Reprise En Main D'Une Salope Prodigue

Quelques semaines plus tard, Maria m’attendait à la maison avec une expression
d’anxiété évidente. Elle sanglotait :
- Si tu savais ce qui m’arrive !
- C’est si grave ?
- Si tu savais !
- Mais raconte-moi si tu veux que je t’aide.
- C’est que tu vas te fâcher et tu auras raison.
- Fais comme tu veux, tu sais, un jour ou l’autre, je le saurais.
- Tu as raison je vais tout t’avouer.
- Qu’est-ce que tu as encore fait ?
- Je suis enceinte.
- De qui ?
- De qui ? Je ne sais pas, comment veux-tu que je sache, de toi peut-être.
- Ou de Philippe, d’Antoine ou d’un autre, ça peut être un des trois derniers
qui est passé sur ton ventre, même le vieux voisin qui passait par là, il y en a eu
tellement que tu ne sais même plus qui t’a baisée.
- Ne sois pas cruel.
- C’est la pure vérité, tu viens aussi de te faire baiser par trois types, et tu
ne peux même pas savoir par qui puisque tu avais les yeux bandés, l’un d’entre eux
peut être aussi le père de ton gosse.
- Je ne l’ai fait qu’une seule fois avec eux, et ils ont mis des capotes.
- Ils t’ont baisée avec et sans capote, et il suffit d’une fois. Et depuis, je
mettrais ma main au feu que tu as couché avec d’autres avant la soirée avec Hélène.
- Pas beaucoup.
- Pas beaucoup tu dis ? Tu as couché pratiquement avec tous les hommes de notre
entourage, c’est simple, quand je serre la main de l’un d’entre eux, je ne peux pas
m’empêcher de me demander s’il t’a déjà baisée ou pas encore.
- Pardonne-moi.
- D’abord il y a eu Philippe, après tu as couché plusieurs mois avec Eric, après
tu as traîné dans des partouzes pour te faire mettre par tous ceux qui en avaient
envie. Maintenant, tu as ton étalon noir qui vient te défoncer tous les jours. Et
comme ça ne suffisait pas, tu te tapes tous nos amis les uns après les autres.


- Arrête je t’en supplie, avec eux, je ne l’ai fait qu’une petite fois. Antoine
ne vient plus, et je crois que j’ai eu mes règles depuis la dernière fois qu’il m’a
prise. Philippe est le seul que je voyais souvent.
- Tout le monde te baise plus que moi.
- Pas plus que toi, non.
- Tu rigoles ? Philippe vient se vautrer dans mon lit plusieurs fois par
semaine. Quant à ton amant noir, tu me dis qu’il ne vient plus mais avant, il te
baisait tous les matins.
- Tu savais tout.
- Tu aimes tellement son énorme bite noire ?
- Il est doux et gentil malgré la taille de son sexe.
- Arrête, tu t’es regardée ? Gentil ? Tu es trop drôle. Sa queue est tellement
énorme que tu as le con et le cul défoncés.
- C’est marrant, tu dis exactement la même chose que ton copain Philippe, c’est
vrai qu’Antoine m’a baisée tous les jours, et par tous les orifices si tu veux tout
savoir. Et pourtant, mon con est toujours aussi serré et mon anus est toujours aussi
élastique. C’est bien la preuve qu’une femme peut s’enfiler toutes les grosses bites
qu’elle veut sans avoir de séquelles.
- Ton con est peut être toujours aussi serré, mais tes cuisses s’écartent comme
celles d’une vieille pute.
- Très drôle !
- Très drôle mais quand une pute se fait tirer, la moindre des choses, c’est de
prendre toutes les précautions pour ne pas se faire engrosser par n’importe qui.
- Toi aussi tu peux être le père, tu me baises presque tous les jours.
- Je dois reconnaître que je baise plus souvent depuis que ma femme est une
pute, c’est vrai que j’en profite aussi.
- Tu vois que tu as des chances d’être le père de mon .
- Ça m’étonnerait, cela fait bien longtemps que nous sommes mariés et que nous
n’en avons pas eu, alors je ne crois pas que tu sois enceinte de moi.
- Je ne sais pas, alors c’est peut-être Philippe ou Antoine le père.

- Ou un autre, va savoir, tu baises sans capote avec n’importe qui.
- Toi aussi tu as invité des hommes dans mon lit, tu l’as oublié ?
- Je l’ai fait pour que tu ne traînes pas dans les boîtes, pour que tu ne
deviennes pas la videuse de couilles du quartier.
- C’est ce que je suis, non ?
- Je ne voulais pas que Philippe fasse de toi son esclave sexuelle.
- Qu’est-ce que je dois faire ?
