deux se mélanger. Depuis, je crois bien que ma belle, a « appris » à aimer l’autre que pour le sexe. Je crois aussi que je n’y suis malheureusement pas pour rien dans tout cela. Néanmoins, je pense qu’elle avait dès le départ de très bonnes prédispositions. C’est du moins, ce qu’il apparait toujours à chacune de nos conversations, érotico-érotiques, même si elle se refuse de le reconnaitre ouvertement.



Bref, je vous compte cette nouvelle que j’ai appelée « à la queue leu leu ». Le titre n’est pas très original mais il amuse beaucoup Virginie. Aussi, faute de mieux, nous avons convenu de le garder comme le titre de notre récit. Bon, Ok, c’est surtout moi qui écris mais ma belle m’a fait part, aussi, de ses idées (ma parole, à croire qu’elle veut réaliser ce truc là aussi !!)

Tout commence par une soirée, une invitation. Ma chérie me dit bien vouloir faire ça pour de l’argent. La folle ! mais ce n’est qu’une envie. En lui demandant pourquoi avait-elle envie de cela, elle me répondit que c’était la sensation d’être « utilisée » qui s’imposait à elle. Je lui demandais si elle était sérieuse. Elle me dit que oui mais que cela ne serait jamais rien qu’un fantasme. J’organisais alors son vœu. Dans notre imaginaire, il y avait une grande chambre noire ; en fait, cela ressemblait plus à ce petit club libertin que nous avons pénétré un jour du côté de Vincennes il y a… oula ! 10 ans de cela, maintenant.

Ma chérie m’avait demandé de demander au patron de réunir 50 hommes, tous habillés de jeans et de T-shirts blancs. « Pourquoi de T-shirts blancs ? » lui demandais-je.
- « Je veux qu’ils aient l’air tous identiques. Je ne sais pas. Je ne l’explique pas » me répondit ma belle.
- « T’es chelou, toi ! » lui dis-je en retour.
- « Oui, je sais. Tu me l’as déjà dit », ajouta ma belle.

Virginie avait le don de m’étonner par son paraître de femme prude (elle l’était, vraiment !) et ses envies délirantes d’assouvir des quantités d’hommes phénoménales. Aujourd’hui, je ne comprends toujours pas bien son envie, mais c’est son choix, je le respecte. Ma belle me regardait avec ses yeux doux remplis d’un amour profond et sincère Et dans ses yeux, je lisais « s’il-te-plait ? organise cela pour moi… »

Aussi, je lui organisai son rêve : je demandais au patron :
- « Pouvez-vous réunir 50 hommes pour ma femme un soir ? elle veut les sucer tous ! »
Le patron fut surpris de ma décision :
- « Waouh ! Quoi ? 50 mecs ? Foutre dieu ! »
- « Bah oui, 50 ! vous pouvez ? » redemandai-je.

- « Oui, ça va être chaud, mais ça devrait pourvoir se faire » répondit-il.

Le gars, en vingt ans d’existence qu’il était dans ce métier, n’avait vu cela que deux ou trois fois. « 50 mecs ! se disait-il, ça doit être une chaudasse ! » Quelques jours plus tard, le gars me rappela pour me dire : « c’est bon, j’ai les 50 gaillards ». « Super ! » lui répondis-je. J’annonça la nouvelle à Virginie. Elle me regardait avec son air de chien battu, comme soumise et résignée. Je ne sais pas si elle me jouait encore la comédie.

Le soir venu, pourtant, ma belle se mit sur son trente-et-un. Elle portait la belle robe noire que je lui avais offerte l’été dernier pour son anniversaire. La robe ne portait pas de manches, juste des bretelles, et laissait paraitre ses épaules et ses genoux. Ma chérie se présenta dans la grande salle. Tous les hommes étaient déjà là, tous réunis. Ses cheveux aux reflets chatoyants, la rendaient belle et sensuelle comme jamais. Elle paraissait timide (comme à l’accoutumé dans ses moments-là, au début).

Soudain, un homme, un sexagénaire, se présenta devant elle et débragua son jeans. Ma belle se mit à genoux devant lui et le suça d’une cadence régulière. Les autres hommes regardaient ma chérie faire. Elle enfourna le sexe du bonhomme tout entier dans sa bouche avant de le relâcher et ainsi de suite. C’était la première fois que je voyais ma femme faire cela comme cela.

Ma belle le suça comme une gloutonne. On eut dit qu’elle aimait ça pour de bon. Comme si sucer 50 mecs ne lui faisait pas peur. L’homme s’appliqua à rester debout et d’une main vint caresser ma chérie par les cheveux. Il bloquait un peu son sexe dans la bouche de ma dulcinée. Moi, j’observais tout et je bandais.

Le gars sentait la jouissance monter en lui que déjà d’autres hommes se préparaient à prendre la relève et tous naturellement s’alignèrent les uns derrières les autres. Ma chérie suça l’un puis l’autre. Le vieil homme, le premier qu’elle suça lança l’appel : « c’est bon les gars, c’est une bonne suceuse ! » En disant cela il céda sa place aux autres.
Moi je regardais, très intéressé, assis à une table de café que comptait le petit club libertin. J’étais appuyé d’un bras sur la table et de l’autre je buvais ma bière.

Ma chérie suça comme cela ses 50 hommes les regardant parfois dans les yeux avec un petit sourire. Parfois, elle les branlait un peu pour leur redonner un peu de vigueur puis elle gloutonnait encore et encore, véritablement concentrée sur ses travaux pratiques.

Le vieil homme, après satisfaction, regarda ma belle continuer son œuvre. Me voyant appuyé à une table avec une consommation, il vint me rejoindre et me dit : « ta femme, c’est du lourd. Une vraie petite coquine. Tu l’as trouvé où ? »
Je lui ai répondu : « Oh ! c’est une longue histoire ! » sans rien ajouter de plus. Il me regarda avec perplexité et regarda la consommation qu’il y avait sur ma table. Il se leva et ajouta en désignant les consommations :
- « Laisse, c’est pour moi ! »
-
Le gars, c’était le patron du lieu. Je le savais depuis que nous fréquentions la boîte la première fois il y a 10 ans. Je ne m’attendais cependant pas à ce qu’il soit du nombre des 50 gars ; et encore moins le premier à se faire sucer par ma chérie. Une drôle d’aventure, ce soir là.

A suivre…

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