L'Histoire Vraie De Christine Au Hammam

Mon histoire avec Butterfly est en elle-même un souvenir merveilleux, empli de moments
coquins, de découvertes, de jeux, de nouveautés. Le récit de nos multiples aventures
prendrait probablement des heures. Un roman complet. Lorsque j'y repense, de
nombreuses images magnifiques, envoutantes, me reviennent en tête… Des moments que
j'aurai probablement le désir de vous raconter plus tard. Pourtant, c'est cette
matinée particulière qui me revient, un des premiers instants de nos découvertes.

Butterfly et moi nous fréquentions depuis quelques semaines déjà, et nous avions
commencé notre relation sur les chapeaux de roues, par quelques étreintes en plein
air, et d'autres jeux intimes particulièrement savoureux. J'étais moi-même à cette
époque très curieux de lieux libertins. Tout naturellement, je lui avais proposé de
m'accompagner "aux bains", un sauna libertin connu sur Toulouse. L'idée lui plaisait.
Pourtant, elle désirait faire durer l'attente, et peut-être aborder ce nouveau
tournant en douceur.

C'est donc elle qui décida d'organiser entièrement cette matinée, et qui m'emporta
vers un horizon nouveau. Equipée d'un petit sac entouré de mystère, elle me conduisit
vers un autre endroit toulousain encore plus connu, équipé lui aussi de bains à
bulles, d'un hammam, d'un sauna... Mixte lui aussi, mais beaucoup plus sage, car il
fallait s'y munir d'un maillot de bain.

Nous nous dirigeâmes sagement vers une cabine pour nous changer. Bien sur, ce premier
moment de déshabillage commun m'échauffa… Elle avait un corps magnifique, à la fois
fin et souple, de jolies cuisses fuselées, qui me mettaient immédiatement en transes.
Elle avait déjà à ce moment opté pour une épilation complète, qui faisait ressortir
superbement un clitoris qu'elle avait particulièrement appétissant, et qui pointait
entre ses lèvres.

Lorsque l'excitation le gonflait, je ne pouvais me lasser de le
contempler, le titiller, le sucer, le lécher... A vrai dire, la vue de sa jolie petite
chatte me rendait complètement dingue de désir, et lorsqu'elle fut déshabillée, je ne
pus m'empêcher de laisser mes mains s'évader sur sa peau, et l'embrasser
fougueusement. J'étais dressé, et mon gland caressait le bas de son ventre, glissait
jusqu'à ses lèvres avec impatience. Butterfly sourit, joua quelques minutes avec mon
désir, et me repoussa gentiment. On avait tout le temps…

Je sortis vêtu du maillot, un peu inquiet de cette bosse rechignant à retomber. Nous
nous sommes rapidement dirigés vers le très grand bassin à bulles. Il était assez peu
occupé ce jour là. Quelques hommes et femmes se délassaient tranquillement, le corps
plongé dans l'eau chaude et bouillonnante, et la tête offerte au ciel bleu et au
soleil. Nous nous sommes pour notre part un peu isolés, en choisissant un coin où les
bulles foisonnaient.

Nous y sommes restés longtemps, face à face, à discuter avec un sourire complice. Les
bulles nous délassaient en douceur, pendant que nos doigts profitaient de la
discrétion relative qu’offrait le bouillonnement. Mes mains ont commencé par caresser
sagement son ventre, doucement, puis l’attirer à moi avec une grande tendresse… Je
l’explorais, tranquillement, au milieu de regards incapables de déceler la vérité de
nos gestes. Mes mains se posaient sur ses hanches, remontaient vers sa poitrine pour
glisser vers ses tétons à travers le fin tissu... redescendaient vers ses fesses, ses
cuisses. Effleuraient son entrejambe pour saluer ce petit renflement qui me plaisait
tant… Apres un long moment, j’avais une envie terrible de me serrer contre sa peau, et
de l’embrasser avec fougue. Mais nous devions garder une certaine tenue. Ne pas
afficher ouvertement la vraie teneur de nos activités.
Mes doigts se sont enhardis,
ont commencé à se glisser sous le tissu, vérifiant au passage à quel point ses tétons
étaient durs. Son clitoris gonflé et accueillant… Mes doigts ont continué à titiller
ce petit bouton avec une extrême douceur, pendant un très long moment. Savoir que des
yeux se posaient sur elle alors que des vagues de plaisir la parcouraient était d’une
douceur exquise… La voir fermer les yeux parfois, ou entendre sa voix vaciller alors
qu’elle tentait de soutenir la conversation pour donner le change faisait monter mon
désir en flèche. Je rêvais de la voir jouir là, sous mes yeux et ceux d’inconnus
innocents de notre petit jeu.