- Tu fais ce que tu veux mais je te préviens, tu m’as trompé tant et plus, tu
m’as humilié avec tous mes amis, tous les gens qui me connaissent savent que je suis
cocu, tu as couché avec les trois-quarts de mes amis, jusqu’à présent tu te contentais
de rentrer à la maison le ventre plein de foutre, maintenant tu rentres avec un petit
dans le tiroir, excuse-moi mais là, élever le petit d’un autre, noir ou blanc, je ne
l’accepte pas.
- Tu veux que j’avorte ?
- Tu fais ce que tu veux mais si tu le gardes, tu iras vivre chez ta mère ou
avec le père de ton , moi j’abandonne la partie.
- Ça ne peut pas finir comme ça, je ne veux pas que tu me quittes, je t’aime et
j’ai besoin de toi.
- Coucher avec d’autres mecs et se faire engrosser, ce n’est pas la meilleure
façon de me le prouver.
- Ne me laisse pas, je t’en supplie.
- C’est toi qui décides. Si je comprends bien, ceux qui te baisent te laissent
toute seule sur ce coup là ?
- Ils m’ont baisée sur tous les plans.
- C’est toi qui l’as voulu.
- Pourquoi suis-je si conne !
La nature, ou la Providence, fit bien les choses pour moi et pour l’avenir de notre
couple. Maria était déchirée par cette cruelle alternative, devenir maman, ou
préserver notre couple, elle n’arrivait pas à prendre la décision de garder ou pas le
bébé. La catastrophe annoncée finit par une fausse couche et le gynécologue n’eut qu’à
confirmer que tout était fini et bien fini, et sans séquelle.
Malgré tout, rien ne
serait jamais plus comme avant, ni pour elle, ni pour moi, Maria avait atteint
l’inacceptable, moi j’avais été au bout de ma lâcheté, on faisait un sacré couple tous
les deux.
Hélène faisait désormais partie de notre vie amoureuse, elle nous offrait la sérénité
d’une relation établie et stable quoique peu conventionnelle, c’était une amie amante
et fusionnelle avec Maria, une maîtresse divinement sensuelle avec moi, elle avait
affirmé qu’elle nous aimait tous les deux, mais était ce de l’amour. Maria éprouvait
tendresse et curiosité sexuelle à son égard, moi j’aimais Maria toujours aussi
passionnément et j’appréciais de plus en plus la compagnie de notre partenaire de
jeux, au lit et en dehors. Les deux femmes me réservaient souvent des surprises
torrides, surtout quand Hélène pouvait passer la nuit avec nous. Exclusivement
organisatrices de notre emploi du temps, ces deux capricieuses étaient boulimiques de
tous les plaisirs, elles élaboraient des menus raffinés et mettaient à profit mes
talents de cuisinier pour jouir des plaisirs de la table. Tandis que je m’affairais en
cuisine, elles s’apprêtaient de belles tenues, abusaient de mes meilleures bouteilles,
j’aimais les régaler, les servir, les entendre rire, c’était une manière de leur faire
comprendre à quel point je les aimais toutes les deux. Ni elles ni moi n’éprouvions le
besoin d’r de l’alcool, mais invariablement, les bulles rendaient mes compagnes
plus sensuelles, le champagne stimulait leurs sens, et mes déesses passaient des
plaisirs de la table aux plaisirs du lit. Chacun de nous trois profitait des deux
autres, elles commençaient toujours entre elles en faisant semblant de m’oublier, puis
s’amusaient de moi, provoquaient des érections douloureuses, jusqu’à ce qu’elles aient
pitié de moi et que l’une d’elle guide mon sexe endolori dans une des cavernes de
l’autre, Maria prenait plaisir à frotter mon pénis en feu sur la fente de son amie,
elle introduisait ma verge dans son sexe ou son anus , le plus souvent le vagin
d’ailleurs, elle aimait presser mes bourses pendant ma délivrance, comme pour en faire
jaillir jusqu’à la dernière goutte, elle semblait contente de partager ma semence.

Nos plaisirs variaient au gré des alliances, le couple formé torturait l’esseulé.
Maria adorait jouer avec les gros nichons d’Hélène, elle les malaxait, en faisait
jaillir les bouts, elle n’oubliait pas son clitoris si sensible, je mêlais ma bouche à
la sienne pour le manger, mes mains aux siennes pour caresser les seins lourds et les
fesses pleines. Elle adorait par-dessus passer sous sa victime pour un mutuel
cunnilingus endiablé, tandis qu’elle me positionnait contre la croupe offerte pour que
je sodomise sa partenaire. Nos actions conjuguées laminaient ses ultimes résistances,
Maria appréciait de voir notre compagne se tordre de plaisir. Hélène n’en restait
jamais là, elle réclamait mon aide et c’était au tour de Maria de subir notre loi,
j’avais dévoilé quelques secrets conquis au fil des ans, Maria avait des tétons
particulièrement érectiles, et était une vaginale pure. Alors nous lui faisions durcir
ses tétons, ils devenaient incroyablement durs, longs, sensibles, Maria suppliait de
la prendre, d’en finir avec elle, mais Hélène se montrait intraitable, elle usait de
godemichés et autres jouets pour investir son anus, son vagin, elle guettait le
moindre signe de plaisir et arrivait toujours à la laisser tremblante et affamée.
