La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 71)

ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS

(suite de l'épisode 68 avec encorebelle)

Maître Aristocrate entreprit d’abord de s’occuper des pinces qu’encorerebelle avait
aux lèvres et, à l’aide d’un rouleau de scotch de bondage, de les coller contre ses
cuisses, exposant ainsi son intimité désormais plus vulnérable. Il alla ensuite
prendre une badine, pour venir en caresser la chair tendre ainsi offerte… avant de
claquer un coup sec. Encorerebelle ne put retenir un petit cri.

- Silence !! T’ai-je autorisée à exprimer ta douleur ?
- Non Maître, pardon Maître, répondit-elle pitoyablement
- Bien. Désormais tu ne parleras que pour me remercier. Chaque manquement à cet ordre
entraînera cinq coups supplémentaires. Est-ce bien compris ?
- Oui Maître. Merci Maître

Ayant le désir sadique, Maître Aristocrate alternait avec plaisir les caresses et les
coups secs sur l’intimité de celle qui lui appartenait ainsi encore plus. Le bandeau
aurait été superflu pour encorerebelle, qui aimait à fermer les yeux pour mieux vivre
encore ces moments, qu’ils soient de plaisir ou de douleur. Mais son Maître ne voyait
pas les choses ainsi. Il lui ordonna donc de garder les yeux ouverts, et elle
obtempéra.

- Puisque tu n’as pas su retenir ton premier cri, tu vas en être punie par là où tu as
fauté… et je veux un silence absolu, lui dit-il en la regardant droit dans les yeux.

Il n’avait pas encore terminé de parler, que le premier coup s’abattit. Encorerebelle
serra les dents en se cambrant par réflexe. Elle sentait la chaleur qui commençait à
irradier ses petites lèvres, tandis que la morsure des pinces en devenait entêtante.
Le second coup fut un peu moins intense, mais immédiatement suivi du troisième, qui
amena les larmes à ses yeux. Après une petite pause, pendant laquelle il en profita
pour tirer un peu sur les pinces… et constater que la belle savourait sa punition au-
delà du raisonnable.

Cette situation n’était pas pour déplaire à l’hôte de ces lieux,
qui sentait grandir son excitation…
C’est à grand peine qu’elle retint des gémissements pour les deux derniers coups, que
Maître Aristocrate décida d’appuyer bien fort, mécontent du plaisir qu’elle prenait à
ses coups.

- Merci Maître, réussit-elle à articuler
- C’est bien ma chienne, lui répondit-il en lui caressant la joue, mais ça ne fait que
commencer, tu le sais
- Oui Maître
- Et je viens d’avoir une idée pour te contraindre au silence… et à la maîtrise…

Encorerebelle regarda son Maître l’air interloqué. Elle le savait très imaginatif, ce
qui la mettait parfois dans des situations particulières. Non qu’elle n’aimait pas
cela, au contraire. Mais aujourd’hui, elle se demandait si elle devait s’inquiéter ou
non de ce sourire sardonique, et de cette petite étincelle dans les yeux de son
Maître.

Ce dernier relâcha, détacha sa soumise, puis la fit allonger à plat ventre, ce qui
accentua la morsure des pinces sur ses tétons. Dans un savant art, il lui attacha
poignets et chevilles dans le dos. Il prit ensuite sur une petite desserte un crochet
terminé par une grosse boule, qu’il introduisit aisément dans le fondement
d’encorerebelle, puis accrocha le crochet à la corde qui reliait ses quatre
extrémités. Pour finir son œuvre, il attacha serré une cordelette à ses longs cheveux,
cordelette qui fut, bien sûr, reliée au reste. Encorerebelle était ainsi cambrée, sans
possibilité de se mouvoir. Maître Aristocrate entreprit enfin de la soulever, à l’aide
d’une poulie qui pendait au plafond du donjon, à environ un mètre du sol. Puis il lui
retira les pinces qu’elle avait aux tétons, mais accrocha des poids aux cadenas qui
lui tenaient lieu de piercings.

- Tu vas maintenant recevoir ta punition. Je ne veux pas t’entendre, et je ne veux pas
non plus que Monsieur le Marquis ait à se plaindre de toi, c’est compris ?
- Oui Maître, répondit-elle, en s’interrogeant sur les dernières paroles de son Maître
- Mon cher Marquis, si vous le voulez bien, vous avez là une bouche à votre
disposition…

Agréablement surpris par cette proposition, Sir Evans ne se fit pas prier.
Tout juste
le temps de sortir son vit de son fourreau de fibres, qu’il le mit aussitôt dans le
fourreau de chair chaude qu’était la bouche d’encorerebelle.

- Merci mon cher Maître Aristocrate. Hhmm, on sent qu’elle sait s’y prendre
- Oui, ma petite pute aime cela. Il en serait autrement qu’elle n’aurait pas le choix,
n’est-ce pas ?

Et tous deux de partir d’un grand éclat de rire.

Tandis que Sir Evans appréciait les qualités buccales d’encorerebelle, Maître
Aristocrate prit alors une badine et commença la punition. Bientôt les fesses
d’encorerebelle furent rougies par les dix coups, fortement appuyés, conséquence
d’avoir renversé le champagne lors de l’apéritif. Entre les coups de cravache de son
Maître, les coups de boutoir du Marquis, et le balancement des poids à ses tétons,
encorerebelle était … et bien elle ne savait plus trop. Douleur, plaisir… elle ne
savait plus pourquoi ses larmes coulaient. Elle ne pouvait bien entendu serrer les
dents au moment des coups, ne voulant pas risquer de blesser ce sexe qui la
remplissait et lui laissait à peine le temps de respirer. C’étaient surtout les
gémissements de plaisir du Marquis d’Evans qui ponctuaient les coups de badine. Au
bout d’un moment, n’y tenant plus, il agrippa la tête d’encorerebelle et, dans un
dernier coup de rein, se vida au fond de sa gorge.

- Alors, mon Ami ?
- Une merveille, cher Maître. Quelle excellente idée vous avez eue, je vous en
remercie !!
- Mais, c’est qu’il faut fêter dignement votre anniversaire… ne vous a-t-elle point
fait sentir ses dents ?
- Si peu, si peu
- Bien, elle en sera punie

Puisque le Marquis avait pris son plaisir, Maître Aristocrate remonta encore sa
soumise, et, pour la punir d’avoir laissé traîner ses dents sur le noble appendice,
lui rougit chaque sein de dix coups de badine, qu’encorerebelle arriva à supporter
elle ne sait comment.


- Et bien ma petite pute ?
- Merci Maître, pour votre punition, prononça-t-elle entre deux sanglots
- C’est tout ?
- …. Merci Monsieur le Marquis, de m’avoir honorée de votre nectar
- J’aime mieux ça, répondit son Maître. J’en ai terminé avec toi pour le moment. Cher
Marquis, pouvez-vous demander à ce qu’on s’occupe d’elle… jusqu’à sa prochaine séance
?
- Mais bien entendu, répondit Sir Evans en tirant sur un cordon derrière la porte.

Au bout de quelques minutes à peine Walter ouvrit la porte.

- Monsieur le Marquis m’a demandé ?
- Oui Walter. Il y a là une femelle qui a besoin de quelque repos
- Bien Monsieur le Marquis, je m’en occupe
- Hum … Walter, étant donné qu’elle est encore attachée, vous pouvez profiter un peu
de ma chienne, si le cœur vous en dit, lança pour conclure Maître Aristocrate.

Au sourire qui s’afficha sur le visage du majordome, il sut que sa petite pute n’irait
pas se reposer tout de suite…

(à suivre …)

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