Première Expérience Exhibitioniste Avec Ma Femme
Comme beaucoup d'hommes mariés, j'ai toujours rêvé de faire lamour avec ma femme
devant un inconnu. Mais malheureusement comme beaucoup d'hommes, je n'ai jamais osé
lui en parler, de peur de me faire passer pour un gros obsédé.
N'en pouvant plus de supporter cette éternelle frustration, jai finalement décidé de
passer à l'action. Ainsi, il y a un mois, j'ai eu une lidée quelque peu machiavélique
demmener ma femme, à son insu, dans un lieu coquin.
Alors que nous rentrions de promenade en voiture, je lui ai proposée de nous arrêter
quelques minutes dans un parking en forêt pour nous embrasser, histoire de prolonger
cette délicieuse journée passée sans nos s.
En réalité, le coin de forêt que j'avais choisi était un endroit fréquenté par les
voyeurs, mais bien entendu ma femme nen savait rien.
La nuit commençait tranquillement à tomber.
Je l'embrassais tendrement, me permettant quelques caresses sous son tee-shirt, et de
fil en aiguille, je réussi à la déshabiller entièrement, malgré ses réticences.
« N'aie pas peur ! A cette heure-ci, il n'y a pas grand monde qui se promène dans les
bois. »
Résultat : nous nous retrouvâmes en 69 sur la banquette arrière.
Discrètement, jentrouvris la vitre qui était près de ma tête, afin daméliorer
lacoustique pour les éventuels voyeurs.
Au moment où ma femme commençait à être bien détendue, deux phares blancs
sapprochaient lentement sur le chemin boueux. Aussitôt, elle cessa de me sucer et se
redressa brusquement pour récupérer ses vêtements.
« Non, ne bouge pas ! Ce sont sûrement des amoureux. Si on reste allongé, ils ne nous
verront pas ».
Moyennant quelques tapes sur les fesses et de douces caresses sur ses seins, elle
laissa tomber ses vêtements à terre
La voiture se gara à une dizaine de mètres, puis ses feux s'éteignirent.
soudain envahissait la forêt. Nos ébats purent reprendre comme si de rien n'était.
Ouf, le plus dur était passé !
La situation me faisait bander à l'extrême.
Cinq minutes plus tard, je pouvais apercevoir une ombre qui se dirigeait discrètement
de mon côté. Lorsque l'inconnu, âgé denviron soixante ans et plutôt bedonnant,
découvrit le spectacle, il sortit promptement son sexe et commença à se masturber. Il
était aux premières loges pour admirer le cul de ma femme. Certes elle a quarante-
trois ans, mais ses petits seins sont bien ferme pour son âge, et son cul en fait
fantasmer plus dun. Je bandais dur en imaginant que le mec qui se branlait derrière
la vitre navait certainement quune idée en tête : baiser ma femme
. J'en profitais
de plus belle pour lui caresser ses fesses, lécher sa chatte et doigter son anus.
Quant à elle, à quatre pattes sur moi, elle gesticulait de plus en plus.
Au bout d'un moment, je me suis dit qu'il valait peut-être mieux la prévenir afin
d'éviter un effet de surprise qui aurait risqué de tout compromettre.
« Chérie, je crois qu'il y a quelqu'un qui nous regarde ».
« Hein ??? »
« Non, n'aie pas peur, il n'a pas l'air méchant. Ça doit être un simple voyeur. »
« Non mais ça ne va pas, je ne veux pas quil nous regarde !»
« Mumm
tu lexcite, tu es trop bonne. »
« Quest-ce qui tarrive ? », dit-elle maintenant dun ton plus ambigu.
- Jai envie quil voit ton cul !
A ma grande surprise, la situation semblait l'excitait aussi car elle commençait à
mouiller.
- Cambre toi bien, montre lui ta chatte !
J'écartai alors ses lèvres afin de dégager un trou qui était particulièrement béant ce
soir-là. Devant une telle invitation, le type ne put s'empêcher de passer sa main
libre à travers l'ouverture de la fenêtre, et comme je n'opposai aucune résistance, il
lui caressa les fesses, puis après quelques manuvres d'approche, il plongea
frénétiquement un doigt dans sa fente.
J'avoue que je n'en savais rien, mais si j'en juge à la façon dont elle se
trémoussait, cette option semblait la tenter diablement. Comme quoi on en apprend tous
les jours ! Tout se déroulait évidemment à quelques millimètres de mon nez.
Soudain, le voyeur retira sa main et se plaqua contre la portière. Je vis alors sa
verge bien tendue au-dessus de ma tête. Cette fois, je ne pouvais pas aller plus loin.
Je veux bien qu'on tripote ma femme, mais pas qu'on la saute ! Je suis venu uniquement
pour lexhibition.
J'ai donc un peu remonté ma vitre afin qu'il comprenne.
Une seconde voiture est alors apparue de manière aussi insolite que la première. Un
homme barbu, grisonnant, en sorti et se dirigea directement vers nous, voyant bien
quil sy passait quelque chose dintéressant. Il engagea la conversation avec le
premier homme. Jentendis vaguement des mots comme : « un couple », « elle est à poil
». Puis il sapprocha du côté de ma femme, la queue dégainée.
« Ce serait peut-être mieux quon parte dici ? » Sinquiéta-elle.
« Non, je suis trop excité. Ouvre ta fenêtre, il veut juste te voir en train de me
sucer »
Pas de réponse.
Puis soudain, elle abaissa la vitre
complètement !!!
Décidément c'était mon jour de chance.