Jusqu’au moment où, magnanime, elle me priait de labourer le ventre de son amante,
encourageait et exhortait la violence des assauts pour la faire gueuler de plaisir.
Elles aimaient aussi s’allier entre elles, et les déesses devenaient mes bourreaux.
C’était tellement facile pour ces deux expertes en art sexuel que de me r, de
me faire languir, de me faire pleurer de désir, les perfides pouvaient maintenir mon
érection assez longtemps pour qu’elle devienne douloureuse, la rendaient encore plus
insupportable en violant mon anus de leurs doigts inquisiteurs, elles mettaient tout
en œuvre pour rendre ma délivrance explosive. Elles me faisaient connaître des
orgasmes dévastateurs, trouvaient dans mes réserves des quantités de sperme que je
n’avais jamais produit. Il me semblait alors que toute mon essence spirituelle
jaillissait hors de moi avec ma semence, l’expression petite mort prenait tout son
sens.
La relation s’émaillait aussi de jeux pervers, et c’était toujours Maria qui lançait
les dés. Un vendredi soir, nous étions tous les trois au lit, Maria se montrait
particulièrement lascive, poussait son amie à lécher sa minette encore plus que de
coutume, Hélène s’exécutait volontiers, elle adorait manger le sexe volcanique et
faire venir sa chérie avec sa bouche. Maria insistait, lui faisait fouiller les
moindres recoins de sa fente, réclamait la langue au plus profond, tandis que
j’essayais de récompenser Hélène de ma propre bouche. Maria se convulsa dans de longs
spasmes de plaisir puis taquina sa bienfaitrice :
- Tu es une sacrée mangeuse de moule ma chérie
- Je suis contente que tu aimes ma langue
- Et comment as-tu trouvé a minette ?
- Je ne sais pas, pourquoi me demandes tu ça ?
- Je veux connaître tes impressions, l’as-tu trouvée plus mouillée que
d’habitude ? As-tu senti une différence, un goût différent ?
- C’est vrai, maintenant que tu le dis, tu étais plus mouillée que d’autres
fois, quant au goût, j’adore celui de ton minou, même quand tu ne te laves pas.
- Ça tombe bien, parce que je ne me suis pas lavée depuis que j’ai fait l’amour.
- Vous avez fait l’amour cet après-midi Bernard et toi ?
- Je n’ai pas dit que j’avais fait quelque chose avec Bernard.
- Quoi ? Tu nous as trompés ?
- Ma chère, tu as savouré le sperme de ton fils, c’est lui qui m’as baisée cet
après midi.
- Salope ! Tu as certainement fait le bonheur de mon fils mais tu es une salope,
tu vas payer pour nous avoir fait cocus.
- Je paierais si tu veux, mais je ne regrette rien, c’était trop bon.
- Il pourrait être ton fils, tu l’as connu tout petit.
- Oui, mais c’est le tien. Et aujourd’hui, le petit a grandi, sa que est celle
d’un homme, en plus
- Tu es une vraie garce, jeunes ou vieux, il te les faut tous.
- Les vieux sont vicieux et connaissent les femmes, les jeunes sont
inexpérimentés mais ils ont des réserves de foutre inépuisables. Et ton fils, ma
chère, a des couilles de taureau.
- Et pourquoi lui ?
- Pourquoi ? Parce que je le trouve mignon, parce que je l’ai dépucelé, et parce
que j’ai craqué pour lui cet après midi. Il était tout triste, j’ai tout fait pour lui
remonter le moral.
- Et comment ça s’est passé ?
- Je me promenais en ville et je l’ai vu alors qu’il prenait un pot avec trois
copains. Ou plutôt c’est lui qui m’a vue, il m’a appelée, et les garçons m’ont invitée
à prendre quelque chose avec eux. J’ai vu que Lucas était préoccupé, j’ai demandé
pourquoi, et un de ses copains m’a dit que c’était à cause d’une fille. Je leur ai dit
que ce devrait être à la fille de se faire du mauvais sang parce que Lucas nous
faisait toutes craquer. Ils m’ont demandé si moi aussi je craquais, j’ai ri et j’ai
dit oui.
- C’est là que tu leur as dit que tu mouillais ta culotte.
- Non, je n’ai pas été jusque là, mais je leur ai fait comprendre que Lucas et
moi nous avions déjà batifolé, et que je n’étais pas contre l’idée de recommencer.
- Tu as raconté ça ?