Puis nous avons décidé de prolonger nos jeux un peu plus loin, et de profiter au
maximum de ce que l’endroit pouvait nous offrir. Nous nous sommes dirigés vers le
hammam. Un groupe de femmes discutait discrètement au milieu des brumes, assises face
à la porte. Nous nous sommes assis très sagement, profitant de cette sensation de
chaleur. Butterfly m’a alors confié qu’il y avait un second hammam, plus chaud, plus
embrumé, derrière ce premier. Il suffisait de pousser la porte que l’on distinguait au
fond. Espérant y trouver un peu de solitude, nous y sommes entrés.
Cette deuxième salle était effectivement vide, mais aussi très chargée de brouillard.
On ne distinguait en fait pas ce qui se passait de l’autre côté de la pièce, et nous
avons du en faire le tour pour bien nous assurer que nous étions seuls. Nous nous
sommes ensuite assis au hasard, face à la porte d’entrée. Butterfly s’est adossée à
moi, et j’ai posé ma main sur son ventre. Nous prenions notre temps, respirions le
bonheur de l’instant.

Il n’a pas fallu plus de deux minutes pour qu’un homme entre. J’avoue que mes
fantasmes me poussaient à espérer un beau brun, sensuel, qui aurait stimulé
l’imagination de Butterfly, et rendu l’instant extrêmement troublant.
Malheureusement
la chance favorise rarement les fantasmes… L’homme était relativement âgé et un peu
dégarni. Pas du tout du gout de ma superbe complice, ni du mien d’ailleurs. J’étais du
coup un peu déçu de sa présence, et beaucoup moins excité. Il s’est assis à côté de
moi, à l’opposé de Butterfly. Sans un mot. Puis nous n’avons plus bougé.

C’est alors que je me suis rendu compte que la position de Butterfly, appuyée sur moi,
dos à moi, et donc à l’intrus, me permettait de laisser ma main exprimer ses talents
en toute discrétion. Ma main a commencé à glisser lentement sous l’élastique. Mes
doigts ont atteint son trésor de douceur, et je me suis senti rempli d’une tension
nouvelle. Elle ne bougeait pas, moi non plus. Nous retenions nos respirations. Mon
majeur a commencé à stimuler le renflement. Son clitoris était gonflé comme jamais.
Ses lèvres très ouvertes. Mon doigt trempé allait et venait avec précaution et
légèreté entre les deux. Ses cuisses se sont écartées, et j’ai entendu son souffle
devenir plus profond. L’homme était à quelques centimètres, et entendait tout. Il
n’osait pas tourner la tête vers nous, tout comme je n’osais pas le regarder. Mais je
sentais qu’il épiait les moindres bruits. Les glissements de mon doigt dans la fente
faisaient d’ailleurs parfois ce petit bruit mouillé, caractéristique.

Je l’ai caressée une éternité, toujours avec régularité, lenteur, maintenant un
pression légère, puis de plus en plus insistante. L’homme est resté, toujours tendu, à
l’affût. Je sais que malgré tous nos efforts, il avait deviné ce qui se passait.
Butterfly, elle aussi, était de plus en plus tendue. Son souffle était maintenant à la
fois bruyant, presque sifflant, à la limite du gémissement. Son ventre se contractait
de plus en plus profondément dans un désir sans cesse réprimé d’ondulation. Encore
quelques instants, je savais que sa jouissance allait venir.


Elle s’est contractée une dernière fois, beaucoup plus fort. Sa gorge a laissé passer
un minuscule « a ». Mon doigt est resté sur son clitoris, et elle a fermé les cuisses
très fort, en tremblant. Puis après quelques dizaines de secondes, j’ai senti son
corps se relâcher. Nos respirations se sont à nouveau calmées. Quelques minutes
encore, et l’homme s’est levé comme il était venu. Sans un regard, comme en ignorant
notre présence. Je n’ai pas regardé son maillot. Mais je suis certain qu’il bandait,
il n’en était pas possible autrement. Butterfly et moi nous sommes embrassés
follement, remplis d’euphorie. Nous avons encore attendu quelques minutes, puis nous
sommes sortis prendre une douche fraiche qui à vrai dire m’était particulièrement
nécessaire.