Linconnu se risqua à quelques caresses sur sa chevelure pendant quelle me suçait.
Puis il exhiba sa grosse queue tout près de son visage.
« Elle t'excite sa queue
» Mexclamais-je
Un soudain silence fit place à notre agitation. Pas de réponse.
« Tu peux la sucer si tu veux ! »
Le silence fut de plus en plus pesant. " Mince, j'ai fait une gaffe, quel con ! "
Ma femme se redressa, comme si elle voulait stopper net l'aventure.
Du coup, je me suis relevé pour m'excuser, pensant que tout était perdu, et quelle ne
fut pas ma surprise lorsque je vis sa tête onduler délicieusement au niveau de la
braguette du type.
Incroyable, ma femme était en train de tailler une pipe à un inconnu, devant mes yeux,
et en plus sans préservatif....
Fou d'excitation, j'empoignai brutalement ses seins, les malaxant sans ménagement.
Elle poussa un petit gémissement à linstant même où un râle masculin précédé d'un
"salope" se fit entendre de l'autre côté de la portière. Nul doute sur ce qui venait
de se passer.
Elle essuya ses lèvres dun geste de la main, et l'inconnu se retira en nous
remerciant très courtoisement.
Le premier voyeur en profita pour revenir de mon côté. Cette fois, jétais trop excité
pour faire machine arrière. Je lui ouvris la portière sans vraiment réfléchir. Vu sa
corpulence, Je dû minstaller à lavant pour le laisser entrer. Ma femme me dévisagea
dun air interrogateur. Cependant elle eut à peine le temps de se retourner quil se
jeta dessus et lembrassa comme un fauve en cage à qui on navait pas donné de
nourriture depuis plusieurs jours. Jétais prêt à intervenir au cas où laventure ne
dégénéra en viol. Mais visiblement, ma femme qui était dhabitude de nature plutôt
réservée sur le plan sexuel, semblait apprécier dêtre traitée de la sorte.
De mon côté, jéprouvais détranges sensations en la voyant exhiber tant de plaisir
sous les caresses bestiales de cet homme. Je me masturbais de plus en plus vite.
Ne pouvant pas retenir plus longtemps ma sève, je sorti dun bond pour ne pas répandre
de sperme sur le siège.
A ce moment, je réalisais quune troisième voiture venait de se garer sur le parking.
Son propriétaire, dallure BCBG, scruta rapidement lhabitacle des deux autres
véhicules, puis il sapprocha de moi et me demanda :
« Il y a des choses intéressantes ce soir ? »
« Euh
oui
un couple. »
Il jeta un il par la fenêtre.
« Oh oui
»
Le plus naturellement du monde, Il baissa sa braguette et sorti sa queue encore toute
molle.
Du coup, je nosais plus retourner dans ma voiture.
Jen profitais alors pour méloigner dans les bois, histoire de soulager ma vessie,
puis je massis quelques instants sur la souche dun arbre.
Bien que la soirée ait largement dépassé les règles que je métais fixé, au fond de
moi jétais comblé par la tournure des évènements.
Finalement, je me suis dit que je ne pouvais pas les laisser seuls. Car vu comment ma
chérie prenait du plaisir, je commençais à me demander jusquoù elle pourrait accepter
les avances de cet homme. Lidée quelle se fit pénétrer par un autre homme que moi me
rebutait. Que voulez-vous, jai mes limites ! Je retournai donc prestement sur les
lieux, avant quil ne soit trop tard.
Le mec BCBG qui se branlait en les matant était toujours là.
Au moment où je mapprêtais à entrer dans la voiture, il me cria :
« Hé
chacun son tour ! »
« Cest ma femme », lui répondis-je en jetant un il par la fenêtre. Cest alors que
mes jambes se figèrent presque instantanément :
Elle était à genoux face au dossier de la banquette, accoudée sur le rebord de la
plage arrière.
Le type était collé à elle. Il lembrassait tendrement au cou. Ses mains caressaient
sa poitrine. Et plus bas, son bassin faisait des petits mouvements davant en arrière,
pantalon baissé, contre ses jolies fesses
.
« Le salaud
» il a réussi à se la faire ! Moi qui étais venu pour mamuser, me
voilà cocu, tel larroseur arrosé.
« Jespère au moins quil a mis un préservatif !? »
Je mapprochais de plus près pour vérifier, mais il faisait trop sombre. Par contre,
je pus entrevoir au moment où il donna un grand coup de boutoir, quil baisait en fait
son petit trou !!! Là, mes jambes me lâchèrent.
Elle qui était toujours réticente à la sodomie !
La tête basse, je retournai à mon arbre.
Rapidement, lambiance monta en température. Des gémissements se firent entendre, de
plus en plus forts. La voiture dandinait comme dans les films. Et moi curieusement, je
bandais à nouveau.
« Elle va avoir le cul en marmelade, si ça continue ! »
Lhomme se mit à haleter bruyamment. Un sentiment à la fois de douleur et de désir
menvahissait, je fermais les yeux, puis tout redevint subitement calme.
Après avoir repris mes esprits, jattendis que lhomme quitte les lieux. Je ne
préférais pas croiser son regard. Il sortit en remontant son pantalon et séloigna
tranquillement.
Je pus enfin retrouver ma femme. Elle était en train de remettre sa petite culotte.
Un préservatif rempli de sperme gisait à terre
« Ça va ? » lui demandais-je
« Oui mon chéri, je taime ! » Elle sagrippa à moi et membrassa langoureusement.
« Tu veux quon fasse lamour ? » me demanda-t-elle
« A la maison, il y a trop de monde par ici
»
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