- Ils voulaient des détails mais je n’ai pas avoué. Je me suis juste rapprochée
de Lucas et j’ai dit qu’il était trop mignon.
- Et après ?
- Après ? J’ai demandé à Lucas s’il voulait rester avec moi, il a dit oui, nous
nous sommes levés et nous sommes partis bras dessus bras dessous. C’est à ce moment là
que ton coquin de fils m’a mis la main aux fesses, pour que ses copains voient qu’il
se tapait vraiment l’amie de sa mère. Je me suis prêtée au jeu en me serrant contre
lui et en lui roulant une pelle tandis qu’il me pelotait partout bien ostensiblement,
j’ai même senti sa main passer sous ma jupe. J’étais bien consciente que ses copains
mataient comme des fous et qu’il leur exhibait mon cul, je sentais aussi la queue
toute raide de ton fils contre mon ventre, tout ça m’a excitée. Je lui ai proposé de
me prendre s’il avait envie de moi.
- Il ne t’a pas dit non bien sur.
- Non, bien sur. Du coup, je lui ai dit que c’était dommage pour ses copains
mais que je préférais chercher un peu plus d’intimité pour faire l’amour. Il a ri
parce que ses copains nous ont vus entrer dans l’hôtel en face. Et il a ajouté qu’ils
seraient malades s’il leur montrait quelques photos.
- Vous avez fait des photos ?
- Ça m’a beaucoup amusée de savoir que ces jeunes vont se masturber comme des
fous sur les photos de ma minette.
- Je n’arrive pas à croire que les copains de mon fils puissent avoir des photos
de toi en train de baiser.
- Et bien si, ils en ont.
- Comment as-tu pu coucher avec ce gamin ?
- Tu es jalouse ? Si tu veux, je peux demander à Lucas qu’il te présente à ses
copains, tu pourras t’en faire un ou deux.
- Tu es vraiment une malade, non, je ne veux pas m’envoyer en l’air avec un
gosse de l’âge de mon fils.
- Rassure toi, c’est un vrai petit homme, avec une bonne queue et les couilles
pleines. Et maintenant, il saura s’y prendre avec une femme, je lui ai montré comment
baiser des salopes comme nous.
- Comme toi tu veux dire ?
- Non, comme nous. Il te considère plus salope que moi, il t’a vue baiser et
sait très bien que tu as trompé tes deux maris.
- Il t’a raconté ça ?
- Comme tous les hommes, il est très bavard sur l’oreiller, il ne t’a jamais
pardonnée d’avoir cocufié son père. Et j’avoue que ça m’excitait qu’il me compare à
toi.
- Tu es folle.
- Je me suis régalée, tu ne peux pas savoir. La première fois, c’était une
initiation, aujourd’hui, c’était une séance de perfectionnement. Je lui ai fait
découvrir la fellation, la sodomie, et il a bien sur profité de mon petit con serré
qu’il avait déjà baisé. Tu ne peux pas savoir ce qu’il m’a mis ce petit salaud.
- Tu es une vraie putain.
- C’est ce qu’il pense de toi aussi ma vieille. Mais rassure toi, il est content
que tu fasses cocu ton mari, il ne l’aime pas du tout.
- Ça je le savais déjà, je ne sais pas trop pourquoi, mais il ne peut pas le
voir.
- Je lui ai raconté que tu n’étais plus avec Paul. et je lui ai demandé s’il
aimerait que ce soit Bernard qui te baise.
- Tu as osé ?
- J’ose tout, ma chère. Et j’ai bien fait, il adore Bernard et il m’a dit qu’il
serait très content s’il s’occupait de ton cul.
- Vraiment ?
- Oui, d’après lui ce ne serait que justice, vu que ton mari m’a sautée, entre
parenthèses ça je crois qu’il n’a pas aimé, et aussi parce qu’il m’a baisée. Il adore
que je lui parle de toi pendant l’amour.
- Comment ça ?
- Il m’a posé plein de questions, par exemple, il m’enculait et demandait en
même temps si tu pratiquais la sodomie.
- Et qu’as-tu répondu ?
- Que telle que je te connaissais, tu aimais le sexe, faire des pipes, te faire
baiser et sodomiser, bref, que sa maman était une bombe au lit.
- Tu as dit ça ?
- Bien sur, et j’ai défendu ta cause aussi, j’ai essayé de lui expliquer que ton
premier mari te traitait comme une merde et que tu avais eu raison de faire ce que tu
as fait.
- Je te remercie, moi, quand j’essaye de me justifier, il ne m’écoute pas, il se
ferme comme une huître et me traite de salope.
- Je crois que j’ai fait avancé les choses, il m’a écoutée, tu sais, et je crois
qu’il comprend, je ne sais pas s’il voudra te pardonner, mais au moins maintenant il
comprend pourquoi tu as fait ce que tu as fait. Mais il te considère quand même comme
une salope.