Nous étions seuls sous cette douche commune, à l’extérieur du hammam, et jouions à
nous provoquer mutuellement. Butterfly me confia qu’il lui manquait quelque chose.
Quelque chose de chaud et dur en elle. Pour ma part, je ne demandais qu’à le lui
offrir... Face à la douche, une autre porte entrouverte donnait sur un autre hammam, à
l’arrêt celui-ci. Il était vide, bien sur, dans une atmosphère claire. Une pièce vide,
simplement, décorée sur tous ses murs de faïences bleues et blanches. Cet autre hammam
était conçu sur le même principe que le premier : une première pièce, donnant sur une
seconde, un peu plus exigüe, par une porte en verre dépoli.

Nous nous sommes engouffrés dans cette seconde pièce, avons fermé la porte, et nos
maillots ont disparu en un instant. Je me suis collé à elle, enfin heureux de sentir
ses seins contre moi, et sa fente attirer comme une ventouse mon sexe dressé.
Rapidement, je l’ai retournée, et prise par les hanches, et je l’ai pénétrée. J’étais
excité comme un fou, elle aussi. Elle a appuyé ses mains sur le mur en face, et m’a
offert sa chatte en se cambrant lascivement. Cette fois, nous ne nous sommes pas
retenus de faire du bruit. Je suis allé et venu en elle de plus en plus fort, et de
plus en plus profondément. A chaque coup, je gémissais, et l’entendais m’accompagner,
et me demander de la pénétrer encore plus loin, encore plus fort. Nous avons joui avec
une rapidité étonnante, quelques dizaines de secondes, probablement. Elle s’est
retournée, et nous nous sommes serrés l’un contre l’autre, encore nus… puis nous
sommes dépêchés de nous rhabiller et de sortir, de peur que nos cris n’aient attiré le
personnel du lieu.

Personne ne nous a croisés, personne ne nous a fait de remarques. Nous avons continué
notre matinée tranquillement, un sourire coquin aux lèvres, par un passage au sauna,
puis à nouveau dans le bain à bulles.

Vers midi, nous sommes sortis, la tête dans les nuages. Dans la cabine, Butterfly n’a
pas remis ses sous-vêtements, et est sortie avec cette jolie jupe qui lui descendait à
mi-cuisses. J’ai fait de même, sous mon pantalon en toile fine.

Elle avait apporté un pic-nic, et nous nous sommes installés à une centaine de mètres,
face à l’entrée, sur la pelouse, sous un arbre un peu frêle.

Butterfly avait fait les choses magnifiquement. Elle avait préparé du champagne, un
peu de foie gras, quelques tomates-cerises, des fraises… Nous avons fait ce petit pic-
nic sous le soleil, échangeant nos impressions sur ces moments superbes que nous
venions de vivre. Sur l’énorme excitation que cela nous avait procuré. Pendant notre
conversation, je ne manquais pas de guetter toute vision possible sur sa jolie chatte,
qui selon les positions qu’elle prenait, assise par terre, s’ouvrait et se refermait
hypnotiquement. Je bandais moi-même comme un fou. La vision de la bosse à travers le
fin tissu de mon pantalon électrisait Butterfly.

Lorsque nous avons eu fini la bouteille de champagne, et que nous entamions les
fraises, elle n’y tint plus. Elle ouvrit les boutons du pantalon, sortit ma queue, et
commença à me sucer. Je fus un peu déstabilisé. Nous étions en pleine vue, à seulement
une petite centaine de mètres du parking. N’importe qui pouvait passer et nous
surprendre. Mais le désir avait pris le pas sur sa raison. Très vite, elle passa une
jambe de chaque côté de mon bassin, et s’accroupit, m’offrant une vue superbe sur son
sexe. Une vue que sincèrement je n’oublierai jamais. Elle engouffra ma queue en elle,
et se mit à aller et venir, sur toute la longueur, d’abord lentement, avec sur son
visage une expression de ravissement qu’elle ne portait que quand nous faisions
l’amour. Elle s’empalait ensuite avec force pour revenir à des mouvements doux et
contrôlés, chaque fois qu’elle décelait sur mon visage les signes de la jouissance.

A un moment un couple est passé, mais n’a pas tourné la tête.

Cela a duré plus longtemps que dans le hammam. Butterfly était une experte pour faire
durer ces instants, et me porter vers des orgasmes fous.

Cet instant s’est terminé comme toujours, par une explosion commune, d’une intensité
rare.

C’est un moment superbe que je n’oublierai pas…

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