- Bien sur, si tu lui as raconté que je me comporte comme ça au lit.
- Il nous compare toi et moi, c’était drôle de t’imaginer faisant la même chose
que moi, j’ai dit que tu étais aussi salope que moi au lit.
- Et tu lui as dit qu’on était ensemble ?
- Ça non, tu lui diras toi-même que sa maman est une pute et aussi une gouine si
tu veux.
- Non, je préfère qu’il n’en sache pas plus. Je te jure que tu vas me payer ça,
sale petite pute.
- Je m’en fiche, rien que pour voir la tête que tu as fait quand tu as appris
que tu léchais le sperme de ton fils, ça valait le coup.
- Ce n’est pas pour ça, rien de ce qui vient de mon fils ne me dégoûte. Mais tu
nous as trompés, ton mari et moi, tu as trahi notre confiance et ça, c’est une
couleuvre difficile à avaler.
- Moi j’ai bien avalé le boa de ton fils.
- Oui, mais maintenant, tu vas avoir du mal à le digérer.
Hélène ne plaisantait pas, elle prononça la sentence et condamna la putain à être
châtiée par où elle avait péché. J’adhérai à cette sentence tout en me demandant
comment la condamnée allait être punie. Comme Maria n’eut pas le courage de contredire
son amie, Hélène fit mettre la catin à quatre pattes sans autre forme de procès,
choisit un plug anal de taille respectable et transperça sans ménagement son œillet
pour l’enfoncer jusqu’à la base qu’elle tapota avec une évidente satisfaction. Elle
saisit ensuite un œuf vibrant qui s’actionnait avec une télécommande et le fit
entièrement disparaître dans le vagin souillé par son fils. Ces peines étaient
assorties de l’interdiction de mettre un quelconque sous-vêtement, de celle de se
toucher les parties honteuses, et de celle de poser la main sur les encombrants
joujous même pour faire pipi. Quand Maria se leva, elle porta machinalement la main à
son sexe et provoqua les foudres de son amie, Hélène lui assena une gifle magistrale
et retentissante sous mes yeux éberlués et le regard incrédule de ma femme. Je compris
en cet instant précis que mon épouse était devenue une femme soumise à un maître, et
qu’elle venait de changer de main, Hélène avait pris la place de Philippe. J’étais
plutôt heureux de cette passation de pouvoir, la nouvelle avait une meilleure
influence sur Maria, mais j’étais toujours un mari cocu avec une femme sous influence.
Naturellement, Hélène décida de sortir en ville avec Maria qui s’était habillée d’un
chemisier léger mais très opaque et d’une jupe, certes courte et volante mais qui
avait surtout le mérite de ne pas souligner la silhouette ni certaines marques pour le
moins indécentes. La pécheresse semblait marcher sur le chemin de la repentance
tellement les godemichés modifiait sa démarche. Elle essayait de ne rien laisser
paraître de sa déconfiture, ni sur la voie publique, ni même sur la terrasse du bar où
nous avions pris place. Maria se contorsionnait pour ne pas trop s’appuyer sur le plug
qui remplissait son cul, elle n’arrivait pas à bien resserrer ses cuisses à cause de
l’œuf, et sa jupe qui remontait risquant à tout moment de dévoiler l’absence de
culotte. L’impitoyable Hélène actionna l’œuf en présence du serveur, Maria, chauffée à
blanc, en eut le souffle coupé au point de ne pas pouvoir énoncer clairement sa
commande. Le serveur eut tôt fait de comprendre que la détresse de cette cliente
surexcitée était d’ordre sexuel et devina qu’il se passait des choses croustillantes,
il s’attarda pour essayer de savoir ce qui se tramait sous la jupe qui ne cachait
pratiquement rien, sauf l’essentiel. Hélène poussa la puissance de l’œuf au maximum,
Maria, dont le visage affichait le cataclysme qui était en train de dévaster son
ventre, se tendit comme un ressort. Cambrée sur son fauteuil, tétanisée, elle ferma
les yeux et se mordit la lèvre inférieure au sang pour ne pas crier sous l’orgasme qui
la foudroyait, ses cuisses s’écartaient complètement et se refermaient comme si les
muscles avaient échappé à tout contrôle, les jambes tremblaient comme celles d’une
épileptique. Le serveur, d’abord inquiet et craignant un malaise, ensuite circonspect
et soupçonneux devant notre calme et notre détachement apparent, nous interrogeait du
regard Hélène et moi, alors que nous essayions de paraître complètement étrangers au
pour le moins déroutant comportement de notre compagne de table. Ses yeux la
parcouraient de haut en bas, détaillaient son visage défait, les tétons bandés qui
semblaient vouloir transpercer le chemisier, les cuisses écartées canalisaient le
regard sur un sexe épilé et luisant. Il devinait sans savoir comment ni pourquoi que
nous étions à l’origine de cette situation. Ce fut sans notre aide qu’il découvrit le
mystère sur le visage défait de cette troublante consommatrice. Fort de son expérience
d’homme mûr rompu aux choses du sexe, il avait enfin compris que notre compagne était
en train de jouir. Il avait constaté les yeux hagards qui ne voyaient plus personne,
il avait reconnu l’expression de plaisir et de détresse d’une femme aux confins de la
jouissance, il avait vu ses dernières défenses s’écrouler, il avait assisté à la
puissance de son orgasme. Ce chanceux serveur avait aussi eu tout le loisir de
vérifier que cette cliente ne portait pas de culotte pour protéger sa minette épilée
que Maria avait exposée avec une indécence aussi involontaire que totale, peut-être
avait-il aussi décelé la présence du plug ou de l’œuf. L’homme s’en était retourné à
l’intérieur du bar le sourire aux lèvres, il pourrait raconter cette extravagante
anecdote à ses amis, illustrant ainsi l’incroyable imagination des salopes perverses
et exhibitionnistes, catégorie dans laquelle il avait dû classer Maria. Cette dernière
qui avait conscience d’avoir assuré un savoureux spectacle eut la naïveté de croire
son supplice fini au départ du serveur. Recouvrant ses esprits, elle avait soustrait
sa minette aux regards des badauds, ajusté sa jupe pour couvrir le haut de ses
cuisses. Elle essayait de reprendre contenance, mais le sort et l’impitoyable Hélène
en avaient décidé autrement. Cette sadique n’avait toujours pas arrêté l’œuf et la
suite fut encore pire. Un chien curieux, sans doute intrigué par les vibrations de
l’engin qui devaient provoquer aussi des ultrasons, voulut vérifier la source de ces
bruits et odeurs si curieux. C’était un jeune chien de taille moyenne qui vint tout
d’abord nous saluer. Maria le caressa sans méfiance, le chien commença à la renifler
avec insistance. Maria avait beau serrer les jambes, l’obstiné cabot réussit à enfouir
sa tête entre les cuisses de l’infortunée pécheresse. Il força le compas des jambes à
s’ouvrir à nouveau et y poussa son museau inquisiteur. Tandis que l’œuf poursuivait
inexorablement son travail de fond, Maria ne savait plus à quel saint se vouer, elle
se leva de table en essayant vainement de baisser la jupette que le chien relevait à
coups de museau, l’animal l’ayant dévoilée aux yeux de tous. La situation lui
échappait totalement, elle devait se sentir tellement ridicule qu’elle implorait notre
aide sous les yeux amusés non seulement de ses deux bourreaux mais aussi des quelques
consommateurs assis autour de nous. Un client attablé qui semblait être le maître du
chien vint à la rescousse et maîtrisa l’animal en le tirant par le collier. Maria ne
savait si elle devait le disputer ou le remercier :
- Merci, mais vous devriez tenir votre chien en laisse, ça éviterait des ennuis
aux autres.
- Si vous voulez éviter des ennuis, mettez une culotte la prochaine fois.
Évidemment ! C’était facile, cinglant et logique après que l’homme ait assisté à la
prestation de la dame dont tout le monde avait pu apprécier les parties les plus
intimes. Nous mîmes fin à ce supplice en nous levant à l’unisson, nous dûmes soutenir
notre petite salope, chancelante et rouge de honte.
À la maison, Maria dut se déshabiller tandis qu’Hélène nous entraînait dans la
chambre. Elle fit à nouveau mettre Maria à quatre pattes, et sans dire un mot lui
administra une fessée retentissante que Maria subit sans un mot et en essayant
vainement de retenir larmes et sanglots. Quand l’infidèle eut le cul rouge écarlate,
Hélène lui enleva son œuf, pestant contre toutes les difficultés du monde pour
accrocher l’anneau de tirage, jurant contre la profondeur vaginale d’une putain. Elle
vérifia la tenue du plug toujours fiché dans le cul volage et la déclara indigne
d’être baisée aujourd’hui. Magnanime, elle l’autorisa néanmoins à se masturber en nous
regardant faire l’amour. En vérité, les évènements nous avaient incroyablement excités
Hélène et moi, ce fut sans prendre la peine de nous déshabiller entièrement que nous
nous jetions l’un sur l’autre, avides de nos bouches et de nos corps. Hélène n’avait
nul besoin de préliminaire, elle m’ordonna de la prendre sur le champ. Et moi je
n’avais besoin d’aucun ordre ni d’aucune permission pour baiser cette femelle en rut.
Elle se saisit de ma queue dressée pour la curée, eut à peine le temps de l’ajuster à
l’entrée de sa fente trempée qu’elle la reçut toute entière en elle. L’assaut fut
bestial, ressemblant plus à un viol brutal qu’à un tendre rapport, mais Hélène était à
l’unisson, elle avait besoin de cette violence et décolla bientôt pour le septième
ciel dans un orgasme foudroyant. Je ne fus pas en reste, j’avais trop envie de
décharger ce trop plein de désir, mon cœur se mit à battre la chamade tandis que
j’éjaculai une impressionnante quantité de sperme et avec une telle intensité que je
faillis m’évanouir. Hélène me laissa récupérer mes moyens, elle était toujours sous
moi et avait en elle toujours mon éperon qui perdait peu à peu de son agressivité.
Elle semblait comblée et me souriait, Maria quant à elle n’avait pas perdu une miette
de notre orgasme, elle devait même avoir tiré profit du spectacle pour se donner à
nouveau du plaisir. Quant à moi, dans le feu de l’action puis terrassé par l’orgasme,
j’avais complètement oubliée sa présence. Maria avait expié sa faute, elle était
pardonnée, son amie la délivra de son plug anal et nous nous levâmes pour fêter le
rachat des fautes, boire et rire de nous-même et de nos péripéties de la journée.
Quelques jours plus tard, nous faisions quelques courses en ville Maria et moi et au
sortir d’un magasin, nous sommes tombés nez à nez avec Hélène et son fils qui
faisaient la même chose que nous. Fatigués tous les quatre, nous décidâmes à
l’unanimité de prendre un verre à la terrasse d’un bar. Coïncidence, deux des copains
de Lucas surgirent dans le même bar et se joignirent donc à nous. Une fois installés,
servis, désaltérés, chacun se mit à parler de tout et de rien, se comportant comme si
personne ne couchait avec personne, ou du moins ne voulait rien laisser paraître.
Hélène et Maria comparaient leurs achats, discutaient beauté, chiffons ou encore mode,
comme deux bonnes amies pouvaient le faire. Lucas m’entretenait de ses projets et ses
deux amis donnaient leur avis. Ces deux là n’arrivaient pas à détacher leurs yeux des
cuisses qui s’étaient écartées pour leur ami, ils devaient être en possession des
fameuses photos intimes de Maria en pleine action, certainement mille fois plus crues
que cette dernière avait avoué. Je m’amusais de la voir évoluer au milieu de sa cour,
son mari, son amie amante, le jeune étalon qui l’avait possédée quelques jours
auparavant, et les deux coqs qui fantasmaient d’en faire autant. Il y avait six
personnes à cette table et des histoires de cul à tout va, trois relations actuelles
pour Maria qui avait couché avec presque tout le monde, deux pour Hélène qui ne le
faisait qu’avec Maria et moi, égalité pour moi-même qui prenais mon pied avec Hélène
et Maria, une seule pour le récent déniaisé qui s’était tapé deux séances de
galipettes avec l’amie de sa mère. Les deux coqs n’en étaient quant à eux qu’au stade
des fantasmes et autres branlettes en pensant à ce qu’ils pourraient faire à ces
femmes mûres et expérimentées. Autre drôlerie, au jeu du qui sait quoi, Hélène, Maria
et moi-même savions qui couchait avec qui, seul Lucas ignorait que sa mère partageait
notre couche. Tant mieux, il fallait bien qu’il soit un peu lésé, tout de même, ce
morveux baisait ma femme. Je décelai une ostensible jalousie de la part d’Hélène, elle
n’entendait visiblement pas partager son amante avec son fils. Ce dernier devait
ignorer que nous étions au courant de la dernière coucherie de Maria, je me demandais
s’il soupçonnait quelque chose des goûts sexuels de sa maman. Comment réagirait il
s’il apprenait tous nos secrets, surtout ceux de sa chère maman qui couchait avec moi
et partageait ma femme avec lui. Il y avait donc le mari, l’amante et un jeune
baiseur, donc trois usufruitiers à se partager les faveurs de la belle, c’était bien
la première fois que ça m’amusait vraiment. Plus tard, Hélène passa à la maison sans
son fils et alors que mon épouse s’était absentée. Elle ne pouvait pas rester
longtemps et je mis à profit ce court moment d’intimité avec elle pour l’interroger :
- Tu as dis à Lucas que tu savais pour Maria et lui ?
- Non, j’en ai seulement parlé avec Maria.
- Et il sait pour Maria et toi ?
- Tu es fou, déjà qu’il me considère comme une salope.
- Pourquoi ?
- J’ai été très imprudente quand j’ai divorcé avec son père, je l’ai trompé sans
me soucier d’autre chose que de le faire cocu aux yeux de tous, et Lucas l’a su aussi.
- Il a vu quelque chose ?
- Oui, un jour il est rentré plus tôt que prévu et il m’a vue au lit avec un des
amis de son père. J’ai tenté de lui expliquer pourquoi je faisais ça mais il m’a
traitée de sale putain en rejetant tous les torts de la séparation sur moi. Je crois
qu’il ne m’a jamais pardonnée.
- Ça peut se comprendre, il aime son père.
- Après, je me suis marié avec Norbert, et il vu que je le trompais aussi.
- Vu ? Tu veux dire de ses yeux ?
- Oui, il m’a trouvée au lit avec Paul, peut être plus d’une fois.
- Tu es décidément très imprudente.
- Il m’a vue au lit avec Paul, mais ça, il l’a très bien pris, il déteste son
beau-père et il est ravi que je le fasse cocu.
- Peut-être, mais ce n’est pas bien qu’un garçon assiste aux ébats sexuels de sa
mère. J’espère qu’il ne s’est pas caché quelque part pour jouer au voyeur, ce serait
sordide.
- Je ne peux pas dire s’il l’a fait ou non, je n’en ai jamais parlé avec lui, à
vrai dire je n’ai pas osé de peur qu’il ne m’avoue ce que j’ai peur d’apprendre.
- Tu crois qu’il serait content de savoir qu’on couche ensemble ?
- Sans doute, il baiserait ta femme pendant que tu baiserais sa mère, ce serait
pour lui une manière de se donner bonne conscience.
- Et s’il savait pour Maria et toi ?
- Je préfère qu’il ne le sache pas, il perdrait le peu d’estime qu’il a encore
pour sa mère, tu imagines, putain et gouine par-dessus le marché, il ne me verrait
plus que comme une salope intégrale.
- Et toi, que penses tu de la relation entre ton fils et Maria ?
- J’ai du mal à imaginer que ce petit con baise notre Maria. Et encore plus de
mal à comprendre que cette petite pute s’envoie en l’air avec un gamin.
- Et apparemment elle prend son pied.
- Quelle salope !
- Tu es jalouse ?
- Oui, je supporte mal qu’un autre mec que toi puisse fourrer sa queue dans sa
petite chatte, et qu’après, je vais la lui manger.
- Tu sais, je crains que nous ne devions accepter l’idée que Maria soit trop
chaude pour se contenter de ma bite et de tes caresses, sa chatte a besoin d’autres
mâles, il y a longtemps que je l’ai compris.
- Et que pouvons nous faire ?
- Nous devons la baiser le plus possible, toi et moi, la faire jouir autant
qu’on peut. Et pour le reste, le mieux serait de l’emmener de temps en temps dans une
boite échangiste pour la faire baiser à couilles rabattues, ça devrait la calmer pour
un temps. À nous de voir à quelle fréquence nous devrons organiser ces virées.
- Tu préfères qu’elle se tape des inconnus ?
- Oui, tout plutôt que de reprendre le risque de retomber sur un bon ami comme
Philippe. Une connaissance voudra la revoir, encore et encore, tu parles, le mec ne
renoncera pas facilement à baiser une fille comme elle une fois qu’il y aura goûté. Je
ne veux plus qu’elle entretienne de relation suivie avec qui que ce soit.
- C’est un bon argument, je le reconnais. Il faudra tout de même veiller à ce
qu’elle ait des rapports protégés.
- Ce ne sera pas une sinécure, Maria adore la bite au naturel.
- Ça je le sais, j’étais là quand elle a demandé à Bruno de la baiser sans
capote.
- Tu vois, ce n’est pas que ça me fasse plaisir, mais ce serait la meilleure
façon de canaliser sa libido déjantée. Si tu veux bien m’aider, je pense que ça ira.
- Bien sur que je vais t’aider, tu peux compter sur moi. Mais ça fait bizarre de
t’entendre dire que tu vas organiser des partouzes pour ta femme.
- Tu as une meilleure idée ?
- Pour le moment non, mais à deux nous allons trouver. Je t’admire, tu dois
vraiment l’aimer beaucoup pour faire ce que tu fais.
- Oui, beaucoup.
- Je veux que tu le saches, moi aussi je t’aime.
- Tu veux dire que tu m’aimes bien ?
- Non je dis ce que je dis, je t’aime. Et j’aime aussi Maria, je suis heureuse
avec vous deux.
- Et ton mari ?
- Pour le moment, je n’ai pas l’intention de divorcer. Plus tard, on verra. Peut
être que vous ne voudrez plus de moi Maria et toi.
- Ça m’étonnerait.
- Et je voudrais que tu me fasses un bébé.
- Le moins qu’on puisse dire, c’est tu ne fais pas les choses à moitié.
Le Paradis ne pouvait pas être différent, je vivais au pays des anges et des déesses.
Je savais aussi qu’aucune de mes deux femmes ne prenait de contraceptif, l’une et
l’autre voulaient un , et je pouvais en être le père. Pour le moment, je décidai
de vivre l’instant, de profiter le plus possible de notre relation triangulaire, il
sera toujours temps d’assumer le reste dans le futur. Mais qui peut dire de quoi le
futur sera fait !

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